Forum des auditeurs passionnés et critiques de France Culture

Exposition oblige, Berthe Morisot, un atelier à soi (1841-1895), Une vie, une oeuvre  le 15/06/2019.

Ingrédients :
Féminisme : 40%
Sentimentalisme : 40%
Lectures de correspondance et extraits de films : 10%
Peinture 10%

Couvrir la moitié du plat avec de la musique.

Grande question qui occupe ces dames à France Culture : qui couche avec qui ? Forcément, dira-t-on, quand on est partenaire d'un magazine comme Grazia.

Si l'on suit l'émission entière (je le déconseille), on apprendra que Berthe Morisot est une rebelle, une révolutionnaire. Bref, un modèle à suivre pour tout auditeur et surtout toute auditrice. Voyez, par exemple, la directrice de France Culture, super rebelle en chef, adoratrice de la comptabilité, des statistiques et de la vente. Dans quelques années, elle intégrera une entreprise commerciale au poste de communicante (risque de ne pas durer après interventions orales).

La peintre Berthe Morisot ne méritait pas de voir fouiller ainsi sa vie privée, sans délicatesse. Encore une fois,  par "Une vie une œuvre", il faut comprendre 90% de vie privée dans une perspective de victimisation et de moralisation à l'usage des contemporains et 10% d'observations sur l'histoire de l'art.
Pour une autre manière de présenter l'artiste, voir dans ce forum  Ray Bradbury & Berthe Morisot le sam. 24 nov. 2018.

Je le livre brut de décoffrage, dans cette langue stérile et fautive qui est la marque de fabrique d'une station qui s'appelle "France Culture"...

Toute une vie le samedi de 15h00 à 16h00.

"Toute une vie" succède à "Une vie, une œuvre" : chaque samedi, à 15h à partir du 11 janvier 2020, le portrait radiophonique de femmes et hommes d’exception.
Ecouter "Toute une vie", c’est s’arracher au temps et plonger, pour une heure, dans les passions qui irriguent ces vies qui nous saisissent, nous interrogent, parfois nous bouleversent.
S’attachant à une personnalité, chaque documentariste compose, avec son réalisateur, un univers où s’inscrit la singularité de la vie, des l'oeuvre, autant qu’une écriture de soi et du monde.
"Une vie, une oeuvre", c'est aussi une émission de France Culture qui depuis 1984 contribue à un patrimoine où croiser Platon, Anna Akhmatova, Glenn Gould, Edgar Allan Poe, Chrétien de Troyes, Léopold Sedar Senghor, Georges Braque, John Cage, Marcelline Desbordes-Valmore, Rudyard Kipling , Amadou Hampâté Bâ, Epicure, Andy Warhol, Charlotte Salomon, Alexandre Grothendieck…

Quand France Culture était la meilleure radio culturelle du monde : Une vie, une œuvre ‘FRANZ KAFKA (1883-1924)’ Par Marie-Christine Navarro et Claude Giovannetti, le 19.03.1987.



Dans cette émission, on ne trouve pas de :

Musiquette bondissante au générique
Chanson de variété à la fin
Virgules "Vous écoutez France Culture, émission Truc, avec Machin Chose"
Chroniques d'actualité des livres "en partenariat" avec X, Y ou Z
D'auteur de documentaire parlant à la place des intervenants ou ricanant
De réduction de la parole à quelques secondes interrompues par l'employé de la station
De psychanalyse de comptoir sur la vie de l'auteur
De développement sur l'exploitation des femmes ou sur leur sous-représentation, etc.

Le descriptif de l'émission signale le projet et les intervenants. Les lecteurs des textes (en français et en allemand) et l'auteur de l'atmosphère sonore sont mentionnés en fin d'émission. La qualité du documentaire est marquée de leur empreinte. Le montage : réfléchi, efficace.

Instructive,  éclairante,  stimulante, de la radio adulte pour tous à des années-lumière de la radio-télé infantilisante d'aujourd'hui.

Redécouvrir Kafka, c'est ce propose de faire cette émission consacrée au grand écrivain disparu en juin 1924. Ce tchèque laissait une œuvre en grande partie inédite et inconnue. Depuis la date de sa mort chaque mouvement de pensée de ce siècle a, jusqu'à aujourd'hui, tenté tour à tour de s'approprier et d'exclure l’œuvre de Kafka. (...)

A travers ce sinueux parcours, nous tenterons de laisser parler le texte de Kafka (son journal, sa correspondance, aussi bien que la fiction) qui n'appartient à personne et demeure donc le bien de tous, ainsi que ceux qui ont rencontré sur leur route le chemin de Kafka

• Édouard Goldstricker, intellectuel tchèque résidant à Brighton, et instigateur du Congrès de Liblice,
• Ivo Fleischmann qui nous parlera de la Prague de Kafka,
• Judith Stora-Sandor et Joël Askenazi qui replaceront Kafka face à la complexité de sa judéité,
• Bernard Lortholary dont la nouvelle traduction permet un autre regard sur l’œuvre, et
• Marthe Robert qui cheminera avec nous le long de cet itinéraire qui demeure à plus d'un titre essentiel et unique pour tous ceux que l'enjeu de l'écriture interroge et met en jeu.

Dans la foulée de l'exposition Louis de Funès, sujet d'un numéro récent de  Mauvais genres, un fort instructif "Une vie, une oeuvre" consacré à l'acteur : Louis de Funès (1914-1983) de 2012, piloté par Matthieu Garrigou-Lagrange, toujours à l'antenne dans le même genre d'exercice en 2020 avec  Toute une vie.

Une émission montée avec les défauts, peu outrés dans ce numéro-ci, de la réalisation de l'époque : la succession rapide de bribes de paroles d'intervenants différents. Les voix sont heureusement ici bien distinctes. Un beau casting, également :

• Bertrand Dicale, auteur d’une biographie de Louis de Funès
  
• Alain Riou , du Nouvel Observateur
  
• Olivier Mongin,  de la revue Esprit
  
• Valère Novarina , acteur et auteur de « Pour Louis de Funes »
  
• Stéphane Goudet , critique de cinéma
  
• Philippe Gumplowicz , musicien et musicologue
  
• Et la voix en archive de Louis de Funès
  

Le nom de Vincent Decque comme réalisateur de qualité à France Culture n’est pas inconnu, mais celui de Stéphane Bonnefoi qui produit ce remarquable portrait de Maurice Genevoix dans la grande tradition d'"Une vie, une œuvre" ? Maurice Genevoix (1890-1980), un regard à toute épreuve "Toute une vie", le 07/11/2020.

Stéphane Bonnefoi a visiblement une culture extensive du documentaire radiophonique. Sa page incite à aller piocher des émissions. La lecture des extraits par le comédien Bernard Gabay donne envie de l'écouter davantage. Au fait, en matière de lectures, que devient notre Georges Claisse à France Culture ?

Les références préparée par Anne Brulant (Archives INA,) et Annelise Signoret (Bibliothèque de Radio France) impressionnent par leur richesse et leur soin.

L'émission croise lectures, interviews de Genevoix et interventions d’écrivains et biographes, dont Michel Bernard, auteur de "Pour Genevoix", à qui revient la majeure partie de la parole. Ambiance sonore : rien à redire.

Toute l'émission vaut l'écoute, quelques extraits :

L'enfance rurale de Genevoix ; Genevoix évoque les artisans, "la race des bûcherons" [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-07.11.2020-ITEMA_22476686-2020C3330S0312.mp3" debut="24:35" fin="27:01"]

Un sens du métier, du travail bien fait, du savoir professionnel ; ne jamais tricher ("Ceux de 14") ; "La boîte à pêche"[son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-07.11.2020-ITEMA_22476686-2020C3330S0312.mp3" debut="26:59" fin="29:45"]

L'expérience de la mort à la guerre inspire les descriptions de la mort des animaux  [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-07.11.2020-ITEMA_22476686-2020C3330S0312.mp3" debut="46:21" fin="48:42"]

Le 11 novembre 2020, avant de rejoindre le Panthéon, les cendres de Maurice Genevoix passeront par l'École Normale Supérieure où il étudia et où il se remit de la blessure qui le laissa pour mort sur le champ des Éparges. C'est aussi là qu'il composa son premier livre, "Sous Verdun", en 1916.

(...) "Tout est joué à l'âge de 12 ans", aimait-il à répéter. C'est ainsi que Genevoix ne va pas seulement rendre hommage à ses camarades de combat, mais aussi à tous les "simples" – comme il les nommait - des bords de Loire (artisans, paysans, petits commerçants...), qui ont tôt initié le jeune Maurice. Des travailleurs dont il admirait la générosité et la précision gestuelle, autant de qualités que l'on retrouvera dans une œuvre que l'on a un peu vite qualifiée de régionaliste...

À signaler le documentaire multimédia réalisé par Annelise Signoret et Odile Dereuddre le 08/11/2020 : Feuilletez "Raboliot" de Maurice Genevoix avec les oreilles. Prometteur. À suivre dans le fil idoine.

De qui est cette voix ? [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-04.08.2020-ITEMA_22395677-2020C3330S0217-1779455909.mp3" debut="44:47" fin="46:27"]

Réponse *

Un bon numéro de "Toute une vie", Jérôme Bosch (1450-1516), la controverse en peinture du 31-12-2016, rediffusé le 04-08-2020.

L’occasion de l'écoute est la présence, hélas très brève, de Patrick Roegiers, écrivain, auteur de Le mal du pays  que l'on a pu entendre récemment  dans "Personnages en Personne", Charlot.

L'intervenant principal n'est pas un inconnu à France Culture : Jacques Darriulat, ancien enseignant en philosophie en classes préparatoires au lycée Henri IV puis à la Sorbonne, auteur de Jérôme Bosch et la fable populaire. Un professeur qui a pris l'habitude de s'écouter parler. Extrait de ses instructifs développements (il est inarrêtable...) : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-04.08.2020-ITEMA_22395677-2020C3330S0217-1779455909.mp3" debut="43:40" fin="44:48"]

Lecture par Jean-Paul Racodon de plusieurs extraits de "La Nef des Fous" de Sebastian Brant (1458 à Strasbourg - 10 mai 1521 à Strasbourg), un texte inusable.



Intéressantes interventions également d'Héloisa Novaes, artiste peintre brésilienne pour décrire en détail  la Tentation de Saint-Antoine. Son léger accent régale l'oreille. Spécialisation probablement due au fait que le triptyque de "La Tentation de Saint Antoine" (vers 1501) se trouve au Museu Nacional de Arte Antiga de Lisbonne (Portugal).

Pour en savoir davantage sur ce triptyque, un numéro des Regardeurs de la mêem année 2016, Triptyque de la Tentation de St Antoine (vers 1501) de Jérôme Bosch [17-04-2016]

Au final, une belle émission d'histoire de l'art qui va de Bosch à James Ensor en passant par Dante et Rabelais.


* Tout le monde avait reconnu :  Roger Van Schoute
Roger Van Schoute, docteur en archéologie et histoire de l'art, professeur émérite de l'Université catholique de Louvain, professeur à l'Institut supérieur d'histoire de l'art et d'archéologie de Bruxelles, auteur de Jérôme Bosch aux éditions La Renaissance du Livre (2003) . Toute ressemblance...

Quand France Culture était un modèle de radio culturelle (Sur la plage de l'inactuel... par fred de Rouen), en 1998, on pouvait entendre des documentaires denses, intelligents, créatifs. Ce numéro d'"Une vie, une œuvre" consacré à P.G. Wodehouse se caractérise par un triple entretien croisé de Michel Cazenave (on ne le voyait pas dans ce rôle) avec François  Rivière, Hubert Prolongeau et Christian Jambet (ce dernier aussi étonne en sortant de son domaine) ; des extraits de films et surtout de courtes scènes de romans interprétées pour l'émission  par des acteurs dont les noms n'apparaissent pas sur la page.

Un documentaire de belle tenue (Cazenave se demande si tel personnage d'une des comédies n’est pas anti-platonicien) et soigneusement réalisé. En 1998, on ignorait encore que la casse de la station allait être lancée l'année suivante par Laure Adler. La station ne s'en est jamais remise. Le programme consternant de 2021, à part quelques émissions qui surnagent, est à retrouver dans ce forum, par exemple dans Soyez au top niveau avec notre session de rattrapage.

Merci à Philippe Garbit et son équipe d'avoir produit une page un peu nourrie pour cette rediffusion.

Pelham Grenville Wodehouse a certainement été le plus grand humoriste anglais du 20ème siècle. Comme tel, il a été internationalement reconnu dès l'entre-deux-guerres, produisant indifféremment comédies musicales et plus d'une centaine de romans.

Son univers nous décrit sans cesse la haute société britannique en amenant, sans en avoir l'air, une critique acerbe et vigoureuse qui se dissimule sous le masque du sourire : jeunes nobles écervelés qui se font gouverner par leur maître d'hôtel, jeunes filles évanescentes ou femmes mûres comme de redoutables dragons, ducs et pairs qui ne songent qu'à élever les plus beaux cochons ou les plus grandes citrouilles du  monde. C'est tout un monde de fantoches qui nous est décrit, avec une logique aussi infernale que celle que l'on trouve dans le théâtre de Feydeau.

Comme une météorite tombée du ciel : un remarquable numéro d'"Une vie, une œuvre" du 21/10/2017 :Chostakovitch (1906-1975) - Celui qui a des oreilles entendra.

Extrait du riche descriptif :

Compositeur-phare du XXe siècle, Chostakovitch a vécu quasiment toute sa vie sous le régime soviétique ; alternativement mis au ban et couvert d’honneurs, il s’est débattu constamment pour ne pas renoncer à son art et pour sauver sa dignité.

L'émission n'est pas une languissante lamentation, mais un mini-cours d'histoire, la description d'un destin et l'analyse de l’œuvre, notamment grâce au violoncelliste Xavier Phillips : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-21.10.2017-ITEMA_21470673-0.mp3" debut="38:02 fin="40:24"]

"La peur de la mort", la citation de compositeurs qui lui sont chers (Schubert), l'immense compréhension de la littérature (avec la voix de Mildred Clary en traductrice) [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-21.10.2017-ITEMA_21470673-0.mp3" debut="46:32 fin="50:17"]

Le soin de Marie-Hélène Bernard dans la désannonce est la marque des grands [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10471-21.10.2017-ITEMA_21470673-0.mp3" debut="57:44 fin="59:09"]
Que fait actuellement la productrice de ce documentaire ?

Une fois n’est pas coutume, un article de Télérama, signalé sur la page, rend justice à l'émission : Sur France Culture : les souffrances de Chostakovitch Aude Dassonville Publié le 21/10/17.

Par Marie-Hélène Bernard. Réalisation : Jean-Philippe Navarre. Prise de son : Olivier Dupré. Mixage : Manuel Couturier. Avec la collaboration d’Annelise Signoret.
(...)
Textes lus par Renaud Bertin et extraits de :
• Lettres à un ami » (Correspondance avec Isaac Glikman), écrites par Chostakovitch entre 1941 et 1975.
• Témoignage - les mémoires de Chostakovitch, livre de Solomon Volkov.
• Le fracas du temps, de Julian Barnes.
Musiques extraites de l'oeuvre de Chostakovitch (dans l'ordre) :
• Symphonie n°1
• Le Nez
• Lady Macbeth de Mtsensk
• Symphonie n°5 op. 47
• Symphonie n°7 Leningrad
• Trio n°2 op. 67
• Symphonie n°8
• Raiok
• Concerto n°1
• Quatuor n°8
• Symphonie n°14 op.135
• Quatuor n°15 op. 144
• Sonate pour violon et piano op. 134

Seulement du temps pour écouter une et une seule émission de France Culture en 2022 ? Ce sera le numéro d'Une vie une œuvre du 30 mai 1991 (France Culture dir. Jean-Marie Borzeix) consacré à Evgueni Zamiatine (1884-1937) (1h25') rediffusé dans les Nuits le 16/10/2017.

Cette émission proposée par Françoise ESTEBE retrace à travers une série d'interviews et de lectures, la vie et l'oeuvre d'Evgueni ZAMIATINE. Avec Leonid HELLER, Jean-Pierre MOREL et Bernard KREISE. Des extraits de "Seul", des "Ecrits oubliés", des "Actes du colloque de Lauzanne", de "Nous Autres", de "Le pêcheur d'hommes" et de "L'Inondation" sont lus par Jacqueline DANAUD et Michel DERVILLE. Réalisation Annie Flavell

Intervenants
• Jean-Pierre Morel
Professeur émérite de littérature comparée à l’université Sorbonne nouvelle
• Bernard Kreise
Traducteur

Et Leonid Heller, historien, critique littéraire. Biographie informative sur Babelio.

Dans le post Béranger, chansonnier et poète national (1780-1857) par Sophie-Anne Leterrier consacré au numéro de Concordance des temps du 04/03/2023, figure l'insert d'une émission d'octobre 1991 diffusée par une chaîne YouTube : Une Vie, une Œuvre BÉRANGER chansonnier et poète national 1991.

Quand la radio culturelle (sous la direction de Jean-Marie Borzeix) vous prenait par le col et ne vous lâchait plus !

Claude Duneton a produit avec Marcel Amont un documentaire musical et historique jubilatoire. Le ton enthousiaste est sans comparaison avec l'esprit moralisateur et suffisant des productions militantes de la station depuis plus de 10 ans. Conversation libre et joyeuse, lecture de lettres, visite de la maison de Touraine de Béranger et surtout chansons interprétées au débotté par Marcel Amont. C'est plus qu'un complément à l'émission de Jean-Noël Jeanneney, c'est une entrée dans l'art de la chanson par des connaisseurs et pratiquants. Un régal !

Le "Divin" Béranger (1780-1857) La célébrité que connut Béranger, chansonnier et poète national, est inconcevable de nos jours. Il fut la gloire absolue des littérateurs français entre le Premier et le Second Empire, aussi bien dans la grande bourgeoisie que dans les masses populaires, admiré et salué par ses pairs, de Chateaubriand à Victor Hugo. De plus, dans tous les pays du monde où une aristocratie parlait couramment le français, on chantait les chansons de Béranger. Marcel Amont, interprète, mais aussi auteur-compositeur, présente l'œuvre de Béranger d'après son propre choix de textes. Il chante et commente les chansons en apportant le point de vue et la sensibilité d'un professionnel du music-hall d'aujourd'hui. André Bourin, littérateur, et Pierre Brochon, historien de La chanson française, évoquent certains aspects de l'homme...

Revue des deux mondes, Numéro : décembre 2007 ; Auteur : JEAN-PAUL SORG : Connaissez-vous Jean-Paul de Dadelsen (1913-1957) ?

Chaîne YouTube ÉCLAIR BRUT Jean-Paul de DADELSEN – Une Vie, une Œuvre (France Culture, 1987), morceau choisi :



À suivre.