Soit un article du journal suisse Le Temps se présentant comme un compte-rendu d'une étude scientifique sur les bienfaits de tel aliment. Soit un logo en haut à droite précédé de «Avec le soutien de» et une petite coche dissimulée dans un coin de la page. Et si l'on cliquait pour voir ? Voici le lien Les partenariats éditoriaux au Temps.
France Culture n'aurait-elle pas envie, elle aussi, de préciser le statut de ses publicités déguisées (pardon, "de ses partenariats") ?
Pour être en mesure de proposer des contenus de qualité, Le Temps exploite diverses sources de financement qui vont au delà de la publicité classique. Elles permettent de mener des enquêtes au long cours, de réaliser des reportages ambitieux ou d’innover dans les narrations que nous proposons à nos lecteurs.
Nous distinguons plusieurs formes de partenariat, qui sont mentionnées autant dans le quotidien imprimé que sur le site internet:
«Avec le soutien de»
Un contenu sponsorisé implique une discussion entre la rédaction en chef du Temps et un partenaire externe. Ils déterminent ensemble les thèmes qui seront traités dans le cadre du partenariat. La rédaction en chef du Temps décide, sur la base de sa charte éditoriale, si le thème a sa place dans le journal ou sur ses plates-formes numériques.
Une fois l’accord de sponsoring passé avec le partenaire, le traitement journalistique (choix de l’angle précis des sujets et des interlocuteurs) est réalisé en totale indépendance par la rédaction du Temps. Il appartient à la rédaction de décider si elle soumet les contenus au sponsor avant publication et de tenir compte ou non de ses éventuels commentaires.
«Réalisé pour»
Le contenu est réalisé par des journalistes indépendants pour le compte du partenaire. Dans ce cadre, la rédaction du Temps n’est responsable ni du choix du thème ni de son traitement journalistique. Le rôle du Temps est d’identifier les prestataires les plus à même de servir son partenaire, de garantir la bonne facture du contenu ainsi que de le diffuser sur ses plates-formes. Le partenariat est mené par la direction commerciale du Temps, avec consultation de la rédaction en chef qui peut s’opposer à un partenariat allant à l’encontre de sa ligne éditoriale.
Partenariats commerciaux
«Publi-reportage», «Publi-rédactionnel»
Un publi-reportage n’est en rien assimilable à un soutien de type sponsoring. Le département commercial du Temps met à disposition d’un client un espace lui permettant de publier, en toute indépendance, un contenu à vocation publicitaire. La rédaction du Temps n’est alors impliquée d’aucune manière.
«Proposé par» ou «Rédigé par»
Un article «proposé par» n’est en rien assimilable à un soutien de type sponsoring. Le département commercial du Temps met à la disposition d’un client un espace lui permettant de publier, en toute indépendance, un contenu à caractère éditorial qui s’inscrit dans le cadre d’un périmètre défini par avance. Ce contenu ne doit avoir aucune vocation publicitaire: il ne mentionne pas les services fournis par l’entreprise ou l’entreprise elle-même. La rédaction en chef du Temps a un droit de veto.
France Culture n'aurait-elle pas envie, elle aussi, de préciser le statut de ses publicités déguisées (pardon, "de ses partenariats") ?
Pour être en mesure de proposer des contenus de qualité, Le Temps exploite diverses sources de financement qui vont au delà de la publicité classique. Elles permettent de mener des enquêtes au long cours, de réaliser des reportages ambitieux ou d’innover dans les narrations que nous proposons à nos lecteurs.
Nous distinguons plusieurs formes de partenariat, qui sont mentionnées autant dans le quotidien imprimé que sur le site internet:
«Avec le soutien de»
Un contenu sponsorisé implique une discussion entre la rédaction en chef du Temps et un partenaire externe. Ils déterminent ensemble les thèmes qui seront traités dans le cadre du partenariat. La rédaction en chef du Temps décide, sur la base de sa charte éditoriale, si le thème a sa place dans le journal ou sur ses plates-formes numériques.
Une fois l’accord de sponsoring passé avec le partenaire, le traitement journalistique (choix de l’angle précis des sujets et des interlocuteurs) est réalisé en totale indépendance par la rédaction du Temps. Il appartient à la rédaction de décider si elle soumet les contenus au sponsor avant publication et de tenir compte ou non de ses éventuels commentaires.
«Réalisé pour»
Le contenu est réalisé par des journalistes indépendants pour le compte du partenaire. Dans ce cadre, la rédaction du Temps n’est responsable ni du choix du thème ni de son traitement journalistique. Le rôle du Temps est d’identifier les prestataires les plus à même de servir son partenaire, de garantir la bonne facture du contenu ainsi que de le diffuser sur ses plates-formes. Le partenariat est mené par la direction commerciale du Temps, avec consultation de la rédaction en chef qui peut s’opposer à un partenariat allant à l’encontre de sa ligne éditoriale.
Partenariats commerciaux
«Publi-reportage», «Publi-rédactionnel»
Un publi-reportage n’est en rien assimilable à un soutien de type sponsoring. Le département commercial du Temps met à disposition d’un client un espace lui permettant de publier, en toute indépendance, un contenu à vocation publicitaire. La rédaction du Temps n’est alors impliquée d’aucune manière.
«Proposé par» ou «Rédigé par»
Un article «proposé par» n’est en rien assimilable à un soutien de type sponsoring. Le département commercial du Temps met à la disposition d’un client un espace lui permettant de publier, en toute indépendance, un contenu à caractère éditorial qui s’inscrit dans le cadre d’un périmètre défini par avance. Ce contenu ne doit avoir aucune vocation publicitaire: il ne mentionne pas les services fournis par l’entreprise ou l’entreprise elle-même. La rédaction en chef du Temps a un droit de veto.