Forum des auditeurs passionnés et critiques de France Culture

fred de rouen(https://regardfc.1fr1.net/t689p50-la-pilule-du-bonheur#29691) a écrit:Voilà bientôt deux ans que ce fil, La pilule du bonheur, est déserté. Pourtant, chaque nuit ou presque, les coffres au trésor de Philippe Garbit nous offrent de quoi l'alimenter.

Le 03 décembre 2017, ont surgi dans la nuit Les cris des eaux mortes, émission dont la première diffusion date du 19/08/1979. Pendant 2h30, l'auditeur est plongé dans l'atmosphère envoûtante et mystérieuse de la Brière. Cela ressemble au meilleur du Pays d'ici, mais n'en est pas un (Le Pays d'ici 1984-1997). On ne sait pas grand'chose de cette émission, si ce n'est qu'elle fut produite par Madeleine Ricaud. Pour dire les choses sobrement, je n'avais rien écouté de cette qualité depuis des mois. On retrouve dans ce déploiement à la fois délicat et  d'une grande précision, de l'ethnologie, de l'histoire, de la géologie, de l'artisanat, des légendes et des contes, et beaucoup d'ornithologie, ce qui devrait enchanter notre Philaunet.

On peut redoubler le plaisir des sons et des confidences radiophoniques par celui de la littérature, si l'on a la curiosité de parcourir la nouvelle de Marcel Schwob, La Grande-Brière. Dans cette nouvelle d'une dizaine de pages, parue dans le recueil Le Roi au masque d'or, Schwob a parfaitement capté et traduit le mystère parfois délétère d'un pays et de ses habitants, nés de la tourbe et des roseaux...

fred de rouen(https://regardfc.1fr1.net/t689p50-la-pilule-du-bonheur#29691) a écrit:Voilà bientôt deux ans que ce fil, La pilule du bonheur, est déserté. Pourtant, chaque nuit ou presque, les coffres au trésor de Philippe Garbit nous offrent de quoi l'alimenter.

Le 03 décembre 2017, ont surgi dans la nuit Les cris des eaux mortes, émission dont la première diffusion date du 19/08/1979. Pendant 2h30, l'auditeur est plongé dans l'atmosphère envoûtante et mystérieuse de la Brière. Cela ressemble au meilleur du Pays d'ici, mais n'en est pas un (Le Pays d'ici 1984-1997). On ne sait pas grand'chose de cette émission, si ce n'est qu'elle fut produite par Madeleine Ricaud. Pour dire les choses sobrement, je n'avais rien écouté de cette qualité depuis des mois. On retrouve dans ce déploiement à la fois délicat et  d'une grande précision, de l'ethnologie, de l'histoire, de la géologie, de l'artisanat, des légendes et des contes, et beaucoup d'ornithologie, ce qui devrait enchanter notre Philaunet.

On peut redoubler le plaisir des sons et des confidences radiophoniques par celui de la littérature, si l'on a la curiosité de parcourir la nouvelle de Marcel Schwob, La Grande-Brière. Dans cette nouvelle d'une dizaine de pages, parue dans le recueil Le Roi au masque d'or, Schwob a parfaitement capté et traduit le mystère parfois délétère d'un pays et de ses habitants, nés de la tourbe et des roseaux...

fred de rouen(https://regardfc.1fr1.net/t689p50-la-pilule-du-bonheur#29691) a écrit:Voilà bientôt deux ans que ce fil, La pilule du bonheur, est déserté. Pourtant, chaque nuit ou presque, les coffres au trésor de Philippe Garbit nous offrent de quoi l'alimenter.

Le 03 décembre 2017, ont surgi dans la nuit Les cris des eaux mortes, émission dont la première diffusion date du 19/08/1979. Pendant 2h30, l'auditeur est plongé dans l'atmosphère envoûtante et mystérieuse de la Brière. Cela ressemble au meilleur du Pays d'ici, mais n'en est pas un (Le Pays d'ici 1984-1997). On ne sait pas grand'chose de cette émission, si ce n'est qu'elle fut produite par Madeleine Ricaud. Pour dire les choses sobrement, je n'avais rien écouté de cette qualité depuis des mois. On retrouve dans ce déploiement à la fois délicat et  d'une grande précision, de l'ethnologie, de l'histoire, de la géologie, de l'artisanat, des légendes et des contes, et beaucoup d'ornithologie, ce qui devrait enchanter notre Philaunet.

On peut redoubler le plaisir des sons et des confidences radiophoniques par celui de la littérature, si l'on a la curiosité de parcourir la nouvelle de Marcel Schwob, La Grande-Brière. Dans cette nouvelle d'une dizaine de pages, parue dans le recueil Le Roi au masque d'or, Schwob a parfaitement capté et traduit le mystère parfois délétère d'un pays et de ses habitants, nés de la tourbe et des roseaux...