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Des producteurs de France Culture    Page 1 sur 20

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Philaunet 

Philaunet
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1
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Des producteurs de France Culture - Mer 19 Fév 2014, 11:17

Florian Delorme : débit précipité, articulation inexistante, propos approximatif, ton rigolard, point de vue engagé, art de l'entretien : interruption de l'invité.  

Le producteur parfaitement adapté au sujet, quoi : « De la PMA à l’euthanasie, des questions de vie ou de mort ».

Page de présentation du site non prête avant et lors de la diffusion : CULTURESMONDE. Sont annoncées les questions d'infertilité, d'adoption, d'Afrique. Devrait intéresser en haut lieu.

***************

NOTA BENE : des fils de discussion spécifiques concernant des producteurs ont été ouverts dans le forum : Qui fait quoi ? ; Le blog FC de Michel Alberganti ; Le blog de Jean Lebrun ; Un été avec Regis Debray ; Lemerre vs Voinchet ; Hubert Huertas à la campagne ; Alain-Gérard Slama ex-chroniqueur en Contrepointeur ; René Jentet ; Pour Francesca Isidori ; Grande présence de Denis Podalydès ; Pierre Descargues (1925-2012) ; Edwy Plenel en ses œuvres ; Brice Couturier, le libéralisme et les néo-conservateurs.



Dernière édition par Philaunet le Lun 31 Oct 2016, 22:55, édité 10 fois

Cancoillotte 

Cancoillotte

2
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Re: Des producteurs de France Culture - Mer 19 Fév 2014, 19:37

En tout cas c'est le dernier à avoir produit une matinale intéressante.

Philaunet 

Philaunet
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3
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Florian Delorme - Mer 19 Fév 2014, 19:41

Cancoillotte a écrit:En tout cas c'est le dernier à avoir produit une matinale intéressante.

En tous les cas je parle de ce matin le 19 février 2014 entre 11h et 11h15. Not the right man in the right place.



Dernière édition par Philaunet le Dim 23 Fév 2014, 15:48, édité 1 fois

Nessie 

Nessie

4
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Re: Des producteurs de France Culture - Mer 19 Fév 2014, 23:33

J'ai le souvenir aneffet, qu'il y a de cela quelques années, on plaçait pas mal d'espoirs en Florian Delorme quand il faisait la matinale d'été. Difficile de dire ce qui nous l'a gâté :
- la surexploitation du registre écolo-alarmiste dans la case de l'espace critique sur les genoux de Stjepan Delidjeorges ?
- la grosse tête qui résulte de la promotion comme producteur titulaire ?
- tout simplement l'erreur de casting : good guy in wrong place. Je veux dire : il n'est pas à sa place comme responsable de cette émission-là ? Ou pire : il fait de l'usage comme remplaçant et il est plutôt bon en second et  ou comme rédac-chef mais alors comme patron local c'est la cata (d'ailleurs on en a un autre comme ça : Vincent Lemerre).

Philaunet 

Philaunet
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5
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Charles Dantzig - Dim 23 Fév 2014, 15:43

Dites-moi, Antoine Arnoux, comment faites-vous pour écouter Charles Dantzig ? Quel est votre secret ? Car il semble que vous soyez un auditeur fidèle de ce Secret Professionnel dont vous avez épinglé maintes fois les travers, par exemple ici et ici.

Il se trouve que je suis tombé « par hasard » sur cette émission aujourd'hui et dont le numéro était alléchant (il faut oublier la formulation stupide du titre) : Le secret professionnel des lunettes.

Après 5 minutes, j'avais envie de passer sur France Musique. Il y avait dans les années 1990 une animatrice à France Inter qui, le matin, interrogeait son invité de cette manière, sur un rythme haletant et en lui coupant presque la parole. Elle avait néanmoins un ton assez sympathique, quand Dantzig, lui, n'est que morgue et absence d'empathie  (« P...,  pourquoi le chargé d'émission m'a refilé un truc sur les lunettes ! Vite, je vais lui balancer mes questions à ce lunettier et qu'on en finisse rapidement, un peu de promo, un peu de people, une question bien sentie sur le fric et sur les tortues qu'on extermine, et ça devrait le faire »).

« Il faudrait que vous me disiez » dit Dantzig. Et toute l'émission est sur ce ton : celui de l'interrogatoire où les questions se bousculent les unes les autres. Dantzig, c'est Lino Ventura dans Garde à vue...

Enfin, le lecteur jugera de l'intelligence et du bon goût du texte de présentation :

« C’est un objet qu’on pose sur son nez. Un objet qui a l’air d’aller de soi, tellement on en voit sur tellement de nez, et dans tellement de pays. Si l’on y réfléchit, c’est un objet bizarre. (...) à Toulouse ou à Strasbourg, se promener avec un étui pénien paraîtrait extraordinairement déplacé et nous ferait sans aucun doute conduire au commissariat du quartier. (...) Et les lunettes que nous portons sur le nez, puisque c’est des lunettes qu’il va être question dans ce Secret professionnel, ces lunettes auraient paru extraordinaires dans les temps où elles n’existaient pas. Car elles n’ont pas toujours existé. (...) » Charles Dantzig

Philaunet 

Philaunet
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6
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Xavier de la Porte - Lun 24 Fév 2014, 10:02

Quand c'est Xavier qui répond alors que c'est au producteur d'une émission de France Culture, monsieur Xavier de la Porte, que s'adresse un internaute publié sur le site de FC :

Philaminte23.02.2014
IL faut réécrire votre texte de présentation, entre les coquilles et le style oral... Saviez-vous que le français est une chance? Vous gagneriez une occasion de prouver que l'on peut être un adepte du numérique ET ne pas mépriser la chose écrite et littéraire. C'est laborieux! Et l'explication "grossière" aux auditeurs, c'est sympa et pas du tout méprisant.
· répondre
Xavier24.02.2014
Cette émission vous a-t-elle intéressé ? Ou n'est-ce pas votre souci ?

Rencontre avec le chef d'Internet

Il y a quelque chose d'étrange et de malsain dans cette façon de signer un courrier, surtout quand le porteur dudit prénom répond sans aménité à l'auditeur critique (je ne le connais pas).

Monsieur de la Porte n'est pas Xavier, quoi qu'essaient de nous faire croire tous les animateurs qui s'interpellent par leurs prénoms et qui rigolent ensemble à l'antenne pour faire convivial et surtout hyper cool.

Ce manque de tenue, cette absence d'incarnation d'une fonction (celle de producteur payé d'une station culturelle écoutée et lue par des centaines de milliers de personnes) jure avec la responsabilité de transmission de savoirs et d'opinions.

Il y a un aspect immature et buté chez de la Porte qui se révèle bien dans cet échange et dans  les autres publiés sur le site. D'ailleurs, à tout prendre, au lieu de publier les commentaires critiques sur la forme, il serait nettement plus intelligent et plus respectueux envers le commentateur de tenir compte de ses remarques sans en signaler l'existence, plutôt que de le tancer et laisser un texte dans un état déplorable.

Xavier de la Porte, donc, préfère répondre impulsivement plutôt que de toucher à ce qui ne va pas dans son texte. Une attitude qu'on ne trouverait jamais dans des stations comme la BBC ou Deutschland Funk. Mais en France, et à France Culture en particulier, que voulez-vous, on aime la castagne et non le fond, ça distrait le chaland.

Aussi, de la Porte a-t-il pris du temps pour se plaindre de ses auditeurs et lecteurs critiques (qu'il devrait plutôt remercier) et laisse en l'état un texte où l'on trouve ceci qui montre encore une fois qu'à France Culture le français n'a pas de chance :

nous tous seuls

Pour l’expliquera grossièrement à nos auditeurs

les débats qui ont lieu pour savoir l’Internet doit être géré par les Etats

où sont impliqués les états

a obligé l’ICANN à se positionner, voire l’a fait apparaître comme une voie de recours

A étudié aux Etats-Unis, l'informatique au Polytechnic Institue de New-York, puis du management à Stanford


Ce n'est pas à Xavier de la Porte qu'il faut jeter la pierre, c'est à l'encadrement et à la direction de France Culture qui laissent publier, ici et dans de très nombreuses pages du site, des textes de présentation qui sont un déshonneur pour une station dite culturelle et qui montrent un manque flagrant de professionnalisme.

Philaunet 

Philaunet
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7
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Trouver le « producteur » auteur de paroles mémorables - Mer 26 Fév 2014, 21:53

De qui ceci  : « Vous ponctuez de manière quasiment rythmique votre livre de trouées de paroles retransmises directes ce qui fait que presque on entend les hommes » ?

1. Tewfik Hakem
2. Marie Richeux
3. Laure Adler


Réponse le 05. 03. 2014 : n°2.



Dernière édition par Philaunet le Mer 05 Mar 2014, 09:22, édité 1 fois

Nessie 

Nessie

8
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Retour sur Chardantzigue - Jeu 27 Fév 2014, 01:10

Philaunet a écrit:Dites-moi, Antoine Arnoux, comment faites-vous pour écouter Charles Dantzig ? Quel est votre secret ? [...] Il se trouve que je suis tombé « par hasard » sur cette émission aujourd'hui et dont le numéro était alléchant (il faut oublier la formulation stupide du titre) : Le secret professionnel des lunettes. Après 5 minutes, j'avais envie de passer sur France Musique.
Et encore...

Je peux dire que je l'ai relativement apprécié ce numéro-là sur les lunettes, qui sonnait comme une plutôt bonne réussite dans un genre difficile : le sujet de fin de journal de FR3 vers la fin-juillet quand on confie à un stagiaire la tranche à meubler dont personne ne veut. Et surtout, en comparaison du précédent il était plutôt bien nourri et dispensateur de savoir.

Le précédent ? Sujet : Delphine Seyrig stupidement qualifiée de 'Diva', oui déjà c'était mal parti. A signaler en son milieu un échange de fière ignorance quand Chardantzig et Henry Chapier se mettent à commenter un film rarissime et invisible de Delphine Seyrig. Pourquoi rare ? Ben, parce que "personne l'a vu". Qu'ils disent. Bien sûr c'est une façon de parler, comme quand l'un des deux argue "Il passe jamais / Il est jamais passé". Passé où ? Eh bien passé devant ses binocles, voila ce que ça veut dire. Au moins nos deux gus parviennent à caser le minimum minimorum : il est rarissime pensez, parce que d'abord il est de court métrage, et américain, et en plus en noir&blanc, et même tourné dans des conditions d'amateurisme complet. Coup de pot ils connaissaient quand même le titre ("Pull my daisy"), nos Laurel et Hardy de la cinéphilie pas spécialement complexés qui se mettent à commenter la bobine en commençant par ce fumant dialogue "vous l'avez vu ? / non jamais puisqu'il est passé nulle part, et vous ? / ben moi non plus / eh bien.... " (ils continuent à en parler sur le même ton) . Je ne garantis pas l'exactitude du dialogue parce que je n'ai pas la patience de me le farcir une seconde fois, mais je vous jure que je n'invente rien. Le plus important c'est ce que ça révèle, en sous-entendu, de la part d'Abott comme de Costello, chacun disant ainsi à l'autre : "si vous ne l'avez pas vu je peux en causer je risque pas d'être contredit".

De toutes façons ils sont -et ça ils le disent 3 fois- tous deux persuadés que ce film personne ne l'a vu. Ben oui quoi, dans l'esprit de ces sommités culturelles, ce qu'ils n'ont pas vu personne ne l'a vu. Eh bien c'est là que le chien est enterré. Car là c'est vraiment la honte.

N'en déplaise à ces deux rigolos, un classique du cinéma underground -car c'est le cas- n'est pas un film invisible et même pas un film méconnu. C'est un film que les connaisseurs connaissent. C'est un film pour happy-fews, parfois, et un dessert pour les cinéphiles souvent. Un peu comme l'unique de Jean Genet, "Un chant d'amour" et celui-là on peut parier qu'ils le connaissent, pensez : Jean Genet icône idéologique du gauchiste parisien et homosexuel en plus ! Avec des états de service pareils, bien sûr que Chapier & Dantzig ils connaissent. En fait c'est pas de pot pour nos deux loustics, mais comme ils l'ont dit eux-même "Pull my daisy" est signé Robert Frank, photographe dont ils font un éloge à la limite du délire. Voila qui aurait dû leur mettre la puce à l'oreille : avec seulement deux sous de jugeotte ils auraient tiré les conséquences : un petit film bricolé par un photographe renommé, a nécessairement aussi dans son public un nombre conséquent de connaisseurs dudit photographe, non ? Et même que c'est pas fini : on ajoutera encore une grosse benne de public potentiel en précisant (ce que nos deux rigolos parviennent tout de même à vaguement évoquer) que le film enfin le scénario enfin le texte qui sert d'argument et de bande-son a été écrit par Kérouac et raconte une soirée chez Neal Cassady. Nous sommes là en pleine légende de la Beat Génération. Pensez si personne connait. Au contraire ça commence à faire pas mal de monde qui peuvent l'avoir vu, le truc invisible que personne ne connait : cinéphiles curieux, branchés parisiens, étudiants d'écoles d'art, baba-cools à la redresse et post-beatnicks, branleurs appointés chez Nova, Libé ou CanalPlus, bref on peut aligner toute une collection de catégories de public qui ont bien dû en entendre parler, et même le voir ? Mais non dit Chapier, pissk'il passe nulle part et même jamais. Pauvre branque, va. "Pull my daisy" entre 1980 et 1990 j'ai pu le voir 4 ou 5 fois dans des lieux vachement aussi paumés que Beaubourg, la Cinémathèque, et tout le circuit des courts-métrages mais ça ils ne savent même pas que ça existe. D'ailleurs je l'ai revu une fois encore l'an dernier car -ô mirake- la cinémathèque ayant rendu un hommage conséquent à Delphine Seyrig, il faisait partie du programme. Et nos deux rigolos spécialistes de Delphine, se payant le luxe de monter tout un sujet sur ladite n'ont même pas remarqué ce truc qu'ils ont quasi devant le nez. Le clou n'étant pas encore enfoncé jusqu'à la tête, ajoutons enfin qu'avec une pincée d'acharnement ce film rarissime que personne n'a jamais vu eh bien on le trouve...  sur le web, à condition d'y fouiner et en acceptant de dépenser en réflexion le potentiel d'une tête d'épingle : soit sur un site très peu connu dénommé Youtube, soit pour les plus snobs et les boycotteurs du précédent, en poussant jusque chez Ubuweb.

Bon il faut conclure : en fait nos deux clowns ne le savent pas mais le film que personne n'a jamais vu et dont ils viennent de parler entre ignorantins, il fait l'objet d'un culte. Chance finalement qu'ils ne le sachent pas ! Car ça leur évite de sortir le cliché maison à la Goumarre ou Laporte : "film-culte", ou "cultissime" comme on entend chez Angelier quand ça touche le fond de la piscine.

Oui conclure car ça commence à bien faire : la lecture de ce coup de gueule dépasse déjà en durée l'incident rapporté. Pourquoi s'arrêter ainsi sur un fait radiophonique aussi bref ? Parce qu'il n'est qu'un exemple du sérieux et de la préparation qu'on investit dans une émission, quand on est producteur à France Culture ou quand on est invité. En matière de cinéma c'est pas la première fois qu'on enregistre un flagrant délit d'ignorance mi-résignée ni -satisfaite : Matthieu Garrigou-Lagrange qui baratine sur le cinéma de Cocteau sans avoir jamais vu son premier film "Le sang d'un poète", pourtant classique de ciné-club. Jean de Loisy qui commente le cinéma de Joseph Cornell sans avoir pris la peine de visionner ce qui est, là encore, disponible sur le web. Oh juste pour en avoir une idée, hein, des fois qu'une vague idée permette de ne pas dire n'importe quoi, ou même de poser une question pas trop à côté de la plaque. Remarquez, quand l'invité est au même  niveau, à quoi bon poser une bonne question : Henry Chapier, 75 ans de cinéphilie active, ne peut pas avoir tout vu. Et ce qu'il n'a pas vu n'existe pas. Et où est le problème ? Eh bien le problème est que nous sommes sur France Culture, que l'auditeur qui s'attend à apprendre quelque chose il se trouve confronté à des gens qui n'ont pas le moindre scrupule pour gloser sur ce qu'ils n'ont même pas fait l'effort de chercher à connaître. Ne pas connaître, c'est normal. Ne pas se renseigner a minima, c'est la faute. Combien de temps de préparation pour cette émission, Monsieur Dantzig ?

Bon. Pour être tout à fait franc, c'est pas toujours comme ça dans "Secret professionnel". L'émission contrairement à bien d'autres, ne s'évalue pas à ses invités et bien plus à ses sujets. Ca ne l'empêche pas d'être tout aussi inégale, parce que la clé de la qualité ici, c'est le degré de sérieux et d'efforts que le producteur engage dans sa préparation. Dantzig, hélas, ne se foule pas trop en cette troisième année. A mon goût le Secret professionnel avait pourtant bien démarré : sur la première année j'ai dû en conserver presque la moitié. Sur la deuxième, un tiers. Et la troisième ? On est bien partis pour faire moins d'un quart. Ca se tasse tout doucettement, comme le soin qu'y met le producteur, peut-être bien.



Dernière édition par Nessie le Jeu 08 Mai 2014, 13:39, édité 1 fois

Philaunet 

Philaunet
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9
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Marc Voinchet - Mer 05 Mar 2014, 09:18

Nessie, vous avez tort de contredire la parole inspirée de Gaëlle Michel, rédactrice sans pareille de « Au fil des ondes », le blog de France Culture. En effet, ce 5 mars, trop tard dans la nuit peut-être, à 1h56, vous postâtes une analyse de l'art de l'entretien radiophonique de Marc Voinchet dans Les matins de France Culture  dont j'extrais ceci :

Nessie a écrit: (...) Les universitaires invités, qu'en pensent-ils de ce guignol ? Ont-ils conscience d'être invités par une brèle qui ne comprendra pas les réponses qu'il vont lui faire à ses questions ou bien à celles que son équipe lui a préparées ?
(la différence entre les deux groupes de questions, c'est que les premières sont ineptes tandis que les secondes ont du sens et quelque pertinence).

Pitoyable.

Well, Gaëlle Michel ne partage pas tout à fait votre point de vue puisque,  présentant le contenu de la revue FCP 9, elle écrit ceci :

« Ce numéro 9 propose une autre rencontre d'exception, avec Marc Voinchet, producteur des "Matins de France Culture". Récent lauréat du Prix Philippe Caloni,  il nous raconte ses débuts à la radio. ».

Êtes-vous au moins abonné à cette revue ? Pour un auditeur au long cours et aussi passionné, ça s'impose...

Nessie 

Nessie

10
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Anattendant Alain Réné - Mer 05 Mar 2014, 17:01

Eh bien mon cher Phil' j'écouterai Marc Voinchet avec une oreille bienveillante quand il aura reçu le prix Bernard Pivot, mais pas avant, sacrebleu ! Ce prix dont l'organisation e tle financement sont actuellement à l'étude sera décerné une fois l'an à l'auteur de la vanne la plus lourdingue sur le mode nudge-nduge avec un grand prof ou un grand artiste ou mieux encore un grand politique "ake t'es mon copain, hein hein hein ?"

Pour le moment c'est avec une profonde affliction que j'écoute son hommage à Alain Réné, qui cloturait la matinale de lundi consacrée à la situation en Ukraine. C'est tellement affreux à entendre, comme parodie de radio culturelle, qu'au moment d'archiver la séquence j'hésite sur la destination : me voila incapable de choisir entre le sous-dossier 'Médaille d'or' et le sous-dossier 'Médaille de platine' sur mon disque dur esspécial repérable à au moins 10 m par un post-it où l'on peut lire même la nuit en lettres phosphorescentes "Horreur radiophonique" (et donc : danger !).

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Re: Des producteurs de France Culture -

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