Antoine Arnoux a écrit:Des fautes : « Il n’est donc pas question pour cette discipline de transformer les filles en garçons et les garçons en
fille. »
« (…) de manière encore plus
troublantes dans les expressions (...). »
« Car ce n’est pas parce qu’il n’y a pas
à proprement de ''théorie du genre'' (...). »
« (…) puisqu’il n’y pas de raison que le masculin l’
emportent sur le féminin (...) »
« (…) doivent-elles adopter une stricte neutralité relativement à ces questions et se garder de
ne rien projeter (...). » [Pauvre Bélise !]
«
Quoiqu’il en soit (...). »
« A moins que le neutre devienne, comme en
Allemand,(...). »
Des « phrases » : « Mais plutôt de s’interroger sur le bien ou le mal fondé [sic] des stéréotypes masculin/féminin. Sur la manière dont la différence physique visible entre les sexes a pu servir de prétexte à façonner des relations inégalitaires entre les hommes et les femmes.
Lesquelles sont d’ailleurs souvent inscrites dans le langage.
Exemple sous forme de question : (...). »
De la « pensée » :« Les parents, l’école et plus généralement la société doivent-ils - ou plutôt doivent-elles
puisqu’il n’y pas de raison que le masculin l’emportent [sic] sur le féminin - (...). » [l'anglicisme
genre (en français
genre ne signifie pas
sexe) favorise grandement cette confusion entre la grammaire et le sexe.]
http://www.franceculture.fr/emission-mot-a-mot-genre-2014-02-01