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Les sujets obsessionnels de France Culture (et ses icônes)    Page 26 sur 36

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Philaunet 


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Histoire de pommes - Ven 01 Mai 2020, 11:09

antonia(https://regardfc.1fr1.net/t735p240-les-sujets-obsessionnels-de-france-culture-et-ses-icones#35413) a écrit:Thoreau
Merci pour le lien vers la revue Atlantic rapportant l'étude de Thoreau sur les pommes sauvages.C'est tout à fait intéressant, très documenté.
Trouve t-on cette étude dans Walden(j'ai offert ce livre, mais je ne l'ai pas lu!)?
Chère Antonia, vous faites aussi partie des dames qui n'ont pas fini de lire (ou qui n'ont pas lu) le livre qu'elles recommandent ou offrent ? Smile Ces livres qu’on ne finit pas par une des plus sottes personnes qui ait jamais été employée à FC et pourtant avec Marie Richeux on était déjà servi !

Plaisanterie mise à part, voyez ce pdf WALDEN OU LA VIE DANS LES BOIS de 351 pages et appuyez touches Ctrl + F,  enfn mettre "pomme" dans la fenêtre de recherche pour voir où HDT en parle.

L'article mentionné ne se trouve pas dans la Bible de FC, que sans doute personne n'a lue chez les thuriféraires de "l'ermite", car il suffit de regarder la cabane (de l'extérieur, car on n'en voit jamais la douche ni le chauffage, pour l'hiver, car expérience personnelle, il fait plutôt froid dans le Masachussets en hiver, comptez moins dix à moins vingt ou moins encore) en se pâmant et de lire quelques citations via Google et le tour est joué.

Première mention page 48 : "où  les  pommes  de  terre  ne  gèleraient  pas  par n’importe quel hiver"
Puis page 58 ("une  petite  partie  de  pommes  de  terre,  maïs,  pois  et  navets.") et enfin la première mention significative de Malus domestica  page 83 que je vous laisse déguster (pour ma part je trouve le passage indigeste) :

"Qui    cet    homme  intempérant et brutal que nous voudrions racheter ? Quelqu’un éprouve-t-il   le   moindre   mal   l’empêchant   d’accomplir   ses   fonctions, ne ressent-il qu’une simple douleur d’entrailles, – car c’est  là  le  siège  de  la  sympathie, –  qu’il  se  met  sur  l’heure  en  devoir  de  réformer  –  le  monde.  En  sa  qualité  de  microcosme  lui-même, il découvre – et c’est là une vraie découverte, et il est l’homme  désigné  pour  la  faire  –  que  le  monde  s’est  amusé  à  manger des pommes vertes ; à ses yeux, en fait, le globe est une grosse  pomme  verte,  qu’il  y  a  un  affreux  danger  de  penser  que  les  enfants  des  hommes  puissent  grignoter  avant  qu’elle  soit  mûre ;  sur  quoi  voilà  sa  philanthropie  drastique  en  quête  des  Esquimaux   et   des   Patagons,   et   qui   embrasse   les   villages   populeux  de  l’Inde  et  de  la  Chine ;  ainsi,  en  quelques  années  d’activité   philanthropique,   les   puissances,   dans   l’intervalle,   usant  de  lui  en  vue  de  leurs  propres  fins,  pas  de  doute,  il  se  guérit  de  sa  dyspepsie,  le  globe  acquiert  un  semblant  de  rouge  sur une ou les deux joues, comme s’il commençait à mûrir, et la vie  perdant  de  sa  crudité  est  une  fois  encore  douce  et  bonne  à  vivre. Je n’ai jamais rêvé d’énormités plus grandes que je n’en ai commises.   Je   n’ai   jamais connu,   et   ne   connaîtrai   jamais, d’homme pire que moi."

Pour qui penserait à tort que la traduction ne flatte pas l'original consulter la page 121 de l'édition Penguin American Library, par exemple. On a vu plus clair prosateur...

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Lundi, coché, mardi aussi, et mercredi, c'est fait. - Mer 13 Mai 2020, 10:34

Philaunet(https://regardfc.1fr1.net/t30p180-la-question-merite-d-etre-posee#35501) a écrit:la psychanalyste... (de psy, on a eu Cixous lundi, Fleury aujourd'hui, et demain ?) (...)
"Demain" étant devenu aujourd'hui, la réponse est Philippe Cabestan (Nouveaux Chemins 13/05/2020).

Professeur en Classes Préparatoires au Lycée Janson de Sailly à Paris et président de l'Ecole Française d'analyse existentielle ou Daseinsanalyse

Recherche = École Française d’Analyse et de Thérapie existentielles [Logothérapie] V. Frankl
"L'Ecole Française d'analyse existentielle et de logothérapie  a été fondée en 2012, afin d'assurer la transmission de la pensée philosophique et clinique de Viktor Frankl, pionnier de la ''troisième école viennoise de psychothérapie'', en regard des deux premières écoles historiques: la psychanalyse de Freud et  la psychologie individuelle d'Adler."

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En trois mots France Culture trahit son idéologie - Jeu 14 Mai 2020, 08:57

1/ Les femmes

Sandrine Treiner, la directrice de la station,  est une féministe militante, elle l'a dit, elle le montre par ses engagements, elle a transformé l'antenne en tribune permanente de sa cause.

2/ Changer

Il n'échappe à personne que la station promeut le changement du matin au soir (sauf à l'endroit de Radio France). Le changement, c'est le mantra de France Culture. En divers endroits de ce forum (ici, ou ) on a fait une liste des termes employés quotidiennement : refonder, réinventer, rebâtir, reconstruire, repenser (inusable), recomposer, rebâtir,  etc.

3/ Tout

Tout = la société, le monde, la Terre, l'homme. Une moindre échelle, France Culture ne prend pas. La station est une inconditionnelle de la globalité, de la totalité abstraite.

Aussi, le titre de la série d'émissions de 2019 rediffusées cette semaine, Les femmes changent tout * est-il l'incarnation de l'esprit et du projet idéologique de la station parisienne.

Paradoxalement, la station, d'universelle qu'elle a été, est devenue partisane, locale, pauvre et étriquée. L'humanité réduite aux différences de sexe et focalisée sur un seul ; le changement qui est un bref présent contre le legs de milliers d'années d'histoire humaine ; "tout", un indéterminé qui autorise de délirants plans sur la comète, au lieu des multiples domaines du savoir et de l'expérience qui méritent une attention précise sans que soit déduit de chaque mouvement un geste... pour la planète.

* La description du projet dont on se demande comment ses termes ont pu être validés sans causer rire ou malaise :
"À propos de la série : Le féminisme semble encore à certains une question parmi d’autres. En fait, elle change tout. Cette question traverse tous les domaines, y sert de critère, pour des avancées, des régressions. Ce n’est pas un égarement passager, mais une boussole générale. Et ce n’est pas seulement  ''le féminisme'', mais les femmes, concrètement, partout, qui changent tout. (...)"

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Féminisme (1) - Sam 16 Mai 2020, 09:35

L'antenne, les canaux d'information de la station, tout est saturé de féminisme, d'annonces caricaturales, non étayées, un bourrage de crâne permanent :

Les sujets obsessionnels de France Culture (et ses icônes) - Page 26 Scre1065

Il y a peu, une employée de micro à FC étalait sa nouvelle passion pour le nettoyage, le rangement et le repassage... Femme Actuelle, France Culture, quoi !

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Féminisme [2] - Mer 20 Mai 2020, 09:22

Mince ! Le message ci-dessus a été sélectionné par l'algorithme pour figurer en "Regard choisi" (en plus il déborde sur la page d'accueil sur certains navigateurs, mais on a déjà signalé qu'on ne peut rien faire). Il indique "Féminisme [1]" ce qui implique un [2] que je n'avais plus envie de faire. Mais voilà, il faut être un minimum cohérent (et entendre les remarques du contributeur  F :  vous écrivez "à suivre", et il n'y a jamais rien qui suit !).

Donc [2]. Le début de la semaine dernière avait été marqué par le sempiternel refrain "Vous reprendrez bien un peu de psychanalyse".

Puis toute la semaine a été irriguée par :
Matières à penser "Les femmes changent tout" (5 X 45')
et
L'Invité(e) des Matins (2ème partie)  "Lutte contre le Covid-19 : les femmes en première ligne ? "

Enfin  il y a tous ces noms quotidiens dont les propos sont d'ailleurs aussi creux que ceux de leurs homologues masculins (les invités s'adaptent à leurs interlocuteurstrices...)
Sonia Wieder-Atherton : "La culture nous aide à changer, à nous adapter quand la vie nous force"
Cristina Comencini : "Le roman, c’est la possibilité d’ouvrir une fenêtre sur l’intérieur"
Jeanne Balibar : "Faire semblant, c'est un passeport pour la nullité"
Claire Simon : "La caméra est le seul moyen que j'ai trouvé pour avoir du pouvoir en tant que femme"

Et grande question du dimanche : Le féminisme islamique est-il oxymorique ?

France Culture aime diviser l'humanité et porter un jugement essentialiste sur les catégories. Comme c'est dommage et dommageable ! Quand on écoute Bridget Kendall (The Forum) sur le World  Service de la BBC et Jim Al-Khalili (The Life Scientific) sur BBC 4, on ne s'interroge pas sur le sexe de chacun, on entend des personnes qui font honneur à leur profession.

Quand on entend l'exceptionnelle Eleonore Büning ( Podcast Ludwig van Beethoven) sur Radio Berlin-Brandenburg ou le puits de savoir, polyglotte et pilier de France Musique, François-Xavier Szymczak, on entend des personnes de haut niveau, pas des "D'abord, femme" et des "Faut bien, homme".

La division, séparation, opposition qu'opère France Culture via sa directrice féministe est contre-productive en cela qu'on se demande pour quelle autre raison que le fait d'être du sexe féminin certaines personnes sont invitées, employées à l'antenne ou dans les équipes. La pertinence intellectuelle, la maturité et le professionnalisme ne semblent en effet pas les critères premiers des choix et du recrutement.

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''Dernier demain'', un titre estampillé France Culture - Ven 29 Mai 2020, 10:03

Une certaine image de l'homme diffusée quotidiennement sur les ondes de la station culturelle : "le personnage retrace le parcours de sa vie, de son écriture, entre rêve et cauchemar, comme autant de pièces de casse-tête : le père violent, l’enfance misérable, l’amour qui illumine et sauve, la fuite en avant, l’exil, intérieur ou extérieur… "

Hors "père violent et enfance misérable", point de salut à France Culture.

"Dernier demain", une autofiction qui fleure bon l'apocalypse et la déchéance. What else?! Pour la photo du jeune cadre en chemise rosée pour illustrer "l’homme brûlé", c'est par ici.

Sinon vous reprendrez bien une louche de "plus rien" :

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Heureusement que nous avons le Feuilleton pour considérer la vie du bon côté :

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Résistance, lutte, dernière chance, le vocabulaire de France Culture - Mar 02 Juin 2020, 09:58

Un titre qui fleure bon la réjouissance face au malheur (la mort des autres considérée comme profit) :

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Un autre titre qui ne trompe personne quant à l'actualisation souhaitée du "Tous ensembleu, tous ensembleu" dans les défilés avec banderoles. Quand la station ne présente-t-elle pas la "la lutte" comme le nec plus ultra de la morale et n'y appelle-t-elle pas sous des titres subliminaux (à défaut d'être sublimes) ?

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Prendre ses désirs malsains pour des réalités - Sam 13 Juin 2020, 19:25

Youpi !

Petite annonce sur Twitter de la jeune employée responsable du service :

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Quelques individus (h/f) de la station publique se la jouent prophètes de malheur avec joie malsaine et gourmandise, et donc page d'accueil (on notera le "de tous les temps" !) :

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Quand est-ce qu'un responsable, un groupe d'influence, va-t-il mettre un terme à la transformation de la station en secte apocalyptique ?

Et pendant ce temps-là des domaines entiers du savoir et de la création sont ignorés, des personnes exceptionnelles jamais interviewées, leur travail et leur art jamais documenté ni offert au public curieux. L'entomologie ?  Il faut aller voir ailleurs, cf. Papillons de nuit, une passion vivante. Ou suivre, mais sans la voix des passeurs passionnés, les informations des sites dédiés. Faire un documentaire au Muséum d'histoire naturelle avec un directeur de collection ? L'idée est à faire suivre au ministère ou ailleurs, mais hors Radio France. En effet, le dialogue avec France Culture et en général avec Radio France est plombé, verrouillé par la cellule de communication dite "Service de médiation" qui a pour but de défendre les intérêts de l'organisme public occupé par une caste contre toute réforme et toute remise en question programmatique et déontologique, alors...

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Re: Les sujets obsessionnels de France Culture (et ses icônes) - Mer 17 Juin 2020, 20:16

Comme ce forum le signale depuis des années, France Culture est elle-même un "superfail", un échec majeur en matière de transmission et de création. Les employés de la station et leur direction l'ignorent (ce n'est pas si sûr) car ils n'ont ni les moyens linguistiques ni la curiosité intellectuelle de comparer avec d'autres services publics, européens par exemple.

Ci-dessus, on a vu comment une employée dresse un tableau apocalyptique de l'avenir. Un grand plaisir visiblement. Par ailleurs, un exercice qui ressemble férocement à un devoir de lycée, fautes incluses, mais passons. Et venons-en (toujours au risque de lasser) à l'un de ces produits de la grille et du site fc.fr se complaisant à relayer les plus noires des plus noires prophéties. Il n'est pas difficile de trouver ces commentateurs en France ou à l'étranger, ce sont des "politistes". Qui n'est pas politiste de nos jours ?  À France Culture, tout le monde l'est. Bref, Emmanuel Laurentin nous a trouvé un certain Christopher Bickerton pour pouvoir publier ceci :

"Cette vie entre deux mondes est caractérisée principalement par un sentiment d’incertitude et de doute vis-à-vis l’avenir. Nous avons tous une épée de Damoclès au-dessus la tête, la crainte que le virus revienne sous forme de ''deuxième vague''. "

et cela :

"Pour certains, un tel retour signifierait se retrouver au chômage ou souffrir de la liquidation de pans entiers de l’activité économique. Pour les enfants, ce serait encore une rupture dans leur vie sociale. Et pour les plus âgés, la peur, à nouveau, d’être touchés par un virus qui pourrait être encore plus dangereux qu’auparavant."

Tous aux abris ! Tous les employés de FC sont au garde-à-vous, prêts à relayer toutes les formes d'apocalypse possibles. Cela correspond tellement au paradigme psychique développé depuis plusieurs années à l'antenne. Un régal, quoi. Le réel ? Peu importe. Il faut bavarder à l'infini pour brasser du vent mauvais. Le problème : c'est réalisé et diffusé avec les moyens du service public et non avec ceux d'un parti politique, d'une ONG ou d'une secte.  

Il y a 650 000 morts en temps normal en France chaque année, soit environ 1600 par jour. Mais les journaux, dont FrCult, font de gros titres avec 30, 50 ou 100 morts quotidiens du Covid et prédisent la fin du monde avec une joie gourmande. Car le "monde d'après" (dans une cabane sur le modèle de Thoreau, mais sans les moustiques si possible et avec un dentiste et des analgésiques modernes à proximité), le monde d'après a des attraits merveilleux : tout le monde vivra en harmonie dans l'égalité et le loisir permanent.

Et pendant que la petite équipe parisienne rêve et diffuse ses fantasmes ? Eh bien, 24h sur 24h des avions survolent les océans, des sous-marins croisent au fond des mers, avec des ogives nucléaires pour protéger le pays de potentielles guerres. Mais tout ça est bien peu "glamour" pour nos sociopo parisiens de la Maison de la radio, et c'est surtout trop complexe. Ils préfèrent appeler à la fin du monde libéral qui leur offre bien-être matériel, sécurité et liberté.

Coronavirus, une conversation mondiale [17/06/2020]

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Radio et direction monomaniaques - Lun 06 Juil 2020, 09:45

La dérive militante de France Culture se poursuit en été, exemple cette soirée du lundi 6 juillet successivement :

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En 1980 [Françoise Héritier] devient directrice d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales. Son champ de recherche sociale porte notamment sur la domination masculine, les systèmes de parenté et la prohibition de l'inceste.

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La vie et l’œuvre de cette grande romancière et intellectuelle américaine ne parlent que de cela : être noir aux Etats-Unis, l’esclavage  et le  racisme  au  cœur  de  la  société  et  de  l’identité  américaine. Retour sur une œuvre terriblement contemporaine.

Les sujets obsessionnels de France Culture (et ses icônes) - Page 26 Scre1272
Avignon 2020 |Edna O Brien est allée à la rencontre au Nigéria de jeunes lycéennes rescapées des enlèvements de Boko Haram. Elle en a ramené un texte dans lequel elle fait entendre la voix d’une seule jeune fille, Miriam, symbole de toutes les jeunes filles violentées et séquestrées par par les djihadistes.

En début d'après-midi on aura eu :

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Lena travaille dans le centre d’appel d’une grande mutuelle d’assurance. Depuis l’intervention d’une société de conseil en management, les conditions de travail s’y sont terriblement dégradées, en même temps qu’est apparue une optimisation maximale de tout. Alors, Lena a claqué la porte.

Le matin :

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Pour ouvrir la semaine "Un rêve d'Avignon", la cantatrice américaine Barbara Hendricks lira une adaptation de "Girl", le roman d'Edna O'brien. Entretien avec une artiste engagée.

On attend "avec impatience" le nom de la personne invitée pour  "Les Masterclasses émission du lundi 06 juillet 2020"...

Bref, une radio dont l'ouverture ressemble plutôt au champ de vision d'un cheval avec œillères et qui ne dissimule pas son entreprise militante.

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Récapitulatif hebdomadaire : 22 contributions du lundi 29 juin au dimanche 5 juillet 2020 (semaine 27)

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Pas de répit en été, France Culture toujours plus militante politique - Ven 10 Juil 2020, 14:57

En Une de la page d'accueil les deux premiers sujets, mais non, pas du tout obsessionnels féminisme/discrimination :

Les sujets obsessionnels de France Culture (et ses icônes) - Page 26 Scre1295

et au programme du jour (entre autres...) :

Les sujets obsessionnels de France Culture (et ses icônes) - Page 26 Scre1296

Puis deux sujets suivants, pas du tout obsessionnels anticapitaliste/"colère" sociale :

Les sujets obsessionnels de France Culture (et ses icônes) - Page 26 Scre1294

La Une de France Culture ou celle d'un journal politique d'extrême-gauche, quelle différence ?

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