Les universités populaires, d’hier à aujourd’hui Conférence de l'université populaire 2016/2017
17/10/2017 (mis à jour le 22/09/2017 à 10:05) [dates intéressantes à comparer]
La première décennie du XXIe siècle a vu fleurir les « UP » en France. Certaines véhiculent des convictions politiques, telles celles de Nîmes ou d’Amiens, dans une proximité affichée avec Attac. D’autres sont adossées à des institutions : l’UP du Havre est « portée » par l’université locale et une scène nationale ; celle du Musée du quai Branly, bénéficiant d’emblée de l’aura du lieu, accueille des invités hors du commun. Ici et là, l’accent est mis sur le savoir. D’autres encore se réfèrent à un héritage pédagogique et républicain, telle celle de Narbonne. Il y a aussi les UP réunies dans l’AUPF (association des universités populaires de France), certaines fort anciennes, dotées d’appellations diverses. Partout, donc, des UP, dissemblables. Au XIXe siècle, elles répondaient à un souci d’éducation populaire des classes laborieuses. Quels sont, aujourd’hui, leurs enjeux ?
Gérard Poulouin, anciennement enseignant, syndicaliste, est le cofondateur de l’Université populaire de Caen. Il a dirigé l’ouvrage collectif Universités populaires, hier et aujourd’hui (2012).
Les quatre suggestions d'écoute automatiquement générées par le sujet de la page (pourquoi les trois premières ?) :
Les utopies réelles, en lieu et place de la Révolution
Les sept péchés capitaux de la sociologie : une vieille histoire
Les frontières intérieures de la République
La Corée du Nord entre mythes et réalités - Conférence de l'université
Pour qui s'intéresse aux contenus variés d'une Université Populaire, je conseille de parcourir le livret de l'Université Populaire Européenne (Cliquer UPE 2017-2018]
Pour la mycologie, c'est page 43...
17/10/2017 (mis à jour le 22/09/2017 à 10:05) [dates intéressantes à comparer]
La première décennie du XXIe siècle a vu fleurir les « UP » en France. Certaines véhiculent des convictions politiques, telles celles de Nîmes ou d’Amiens, dans une proximité affichée avec Attac. D’autres sont adossées à des institutions : l’UP du Havre est « portée » par l’université locale et une scène nationale ; celle du Musée du quai Branly, bénéficiant d’emblée de l’aura du lieu, accueille des invités hors du commun. Ici et là, l’accent est mis sur le savoir. D’autres encore se réfèrent à un héritage pédagogique et républicain, telle celle de Narbonne. Il y a aussi les UP réunies dans l’AUPF (association des universités populaires de France), certaines fort anciennes, dotées d’appellations diverses. Partout, donc, des UP, dissemblables. Au XIXe siècle, elles répondaient à un souci d’éducation populaire des classes laborieuses. Quels sont, aujourd’hui, leurs enjeux ?
Gérard Poulouin, anciennement enseignant, syndicaliste, est le cofondateur de l’Université populaire de Caen. Il a dirigé l’ouvrage collectif Universités populaires, hier et aujourd’hui (2012).
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Pour la mycologie, c'est page 43...