Coincidence ? Le même jour, il y avait pourtant quasi un autre "Une vie une oeuvre", quelques heures plus tard et sous un autre titre : François Truffaut.
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Une vie une oeuvre / Mardi des auteurs Page 8 sur 12
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71Pendant le foutage de gueule, le foutage de gueule continue - Jeu 06 Nov 2014, 00:12
Samedi 1er novembre on ne sait pas très bien si Martin Quénéhen se fout un tout petit peu de la gueule du monde ou bien s'il a servilement obéi au boss de la station Olivier Poivre d'Arvor. D'ailleurs l'un n'empêche pas l'autre. En tous cas, ce qu'on sait c'est que ledit Poivre lui se fout ouvertement de la vocation de la chaine qu'il transforme chaque année un peu plus en agence idéologique et en succursale de Terra Nova. Résultat : le Une vie une oeuvre du samedi 1er novembre dévolu à un personnage spécialement symbolique, la mûlatresse Solitude (et pourquoi pas Le soldat inconnu, au fait ? ) certes dotée du profil idéal pour faire reluire le paradigme idéologique de la maison. Avec l'inénarrable Louis-Georges Tin. On prévoit pour la prochaine journée festive : "Une mort, une oeuvre - Clément Méric"
Coincidence ? Le même jour, il y avait pourtant quasi un autre "Une vie une oeuvre", quelques heures plus tard et sous un autre titre : François Truffaut.
Coincidence ? Le même jour, il y avait pourtant quasi un autre "Une vie une oeuvre", quelques heures plus tard et sous un autre titre : François Truffaut.
Nessie
722 bons numéros : Rodin, Maurice Leblanc - Mar 02 Déc 2014, 22:53
Depuis ce mémorable foutage de gueule des auditeurs, on a pu remarquer 2 numéros fidèles à la facture classique de la série, signés par des producteurs confirmés et peu suspects de compromission avec les forces de l'ignaritude qui contraignent le programme :
- Le 15 novembre, Auguste Rodin par Françoise Estèbe.
- Et le 29 novembre pour achever une semaine désespérément fertile, un Maurice Leblanc par François Caunac, avec lectures de Dgeorges Claisse pour faire plaisir à Philaunet
- Le 15 novembre, Auguste Rodin par Françoise Estèbe.
- Et le 29 novembre pour achever une semaine désespérément fertile, un Maurice Leblanc par François Caunac, avec lectures de Dgeorges Claisse pour faire plaisir à Philaunet
Nessie
73J.R.R. Tolkien (1892-1973) - Lun 29 Déc 2014, 14:04
Saisissons l'occasion du numéro de ce 6 décembre pour donner une série de tuyaux, tous sur Tolkien.Et en premier lieu puisque j'ai choisi ce fil, pour signaler le passage à FC de Lydia Ben Ytzhack qu'on aimerait bien y retrouver plus fréquemment. Elle signe un Une vie une oeuvre sur Tolkien, 15 ans après celui de Michel Cazenave où l'on entendait entre autres Jacques Goimard, invité intermittent de Mauvais Genre.
Mauvais Genre justement, où l'on a pu entendre récemment un 135 minutes consacré au même Tolkien, qui faisait suite à un samedi noir pas noir du tout et fort plaisant : une lecture assez réussie à mon sens, d'extraits de la correspondance de Tolkien. Voici les deux liens vers cette soirée du 13 décembre, total 180 minutes :
- La lecture
- Mauvais genre où l'on retrouve Vincent Ferré, le maître d'oeuvre de la lecture de 21h
Tolkien est assez bien servi sur France Culture. Voici quelques références récentes et encore disponibles pour ceux qui aiment pratiquer l'écoute à volonté :
- Urgence : il n'y a plus que quelques jours pour écouter (et éventuellement capturer) ce numéro des Chemins de la connaissance où, le 28 mars 2012 Adèle van Reeth minait une fois de plus le chemin avec ses bombes à eau tiède explosant ça et là entre deux propos des invités. Les plus courageux des auditeurs extrairont quelques moments intéressants de ces nuages d'abstraction vaporeuse. Hélas on n'évitera pas le procès fait au réactionnaire Tolkien (un des deux invités va jusqu'à s'excuser de présenter un argument à décharge !), ni la référence au nazisme toutefois surprenante je ne vous en dis pas plus. Clickez ici pour lancer directement l'écoute par le player
- Tire ta langue : Antoine Perraud reçoit Edouard Cloczko pour traiter du Haut-elfique, c'était le 21 octobre 2012, il est donc encore disponible pour un peu plus de 6 mois. Ce numéro n'atteint pas des sommets de finesse mais comme il se maintient à un niveau honnête il mérite d'être conservé, notamment si vous êtes intéressé par les langues imaginaires.
Enfin il faut signaler le feuilleton du 1 au 5 juillet dernier, d'où était tirée la lecture du samedi 13 : pages arrachées à la correspondance de Tolkien. Par Blandine Masson et Jacques Taroni. Probablement la meilleure référence de tout ce message. La présentation disait : "France Culture vous propose de découvrir l'écrivain britannique J.R.R. Tolkien (1892-1973) à travers sa correspondance. Professeur à Oxford et auteur d'une oeuvre critique et fictionnelle gigantesque, Tolkien est trop souvent réduit aux seuls Seigneur des Anneaux et Hobbit. S'il est bien question, dans ce feuilleton, du grand cycle de la Terre du Milieu, de sa genèse, de son évolution imprévue et de son lien avec les langues que ce philologue réputé inventait par amour des mots, le choix d'extraits de ses Lettres entend dépasser une certaine image d'Épinal : celle de l'auteur de fantasy, perçue comme une évasion dans un monde imaginaire. Il s'agira de faire découvrir la cohérence de son oeuvre, jusque dans les textes moins connus (Le Silmarillion, ses nouvelles), ainsi que la pertinence de son projet, qui entendait utiliser le merveilleux et le "conte de fées " pour saisir le monde. Sans omettre le versant plus personnel de cette correspondance, adressé à sa famille et à ses proches, premiers lecteurs de son oeuvre.
- 1er épisode : Le haut-elfique de Tolkien du 1er juillet
- Episode 2 : Inventer des histoires et des langues du 2 juillet
- Episode 3 : Le merveilleux, la fantaisie et le conte de fée du 3 juillet
- Episode 4 : L'oeuvre de Tolkien du 4 juillet
- Episode 5 : Le seigneur des anneaux du 5 juillet
Mauvais Genre justement, où l'on a pu entendre récemment un 135 minutes consacré au même Tolkien, qui faisait suite à un samedi noir pas noir du tout et fort plaisant : une lecture assez réussie à mon sens, d'extraits de la correspondance de Tolkien. Voici les deux liens vers cette soirée du 13 décembre, total 180 minutes :
- La lecture
- Mauvais genre où l'on retrouve Vincent Ferré, le maître d'oeuvre de la lecture de 21h
Tolkien est assez bien servi sur France Culture. Voici quelques références récentes et encore disponibles pour ceux qui aiment pratiquer l'écoute à volonté :
- Urgence : il n'y a plus que quelques jours pour écouter (et éventuellement capturer) ce numéro des Chemins de la connaissance où, le 28 mars 2012 Adèle van Reeth minait une fois de plus le chemin avec ses bombes à eau tiède explosant ça et là entre deux propos des invités. Les plus courageux des auditeurs extrairont quelques moments intéressants de ces nuages d'abstraction vaporeuse. Hélas on n'évitera pas le procès fait au réactionnaire Tolkien (un des deux invités va jusqu'à s'excuser de présenter un argument à décharge !), ni la référence au nazisme toutefois surprenante je ne vous en dis pas plus. Clickez ici pour lancer directement l'écoute par le player
- Tire ta langue : Antoine Perraud reçoit Edouard Cloczko pour traiter du Haut-elfique, c'était le 21 octobre 2012, il est donc encore disponible pour un peu plus de 6 mois. Ce numéro n'atteint pas des sommets de finesse mais comme il se maintient à un niveau honnête il mérite d'être conservé, notamment si vous êtes intéressé par les langues imaginaires.
Enfin il faut signaler le feuilleton du 1 au 5 juillet dernier, d'où était tirée la lecture du samedi 13 : pages arrachées à la correspondance de Tolkien. Par Blandine Masson et Jacques Taroni. Probablement la meilleure référence de tout ce message. La présentation disait : "France Culture vous propose de découvrir l'écrivain britannique J.R.R. Tolkien (1892-1973) à travers sa correspondance. Professeur à Oxford et auteur d'une oeuvre critique et fictionnelle gigantesque, Tolkien est trop souvent réduit aux seuls Seigneur des Anneaux et Hobbit. S'il est bien question, dans ce feuilleton, du grand cycle de la Terre du Milieu, de sa genèse, de son évolution imprévue et de son lien avec les langues que ce philologue réputé inventait par amour des mots, le choix d'extraits de ses Lettres entend dépasser une certaine image d'Épinal : celle de l'auteur de fantasy, perçue comme une évasion dans un monde imaginaire. Il s'agira de faire découvrir la cohérence de son oeuvre, jusque dans les textes moins connus (Le Silmarillion, ses nouvelles), ainsi que la pertinence de son projet, qui entendait utiliser le merveilleux et le "conte de fées " pour saisir le monde. Sans omettre le versant plus personnel de cette correspondance, adressé à sa famille et à ses proches, premiers lecteurs de son oeuvre.
- 1er épisode : Le haut-elfique de Tolkien du 1er juillet
- Episode 2 : Inventer des histoires et des langues du 2 juillet
- Episode 3 : Le merveilleux, la fantaisie et le conte de fée du 3 juillet
- Episode 4 : L'oeuvre de Tolkien du 4 juillet
- Episode 5 : Le seigneur des anneaux du 5 juillet
Dernière édition par Nessie le Lun 16 Fév 2015, 13:26, édité 1 fois
Invité
Invité
74« Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! » - Sam 24 Jan 2015, 17:10
« Qui n’a jamais rêvé d’être ou de voir Jimi Hendrix, sur scène en plein solo de guitare, quelques minutes dans sa vie ? »
Moi !
http://www.franceculture.fr/emission-une-vie-une-oeuvre-jimi-hendrix-2015-01-24
Moi !
http://www.franceculture.fr/emission-une-vie-une-oeuvre-jimi-hendrix-2015-01-24
masterkey
Admin
75http://www.franceculture.fr/sites/default/files/imagecache/ressource_full/2015/02/13/5000435/Pierre%20de%20Fermat.jpg|masterkey|Fermat - Lun 16 Fév 2015, 22:30
Ce numéro d'Une vie une oeuvre sur Pierre de Fermat s'écoute bien, c'est même du très bon France Culture. Virgine Bloch-Lainé a bien dosé les temps consacrés à la vie de Fermat, au contexte historique et au "grand" théorème écrit sur une marge. Dominique Lecourt et les autres intervenants donnent à comprendre le noeud que constitue cette période de bascule.
Bien dosée également la technicité du numéro, qui ne lâchera personne en route mais donnera par exemple à comprendre le chemin qui mène de Pythagore à Diophante, jusqu'au plus connu des théorèmes de Fermat.
Seul reproche : la durée deux fois trop courte de l'émission.
A noter, Fermat échappe pour l'instant au format BD sur la page de l'émission.
Bien dosée également la technicité du numéro, qui ne lâchera personne en route mais donnera par exemple à comprendre le chemin qui mène de Pythagore à Diophante, jusqu'au plus connu des théorèmes de Fermat.
Seul reproche : la durée deux fois trop courte de l'émission.
A noter, Fermat échappe pour l'instant au format BD sur la page de l'émission.
Nessie
76Re: Une vie une oeuvre / Mardi des auteurs - Sam 14 Mar 2015, 16:43
Comment expliquer que par sa facture le Une vie une oeuvre de cette semaine nous renvoie 20 ans en arrière, ou au moins 15 ans ? Est-ce parce qu'il est confié à une documentariste (Monette Berthommier) de retour dans les studios après 10 ans d'absence ? Est-ce que par hasard Martin Quénéhen aurait passé la main ?
Ni l'un ni l'autre. La raison en est que nous écoutons en ce moment un Une vie une oeuvre de la période Michel Cazenave : le document date du 29 février 2004. Il durait donc initialement 85 minutes. Pour le faire entrer au chausse-pied dans la case-croupion que lui laisse France Culture, il a fallu l'amputer d'un tiers. La page de l'émission sur le site de FC ne vous en dit rien. France Culture cache toutes ses saletés sous le tapis comme Voinchet range ses larcins sous le sapin.
Ni l'un ni l'autre. La raison en est que nous écoutons en ce moment un Une vie une oeuvre de la période Michel Cazenave : le document date du 29 février 2004. Il durait donc initialement 85 minutes. Pour le faire entrer au chausse-pied dans la case-croupion que lui laisse France Culture, il a fallu l'amputer d'un tiers. La page de l'émission sur le site de FC ne vous en dit rien. France Culture cache toutes ses saletés sous le tapis comme Voinchet range ses larcins sous le sapin.
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A l'intention de ceux qui prennent mon pseudonyme pour un bouclier : mon identité n'est ni affichée ni dissimulée.
Pour la trouver il suffit de suivre le fil de mon profil.
Nessie
77Re: Une vie une oeuvre / Mardi des auteurs - Sam 11 Avr 2015, 16:16
Ce samedi le niveau de Une vie une oeuvre, je vous jure c'est croquignolet.
Sujet : Une vie une oeuvre de Cléopatre.
Au bout de 15 minutes on reste focalisé sur l'imaginaire de la sexualité du personnage. Le problème n'est pas que ça puisse être choquant, évidemment. Le problème est que c'est historiquement nul et culturellement nullissime. Surtout quand on donne le micro à des gens qui disent eux-même ne rien connaitre du sujet, ce qui est le cas.
Et c'est signé Martin Quénéhen.
Comment voulez-vous qu'avec des incultes pareils France Culture fasse de la culture ? C'est tout simplement impossible.
Sujet : Une vie une oeuvre de Cléopatre.
Au bout de 15 minutes on reste focalisé sur l'imaginaire de la sexualité du personnage. Le problème n'est pas que ça puisse être choquant, évidemment. Le problème est que c'est historiquement nul et culturellement nullissime. Surtout quand on donne le micro à des gens qui disent eux-même ne rien connaitre du sujet, ce qui est le cas.
Et c'est signé Martin Quénéhen.
Comment voulez-vous qu'avec des incultes pareils France Culture fasse de la culture ? C'est tout simplement impossible.
Dernière édition par Nessie le Sam 02 Mai 2015, 19:20, édité 1 fois
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Nessie
78Re: Une vie une oeuvre / Mardi des auteurs - Sam 02 Mai 2015, 18:48
Les veinards aujourd'hui sont ceux qui avaient ce matin une ou deux semaines de retard dans leur écoute suivie de Une vie une oeuvre. En ce samedi 2 mai ils ont le choix entre :
- un numéro instructif, où l'on cherche l'oeuvre mais où l'on peut au moins découvrir un personnage : Calouste Gulbenkian, par Elise Gruau.
- un peu de courage pour passer les premières minutes du Glenn Gould de Laure Limongi livré samedi dernier. Il n'est pas impossible que ça s'arrange même si arrivé à la 14e minute j'ai encore de sérieux doutes surtout qu'on y entend Albane Pénaranda sur un strapontin.
- Dgeorges Courteline à condition de changer de créneau ou de reculer sa montre de 6h et on n'y sera pas volé : en passant par ici pour en savoir plus.
- un numéro instructif, où l'on cherche l'oeuvre mais où l'on peut au moins découvrir un personnage : Calouste Gulbenkian, par Elise Gruau.
- un peu de courage pour passer les premières minutes du Glenn Gould de Laure Limongi livré samedi dernier. Il n'est pas impossible que ça s'arrange même si arrivé à la 14e minute j'ai encore de sérieux doutes surtout qu'on y entend Albane Pénaranda sur un strapontin.
- Dgeorges Courteline à condition de changer de créneau ou de reculer sa montre de 6h et on n'y sera pas volé : en passant par ici pour en savoir plus.
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Nessie
79Re: Une vie une oeuvre / Mardi des auteurs - Sam 16 Mai 2015, 15:05
Très déçu par le programme de "Une vie une oeuvre" en ce samedi de cinéma cannois.
Au vu de la tournure prise par le programme Martin Quénéhen depuis 2 saisons, j'attendais un "Une vie une oeuvre - Chuck N0rris".
Mais comme Martin Quénéhen sous ses dehors audacieux est un froussard de première en plus d'être un inculte à 5 étoiles, nous aurons seulement "Une vie une oeuvre - Bruce Iee". Et même pas certain d'avoir en extrait le formidable numéro de mise à sac du bureau du détective dans un "Marlowe" joué par Jəmes Garner (d'après Chandler of course), avec en point final le déglingage du plafonnier à 2m50 par un assez beau coup de pied en extension ma foi du petit gardon mesurant 1m60.
Je rêve d'un Bruce Iee contemporain faisant la même farce à Martin Quénéhen et à Olivier Poivre d'Arvor, et subitement me revient le titre français du film : "La valse des truands". Pure association d'idées...
Au vu de la tournure prise par le programme Martin Quénéhen depuis 2 saisons, j'attendais un "Une vie une oeuvre - Chuck N0rris".
Mais comme Martin Quénéhen sous ses dehors audacieux est un froussard de première en plus d'être un inculte à 5 étoiles, nous aurons seulement "Une vie une oeuvre - Bruce Iee". Et même pas certain d'avoir en extrait le formidable numéro de mise à sac du bureau du détective dans un "Marlowe" joué par Jəmes Garner (d'après Chandler of course), avec en point final le déglingage du plafonnier à 2m50 par un assez beau coup de pied en extension ma foi du petit gardon mesurant 1m60.
Je rêve d'un Bruce Iee contemporain faisant la même farce à Martin Quénéhen et à Olivier Poivre d'Arvor, et subitement me revient le titre français du film : "La valse des truands". Pure association d'idées...
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Philaunet
Admin
80Bruce Lee vs d'Arvor - Dim 17 Mai 2015, 19:37
Nessie a écrit:(...) même pas certain d'avoir en extrait le formidable numéro de mise à sac du bureau du détective dans un "Marlowe" joué par Jəmes Garner (d'après Chandler of course), avec en point final le déglingage du plafonnier à 2m50 par un assez beau coup de pied en extension ma foi du petit gardon mesurant 1m60. (...)
Si, si, Nessie, le voici le Bruce Lee furieux
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/05/s20/NET_FC_e2e0bfae-b2ee-41fb-8e27-eb42a25c3a58.mp3" debut="24:52" fin="25:47"]
Je m'étonne quand même que dans cette émission de la radio culturelle, aucune mention n'ait été faite de ceci : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/05/s20/NET_FC_e2e0bfae-b2ee-41fb-8e27-eb42a25c3a58.mp3" debut="27:52" fin="28:17"]
à savoir les effets sonores qui sont certainement l'essentiel de l'excitation ressentie en regardant ces films et ici en les écoutant. Pourquoi ne pas avoir réfléchi à la scénarisation sonore, ni avoir interrogé des techniciens du son de la célèbre et unique Maison Radio France ?
C'est une lacune dans une émission qui s'écoute avec grand intérêt du fait des invités, notamment de Bernard Benoliel, auteur d'Opération Dragon (Yellow Now) qui fait d'intéressantes interprétations.
J'ai aimé ce passage où René Viénet, réalisateur et éditeur, donne un témoignage que Bernard Benoliel est ensuite invité à interpréter : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/05/s20/NET_FC_e2e0bfae-b2ee-41fb-8e27-eb42a25c3a58.mp3" debut="42:48" fin="45:50"]
Le passage qui suit à 45'50 n'est pas moins intéressant.
Philaunet
Admin
81Sandor Marai - Ven 22 Mai 2015, 08:32
@ C.M. pour oublier l'accent de Caroline Broué ou les borborygmes de Marc Voinchet :
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s13/NET_FC_ffb652fc-4bd6-49e0-8f08-5244f88f5510.mp3" debut="20:29" fin="20:57"]
Un numéro de très bonne facture consacré à Sándor Márai (1900-1989) le 29 mars 2014.
C'est Laetitia Le Guay qui produisait l'émission, un nom toujours associé dans ma mémoire à des documentaires de qualité. Qu'a-t-elle donc fait ? Ah, une page personnelle ? Évidemment, quelqu'un qui « fait partie du comité artistique du Festival de violoncelle de Beauvais et s’occupe de la programmation des conférences autour des concerts » ne peut pas être de l'espèce des médiocres. Un CV qui incarne le mot culture dans l'acception qui est devenue très rare à France Culture.
Laetitia Le Guay Brancovan a travaillé à Radio France comme chargée de mission au sein de la Présidence de Radio France (1991-1992) puis comme productrice à France Musique et France Culture (1996-1997), chaîne à laquelle elle collabore toujours pour des documentaires occasionnels.
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s13/NET_FC_ffb652fc-4bd6-49e0-8f08-5244f88f5510.mp3" debut="20:29" fin="20:57"]
Un numéro de très bonne facture consacré à Sándor Márai (1900-1989) le 29 mars 2014.
C'est Laetitia Le Guay qui produisait l'émission, un nom toujours associé dans ma mémoire à des documentaires de qualité. Qu'a-t-elle donc fait ? Ah, une page personnelle ? Évidemment, quelqu'un qui « fait partie du comité artistique du Festival de violoncelle de Beauvais et s’occupe de la programmation des conférences autour des concerts » ne peut pas être de l'espèce des médiocres. Un CV qui incarne le mot culture dans l'acception qui est devenue très rare à France Culture.
Laetitia Le Guay Brancovan a travaillé à Radio France comme chargée de mission au sein de la Présidence de Radio France (1991-1992) puis comme productrice à France Musique et France Culture (1996-1997), chaîne à laquelle elle collabore toujours pour des documentaires occasionnels.
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