Cher munstead, "Anne Lorchoin", c'est un peu votre "Séféro, ce soldat" de la Marseillaise. Difficile de s'en défaire, malgré les corrections passées et surtout à cause de la sale habitude des employés de micro de mettre l'accent tonique sur la première syllabe des mots ou des noms. Anne-Laure
Chouin restera, je le crains, Anne Lorchoin, jusqu'à la fin des temps. Mais au cas où l'orthographe des noms importerait, on la trouve ici :
L'équipe de la rédaction de France Culture - France Musique 02/09/2018
munstead(https://regardfc.1fr1.net/t94p760-les-journaux-et-la-redaction-de-fc#31520) a écrit:Journal de 12 h 30. (Je n'ai pas vérifié l'orthographe des noms.)
Présentatrice: Anne Lorchoin avec Olivia Gesbert en passe-plats
Toute la troupe des journalistes:
Eliza Meyer
Anne Englhauer
Veronique Roberhotte
Lise Vibeck
Cécile Bildaud
Alexandra de Boucheron…
… suivies de la Grande Table, re-Olivia interrogeant Coralie Delaume.
Les hommes auraient-ils déserté FC? Lysistrate aurait-elle pris le pouvoir?
Je sais que les femmes auraient pu penser la même chose il y a cinquante ans, mais depuis nous nous sommes battus pour la parité…
(...)
Vous vous en apercevez maintenant ? J'ai dû mentionner dans une quinzaine de billets la féminisation à outrance des équipes de France Culture*, il faut dire qu'avec Sandrine Treiner en féministe revendiquée et caution de manifestations diverses en ce domaine, il ne faut pas s'étonner. Le problème n'est bien sûr pas qu'il n'y ait que des femmes dans une émission (ni que des hommes), mais que la plupart soient nulles. Le midi, j'écoute Tatiana Wagner sur une autre radio culturelle et je m'en trouve satisfait. Je viens d'écouter un beau dialogue entre Fabienne Tison et Axelle Thiry sur la RTBF et, à la vérité, il serait parfaitement stupide de s'indigner qu'il n'y a pas 50% de yang, les deux personnes sont parfaites dans le rôle qui leur est imparti.
Un des problèmes majeurs des femmes employées à France Culture, c'est leur obsession de la sexualité, souvent déguisée en "amour", comme on le voit chaque jour sur la page d'accueil du site. Et avec cela, leur propension à prêcher toutes les leçons de morale de la bienpensance contemporaine.
Mathilde Serrell est une de ces femmes de + ou - trente ans payée quotidiennement par la station pour dire des sottises de ce genre (ah, le genre !) :
"
La force fragile se tient du côté d’une athlétique et alcoolique Virginie Efira, ou du sadisme d’une Leïla Bekthi en fauteuil roulant. Quant au charme il vient de ces corps masculins désarmés. Le chevelu pathétique Jean Hugues Anglade, le dépressif Amalric sans ses atours de séducteur intello, l’assurance empoisonnée de Guillaume Canet, la flamboyance à vide de Benoît Poelvoorde, le génie candide de Philippe Katerine. Tous en slip, déshabillés de leur aura pour réinventer un horizon masculin où la réussite consiste à parler à cet être féminin qui vit en eux".
Le Billet culturel"
réinventer un horizon masculin où la réussite consiste à parler à cet être féminin qui vit en eux".
Dans vingt ans paraîtront des livres répertoriant tous ces clichés à la mode, illustrations de la vacuité intellectuelle.
*
Qui fait quoi à France Culture ? 30 prénoms, 26 féminins ;
La Grande table,
ça manque de parité ;
LSD,
ça manque de parité ;
France Culture communique,
[la parité, c'est pas gagné...], etc.