Un grand merci pour vos suggestions dans le programme des
Nuits,
posts 31 à 42.
Je reviendrai dans un autre fil sur l'écoute de ces
Nuits (
"Comment l'écoutez-vous"). Soyez encore remercié pour la mention
"Les bas-fonds de Paris" d'après Aristide Bruant, avec J-R Caussimon dans le rôle de Bruant, le 2e épisode est un régal (et il y en a 13 !).
Curly(https://regardfc.1fr1.net/t852p40-le-programme-de-nuit-ilot-de-culture-ii#31740) a écrit:Voici quelques propositions d'écoutes pour les nuits de la semaine prochaine :
Une émission sur la montagne, une dramatique pour les enfants d'après Giono, et "Le soleil des eaux" de Char, dont le générique est assez alléchant.
Je cite tel quel le "courrier reçu" par la médiatrice :
"De plus, autrefois, France Culture requérait des connaissances pour suivre les émissions. désormais, sans faire baisser le niveau, même les jeunes gens peuvent suivre."
(...)
La radio, ce ne sont pas que des "experts" qui débattent de l'actualité autour d'une table, si possible en direct, ou dans les conditions du direct, ou la promotion pour un artiste, aux talents parfois douteux, et je m'arrêterai là.
Je dois ajouter que je ne suis pas une personne particulièrement âgée (la petite quarantaine), et que dans mon adolescence j'écoutais cette radio dont les émissions n'étaient pas de celles que l'on prend en cours de route. Et pour peu qu'on l'écoutât (oui je l'ai mis) avec attention, elle ne s'adressait pas exclusivement à des "spécialistes".
Oui, oui et oui.
Dans les années 1970 à 1990, le rythme de la vie urbaine était déjà effréné mais la radio offrait des promenades auditives dans la durée sans course-poursuite après le temps. Il faut dire que ceux qui la faisaient étaient nés dans les années 50-60 avec tout ce que cela implique. Voyez les
Nuits Magnétiques des années 1970-1980, des jeunes s'y expriment avec une langue riche et une profondeur de vision, prenant leur temps pour décrire le sujet choisi (quand il s'agit par exemple de
New York). Paradoxalement, la radio des années 1950-60, que l'on découvre dans les
Nuits, paraît moins décontractée, ce qui s'explique aussi.
