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Lectures du jour, du soir et de la nuit    Page 5 sur 11

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Curly En ligne


41
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Petit complément du post d'hier. Bonnes nouvelles ou nouvelles du crime ? - Mer 28 Nov 2018, 08:46

Deux petits exemples pour compléter la comparaison d'hier.

Une enquête de Maigret par Louis Seigner :
[son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13915-02.07.2018-ITEMA_21717645-15.mp3" debut="12:40" fin="14:07"]


Une enquête de Maigret par Christian Alers : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13915-01.07.2018-ITEMA_21717644-5.mp3" debut="21:11" fin="22:28"]

Philaunet 

Philaunet
Admin

42
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Maigret - Mer 28 Nov 2018, 11:06

Curly(https://regardfc.1fr1.net/t539p30-lectures-du-jour-du-soir-et-de-la-nuit#31793) a écrit:La case "feuilleton" donne l'impression de recourir à ces lectures, aussi talentueuses soient-elles, pour faire bouche-trou entre deux feuilletons. Mais peut-être me trompe-je...
De plus, pourquoi "arracher" les pages ? Pourquoi ne pas tout simplement les "choisir"?
Bref.

Je tiens à signaler à titre d'écoute comparative deux lectures de nouvelles de Simenon : l'une par Louis Seigner dans "Bonnes nouvelles, grands comédiens", Monsieur Lundi, et l'autre, La péniche aux deux pendus, lue par Christian Alers.(...)
&
Curly(https://regardfc.1fr1.net/t539p30-lectures-du-jour-du-soir-et-de-la-nuit#31796) a écrit:Deux petits exemples pour compléter la comparaison d'hier. Une enquête de Maigret par Louis Seigner (...) Une enquête de Maigret par Christian Alers (...)
Soyez infiniment remercié pour ces deux posts incitant à de belles écoutes et illustrant la vocation culturelle de ce forum.
Dans les citations, je ne reproduis pas les pastilles (très bien choisies), car plus de 10 à 12 pastilles sonores sur une page de rubrique freine le téléchargement des suivantes. Merci pour la création des liens vers les émissions, leur élaboration nécessitant toujours un "certain"  temps.

Philaunet 

Philaunet
Admin

43
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L’Archipel du Goulag, Alexandre Soljenitsyne - Mer 28 Nov 2018, 13:21

Quand vous avez lu ceci* [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11495-22.11.2018-ITEMA_21900117-0.mp3" debut="03:38" fin="05:08"]

et cela** [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11495-22.11.2018-ITEMA_21900117-0.mp3" debut="18:14" fin="19:59"]

à l'âge de 15-16 ans, vous êtes vacciné contre les grands soirs révolutionnaires, les lendemains qui chantent, tels que chaque jour des insurgés à la petite semaine viennent en chanter les beautés sur France Culture.

* manger des tritons d'il y a dix mille ans
** la torture au XXe siècle au temps du "socialisme"

Pages arrachées à Alexandre Soljenitsyne (4/5) L’Archipel du Goulag 22/11/2018. À écouter aussi Staline en portrait 21/11/2018.



{L'iconographe de FC a choisi une autre illustration, la couverture de l'édition italienne, alors que c'est à la France que Soljenitsyne a réservé la première édition de sa fresque, cf. ci-dessus]

Immense fresque de l’univers concentrationnaire soviétique, L’Archipel du goulag [édité à Paris début 1974] a pour vocation de tout dire, de tout faire voir, de rendre compte de tout. Le destin de l’écrivain mais aussi des centaines d’autres vies brisées viennent nourrir la peinture de l’enfer des goulags staliniens.  

Curly En ligne

Curly

44
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Lectures à une voix - Petit catalogue, fin. - Mer 28 Nov 2018, 21:57

Je mentionnais hier cette émission produite par Michel Polac dans le cadre du Club d'Essai.
Les lectures étaient enregistrées en public, au Théâtre des Noctambules, par un acteur, ou l'auteur de la pièce.
Plusieurs d'entre elles ont été rediffusées depuis deux ans dans les Nuits.
Toutes ne sont pas d'un intérêt égal, mais une fois de plus les grands moments ne sont pas là où on les attend.
Cela se suit comme un véritable spectacle, et la magie opère lorsque l'on oublie qu'un seul acteur joue tous les personnages.
D'abord mes préférées :
- "Célimare le bien aimé" d'Eugène Labiche et Alfred Delacour moment de haute virtuosité par Robert Hirsch
- "Jean III ou l’irrésistible vocation du fils Mondoucet" de Sacha Guitry par François Périer
- "Knock ou le Triomphe de la médecine" de Jules Romains toujours par François Périer
- "Léocadia" de Jean Anouilh, lu par l'auteur
- "Mais n'te promène donc pas toute nue" de Georges Feydeau par Jacques Charon
- "Chantecler" d'Edmond Rostand par Aimé Clarion, et quand on connaît la pièce on peut deviner la difficulté d'une lecture à une voix... Or c'est parfait.
- "Topaze" de Marcel Pagnol, par Robert Lamoureux
- "Numance" de Cervantès, par Jean-Louis Barrault, au théâtre Marigny avec un petit accompagnement d'orchestre arrangé par Pierre Boulez

Mais aussi :
- "La Folle de Chaillot" de Jean Giraudoux, par Jacques Mauclair
- "Tartuffe" de Molière, par Fernand Ledoux

Et enfin :
- "Poil de Carotte" de Jules Renard par Berthe Bovy
- Et enfin Henri Pichette et ses Epiphanies. Faute de temps il se retrouve dans l'obligation de résumer la fin.

L'émission a existé de manière irrégulière du début des années 50 (Œdipe par Jean Vilar) à la fin des années 60.
Au milieu des années 50, son comparse du Masque et la Plume, François Régis Bastide, produit "Lecture du soir", au format plus classique. Je renvoie à nouveau à la lecture de "Les dieux ont soif" d'Anatole France par Michel Bouquet.

Philaunet 

Philaunet
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45
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Pages arrachées à l’œuvre d’Ossip Mandelstam - Ven 28 Déc 2018, 21:59

Pages arrachées à l’œuvre d’Ossip Mandelstam L'enfance  (1/5). Avec Laurent Manzoni, Vincent Berger et Julie Pouillon.

Lectures du jour, du soir et de la nuit - Page 5 Scree945

Ossip Mandelstam décrit la langue de ses parents : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11495-29.10.2018-ITEMA_21872528-2018C3480E0185-25.m4a" debut="19:27" fin="21:00"]

Cette série aurait gagné à faire entendre un peu plus de russe que ceci [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11495-29.10.2018-ITEMA_21872528-2018C3480E0185-25.m4a" debut="23:50" fin="24:07"]

Hommage à Ossip Mandelstam, poète et écrivain russe qui a défié Staline jusqu'à en mourir, à 48 ans, dans un camp de transit vers le goulag.

Le poète russe Ossip Mandelstam est né dans une famille juive à Varsovie en 1891. Il a cinq ans quand ils obtiennent l’autorisation de s’installer à Saint-Pétersbourg. Dès l’enfance, le poète apprend l’allemand et le français. Son père est un commerçant en maroquinerie et sa mère enseigne le piano.
À Saint-Pétersbourg, il suit les cours de la prestigieuse école Tenichev de 1900 à 1907. Puis d'octobre 1907 à mai 1908, il est étudiant à la Sorbonne à Paris où il suit les cours de Joseph Bédier et d'Henri Bergson. Il y découvre la poésie de Verlaine. Ne pouvant rentrer à l'université de Saint-Pétersbourg en raison des quotas limitant les inscriptions des étudiants juifs, il part en septembre 1909 pour l'Allemagne, où il étudie la littérature française et l'histoire de l'art à l’université de Heidelberg jusqu'en 1910.
De retour en Russie, à 20 ans, il se tourne vers la philosophie à l’université de Saint-Pétersbourg où il a pu s'inscrire et publie ses premiers poèmes, en 1913, dans la revue Apollon.
Il fait partie de cette génération de poètes née dans les années 1890, avec Anna Akhmatova, Boris Pasternak, Marina Tsvétaéva, Maïakovski, qui tracèrent avec force de nouvelles inventivités. Avant la première guerre mondiale, on assiste à Saint-Pétersbourg à une effervescence des mouvements d'avant-garde qui s'opposent au symbolisme vieillissant. Ossip Mandelstam fait partie de cette avant-garde et fonde, avec Nicolas Goumiliov et Anna Akhamtova, "l'atelier des Poètes". (...)
[Note 2023 : France Culture a remplacé les pages d'émissions par une seule page où se trouve l'ensemble des fichiers]

PS. Billet précédent (n°44) très apprécié.



Dernière édition par Philaunet le Mar 02 Jan 2024, 10:40, édité 1 fois (Raison : Réfection liens et pastilles)

Philaunet 

Philaunet
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46
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'' Le Martien'' de Ray Bradbury lu par Jean-Charles Di Zazzo - Mer 01 Mai 2019, 11:19

Signalée dans le post Montag un Sonntag, ça ne pouvait pas coller, suite à un compte rendu ici de Curly sur l'adaptation (calamiteuse) de Fahrenheit 451, la lecture de la nouvelle Le Martien de Ray Bradbury par Jean-Charles Di Zazzo.

Notons que depuis la diffusion le descriptif minimaliste a été étoffé et c’est très bien. Sauf que la présentation aurait pu éviter de "spoïler" (pourquoi ne pas franciser l'écriture plutôt que d'inventer un ridicule "divulgacher", employé entre autres par Arnaud Laporte à La Dispute ?), donc de révéler un élément essentiel du début du récit qui constitue un ressort de la tension dramatique.

Jean-Charles Di Zazzo est un maître de la lecture dans ce récit (34 minutes). C'est de l'art radiophonique par excellence (bruitage "eau du canal" très bien dosé). La comparaison avec la ridicule adaptation de F 451 (une heure trente) diffusée en public est édifiante. La lecture de Di Zazzo restera au patrimoine de la chaîne contrairement au grand spectacle en public, objet éminemment non radiophonique.

Il faut saluer le professionnalisme de l'équipe de réalisation :
Lecture : Jean-Charles Di Zazzo
Réalisation : Laure Egoroff
Conseillère littéraire Caroline Ouazana
Prise de son, montage, mixage : Cédric Chatelus, Valentin Azan-Zielinski, Jérémie Kauffmann
Assistante à la réalisation : Manon Dubus

Philaunet 

Philaunet
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47
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Féodor Atkine & Christophe Brault lisent Ray Bradbury - Sam 04 Mai 2019, 12:49

Concernant Ray Bradbury à France Culture, on a vu l'adaptation de Fahrenheit 451 et la lecture d'Un Martien dans le post ''Le Martien'' de Ray Bradbury lu par Jean-Charles Di Zazzo.

Le cycle Ray Bradbury comportait deux autres soirées d'une heure. La première est mémorable, la seconde, non. Celle du 27 avril comporte en effet deux lectures dont il est possible (chacun ses goûts) de ne pas apprécier les interprètes. Je n'ai pas tenu trois minutes à la lecture d'Elodie Huber, pour le ton. Pas plus de cinq minutes pour la voix (tabac brun et pinard ?) d'Hervé Pierre, lequel ne démérite certainement pas dans son interprétation, mais les allergies ne se discutent pas.

La première soirée donc pour laquelle on évitera de lire le descriptif plus loin avant l'écoute, car encore une fois il révèle des éléments essentiels du suspense. Il faudrait apprendre aux résumeurs à stimuler l'écoute sans raconter l'histoire...

Fictions Samedi noir  Cycle Ray Bradbury "Un coup de tonnerre" (lu par Féodor Atkine) & "L’Assassin" (lu par Christophe Brault) le 20/04/2019.

1. "Un coup de tonnerre" : Une chasse au Tyrannosaurus rex d'un touriste et de ses guides après une remontée dans le temps de 60 millions d'années. Pourquoi tant de précautions ?

Superbe lecture/interprétation de Féodor Atkine. On aurait pu souhaiter un rythme plus dynamique dans quelques descriptions. Mais l'ensemble fait frissonner bien après l'écoute même.

2. "L’Assassin", drôle et à méditer, interprété magistralement par Christophe Brault (le psychiatre interroge l'assassin) : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13023-20.04.2019-ITEMA_22040901-0.mp3" debut="41:25" fin="43:56"]

"L’Assassin" (The Murderer) traduit de l’américain par Richard Negrou (traduction révisée par Philippe Gindre) est publié chez Denoël dans le recueil Les Pommes d’or du soleil (The Golden apples of the sun). La nouvelle a été publiée pour la première fois dans Argosy en juin 1953.

L'équipe :

Réalisation : Laure Egoroff
Conseillère littéraire : Caroline Ouazana
Prise de son, montage, mixage : Cédric Chatelus, Valentin Azan-Zielinski, Jérémie Kauffmann
Assistante à la réalisation : Manon Dubus

Philaunet 

Philaunet
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48
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Rediffusion de Catherine Hiegel lit Violette Leduc - Mer 05 Aoû 2020, 20:46

Parcourant la page des programmes du jour, l'on tombe sur

Lectures du jour, du soir et de la nuit - Page 5 Scre1351

Ah... serait-ce la rediffusion de ces 15 inoubliables épisodes : Lecture du soir le Lun 02 Déc 2013 ? Enfin presque 15, à l'époque quatre épisodes étaient passés à la trappe.

Donc est-ce ? Ah, mais non !

Lectures du jour, du soir et de la nuit - Page 5 Scre1352

Descendons quand même dans la page : intro, on passe ; grande photo Getty, on passe ; énorme pavé de texte sans signature, on passe ; ah, si, la signature semble placée plus bas avant le nom de la lectrice... Catherine... qui ?  

Lectures du jour, du soir et de la nuit - Page 5 Scre1353

Hiegel, pas Liegel ! Hiegel  Hiegel  Hiegel  Hiegel  Hiegel  Hiegel  Hiegel  Hiegel  Hiegel.

Catherine Hiegel, c'est qui ? Catherine Hiegel en 2017, une mémoire, un patrimoine

Tout cela pour dire : à  vos podcasts, car point de Poda à l'horizon et espérons-le cette fois, l'intégralité des lectures.

Addendum : il fallait aller vers le téléchargement rss pour remarquer que les 15 épisodes  de "La folie en tête" ont été rediffusés entre le 13 et 30 juillet 2020 et que la série de 15 épisodes de la "Correspondance" a commencé le 3 août.  Évidemment, ce n’est pas ce genre de programme que l'on met en avant  sur la page d'accueil de la radio culturelle...

Philaunet 

Philaunet
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49
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Catherine Hiegel lit Violette Leduc (rediffusion) - Ven 21 Aoû 2020, 22:38

À France Culture, ils ne savent pas qu'il y a quelques auditeurs qui offrent gratuitement leur temps pour corriger leurs pages d’émissions (photo erronée censée représenter Proust, noms de personnalités mal libellées, orthographe et grammaire, etc). Aussi la lectrice de la correspondance ci-dessus reste quinze fois nommée "Catherine Liegel"...

Et puis pour ne pas trop offrir de visibilité à l'actrice Catherine Hiegel, la station garde sa présentation trompeuse...

Lectures du jour, du soir et de la nuit - Page 5 Hiegel10

On notera dans le descriptif, en plus de "les lettres de Violette Leduc portent tout sa griffe" et "le geste épistolier" (pour "épistolaire"), que le gros pavé est constitué de deux fois le même texte à la suite (les neuf premières lignes doublées).

Miroir de la rigueur que porte la station aux pages de présentation, jamais relues (voire lues).

Philaunet 

Philaunet
Admin

50
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''Elle appela Anicette, déjà presque orpheline'' (René Barjavel) - Mer 04 Nov 2020, 23:08

Il fut un temps où l'on diffusait de beaux contes sur France Culture, c'était en 1970 :

Lectures du jour, du soir et de la nuit - Page 5 Scre1547

Jean Le Poulain est l'interprète idéal de ce récit poétique et drôle d'une petite demi-heure. La page est de 2019, on est prié de ne pas la lire, ni de s'attarder plus d'un 1/4 de seconde sur la photo Getty.  Merci pour ce conseil d'écoute.

Jean Le Poulain lit "Les mains d'Anicette" de René Barjavel (publié en 1946)  1ère diffusion : 24/07/1970. Rediffusion, NuitsFC 19-08-2019.

************************

Les enfants de l'ombre
Résumé :
C'est dans ses nouvelles qu'il faut chercher les plus belles pages de Barjavel, ses personnages les plus étranges, les plus lumineux, les plus tendres. Ici, le vieux retraité, la petite fille, la lionne, le guerrier blindé, l'arbre, le ``monstre'' aux ailes blanches sont frères et soeurs, ont le même âge innocent, vivent dans le même univers de poésie fantastique et de lumière..

Philaunet 

Philaunet
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''L'Enfant invisible'' de Ray Bradbury dans 'Bonnes nouvelles, grands comédiens' (1970) - Ven 06 Nov 2020, 09:11

Heureusement qu'il n'y  a pas que "Chouette", "Hâte" ou encore "miam, miam, les inégalités", comme dans

Lectures du jour, du soir et de la nuit - Page 5 Scre1550

et qu'il y a des lectures poétiques,
Lectures du jour, du soir et de la nuit - Page 5 Scre1549
D'un côté, la priorité de la directrice actuelle de France Culture, de l'autre, la mise en valeur de la radio culturelle (de 1970) sur ce forum.

Ray Bradbury ? Ne se refuse pas, forcément (Hail & Farewell et The Emissary). Un récit amusant qui finit sur une touche très poétique. On oubliera la présentation et la photo de 2019, comme d’habitude : Raymond Gérôme lit "L'enfant invisible" de Ray Bradbury

Toutes les éditions françaises de la  nouvelle depuis 1956 (le récit est paru en 1945) L'Enfant invisible.

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Re: Lectures du jour, du soir et de la nuit -

Lectures du jour, du soir et de la nuit     Page 5 sur 11

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