La nouvelle formule des champions :
« A pus d’artiss’ en promo » + « Les artiss’ y viennent pas chez nous quand y sont pas en promo » = « A pus émissions promo » = « A pus radio »
La magie opère quand même, car toutes les émissions de jours étant grosso & modo interchangeables, à quoi bon en produire de fraîches alors qu’en repassant celles de juste avant, encore disponibles à la réécoute et au podcast, for sado-masos only, ça roule nickel ?
De toute façon, avec sa thématique, ouverte à 3° vers l’ouverture, et sa farandole d’invités qui tournent tournent en rond, plus personne fait gaffe.
Prenons hier, n’allons pas chercher trop loin.
La station cruturelle produit de la fraîche
ici
ici, avec ce tunnel de midi où 28 mn paraissent durer une heure trente
ici, et encore c’est vendredi, on fait bombance, parce que les autres jours à cette heure c’est aussi de la rediff’
et enfin ici
Samedi, c’est encore mieux, puisque vous avez
et puis
et enfin
et c’est fini.
Eh, vous avez vu, c’est que du rêve, vous ne trouvez pas ?
C’est de l’ouverture de portes sur l’infini, non ?
Et puis on se cultive comme des dingues, par exemple ce mamate, nous avons appris à couper le beurre avec Aurélie Jean : « On apprend toute sa vie. Il s'agit de comprendre comment on apprend. La méthode scientifique a une forte valeur ajoutée car elle utilise les quatre piliers fondamentaux de l'analyse et permet de développer son esprit critique. Il s'agit d'observer, d'expérimenter, de faire usage d'une certaine théorie et, enfin, de raisonner. Même si cela s'appelle la méthode scientifique, elle peut s'appliquer dans tous les domaines. »
Mais ça ne vaut pas hier, je mets bien les guillemets parce que je ne tiens pas à ce qu’on croie que j’aie pu trouver un truc pareil tout seul. Mais riez pas, vous non plus vous l’auriez pas trouvé :
« Le problème avec la dictature c’est qu’on détruit les règles justes de la société pour construire de nouvelles règles injustes. »
Allez je vous laisse avec ça, nous avons de quoi réfléchir pour quelques minutes, après je sais pas puisqu'au train où vont les choses on va tous crever.