Dans cette
chronique de voyage en Antarctique nous apprenons que l'Astrolabe pénètre dans les glaces du "pack".
Donc :
Les voyageurs avancent vers le Pôle Sud, donc il y a la banquise. Pas de doute, ils avancent vers leur but. Donc le navire se cogne à la banquise, contre laquelle le voyageur narrateur a envie de se battre (il a envie « d’en découdre »). Pourquoi ? Que le navire passe est suffisant, pourquoi vouloir dézinguer la banquise ? Avec le réchauffement climatique, elle est suffisamment malmenée, non ?
Il fait très froid (tu m’étonnes) et partout autour, it is the banquise.
En bruit de fond, des vagues, pour donner l’impression que l’on est au cœur de l’action. Eh oh, le gars il lit son texte en studio, et les vagues, on dirait un jet d’eau avec des coups donnés sur un capot de voiture. Alors que si ça se trouve, ce sont les vrais sons.
Le futur chef de district de la base Dumont d’Urville confirme tout ce que vient de raconter le narrateur. Eh oui, c’est pas pour des billes que le narrateur se narre. Y a bien des plaques, et on a enfin ce qu’on était venu chercher, on s’est bien préparé. On a bien tout bon, on est pas arrivé sur les plages d’Honolulu, on s’est pas trompé.
Le narrateur n’est quand même pas sûr de ce qu’il vient de dire et de ce que le chef vient de lui confirmer. Il va donc voir le commandant du bord et lui demande ce qu’il voit de là où il commande.
Le grand commandeur répond par « Il est 7h05 » Noooon ! Ils ont cloné Guillaume Erner !!!!! Catastrouille ! Puis il enchaîne avec une blague qui nous laisse froid. Normal. Bref, ils sont tous excités et enthousiastes. Vous aurez remarqué que la réponse colle pas à la question et que ça rappelle les commentaires des candidats aux jeux de télé réalité de type Koh Lanta. Si si, réécoutez bien le commandant in chief, c’est tout pareil !
Et vous savez ce qu’il a été obligé de faire le commandant ? Il a été obligé de réduire la vitesse ! Afin d’éviter le gros carambolage dans la banquise. Comme quoi ils étaient bien tous préparés.
Le narrrrrrateur va maintenant voir un membre de l’équipage. C’est le matin, et aussi étonnant que cela puisse paraître, l’auguste membre se réveille. Il le dit, et le redit. Et puis y a de la glace et des plaques immenses. Nous, les auditeurs, on le sait depuis lurette, mais le membre dormait, il pouvait pas écouter le début.
Et les plaques, qu’est-ce qu’il faudra en faire pour pouvoir passer ? Hein ? On les passe au chalumeau ? On en fait des sorbets Grand Marnier ? Non, je vous laisse deviner.
Noon là tout de suite il se passe quelque chose priorité au direct !
Un pétrel des neiges, regardez bien à gauche de votre poste ! Là ! Mais là, regardez mieux quoi !
Description : la taille d’une colombe, entièrement blanc, et c’est un oiseau associé à la glace. D’où son nom. Du grec « Pago philia », celui qui aime la glace. Heureusement qu’on revient au grec sans cela nous eussions compris que dalle. Et puis il faut donner l'impression que l'auditeur apprend quelque chose car on est sur France Culturage.
Un membre nous confie la raison du pourquoi de sa passion pour l’ornithologie : les oiseaux, c’est beau. Et le pétrel, il est beau, donc… (authentique, zavez qu’à écouter)
Puis le narrateur nous précise parce que nous avions pas comprenu : le monsieur qui cause, il est ornithologue. Le monsieur nous confie que les oiseaux, il aime, c’est beau à regarder.
Fin de l’épisode.
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Après le voyage en Antarctique,
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Exploration de la Côte de Nacre
En avant première, un extrait.
« Après plusieurs heures de route, une odeur particulière nous indique que la mer est proche. C’est l’enthousiasme au sein de l’équipage. Le capitaine de soirée nous indique que la mer est immédiatement reconnaissable de par sa couleur bleue tout à fait caractéristique.
Arrivé sur le lieu de l’exploration, il nous fait un point plus complet : « Alors en haut, là où vous avez des petits moutons blancs que les scientifiques appellent « nuages », vous avez le ciel. En bas, bleue aussi mais sans les moutons, vous avez la mer. La bande marron clair devant vous, c’est la plage. Elle est grande actuellement, car la marée est basse. La marée, c’est l’eau qui descend et puis qui monte deux fois par jour. »
Nous sommes tous éblouis.
« Ça, c’est à cause du soleil », nous informe le capitaine.
Les oiseaux volent bien bas, ils se posent même sur la plage mouillée. Je demande au capitaine ce qu’ils font.
« Ils mangent. »
Que la nature est bien extraordinaire.
Mais tout à coup le vent se met à souffler et des mouvements apparaissent à la surface de la mer. De la mousse blanche vient se fracasser sur les murs en béton qui se trouvent sur le rivage.
Le capitaine précise : « Oui, ce sont des vagues qui viennent se briser sur la digue. » L’équipage trouve ce phénomène bruyant.
Nous n’avons nulle part où nous abriter. Le soleil tape dur sur nos têtes. Heureusement que le vent rend la chaleur plus supportable.
Le capitaine nous indique que la présence persistante du soleil est le signe que nous sommes en été.
Mais où allons-nous maintenant manger ?
Quelle aventure ! »
La suite flottera à la surface de l’onde France Culturage l’été prochain.