Aujourd'hui c'est la journée de la défense du "livre et de la culture" sur France Culture. Naïvement, je pensais que c'était la fonction de France Culture 24 heures sur 24 , 365 jours sur 365.
Erner reçoit ce matin Etgar Keret, un réalisateur israélien. On ne saisit pas très bien pourquoi ce choix en cette journée de défense du livre d'un Israélien plutôt axé sur le cinéma et la vidéo, mais passons. Pour bien nous faire comprendre son travail, Erner nous présente de façon incroyablement confuse une vidéo. Une vidéo à la radio, quelle bonne idée! Il nous en donne un extrait présente l'actrice dont il donne le nom et introduit un excellent traducteur qui va nous guider. Donc long extrait parfaitement incompréhensible à l'oreille, c'est le problème avec les vidéos sans les images me direz-vous. Le traducteur fait remarquer que le texte n'est pas en hébreu, mais en japonais. Zut! Puis on apprend que l'actrice n'est pas l'artiste nommée qui, elle, est chorégraphe. Pas de chance! Après ce grand début, Erner s'attaque ensuite au pauvre invité qui doit se débrouiller avec des questions qui n'en sont pas vraiment. Ce sont des affirmations qui demandent on ne sait quoi, une confirmation? En fait elle correspondent sans doute à lecture rapide de la note sur Keret préparée par une assistante. Keret s'en sort bien et nous dit des choses intéressantes sur la perception du confinement et présente une nouvelle humoristique qu'il a écrite sur la sortie du confinement. Il sauve La peau d'Erner qui aurait dû le remercier.
Pour la défense des librairies, rien de nouveau et surtout pas le rappel que le syndicat des libraires était pour le confinement en mars (pour protéger les employés), contre le confinement en novembre et pour l'interdiction de la vente de livres par les grandes surfaces, puis contre l'interdiction de vente faite à la FNAC; certains de ses membres proposent maintenant une taxation spéciale d'Amazon (mais pas sur la centaine d'autres sites spécialisés dans le livre sur Internet, dont la Fnac). Tout ça pour la défense du livre, pas sûr que cela soit aussi celle des lecteurs.
Erner reçoit ce matin Etgar Keret, un réalisateur israélien. On ne saisit pas très bien pourquoi ce choix en cette journée de défense du livre d'un Israélien plutôt axé sur le cinéma et la vidéo, mais passons. Pour bien nous faire comprendre son travail, Erner nous présente de façon incroyablement confuse une vidéo. Une vidéo à la radio, quelle bonne idée! Il nous en donne un extrait présente l'actrice dont il donne le nom et introduit un excellent traducteur qui va nous guider. Donc long extrait parfaitement incompréhensible à l'oreille, c'est le problème avec les vidéos sans les images me direz-vous. Le traducteur fait remarquer que le texte n'est pas en hébreu, mais en japonais. Zut! Puis on apprend que l'actrice n'est pas l'artiste nommée qui, elle, est chorégraphe. Pas de chance! Après ce grand début, Erner s'attaque ensuite au pauvre invité qui doit se débrouiller avec des questions qui n'en sont pas vraiment. Ce sont des affirmations qui demandent on ne sait quoi, une confirmation? En fait elle correspondent sans doute à lecture rapide de la note sur Keret préparée par une assistante. Keret s'en sort bien et nous dit des choses intéressantes sur la perception du confinement et présente une nouvelle humoristique qu'il a écrite sur la sortie du confinement. Il sauve La peau d'Erner qui aurait dû le remercier.
Pour la défense des librairies, rien de nouveau et surtout pas le rappel que le syndicat des libraires était pour le confinement en mars (pour protéger les employés), contre le confinement en novembre et pour l'interdiction de la vente de livres par les grandes surfaces, puis contre l'interdiction de vente faite à la FNAC; certains de ses membres proposent maintenant une taxation spéciale d'Amazon (mais pas sur la centaine d'autres sites spécialisés dans le livre sur Internet, dont la Fnac). Tout ça pour la défense du livre, pas sûr que cela soit aussi celle des lecteurs.