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La Fiction à France Culture    Page 18 sur 45

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Philaunet 


Admin

176
Répondre en citant  
Mike Bartlett - Mer 16 Déc 2015, 09:26

Très convaincante fiction radiophonique que la pièce de Mike Bartlett, Contractions (re)diffusée  le 01.11.2015 dans le cadre d'une Soirée Angleterre*

Le sujet extrait de la présentation : « (...) dans un huis clos entre une supérieure hiérarchique et son employée, Mike Bartlett décortique, avec un humour noir allant jusqu’à l’absurde, l’ingérence du monde du travail dans la vie intime des salariés ».

Dès le début, on sent une atmosphère de science-fiction, on n'est pas loin de Bienvenue à Gattaca. La scène se joue dans le bureau d'une multinationale basée dans le Wisconsin aux États-Unis. Progression implacable de la logique d'aliénation, emploi de la langue moderne des DRH, intrigue à rebondissement, on est captivé (si l'on écoute pour écouter).

L'interprétation des deux actrices, Judith Henry (Emma) et Nathalie Richard (le manager) est sans faute.

À saluer également :
Réalisation de Juliette Heymann
Musique électro-acoustique originale: Dominique Massa, Patrick Martinache
Bruitages : Patrick Martinache
Prise de son, montage et mixage : Bernard Lagnel ; Laure Jung-Lancrey


* Première diffusion le 11 juin 2011. Dans le cadre des Chantiers d’Europe 2011 : Cycle des dramaturgies de Grande-Bretagne, en coproduction avec le Théâtre de la Ville

Le monde professionnel comme entreprise de démolition de l’individu : dans un huis clos entre une supérieure hiérarchique et son employée, Mike Bartlett décortique, avec un humour noir allant jusqu’à l’absurde, l’ingérence du monde du travail dans la vie intime des salariés. Principe poussé à son extrême, puisque dans le monde de Contractions, « aucun employé, membre du bureau ou directeur de l’entreprise ne doit s’engager avec aucun autre employé dans aucune relation, activité ou action qui soit entièrement, principalement ou partiellement de nature qui puisse être qualifiée de sexuelle ou d’amoureuse sans en informer au préalable l’entreprise. »

L’écriture maîtrisée, précise, féroce de Mike Bartlett progresse inexorablement vers la chute.

Mike Bartlett

Né en 1980, Mike Bartlett est un dramaturge anglais diplômé d’Oxford et de l’université de Leeds. Il est aussi co-directeur de la Shapeshifter Theatre Company. (...)

Jean-Luuc 


177
Répondre en citant  
Correspondances entre Le procès de Franz Kafka et Contractions de Mike Bartlett - Sam 19 Déc 2015, 21:45

Philaunet a écrit:
Très convaincante fiction radiophonique que la pièce de Mike Bartlett, Contractions (re)diffusée  le 01.11.2015 dans le cadre d'une Soirée Angleterre*

Le sujet extrait de la présentation : « (...) dans un huis clos entre une supérieure hiérarchique et son employée, Mike Bartlett décortique, avec un humour noir allant jusqu’à l’absurde, l’ingérence du monde du travail dans la vie intime des salariés ».

Dès le début, on sent une atmosphère de science-fiction, on n'est pas loin de Bienvenue à Gattaca. La scène se joue dans le bureau d'une multinationale basée dans le Wisconsin aux États-Unis. Progression implacable de la logique d'aliénation, emploi de la langue moderne des DRH, intrigue à rebondissement, on est captivé (si l'on écoute pour écouter).

L'interprétation des deux actrices, Judith Henry (Emma) et Nathalie Richard (le manager) est sans faute.

(...)

* Première diffusion le 11 juin 2011. Dans le cadre des Chantiers d’Europe 2011 : Cycle des dramaturgies de Grande-Bretagne, en coproduction avec le Théâtre de la Ville

Le monde professionnel comme entreprise de démolition de l’individu : dans un huis clos entre une supérieure hiérarchique et son employée, Mike Bartlett décortique, avec un humour noir allant jusqu’à l’absurde, l’ingérence du monde du travail dans la vie intime des salariés. Principe poussé à son extrême, puisque dans le monde de Contractions, « aucun employé, membre du bureau ou directeur de l’entreprise ne doit s’engager avec aucun autre employé dans aucune relation, activité ou action qui soit entièrement, principalement ou partiellement de nature qui puisse être qualifiée de sexuelle ou d’amoureuse sans en informer au préalable l’entreprise. »

L’écriture maîtrisée, précise, féroce de Mike Bartlett progresse inexorablement vers la chute.

Mike Bartlett

Né en 1980, Mike Bartlett est un dramaturge anglais diplômé d’Oxford et de l’université de Leeds. Il est aussi co-directeur de la Shapeshifter Theatre Company. (...)

Merci Philaunet pour ce conseil. Le dénuement sonore mis en scène dans cette fiction est très appréciable. Pas de musique illustrative, mais seulement la brutalité sourde d'entretiens successifs entre la manager et Emma. Les faces-à-faces sont espacés grâce au bruitage d'une porte à ouverture automatique, dont la fermeture se fait de plus en plus claquante.

Par le hasard de l'écoute, Contractions trouve un heureux écho dans l'analyse de Le procès, de Kafka par Jean-Pierre Morel au micro d'Adèle Van Reeth (Nouveaux chemins du 16 décembre 2015).

Les parallèles sont féconds. Voyons les un peu plus précisément.

- Dès le début, le personnage se place en position de résistance, en position de combat, et c'est un trait qui va le marquer presque d'un bout à l'autre de l'action : le refus de faire entrer en ligne de compte quelque chose qui serait de l'ordre de l'infraction, du délit, et donc plus intimement, de la culpabilité.
[son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2015/12/s51/NET_FC_6c40f9f8-b541-4002-a503-42343473f923.mp3" debut="07:34" fin="07:58"]

- Une des choses qui est le plus marquante, c'est cette succession dans l'action d'un déroulement linéaire qui fait place à un nouveau procédé (que Kafka du reste aura tendance à utiliser davantage plus tard dans Le château), qui est le procédé de la sérialité. Une série de scènes qui se reproduisent pratiquement à l'identique avec des personnages différents et des discours différents. Mais toujours un essai de cerner de plus près le tribunal.
[son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2015/12/s51/NET_FC_6c40f9f8-b541-4002-a503-42343473f923.mp3" debut="12:20" fin="12:57"]

- (...) c'est une des caractéristiques de toutes les intrigues de Kafka, à savoir qu'elles se déroulent presque constamment sur deux fronts : le front de la procédure qui met en jeu des institutions précises, et d'autre part un front plus intime, plus subjectif, plus fantasmé et plus érotique qui a à voir avec les désirs du personnage.
[son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2015/12/s51/NET_FC_6c40f9f8-b541-4002-a503-42343473f923.mp3" debut="17:16" fin="17:48"]

- Ce qui est frappant dans toute l'histoire de Joseph K, (...) - c'est peut-être le seul trait qui rapproche vraiment Le procès des machineries totalitaires, c'est le fait que le tribunal se place toujours en position duelle. On a affaire à l'appareil contre un personnage, et cet appareil vise à la soumission, à l'obéissance, à faire filer droit l'inculpé, à s'assurer de ses occupations et à le surveiller.
[son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2015/12/s51/NET_FC_6c40f9f8-b541-4002-a503-42343473f923.mp3" debut="18:57" fin="19:42"]

- On peut penser à une phrase qui est dans le roman précédent dite par l'oncle du héros : « C'est peut-être une question de justice, mais c'est sûrement aussi une question de discipline ». Et on a l'impression qu'on a moins un personnage convoqué en justice que traduit devant un appareil disciplinaire, qui cherche à contrôler son temps, son corps (...).
[son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2015/12/s51/NET_FC_6c40f9f8-b541-4002-a503-42343473f923.mp3" debut="19:51" fin="20:20"]

- On peut reprendre le terme de prolifération utilisé par Deleuze et Guattari : l'appareil se met à fonctionner de telle sorte qu'au bout d'un moment, on a l'impression qu'il n'est plus délimité comme une institution judiciaire, mais qu'il se case absolument dans tous les recoins de la société, et que tout le monde fait partie du tribunal.
[son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2015/12/s51/NET_FC_6c40f9f8-b541-4002-a503-42343473f923.mp3" debut="21:11" fin="21:37"]

- Il y a donc chez K l'histoire de la victime d'une procédure arbitraire, mais qui dévoile aussi un désir (...) non seulement de fuite et de protection devant la justice, mais aussi un désir d'intégrer la loi, de se rapporter à elle, et par là, de mettre toute sa vie dans un certain éclairage qui peut-être alors rejoindrait celui d'une culpabilité (...).
[son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2015/12/s51/NET_FC_6c40f9f8-b541-4002-a503-42343473f923.mp3" debut="44:27" fin="45:09"]

Philaunet 

Philaunet
Admin

178
Répondre en citant  
Re: La Fiction à France Culture - Jeu 31 Déc 2015, 12:53

@ Service de La Fiction à France Culture : un message vous attend dans la rubrique SWR 2, radio culturelle allemande

En espérant que vous serez mieux traités en 2016 et que les auditeurs profiteront du savoir-faire de Radio France en matière de création radiophonique.

Philaunet 

Philaunet
Admin

179
Répondre en citant  
Analyse croisée - Mer 06 Jan 2016, 10:23

Au post 117 Correspondances entre Le procès de Franz Kafka et Contractions de Mike Bartlett - le Sam 19 Déc 2015
Jean-Luuc a écrit: (...)
Par le hasard de l'écoute, Contractions trouve un heureux écho dans l'analyse de Le procès, de Kafka par Jean-Pierre Morel au micro d'Adèle Van Reeth (Nouveaux chemins du 16 décembre 2015).

Les parallèles sont féconds. Voyons les un peu plus précisément.

- Dès le début, le personnage se place en position de résistance, en position de combat, et c'est un trait qui va le marquer presque d'un bout à l'autre de l'action : le refus de faire entrer en ligne de compte quelque chose qui serait de l'ordre de l'infraction, du délit, et donc plus intimement, de la culpabilité.
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/12/s51/NET_FC_6c40f9f8-b541-4002-a503-42343473f923.mp3" debut="07:34" fin="07:58"] (...)

Mémorable contribution que la vôtre, dont je cite un extrait comme illustration : vos sept extraits avec transcriptions (superbe travail) ont à la fois enrichi ma compréhension de la pièce radiophonique de Mike Bartlett et ma connaissance de Kafka. Ne suivant plus les Nouveaux Chemins pour cause d'allergie grave à van Reeth (ses deux courtes interruptions brusques, autoritaires et inutiles ne me ramèneront pas à cette émission), j'ai écouté avec d'autant plus de plaisir  le savant Jean-Pierre Morel débarrassé de la productrice.  

Votre observation des parallèles est très féconde et permet une meilleure compréhension de la pièce radiophonique. Je vous en suis reconnaissant.

J'en profite pour proposer l'écoute de Harriet Walter qui précise ce que la fiction radiophonique peut faire et que le théâtre, le cinéma ou la télévision ne peuvent pas : Harriet Walter asks the question: What can radio drama do that theatre, film or television can't?*

SWR 2, la radio allemande du Sud-Ouest développait ce sujet dans une série d'émissions à l'occasion des  ARD Hörspieltage (les journées de la fiction radiophonique) dont j'ai donné un écho dans BBC Drama, ARD Hörspiel : la fiction radiophonique à Radio France fait pâle figure.

Et c'est vrai : où est la réflexion sur l'art radiophonique à France Culture ? Si elle existe, où est-elle ?  En tous les cas, l'auditeur n'en profite pas. En revanche, à France Culture on aime annoncer les combats militants dans lesquels la station engage la fiction, comme le montre on ne peut mieux, via un descriptif récent, Yann Sancatorze dans Le paradigme idéologique de France Culture à propos de Jane Eyre.

*Curated by Harriet Walter is a season of dramas for Radio 3, all drawn from the theatre. Release date:  11 November 2015

martine skopan 


180
Répondre en citant  
Re: La Fiction à France Culture - Mar 12 Jan 2016, 20:33

Ai-je raté la suite de Guerre et Paix ? Je voudrais savoir comment ça finit Smile Sérieusement, Podalydès va-t-il reprendre sa lecture ?

Philaunet 

Philaunet
Admin

181
Répondre en citant  
Poda l'ennui - Mar 12 Jan 2016, 21:17

martine skopan a écrit:Ai-je raté la suite de Guerre et Paix ? Je voudrais savoir comment ça finit  Smile Sérieusement, Podalydès va-t-il reprendre sa lecture ?
[merci et bravo pour le prompt transfert vers ce fil]

Je comprends mieux votre question (et votre impatience...) à l'écoute du début du dernier épisode diffusé, le 210e, de Denis Podalydès lit \"La guerre et la paix de Léon Tolstoi\". Poda y annonce, le 20 juin 2015, « Livre deuxième, première partie, chapitre un » [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/06/s26/RF_50B76AC8-F4F1-4B27-AE07-2FC971D9BC6E_GENE.MP3" debut="00:00" fin="05:38"]

Et le numéro suivant interrompt cette passionnante (= soporifique...) suite de lectures avec le 29 juin : Denis Podalydès lit "Les lieux d'une ruse" de Georges Perec 1/5 . Depuis cette date, Tolstoï est en stand-by (à moins que ce ne soit un bye-bye définitif). Plusieurs hypothèses : le 0,5 podcast par semaine de la lecture a finalement convaincu la direction qu'il fallait passer à autre chose ; Poda s'ennuyait davantage avec ces bribes que son unique et fidèle auditrice ; le cercle des amis de Tolstoï a lancé une pétition contre la transformation de Guerre et Paix en confettis. Pour en avoir le cœur net, il faudrait demander à France Culture ce qu'il en est. On vous conseille, pour la forme, le site du Médiateur de Radio France.

Vous me donnez l'occasion de voir ce qui a été lu depuis la rentrée (il a fallu compter, parce que la liste n'indique pas le nombre de numéros, on est malin à France Culture !) :

23  X Denis Podalydès lit \"Quelle terreur en nous ne veut pas finir\" de Frédéric Boyer

21 X  Denis Podalydès lit "Sarrasine" de Balzac

27 X Denis Podalydès lit « Refus d'obéissance » de Jean Giono

14 X Denis Podalydès lit " Le poids du ciel" de Jean Giono

15 X Denis Podalydès lit \" Ecuador \" de Henri Michaux  au 12 janvier 2015

Après deux minutes de ce dernier numéro, j'en ai déjà marre... À qui et à quoi servent ces bribes, sinon à garnir l'escarcelle de Podalydès et à pouvoir arguer d'une présence quotidienne de littérature sur les ondes de la station ?

martine skopan 


182
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Guerre et Paix - Mer 13 Jan 2016, 06:34

Certes, les confettis m'ont fait enrager (sans parler des annonces et désannonces), mais comme jusqu'ici il n'y a pas eu de version intégrale audio  de Guerre et Paix, je m'en contentais. Quand on connaît l'œuvre, c'est moins gênant. Quelle idée saugrenue que ces 5 minutes! A peine le temps de désherber 1 décimètre carré, et il faut poser ses outils, enlever ses gants, passer au suivant, remettre ses gants... Mais s'arrêter au milieu du gué, c'est la Bérésina. Il y a une excellente version en anglais heureusement.

Philaunet 

Philaunet
Admin

183
Répondre en citant  
Voir outre-Manche - Mer 13 Jan 2016, 15:24

martine skopan a écrit:Certes, les confettis m'ont fait enrager (sans parler des annonces et désannonces), mais comme jusqu'ici il n'y a pas eu de version intégrale audio  de Guerre et Paix, je m'en contentais. Quand on connaît l'œuvre, c'est moins gênant. Quelle idée saugrenue que ces 5 minutes! A peine le temps de désherber 1 décimètre carré, et il faut poser ses outils, enlever ses gants, passer au suivant, remettre ses gants... Mais s'arrêter au milieu du gué, c'est la Bérésina. Il y a une excellente version en anglais heureusement.

Chez « Bonnafé lit », même chose : autant de durée d'annonce/désannonce que de lecture (avec le ton faussement enjoué et affecté de Bonna)... 210 bribes de Tolstoï ? Et personne ne s'en vante à France Culture ? Une interruption après le début du 2e livre ? On vous dira que c'est pédagogique, pour vous inciter à lire le livre...

Pas de gué à la Bérézina... c'est pourquoi les pontonniers de Napoléon sont restés célèbres (exemple : Lycée des Pontonniers à Strasbourg, appelé ainsi car ce qui était un couvent est devenu une caserne, celle des pontonniers sous Napoléon).

Écouter Tolstoï en anglais, voilà la solution à l'insuffisance de France Culture. De mon côté, j'écoute La Dame aux Camélias sous la forme adaptée par la BBC il y a déjà quelques années,The Lady of the Camellias. Cela me semble un tantinet plus intéressant que le premier numéro (je ne sais pas pour le numéro 2, je sollicite d'autres auditeurs/trices) de Chère Simone, dans la section Fiction/Vie moderne de France Culture, écrit par des journalistes qui ont des références :

- Laure-Elisabeth Bourdaud est journaliste pour J'aime lire Max, Je Bouquine, Julie, Muze, Marie France et Télérama. Elle écrit des scénarios en animation et fiction au sein du collectif INT/EXT.
- Pauline Maucort est journaliste pour France Culture (Les Pieds sur Terre, Sur les Docks) et RFI.

martine skopan 


184
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Et la Chartreuse ? - Mer 13 Jan 2016, 17:54

Sans parler de la Chartreuse de Parme : pas de version audio intégrale en français à ma connaissance. Mais une version anglaise remarquablement interprétée par Edoardo Ballerini. Ne parlons pas du Hussard sur le Toit, des oeuvres de Beauvoir, des mémoires de Yourcenar...

Merci pour les informations sur les pontonniers.

Philaunet 

Philaunet
Admin

185
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Constat lucide de Philippe Meyer sur la fiction à France Culture - Sam 16 Jan 2016, 16:25

martine skopan a écrit:Sans parler de la Chartreuse de Parme : pas de version audio intégrale en français à ma connaissance. Mais une version anglaise remarquablement interprétée  par Edoardo Ballerini. (...).

À écouter Ici dans Charterhouse Of Parma Audiobook ? Un site fiable ?

Sinon « au fil de la lecture », ceci de Philippe Meyer tiré d'un article du journaliste cité intégralement par Nessie dans le France Culture les jours de grève :
Nessie a écrit:Voici le texte publié par Le Monde : la tribune d'hier vendredi, signée Philippe Meyer

Il faut stopper la dérive de Radio France

(...) Radio France est aussi le premier employeur de comédiens du pays. Y a-t-il secret mieux gardé ? Au lieu d’être mise en avant comme l’un de nos atouts, la fiction souffre d’être considérée comme une inévitable obligation de notre cahier des charges, alors qu’une vision dynamique de ces programmes permettrait de leur donner toute la place que nous sommes seuls à pouvoir offrir. (...)

Philippe Meyer

In Le Monde - 27.03.2015 à 08h48

Philaunet 

Philaunet
Admin

186
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Rien - Lun 18 Jan 2016, 21:16

Le descriptif d'une fiction contemporaine dans le cadre de Théâtre et Compagnie du 17 janvier 2016, Mors d'auteurs-Texte Nu - Troie de Philippe Malone : rien, absolument rien.

Voilà ce qui s'appelle rendre service à la création radiophonique... (Voir ci-dessus propos de Philippe Meyer)

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187
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Re: La Fiction à France Culture -

La Fiction à France Culture     Page 18 sur 45

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