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La Fiction à France Culture    Page 17 sur 45

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Philaunet En ligne


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Journal d'un européen de Stefan Zweig 9/10 - Sam 07 Nov 2015, 14:00

Récit saisissant de l'arrivée de Hitler dans la vie publique, tableau de l'époque, réflexions politiques sur l'Autriche, l'Europe, les alliances, comparaisons historiques et bien d'autres choses  encore dans le  Journal d'un européen de Stefan Zweig 9/10.

Les deux dernières minutes : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/10/s44/WL-ITE_00074280_RSCE-10.mp3" debut="22:05" fin="24:05"]

Une adaptation mémorable.

Silvere 


Invité

162
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Rediffusions - Mer 11 Nov 2015, 14:37

Hulotte a écrit:Des vacances scolaires pour expliquer une absence de production nouvelle  ? Mais les rediffusions s'enchaînent parfois pendant plusieurs semaines de suite, indépendamment des vacances ! L'an passé, nous avons même vu annoncer la série sur la vie de la chanteuse Barbara trois fois de suite en quelques mois ...

Je pense sincèrement que ce phénomène est principalement dû à une réduction des moyens alloués à la fiction et, d'une manière plus générale, aux émissions mûrement réfléchies.

En tout cas, merci pour le lien vers la rtbf !

Bonjour,

Comme vous le savez, il y a eu un mois de grève au printemps dernier, la production "fraîche" en a forcément été affectée...

Philaunet En ligne

Philaunet
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163
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Journal d'un européen de Stefan Zweig 10/10 - Mer 11 Nov 2015, 20:18

Attention, contribution sous forme de panégyrique, mais avant cela réserves au sujet de la présentation de la lectue « Le monde d'hier : Journal d'un européen de Stefan Zweig 10/10 »

Aussi bien dans cette mémorable adaptation des Mémoires de Zweig que dans John le Carre: The Biography ou Paul Theroux, Deep South: Four Seasons on Back Roads : qui fait quoi ? Qu'entend l'auditeur ? Une voix. Un acteur qui interprète un texte. Guy Chapellier, Zweig ; Stephen Boxer, John Le Carre ; Henry Goodman, Paul Theroux.

Pour un livre, c'est l'auteur, qui est premier, pour l'audio c'est l'interprète.  Ou alors, peu importe qu'un quatuor de Beethoven soit interprété par des amateurs ou par les Alban Berg.

Il n'est pas question de nous faire un lavage de cerveau comme avec les noms de Bonnafé et Podalydès devenus des marques de lessive, mais de placer l'interprète d'un monologue à sa juste place de créateur de la production. Cela ne réduit en rien les mérites de tous ceux qui ont participé au projet*.

Il ne s'agit pas non plus de donner une valeur d'icône au lecteur, mais quand on est confronté quotidiennement à des voix non professionnelles (surtout à France Culture qui ne semble pas avoir de vocal coach, (cf. la mention de celui-ci dans Old times de Pinter), il faudrait mettre en valeur ceux qui relèvent le niveau (et qui sauvent l'honneur de la station), j'ai nommé Guy Chapellier pour cette admirââââble (emphase finkielkrautienne) adaptation de Die Welt von gestern, ou Le monde d'hier de Stefan Zweig.

Dixième épisode :  bouleversant. Et l'introduction donne le ton avec le tout début du Quatuor des Dissonances de Mozart. Zweig est à Londres, puis à Bath. Il assiste en silence aux atermoiements des Anglais. Comme Autrichien, il sait qu'il sera bientôt suspect en cas de déclaration de guerre, qu'il lui faudra s'exiler au-delà de l'Atlantique. Réflexions politiques et morales, drame personnel dont on sait qu'il finira mal en 1942 (pourquoi insister sur cela dans chaque introduction ?).

Pour sortir de cette atmosphère pesante, on peut écouter ce que dit Zweig en historien qu'il est : rien ne dure jamais. Aussi sait-il que le nazisme sera un moment limité de l'histoire. Mais lui est détruit moralement.

On peut aussi écouter la suite allègre du quatuor à partir de 1'27" (cf plus haut) moment où la réalisation a choisi de couper le chef d'oeuvre musical pour ne pas rompre avec l'atmosphère dramatique.


*Des noms associés à des productions radiophoniques soignées :
Réalisation : Etienne Vallès.
Conseillère littéraire : Emmanuelle Chevrière
Prise de son : Stéphane Desmons,
Assistance technique et montage : Emmanuel Armaing,
Mixage : Claire Levasseur
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

Philaunet En ligne

Philaunet
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Martin Crimp à « Théâtre et compagnie » - Ven 13 Nov 2015, 09:11

Dans Rediffusions - le Mer 11 Nov 2015
Silvere a écrit: (...) Comme vous le savez, il y a eu un mois de grève au printemps dernier, la production "fraîche" en a forcément été affectée...

Apparemment pas pour Théâtre et Compagnie qui programmait de la « fraîcheur » le 1er novembre («Il est comme un plongeur plongeant dans le sang ») avec Face au mur de Martin Crimp.

La page du site ne donne aucune indication sur la pièce ou l'auteur (c'est la culture de France Culture), il faut a posteriori aller chercher un descriptif ailleurs, par exemple au milieu de cet article de 2008 «Face au mur», entre les fissures : « Le quotidien le plus banal peut soudain basculer dans l’effroyable, comme dans Face au mur où le cadre rassurant d’une salle de classe se transforme soudain en bain de sang. Comme ça, pour rien, gratuitement. »

Avec, après la description d'enfants recevant des balles dans la tête, des répliques comme « il n'avait pas prévu l'aérosol de sang ».

On aime ou on n'aime pas. Le théâtre contemporain ne fait pas toujours dans la délicatesse : « Ferme ta gueule de merde, con ! » (l'original anglais de cette réplique  est peut-être plus poétique, je ne sais).

Sur la page précédente du site Soirée Angleterre (il faut s'y retrouver...) un descriptif général dans lequel on trouve le détail ci-dessous. C'est drôle, ça ne correspond pas du tout à ce que j'ai entendu, mais je crois avoir lu ces mots une dizaine de milliers de fois sur le site à propos de toutes sortes de choses :

« Face au mur » évoque l’enfermement des sociétés marquées par l’obsession de la sécurité et la peur fantasmatique de l’Autre.

Face au mur de Martin Crimp
Réalisation : Jacques Taroni
Traduction : Elisabeth Angel-Perez


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Philaunet
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Le tour de la France par deux enfants - Série de l'été 76 - Dim 15 Nov 2015, 14:42

Le titre du message est de Nessie qui écrivait  dans le fil les Programmes d'été en juillet 2014
Nessie a écrit:Ce titre, les auditeurs de France Culture le connaissent bien même s'ils ont moins de 98 ans : dû à Augustine Fouillée qui l'avait signée du pseudonyme G. Bruno c'était le manuel de lecture des petites classes dans l'école française.

Il a fait l'objet d'un documentaire dans la série "Lieux de mémoire", en 2 parties les 16 et 23 novembre 1995, soit  quasi au démarrage de la série. Documentaires de 58 minutes avec Mona Ozouf, signés Philippe Garbit

20 ans plus tôt, le Tour de France avait donné lieu à un feuilleton d'été, en 24 épisodes quotidiens, du 2 au 28 août 1976 soient 5 semaines moins la journée du 15. Avec Michel Bouquet et Nathalie Nerval. L'adaptation était de Sylvie Albert, la réalisation de Guy Delaunay.

Le programme d'été de France Culture nous en offre deux épisodes (Reims & Paris), datés du 25 et du 26 aout 1976. Ils seront diffusés dans la tranche d'après-midi "Grands écrivains" vendredi prochain, et rediffusés dans la nuit suivante (du 1 au 2 août) à 00h06.

D'abord merci pour toutes ces précisions (Le lieu de mémoire a-t-il été rediffusé ?) et puis pour cet ajout récent du 5 octobre 2015 signalant le premier épisode de cette lecture.

Nessie a écrit: (...) Alors que rien ne nous permet d'espérer que Fc nous livre un jour la série au complet, ni que l'INA vous la propose sur son site Ina-Com (com comme commerciallll), voila que les Nuits de FC viennent de nous offrir le premier épisode ce cette série d'été. Disponible en podcast à la date du 27 septembre mais atassion : dans les "Nuits rêvées & nuits spéciallles", en l'occurrence la nuit rêvée d'Hervé This.

Et pour l'écoute directe (avec repiquage sur votre PC au moyen du programme de Firefox), c'est au bout de ce lien

Il est curieux de prime abord (mais compréhensible, étude faite) de noter que la guerre franco-prussienne de 1871, et particulièrement le drame vécu par les Alsaciens et les Lorrains, a été à l'origine de deux célèbres manuels de lectures de nature patriotique pour deux pays culturellement très éloignés : « Le tour de la France par deux enfants », sous-titré Devoir et patrie pour les Français, et « La dernière classe » d'Alphonse Daudet encore employé aujourd'hui en traduction pour faire apprendre leur langue aux écoliers japonais.

La lecture de Michel Bouquet date de 1976, on n'imagine pas un tel texte être choisi maintenant par un certain D. Poda pour une lecture au long cours sur l'antenne...

Ce premier numéro commence et se conclut par une version instrumentale de  Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine.

À relier à l'épisode du Feuilleton, Le Monde d'hier, récemment diffusé, dans lequel Stefan Zweig évoque les causes de la première guerre mondiale.

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Philaunet
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La Vie trépidante de Brigitte Tornade entre dans sa 4e année - Lun 16 Nov 2015, 20:22

Depuis plus de trois ans que La vie trépidante de Brigitte Tornade est diffusée dans la case La vie moderne à 11h50 pour 5 à 7 minutes, on peut dire qu'elle dépasse très largement toutes les autres productions plus bêtifiantes les unes que les autres dans ce créneau.  Si vous ne me croyez pas tentez les récentes séries « Maternités », « Sur les bancs », « Vivants » et le plus récent « Haut et bas », dont l'écoute intégrale fera de vous un martyr de la cause critique radiophonique.  Pas encore écouté la série de 10 « Les Poilus », diffusée en octobre, peut-être parce que ceci dans le descriptif : « (...) avec le respect dû à ces hommes et à ces femmes qui allèrent au massacre sans vraiment le savoir et sans le vouloir, Vinson et Ramonet font feu de tout bois et abordent les faits, petits et grands, dans la boue, le sang et la bonne humeur ». Surtout dans la bonne humeur... (« faire feu de tout bois » ...  il est vrai que l'on fait moins de flèches de nos jours, on en a assez à France Culture).

Bref, la huitième série de La Vie trépidante de Brigitte Tornade (ou « Saison 8 ») réussit à nous faire sourire là où les autres nous font nous demander qui peut autoriser la diffusion de telles sottises.

La raison de ce succès ? Les deux acteurs principaux et une mise une scène dynamique. L'inspiration assez limitée des deux dernières séries le reste pour la 8 e série, les petits conflits familiaux en vacances étant la matière d'un humour un peu répétitif.  Bravo néanmoins à Eléonore Joncquez , Yannick Choirat et au reste de la production.

Philaunet En ligne

Philaunet
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Nettoyer devant sa porte - Dim 22 Nov 2015, 11:25

Dans un texte émaillé de fautes (ne nous étonnons plus) Zoé Sfez présente une chronique intitulée Quelle place aujourd'hui pour ces œuvres de fiction qui évoquent le terrorisme ?

Oui, quelle place. Je me le demandais le vendredi 13 novembre à 9h après avoir écouté la veille la diffusion d'une pièce de Martin Crimp décrivant en détails bien sanglants la tuerie d'enfants d'une classe dans une école (cf. plus haut Martin Crimp à « Théâtre et compagnie »).

À France Culture, tout est justifiable, surtout si l'on présente le malheur et l'apocalypse. Il y a plusieurs choses qui ne trouvent pas grâce aux yeux de cette chaîne :  la beauté, les avancées du progrès social et technique, la réflexion, l'humour, l'érudition.

Yann Sancatorze 

Yann Sancatorze

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Re: La Fiction à France Culture - Dim 22 Nov 2015, 12:52

Oui, on repense à Cécile de Kervasdoué qui chantonnait les pires horreurs de l'actualité dans ses revues de presse. FC est une radio de journalistes à présent, pas de penseurs, d'auteurs ou d'artistes. Toute idée de transcendance, d'élévation ou de progrès est sans doute perçue comme la manifestation d'un esprit superficiel et déconnecté ("ma ptite dame, voyons, avec tout ce qui s'passe dans le monde"). Pour eux, l'horreur, la destruction (de soi, des autres), l'asservissement, l'avilissement, l'opression, c'est un mode de vie qu'il faut chanter sur toutes les notes de la gamme, car ils ne savent plus faire que ça. C'est bien sûr tout le problème de gens qui s'informent de tout mais ne lisent plus rien.

Un peu de légèreté : http://www.bbc.com/news/entertainment-arts-34841590

La vidéo est très drôle, tant pour le petite fille (Alma Deutscher, qui semble échappée d'un roman austenien) que pour le journaliste ("you'll never catch me skipping anywhere").

Philaunet En ligne

Philaunet
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Martiin Crimp, « Sans titre (Vaclav et Amélia) » - Lun 23 Nov 2015, 19:44

Autre pièce radiophonique de Martin Crimp en français Sans titre (Vaclav et Amélia) (voir bas de page du descriptif). Pas très longue, une petite vingtaine de minutes. Il faut quand même s'accrocher pendant les huit premières minutes où Amélia engueule vertement Vaclav. On ne sait pas trop d'où ils viennent, mais l'arrivée d'un fermier clarifie un peu le sujet. Seule originalité de la chose, Amélia demande en français à Vaclav de traduire dans la langue du fermier ce qu'elle a à lui dire. Ce que fait avec plus ou moins de justesse ledit Vaclav, en français, pour le fermier qui répond en français, langue que l'actrice fait semblant de prendre pour une langue étrangère qu'elle ne comprend pas. Claro ?

Le théâtre de Martin Crimp cultive la tension entre personnages qui s'en veulent pour diverses raisons plus ou moins cachées. Ce n'est pas reposant... Sur la page de l'émission, un certain Louis-Do de Lencquesaing écrit ceci :

« Dans Sans Titre (Vaclav et Amélia), il est question d'un retour sur le lieu de l'exil. Une femme, accompagné [sic] de son mari, revient là elle fut [sic] recueillie, à la frontière, dans cette ferme hostile. Pour retraverser sa vie ? La parole du passeur ravivera la tragédie, la sienne, celle de nos guerres à jamais résolues. [à jamais résolues ?]
La langue effleure, affleure, " circonvolutionne " nos terreurs pour mieux les faire éclater. Il s'agit encore de montrer en disant sans jamais nommer. Ce dont on ne peut parler, il faut le revivre. »

Lencquesaing ne devrait pas tarder à apparaître chez Marie Richeux, sa langue correspond au parler maison : « La langue effleure, affleure, " circonvolutionne " nos terreurs pour mieux les faire éclater »...

Philaunet En ligne

Philaunet
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Armand, d'Emmanuel Bove - Mer 25 Nov 2015, 22:21

Comme pour se faire pardonner d'être devenue une chaîne d'information et de commentaires socio-politiques et non de transmissions de savoir (il reste quelques créneaux valables dans ce genre, mais rares, cf. Odilon Redon) et de création, France Culture a mis en avant sur le site (pas longtemps) le dernier Feuilleton de 9 épisodes + 1 consacrés à Emmanuel Bove. Philippe Garbit a même sorti de son chapeau, lors de la nuit du 23 11 2015, un numéro des Nuits magnétiques du 04 05 1983  consacré à l'auteur.

Après écoute des quatre premiers numéros, je peux conseiller la série à ceux qui aiment l'écrivain et le roman Armand (qui ne favorise pas précisément l'allégresse...).

J'en conseille définitivement et impérativement l'écoute à tous les rédacteurs des web-reportages et des pages d'émissions (à l'exception de Jeanneney dont tous les textes sont impeccables et de Finkielkraut qui n'écrit rien). En effet voilà un beau stock de dictées riches en formes du passé simple et surtout de l'imparfait et du plus-que-parfait du subjonctif (ce dernier soit dans son usage habituel - "avant que je ne l'eusse dit" - soit dans la forme soutenue du conditionnel passé 2 - "l'eût-il remarqué, j'en eusse été gêné").  

Dictées aussi de par le ton assez monocorde d'Olivier Broche  à qui je ne reprocherai pas d'être mauvais interprète.  On sent un grand travail derrière cette lecture et ce n'est pas pour rien qu'on retrouve les noms d' Emmanuelle Chevrière comme conseillère littéraire et d'Etienne Vallès à la réalisation.

Plus difficile à comprendre, l'attribution de  la "prise de son" et du "mixage" à Claire Levasseur, Bernard Lagnel, et Pierre Henry. Ne s'agit-il pas davantage pour ce dernier de la création d'une bande-son originale ? Le compositeur est d'ailleurs cité en premier dans la désannonce à la fin de l'émission*. Et c'est la moindre des choses, car cette ambiance musicale originale et très présente fait de ce feuilleton non pas une lecture simple mais une création artistique.

Maintenant, si j'ai trouvé que les trois premiers épisodes étaient assez bien habillés (ambiance musicale en deux fois quatre à cinq minutes au début et au milieu), malgré un volume trop élevé par rapport à la voix, j'aimerais bien comprendre ce qui a motivé le choix de cette ambiance appliquée au passage suivant. Il y a en effet une discordance très nette entre le contenu du texte et la bande-son. Le début reste dans le climat du récit, mais progressivement on passe à de la musique (avec notamment du xylophone) qui n'est pas sans rappeler du Steve Reich (1'30 après le début de la pastille). Si cette rupture est voulue, qu'est-ce qui la justifie ? Je ne vois pas.  [Le numéro et toute la série ont été rendus indisponibles à l'écoute, l'exemple sonore ne peut être remis en état]

Armand 4/9 d'Emmanuel Bove

Question à Nessie : cette série de 10 est-elle une rediffusion non mentionnée comme telle ?

*À noter que les quatre premières minutes de chaque épisode sont consacrées à une présentation de l’œuvre et de l'écrivain et à un résumé de l'épisode précédent. Ce dernier suffisait à partir du 2e numéro.



Dernière édition par Philaunet le Mar 02 Fév 2021, 12:52, édité 6 fois (Raison : Actualisation pastille sonore)

Jean-Luuc 


171
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Re: La Fiction à France Culture - Mer 25 Nov 2015, 23:41

Philaunet a écrit:
(...) France Culture a mis en avant sur le site (pas longtemps) le dernier Feuilleton de 9 épisodes + 1 consacrés à Emmanuel Bove. Philippe Garbit a même sorti de son chapeau, lors de la nuit du 23 11 2015, un numéro des Nuits magnétiques du 04 05 1983  consacré à l'auteur. (...)

Merci Philaunet pour cette archive Nuits magnétiques, à côté de laquelle j'étais passé. La voici à l'écoute.

Philaunet a écrit:
(...) *À noter que les quatre premières minutes de chaque épisode sont consacrées à une présentation de l'oeuvre et de l'écrivain et à un résumé de l'épisode précédent. Ce dernier suffisait à partir du 2e numéro.

Il m'a également semblé que le résumé chaque fois répété cherchait à gagner du temps sur la lecture (déja découpée en neuf épisodes au lieu des dix possiblement attendus). Celui-ci, qui contenait notamment des éléments biographiques, disparaît au dernier numéro, Journal écrit en hiver : extrait que j'ai préféré au reste. L'ensemble, dépouillé, est vraiment recommandable.

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Re: La Fiction à France Culture -

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