On connaît plusieurs des instituts et revues que les producteurs des émissions sociopolitiques de la station convoquent pour composer leurs sujets et appuyer leurs thèses. On ne reviendra pas sur les rapports entre Bourmeau/Bourgois et AOC, le premier étant le fondateur de la revue et le second son rédacteur en chef. Longtemps Nessie a signalé la présence sous-jacente ou concrète du groupe d'influence Terra Nova dans les débats et tables rondes de la station.
Une nouvelle association trouve grâce aux yeux de la station pour illustrer ses obsessions. C'est Olivia Gesbert qui en fait la promotion dans La Grande table idées Ecologie : pourquoi la technologie ne nous sauvera pas ? 15/05/2019.
L'invité était Philippe Bihouix, présenté comme "ingénieur centralien, membre du conseil d’administration de l’Institut Momentum".
Qu'est-ce que cet institut (lui faire un peu de publicité ici ne nous sera pas reproché...) ? Lire son manifeste est édifiant.
Les dernières conférences organisées :
Aussi l'on comprend l'attraction de la station pour cet organisme qui nourrit avec d'autres le programme apocalyptique de FC et qui permet de composer une émission décrite ainsi :
Face à un "techno-solutionnisme" omniprésent et aux "thurifaires de la technique " qui promettent de sauver la planète par la technologie, Philippe Bihouix nous rappelle la réalité bien matérielle et consommatrice du numérique et des nouvelles technologies.
Réchauffement climatique, pollution… Pourquoi le progrès ne nous sauvera-t-il pas ? L’ingénieur Philippe Bihouix, auteur de L'Âge des low tech. Vers une civilisation techniquement soutenable (Seuil, 2014) et du Désastre de l'école numérique (seuil, 2016), revient avec Le Bonheur était pour demain (Seuil, 2019).
La question qui se pose n'est pas que la parole soit donnée à ce genre d'expression particulière, mais que cette dernière soit hégémonique à l'antenne et que ce type de sujet d'actualité discrimine ouvertement d'autres domaines de la pensée et du savoir, interdits d'antenne aux heures de grande écoute.
Une nouvelle association trouve grâce aux yeux de la station pour illustrer ses obsessions. C'est Olivia Gesbert qui en fait la promotion dans La Grande table idées Ecologie : pourquoi la technologie ne nous sauvera pas ? 15/05/2019.
L'invité était Philippe Bihouix, présenté comme "ingénieur centralien, membre du conseil d’administration de l’Institut Momentum".
Qu'est-ce que cet institut (lui faire un peu de publicité ici ne nous sera pas reproché...) ? Lire son manifeste est édifiant.
Les dernières conférences organisées :
- Le rôle des attracteurs dans l’effondrement des systèmes complexes. Vers la radicalisation des formes de luttes (ZAD, Extinction Rebellion)
- Biorégion Ile-de-France 2050 : L’Ile-de-France après l’effondrement
- Le Mal qui vient : une expérience de pensée autour de la fin des temps
- L’effondrement comme catégorie du politique
Aussi l'on comprend l'attraction de la station pour cet organisme qui nourrit avec d'autres le programme apocalyptique de FC et qui permet de composer une émission décrite ainsi :
Face à un "techno-solutionnisme" omniprésent et aux "thurifaires de la technique " qui promettent de sauver la planète par la technologie, Philippe Bihouix nous rappelle la réalité bien matérielle et consommatrice du numérique et des nouvelles technologies.
Réchauffement climatique, pollution… Pourquoi le progrès ne nous sauvera-t-il pas ? L’ingénieur Philippe Bihouix, auteur de L'Âge des low tech. Vers une civilisation techniquement soutenable (Seuil, 2014) et du Désastre de l'école numérique (seuil, 2016), revient avec Le Bonheur était pour demain (Seuil, 2019).
La question qui se pose n'est pas que la parole soit donnée à ce genre d'expression particulière, mais que cette dernière soit hégémonique à l'antenne et que ce type de sujet d'actualité discrimine ouvertement d'autres domaines de la pensée et du savoir, interdits d'antenne aux heures de grande écoute.