Bach - Violin Sonata No. 1 in G minor, BWV 1001, Arthur Grumiaux.
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Admin
201Arthur Grumiaux (1921-1986), sonate pour violon n°1, JSB - Jeu 02 Jan 2020, 12:21
Bach - Violin Sonata No. 1 in G minor, BWV 1001, Arthur Grumiaux.
Philaunet
Admin
202Dmitry Shostakovich par Truls Mørk - Dim 02 Fév 2020, 14:42
L'avant-dernière pièce choisie par Helen Cammock dans le numéro de Private Passions du 12-01-2020 :
Dmitry Shostakovich
Cello Concerto no.1 in E flat major (1st mvt: Allegretto)
Performer: Truls Mørk. Orchestra: Oslo Philharmonic Orchestra. Conductor: Vasily Petrenko.
Michael Berkeley trouve le premier mouvement dansant et pas sans rappeler la musique folklorique. Pour en juger, voir ici :
Pour davantage de Truls et de Mørk : Truls Mørk, violoncelliste norvégien (2e émission) le Lun 13 Jan 2020.
Dmitry Shostakovich
Cello Concerto no.1 in E flat major (1st mvt: Allegretto)
Performer: Truls Mørk. Orchestra: Oslo Philharmonic Orchestra. Conductor: Vasily Petrenko.
Michael Berkeley trouve le premier mouvement dansant et pas sans rappeler la musique folklorique. Pour en juger, voir ici :
Pour davantage de Truls et de Mørk : Truls Mørk, violoncelliste norvégien (2e émission) le Lun 13 Jan 2020.
Curly
203Re: Le coin de l'écoute musicale - Jeu 06 Fév 2020, 22:27
La compagnie des zœuvres
"A la conquête des Beatles »
Titre complètement débile : plus on réfléchit au sens qu’il peut avoir, plus on le trouve vide. « A la conquête », ça sonne bien, colonisons, colonisons. Bande d'impérialistes.
« A l'université Beatles ». Un fort beau titre. Pas débile pour un sous, à condition de ne pas le lire.
What ? Les Beatles : encore ? Y’a pas autre chose ?
Université : garanti de sérieux, ça va être en même temps popu et savant.
Étrangement, ici, contrairement à la série immortelle sur Chopin, de la musique, en veux-tu en voilà.
« Les Beatles ne sont plus seulement objet d’admiration pour leurs fans, mais sont devenus un véritable objet d’études universitaires. »
Comme à peu près tout ce qui bouge, ou non, dans notre univers. L’universitaire invité, il utilise le « rrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah » en guise de ponctuation. J'eusse pu vous en mettre une louche mais l'émission n'est pas disponible en écoute. J'avais sélectionné le passage de 17'06'' à 18'38''. Précis isn't it ?
[Une pastille aurait dû éclore ICI]
Pour le contenu, Elizabeth number one a eu Shakespeare/Elizabeth number two a eu les Beatles.
Ça nous fait une belle gambette, tiens.
Pause number one : Version à peine sarcastique, Maître Rrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah en parle wikipédiesquement dans l’émission.
« Du « son Beatles » au rapport à la musique savante, tour d’horizon de la recherche scientifique sur ce groupe qui a conquis la culture académique. » La musique savante et l’académisme servent de caution. La culture académique, c’est quoi exactement ? La musique chiante ? Comme la peinture académique pourrait être de la peinture moche ? Ma Didine, aide-moi !
Les Beatles, c’est quand même pas de la musique hyper complexe jouée par des virtuoses. D’ailleurs, la simplicité et la non virtuosité, why not ?
Mais là, musicalement, faut pas pousser mémé dans les orties.
Tout le monde aime les Beatles, et ceux qui trouvent ça au mieux sympatoche, au pire platounet sont voués au silence et frappés d’une fatwa, autant dire qu’ils ne sont pas normaux.
Pause number two : Don Ellis.
Quelques propos de Rrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah sont reproduits sur la page :
« Les nombreuses adaptations instrumentales et même symphoniques participent à la légitimation des Beatles et, à travers eux, de la musique populaire en tant qu’objet d’étude digne des universitaires. »
Si l’on pense que même les chansons de Johnny Hallyday ont été adaptées pour orchestre symphonique, à quand une Compagnie des Zœuvres sur l’illustre chanteur? Hein Didine ?
« Avec les Beatles, l’opposition entre musique pop et musique classique s’estompe : ils ont bénéficié du soutien de la haute culture, en particulier de personnalités de la musique savante, comme par exemple Leonard Bernstein. »
Belle opposition haute et basse culture, avec la caution d’un grand chef étoilé.
Là donc nous sommes dans la basse si j’ai bien suivi, qui a eu une promo pour passer dans la haute.
Mais, suivez mieux : c’est la lutte des classes dans la culture. La culture populo qui révolutionne la noble musique, c’est la lutte finale ! T’es toujours d’accord ma Didine ?
Que ceux qui trouvent ça gonflant et qui n’en ont rien à foutre soient maudits jusqu’à la fin des temps, donc la fin de leur vie, donc bientôt, puisque la fin des temps c’est dans pas longtemps.
« Songez seulement à l’originalité d’un air des Beatles comme celui-ci, qui n’utilise que les ressources les plus élémentaires de la pop music : « I was alone, I took a ride, I didn’t know what I would find there... » Cela pourrait presque être du Schumann ; c’est si expansif, si romantique ! - Leonard Bernstein »
Les propos étaient peut-être sincères, mais ils avaient pour but d’attirer les jeunes générations aux concerts dits « classiques ». Les moulinades sur les distinctions entre les différentes catégories de musique, ça commence sérieusement à me gonfler.
« Enfin, les Beatles constituent un bouleversement aussi par leur approche du son : c’est* les premiers musiciens à passer aux manettes en régie, où ils s’emploient à tout un tas d’expérimentations en quête d’un son inédit. » (*ce sont)
N’importe quoi : cf Frank Zappa dès la fin des années 50.
« Tas d’expérimentations », comme des pompages grossiers, mais vraiment grossiers, des musiques concrètes du Stockhausen des années 50/60. « Son inédit », faut pas non plus exagérer.
Pause number three : McCartney a affirmé que I am the Walrus était injouable sur scène.
Donc
"A la conquête des Beatles »
Titre complètement débile : plus on réfléchit au sens qu’il peut avoir, plus on le trouve vide. « A la conquête », ça sonne bien, colonisons, colonisons. Bande d'impérialistes.
« A l'université Beatles ». Un fort beau titre. Pas débile pour un sous, à condition de ne pas le lire.
What ? Les Beatles : encore ? Y’a pas autre chose ?
Université : garanti de sérieux, ça va être en même temps popu et savant.
Étrangement, ici, contrairement à la série immortelle sur Chopin, de la musique, en veux-tu en voilà.
« Les Beatles ne sont plus seulement objet d’admiration pour leurs fans, mais sont devenus un véritable objet d’études universitaires. »
Comme à peu près tout ce qui bouge, ou non, dans notre univers. L’universitaire invité, il utilise le « rrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah » en guise de ponctuation. J'eusse pu vous en mettre une louche mais l'émission n'est pas disponible en écoute. J'avais sélectionné le passage de 17'06'' à 18'38''. Précis isn't it ?
[Une pastille aurait dû éclore ICI]
Pour le contenu, Elizabeth number one a eu Shakespeare/Elizabeth number two a eu les Beatles.
Ça nous fait une belle gambette, tiens.
Pause number one : Version à peine sarcastique, Maître Rrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah en parle wikipédiesquement dans l’émission.
« Du « son Beatles » au rapport à la musique savante, tour d’horizon de la recherche scientifique sur ce groupe qui a conquis la culture académique. » La musique savante et l’académisme servent de caution. La culture académique, c’est quoi exactement ? La musique chiante ? Comme la peinture académique pourrait être de la peinture moche ? Ma Didine, aide-moi !
Les Beatles, c’est quand même pas de la musique hyper complexe jouée par des virtuoses. D’ailleurs, la simplicité et la non virtuosité, why not ?
Mais là, musicalement, faut pas pousser mémé dans les orties.
Tout le monde aime les Beatles, et ceux qui trouvent ça au mieux sympatoche, au pire platounet sont voués au silence et frappés d’une fatwa, autant dire qu’ils ne sont pas normaux.
Pause number two : Don Ellis.
Quelques propos de Rrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah sont reproduits sur la page :
« Les nombreuses adaptations instrumentales et même symphoniques participent à la légitimation des Beatles et, à travers eux, de la musique populaire en tant qu’objet d’étude digne des universitaires. »
Si l’on pense que même les chansons de Johnny Hallyday ont été adaptées pour orchestre symphonique, à quand une Compagnie des Zœuvres sur l’illustre chanteur? Hein Didine ?
« Avec les Beatles, l’opposition entre musique pop et musique classique s’estompe : ils ont bénéficié du soutien de la haute culture, en particulier de personnalités de la musique savante, comme par exemple Leonard Bernstein. »
Belle opposition haute et basse culture, avec la caution d’un grand chef étoilé.
Là donc nous sommes dans la basse si j’ai bien suivi, qui a eu une promo pour passer dans la haute.
Mais, suivez mieux : c’est la lutte des classes dans la culture. La culture populo qui révolutionne la noble musique, c’est la lutte finale ! T’es toujours d’accord ma Didine ?
Que ceux qui trouvent ça gonflant et qui n’en ont rien à foutre soient maudits jusqu’à la fin des temps, donc la fin de leur vie, donc bientôt, puisque la fin des temps c’est dans pas longtemps.
« Songez seulement à l’originalité d’un air des Beatles comme celui-ci, qui n’utilise que les ressources les plus élémentaires de la pop music : « I was alone, I took a ride, I didn’t know what I would find there... » Cela pourrait presque être du Schumann ; c’est si expansif, si romantique ! - Leonard Bernstein »
Les propos étaient peut-être sincères, mais ils avaient pour but d’attirer les jeunes générations aux concerts dits « classiques ». Les moulinades sur les distinctions entre les différentes catégories de musique, ça commence sérieusement à me gonfler.
« Enfin, les Beatles constituent un bouleversement aussi par leur approche du son : c’est* les premiers musiciens à passer aux manettes en régie, où ils s’emploient à tout un tas d’expérimentations en quête d’un son inédit. » (*ce sont)
N’importe quoi : cf Frank Zappa dès la fin des années 50.
« Tas d’expérimentations », comme des pompages grossiers, mais vraiment grossiers, des musiques concrètes du Stockhausen des années 50/60. « Son inédit », faut pas non plus exagérer.
Pause number three : McCartney a affirmé que I am the Walrus était injouable sur scène.
Donc
Dernière édition par Curly le Dim 09 Fév 2020, 20:01, édité 1 fois
Fontaine
20458 mn https://www.franceculture.fr/personne-matthieu-garrigou-lagrange.html Choppe un « facilement, facilement ! » - Ven 07 Fév 2020, 08:27
Permettez une petite contribution à votre travail Monsieur Crl.
Incontestablement les Beatles laissent une oeuvre monumentale derrière eux aussi bien en qualité qu'en quantité mais pas au point de vouloir la massacrer dans une émission sur imposturefrance.
Les Mozart de la compagnie des œuvres donnent une envie d'être sourd. Passons.
J'ai un souvenir d'une très bonne reprise de "I am the Walrus" tcoukou, tchoucou, tchoucou par les Soopky Thooth même si à l'époque j’avais une Dent Effrayant contre le hard rock. Mattiouz pourrait faire une émission sur la collaboration de spooky thoot avec Pierre Henri, oui une émission belle comme une messe pour un temps présent et on irait jusqu’à voir s'il y a un loup-garou dans la grange (donnez-moi 2 balles), cette parenthèse est a double sens m'aperçois-je en l'écrivant.
Pour bibi une des plus belles chansons des 4 garçons dans l'évent est "for no one" et la qualité de la musique a été superbement révélée par la retranscription de ce morceau en musique baroque (il existe 2 cd Beatles Baroque)
https://youtu.be/HuphFPEqJqw
le adaptations ne manquent pas sur (dans) le Tube.
Pour conclubellanger je constate qu'il est des djeunes qui ne se prennent pas la tête, les djeunes de france imposture sont déjà vieux mais pas question de leur donner la retraite.
https://youtu.be/140Cr7IsG5g?t=7
Ce forum vous fasse rencontrer Lucie dans le ciel avec des diamants . <---- avant LSD - après----->
Incontestablement les Beatles laissent une oeuvre monumentale derrière eux aussi bien en qualité qu'en quantité mais pas au point de vouloir la massacrer dans une émission sur imposturefrance.
Les Mozart de la compagnie des œuvres donnent une envie d'être sourd. Passons.
J'ai un souvenir d'une très bonne reprise de "I am the Walrus" tcoukou, tchoucou, tchoucou par les Soopky Thooth même si à l'époque j’avais une Dent Effrayant contre le hard rock. Mattiouz pourrait faire une émission sur la collaboration de spooky thoot avec Pierre Henri, oui une émission belle comme une messe pour un temps présent et on irait jusqu’à voir s'il y a un loup-garou dans la grange (donnez-moi 2 balles), cette parenthèse est a double sens m'aperçois-je en l'écrivant.
Pour bibi une des plus belles chansons des 4 garçons dans l'évent est "for no one" et la qualité de la musique a été superbement révélée par la retranscription de ce morceau en musique baroque (il existe 2 cd Beatles Baroque)
https://youtu.be/HuphFPEqJqw
le adaptations ne manquent pas sur (dans) le Tube.
Pour conclubellanger je constate qu'il est des djeunes qui ne se prennent pas la tête, les djeunes de france imposture sont déjà vieux mais pas question de leur donner la retraite.
https://youtu.be/140Cr7IsG5g?t=7
Ce forum vous fasse rencontrer Lucie dans le ciel avec des diamants . <---- avant LSD - après----->
Philaunet
Admin
205'Walk to the Paradise Garden' - Dim 09 Fév 2020, 11:09
Pour la pleine lune d'hiver, de circonstance en ce 9 février
Image du clip d'accompagnement qui referme la pièce de Frederick Delius*, 'Walk to the Paradise Garden'
Image du clip d'accompagnement qui referme la pièce de Frederick Delius*, 'Walk to the Paradise Garden'
* Frederick Delius* qui a aussi composé On Hearing the First Cuckoo in Spring... Le coucou ?
Philaunet
Admin
206Pas la guimauve commerciale de FC, mais Shoji Hano, Jeff Henderson & Todd Nicholson - Mer 12 Fév 2020, 21:08
Repéré dans Radio New Zealand. En plus du saxophoniste Jeff Henderson, on a le droit d'aimer le batteur Shoji Hano... La fin de la séquence est coupée abruptement.
Récapitulatif : les contributions à ce forum du 3 au 9 février 2020 (semaine 6)
****************
Récapitulatif : les contributions à ce forum du 3 au 9 février 2020 (semaine 6)
Philaunet
Admin
207Anniversaire - Sam 15 Fév 2020, 11:37
Ludwig van Beethoven: Streichquartett f-Moll op. 95 "Musikstück der Woche vom 15.02.2020"
Das Minetti Quartett
Philaunet
Admin
208''Quatuor pour la fin du temps : Louange à l'éternité de Jésus'' - Jeu 20 Fév 2020, 10:56
Pas pour les apocalyptiques hypocrites de France C. : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/20330-04.02.2020-ITEMA_22273164-0.mp3" debut="26:46" fin="34:24"]
Et dans quelle émission de France Musique ceci ?
Réponse demain...
Et dans quelle émission de France Musique ceci ?
Réponse demain...
Philaunet
Admin
209Joseph Phibbs, né en 1974, ''Agea'' - Dim 01 Mar 2020, 10:27
En complément du Radio 3 Lunchtime Concert
Haydn: String Quartet Op 33 No 2 in E flat 'The Joke'
Franck: Piano Quintet in F minor FWV 7
Une pièce de Joseph Phibbs, Agea. Ensemble: Navarra String Quartet. Joseph Phibbs: The Canticle of the Rose. NMC Recordings.
Haydn: String Quartet Op 33 No 2 in E flat 'The Joke'
Franck: Piano Quintet in F minor FWV 7
Une pièce de Joseph Phibbs, Agea. Ensemble: Navarra String Quartet. Joseph Phibbs: The Canticle of the Rose. NMC Recordings.
Curly
210En raison d'un hommage minimaliste de nos radios culturelles... - Dim 08 Mar 2020, 19:22
Milieu des années 90 dans une pinède varoise. Une estrade, un concert un soir d’orage en plein été.
Après une première partie assurée par des musiciens locaux, arrive McCoy Tyner : aux premiers accords le piano se met à trembler, l’orage éclate.
Avery Sharpe était à la basse, Aaron Scott à la batterie, et Michael Brecker au saxophone.
Wave, extrait de « Supertrios » (1977), Ron Carter, basse, Tony Williams, batterie.
Après une première partie assurée par des musiciens locaux, arrive McCoy Tyner : aux premiers accords le piano se met à trembler, l’orage éclate.
Avery Sharpe était à la basse, Aaron Scott à la batterie, et Michael Brecker au saxophone.
Wave, extrait de « Supertrios » (1977), Ron Carter, basse, Tony Williams, batterie.
Philaunet
Admin
211Heureusement ''Avis thérapeutique'' et Kaija Saariaho - Dim 08 Mar 2020, 22:39
[Très bel hommage en musique au pianiste McCoy Tyner dans le post précédent]
******
La recension toujours aussi limpide et pertinente faite dans le post au titre si juste Encore un Excellent Avis Critique cette semaine (c'est tellement vrai qu'on devrait le couvrir d'éloges, comme Bourmeau de la "Suite dans les idées" qui loue et retweete le rédacteur en chef de son magazine en ligne, aoc, qui n'est autre que l'animateur d'Avis critique - non, mais non, il n'y a pas d'entre-soi à la station parisienne...), cette recension, donc, permet d'écouter une œuvre de Kaija Saariaho "L'Aile du songe (2001), concerto per flauto ed orchestra" (1/2) & (2/2).
Si vous aimez les méditations au shakuhachi, c'est le moment d'écouter cette belle pièce. Également, si vous aimez les pièces pour flûte de Francis Poulenc. De mon côté, c'est dans la boîte pour écoutes multiples.
Note : À quoi reconnaît-on que ce site (Regard sur France Culture) n'a aucun lien avec la station parisienne (il semble que certains lecteurs pensent encore que ce "forum" est un des canaux d'expression administré par la station publique, que nenni !) ? Simple : sur les ondes de la station parisienne sont diffusées Casey et Madonna, sur ce site on découvre Kaija Saariaho et McCoy Tyner.
Écoutez la différence !
******
La recension toujours aussi limpide et pertinente faite dans le post au titre si juste Encore un Excellent Avis Critique cette semaine (c'est tellement vrai qu'on devrait le couvrir d'éloges, comme Bourmeau de la "Suite dans les idées" qui loue et retweete le rédacteur en chef de son magazine en ligne, aoc, qui n'est autre que l'animateur d'Avis critique - non, mais non, il n'y a pas d'entre-soi à la station parisienne...), cette recension, donc, permet d'écouter une œuvre de Kaija Saariaho "L'Aile du songe (2001), concerto per flauto ed orchestra" (1/2) & (2/2).
Si vous aimez les méditations au shakuhachi, c'est le moment d'écouter cette belle pièce. Également, si vous aimez les pièces pour flûte de Francis Poulenc. De mon côté, c'est dans la boîte pour écoutes multiples.
Note : À quoi reconnaît-on que ce site (Regard sur France Culture) n'a aucun lien avec la station parisienne (il semble que certains lecteurs pensent encore que ce "forum" est un des canaux d'expression administré par la station publique, que nenni !) ? Simple : sur les ondes de la station parisienne sont diffusées Casey et Madonna, sur ce site on découvre Kaija Saariaho et McCoy Tyner.
Écoutez la différence !
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