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Commentaires de commentaires    Page 14 sur 32

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Jean-Luuc 


131
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Re: Commentaires de commentaires - Dim 05 Fév 2017, 20:31

Antoine Arnoux(https://regardfc.1fr1.net/t732p130-commentaires-de-commentaires#28112) a écrit:(...)
Dans cette (petite) affaire (non pas insignifiante pour autant), rien ne me paraît évident. D'une part, n'ont pas (encore ?) été éradiquées par les « administrateurs » certaines contributions du dit Sarabande qui me semblent tomber sous le coup de l'arrêt que vous invoquez pour justifier l'abolition entreprise (...). D'autre part, hier après-midi, le « Regard choisi » consistait en la réponse de Yann Sancatorze datant du 13 janvier dernier. Or, cette contribution (en forme de réplique) ne citant pas littéralement celle à laquelle elle se rapporte manque quelque peu de clarté. De surcroît, elle contient la mention liminaire suivante : « [En réponse à un post disparu du pseudo ''Sarabande''] ». J'avoue m'être mépris sur le sens de la forme adjective « disparu ». Je me félicite donc d'avoir contribué à faire éclaircir ce point – qui n'importe sans doute qu'à moi.  
(...)

C'est exact, tous les posts de Sarabande n'ont pas été retirés, la décision a été prise collégialement sur ce point mais peut être révisée après tout...

Philaunet 

Philaunet
Admin

132
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La ''Brockes Passion'', un compte-rendu de Fred de Rouen - Lun 04 Sep 2017, 22:43

Le post de Fred de Rouen, La Brockes Passion de Telemann et son pasticcio, relu (avec les pastilles sonores) après écoute de l'intégralité du concert montre combien est précieux un compte-rendu de lecteur, étoffé de surcroît d'informations précises qui font défaut au descriptif de la chaîne. Surtout quand il  suscite un suivi comme celui de bishop dans La Brockes Passion de Telemann, deux autres versions qui permet d'aller encore plus loin. Merci encore pour cette belle contribution.





Philaunet 

Philaunet
Admin

133
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La Brockes Passion, d'accord, mais aussi la passion pour La Broque - Mar 05 Sep 2017, 09:14

Pour rappeler qu'il n'y a pas que la musique dans la vie (ah ?), ajoutons à la Brockes Passion, la passion pour La Broque, dans la vallée de la Bruche, au cœur de l'Alsace...

Commentaires de commentaires - Page 14 280px-La_Broque_67



fred de rouen 


134
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Rions un peu - Mer 06 Sep 2017, 11:38

Dans ce post de réponse à un recadrage de SamVa, vous prenez l'exemple, Philaunet, du dentiste du XIXe siècle.

Je ne résiste pas au plaisir quelque peu sadique de vous soumettre deux exemples de fabuleux arrachages fin-de-siècle. Je copie le premier de ces textes célèbres, un extrait du chapitre IV d'À Rebours de Joris-Karl Huysmans:

Commentaires de commentaires - Page 14 A_rebo10

"Il y avait de cela, trois années ; pris, au milieu d’une nuit, d’une abominable rage de dents, il se tamponnait la joue, butait contre les meubles, arpentait, semblable à un fou, sa chambre.

C’était une molaire déjà plombée ; aucune guérison n’était possible ; la clef seule des dentistes pouvait remédier au mal. Il attendait, tout enfiévré, le jour, résolu à supporter les plus atroces des opérations, pourvu qu’elles missent fin à ses souffrances.

Tout en se tenant la mâchoire, il se demandait comment faire. Les dentistes qui le soignaient étaient de riches négociants qu’on ne voyait point à sa guise ; il fallait convenir avec eux de visites, d’heures de rendez-vous. C’est inacceptable, je ne puis différer plus longtemps, disait-il ; il se décida à aller chez le premier venu, à courir chez un quenottier du peuple, un de ces gens à poigne de fer qui, s’ils ignorent l’art bien inutile d’ailleurs de panser les caries et d’obturer les trous, savent extirper, avec une rapidité sans pareille, les chicots les plus tenaces ; chez ceux-là, c’est ouvert au petit jour et l’on n’attend pas. Sept heures sonnèrent enfin. Il se précipita hors de chez lui, et se rappelant le nom connu d’un mécanicien qui s’intitulait dentiste populaire et logeait au coin d’un quai, il s’élança dans les rues en mordant son mouchoir, en renfonçant ses larmes.

Arrivé devant la maison, reconnaissable à un immense écriteau de bois noir où le nom de « Gatonax » s’étalait en d’énormes lettres couleur de potiron, et en deux petites armoires vitrées où des dents de pâte étaient soigneusement alignées dans des gencives de cire rose, reliées entre elles par des ressorts mécaniques de laiton, il haleta, la sueur aux tempes ; une transe horrible lui vint, un frisson lui glissa sur la peau, un apaisement eut lieu, la souffrance s’arrêta, la dent se tut.

Il restait, stupide, sur le trottoir ; il s’était enfin roidi contre l’angoisse, avait escaladé un escalier obscur, grimpé quatre à quatre jusqu’au troisième étage. Là, il s’était trouvé devant une porte où une plaque d’émail répétait, inscrit avec des lettres d’un bleu céleste, le nom de l’enseigne. Il avait tiré la sonnette, puis, épouvanté par les larges crachats rouges qu’il apercevait collés sur les marches, il fit volte-face, résolu à souffrir des dents, toute sa vie, quand un cri déchirant perça les cloisons, emplit la cage de l’escalier, le cloua d’horreur, sur place, en même temps qu’une porte s’ouvrit et qu’une vieille femme le pria d’entrer.

La honte l’avait emporté sur la peur ; il avait été introduit dans une salle à manger ; une autre porte avait claqué, donnant passage à un terrible grenadier, vêtu d’une redingote et d’un pantalon noirs, en bois ; des Esseintes le suivit dans une autre pièce.

Ses sensations devenaient, dès ce moment, confuses. Vaguement il se souvenait de s’être affaissé, en face d’une fenêtre, dans un fauteuil, d’avoir balbutié, en mettant un doigt sur sa dent : « elle a déjà été plombée ; j’ai peur qu’il n’y ait rien à faire. »

L’homme avait immédiatement supprimé ces explications, en lui enfonçant un index énorme dans la bouche ; puis, tout en grommelant sous ses moustaches vernies, en crocs, il avait pris un instrument sur une table.

Alors la grande scène avait commencé. Cramponné aux bras du fauteuil, des Esseintes avait senti, dans la joue, du froid, puis ses yeux avaient vu trente-six chandelles et il s’était mis, souffrant des douleurs inouïes, à battre des pieds et à bêler ainsi qu’une bête qu’on assassine.

Un craquement s’était fait entendre, la molaire se cassait, en venant ; il lui avait alors semblé qu’on lui arrachait la tête, qu’on lui fracassait le crâne ; il avait perdu la raison, avait hurlé de toutes ses forces, s’était furieusement défendu contre l’homme qui se ruait de nouveau sur lui comme s’il voulait lui entrer son bras jusqu’au fond du ventre, s’était brusquement reculé d’un pas, et levant le corps attaché à la mâchoire, l’avait laissé brutalement retomber, sur le derrière, dans le fauteuil, tandis que, debout, emplissant la fenêtre, il soufflait, brandissant au bout de son davier, une dent bleue où pendait du rouge !

Anéanti, des Esseintes avait dégobillé du sang plein une cuvette, refusé, d’un geste, à la vieille femme qui rentrait, l’offrande de son chicot qu’elle s’apprêtait à envelopper dans un journal et il avait fui, payant deux francs, lançant, à son tour, des crachats sanglants sur les marches, et il s’était retrouvé, dans la rue, joyeux, rajeuni de dix ans, s’intéressant aux moindres choses."

                                                                                                          * * * *

Le second extrait est une excellente nouvelle de Marcel Schwob, Sur les dents, parue en 1891 dans le recueil Coeur double.

Commentaires de commentaires - Page 14 Schwob10



Je vous souhaite le meilleur appétit.

Philaunet 

Philaunet
Admin

135
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De l'usage de la machine à coudre mécanique en dentisterie - Jeu 14 Sep 2017, 14:27

fred de rouen(https://regardfc.1fr1.net/t732p130-commentaires-de-commentaires#28795) a écrit: (...) vous prenez l'exemple, Philaunet, du dentiste du XIXe siècle.

Je ne résiste pas au plaisir quelque peu sadique de vous soumettre deux exemples de fabuleux arrachages fin-de-siècle. Je copie le premier de ces textes célèbres, un extrait du chapitre IV d'À Rebours de Joris-Karl Huysmans (...) Le second extrait est une excellente nouvelle de Marcel Schwob, Sur les dents, parue en 1891 dans le recueil Coeur double. (...)
Alors vous aussi, Fred de Rouen, vous reprenez l'antienne des "sans-dents" ? Smile

Soit dit en passant cette expression reste celle que l'ex-compagne du précédent président prête à ce dernier, sans que rien ne soit avéré. Mais cela fait plaisir aux satiristes à la petite semaine de gonfler un prétendu mot, puis aux mélenchonistes de s'en emparer (comme celui de "fainéants") pour labourer leur campagne populiste.

Merci encore, Fred de Rouen, de nous avoir donné ce premier texte hilarant et un autre de Marcel Schwob, auteur pas assez traité par France Culture

Permettez-moi de mentionner une scène d’anthologie se trouvant dans le roman Balzac et la Petite Tailleuse chinoise (2000) de Dai Sijie (p. 162 à 166, non trouvables en ligne, volontaires pour la transcription bienvenus !), qui a des ressemblances frappantes avec la scène du livre de Huysmans. Dai Sijie faisant d’ailleurs de la lecture de la littérature française fin de siècle le moyen d’émancipation de ses deux héros, il ne peut pas ne pas avoir lu À Rebours.

Une blogueuse a transcrit les premières lignes appétissantes de cette scène :

La denture du chef se présentait comme une sierra déchiquetée. Sur une gencive noircie et enflée, se dressaient trois incisives semblables à des roches préhistoriques de basalte, de couleur sombre, tandis que ses canines évoquaient les pierres de l’époque diluvienne, en travertin mat, couleur tabac. Quant aux molaires, certaines présentaient des rainures sur la couronne, ce qui, le fils du dentiste l’affirma sur un ton nosographique, était la marque d’un antécédent de syphilis. Le chef détourna la tête, sans nier ce diagnostic.” (p. 162-163)

Pour un bref commentaire sur cette scène et sa description :

'' (...) the dentistry scene, one of the most uproarious scenes of slapstick comedy in the novel. At the end of that scene, a darker note is also struck, as the narrator works the sewing machine pedal slowly knowing that the slower he goes, the more excruciating the experience is for the village headman, the boys' unfortunate patient: "Suddenly, I felt the stirrings of an uncontrollably sadistic impulse, like a volcano about to erupt. I thought about all the miseries of re-education, and slowed down the pace of the treadle" (p. 143).

Philaunet 

Philaunet
Admin

136
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Qui a dit que le niveau baissait ? - Jeu 21 Sep 2017, 20:12

Le niveau baisse, paraît-il. Un petit village résiste néanmoins, celui de Regards-sur-France Culturum...

Ci-dessous de récentes contributions marquantes que je signale pour mémoire, nouvelle lecture et potentielles réactions.

Fred de Rouen : Continent musiques : îlot de culture le Mar 19 Sep 2017 sur Robert Schumann. Extrait : ''la lecture du descriptif de l’émission a retenu mon attention. Le producteur nous  proposait une « plongée dans l’œuvre polyphonique et polysémique du compositeur Robert Schumann avec le Quatuor Modigliani, le philosophe Thomas Dommange et la pianiste Dana Ciocarlie. » Tiens, tiens, « l’œuvre polyphonique et polysémique du compositeur »... Je retrouve dans ces formulations une part de l’ambition sur quoi était fondée la réussite des grandes émissions musicales de France Culture dans les années 90. ''.

Masterkey : L'entretien de M. Descartes avec M. Pascal le jeune le Mar 19 Sep 2017. Extrait : "Jean-Claude Brisville (...) a tissé pour nous conter la chose un dialogue convaincant, édifiant, qui alterne habilement un rappel des idées de ces deux êtres d’exception - en reprenant parfois un peu lourdement, il faut le dire, certaines des formules célèbres qu’on leur doit - et la  confrontation imaginaire de leur point de vue."

Masterkey :  Nicolas Martin, Jean-Philippe Uzan et Podcast Science  le Jeu 21 Sep 2017, à propos de La Méthode scientifique et des émissions scientifiques passées et présentes à France Culture. Extraits : " (...) on retient plusieurs choses : la bonne volonté, la candeur et probablement l’honnêteté de Nicolas Martin, mais aussi et surtout la coïncidence de phase dans laquelle il se trouve avec le dogme radiophonique actuel de France Culture : promotion du direct, des émissions de flux, du format magazine, de la nécessité première de la fameuse lisibilité pour l’auditeur, l’amour du ton des conversations adolescentes, de l’humour lourd, du jeunisme, la négligence et même la non-connaissance de ce qui a été autrefois produit par France Culture en matière d’émission scientifique et même culturelle." et "il faut relever une très bonne question posée par l’un des participants de Podcast Science : celle du pilotage éventuel du programme de la Méthode Scientifiques et des autres émissions de Radio France par les livres et le monde de l’édition plutôt que par les publications dans des revues à comité de lecture. "

Philaunet 

Philaunet
Admin

137
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Roger Scruton - Ven 06 Oct 2017, 14:16

En repassant par le fil Cultures Monde,  une pastille faite par Rowan en réponse à Yann 114, le tout en citation. Roger Scruton, à réécouter après une dose de Matinale, par exemple..

Roger Scruton interrogé par un des personnages de son dernier livre, Florian Delorme

Philaunet 

Philaunet
Admin

138
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Fred de Rouen pour « De la musique avant toute chose » - Mar 17 Oct 2017, 12:08

Un nouveau billet "phare" pour éclairer ce qu'est devenue France Culture au fil des ans : De la musique avant toute chose. Merci Fred de Rouen pour cette mise en perspective, c'est très précieux.

Votre conclusion :
fred de rouen(https://regardfc.1fr1.net/t261p80-la-musique-a-france-culture#29132) a écrit: (...) Il fut un temps, sur France Culture, où l'on nous délivrait de magnifiques cours d'histoire par le biais de compositeurs et de leurs œuvres. Un exemple. J'avais alors découvert - et compris - avec un réel enthousiasme intellectuel, que la meilleure façon d'appréhender, presque intuitivement, les drames et la complexité de la guerre de Trente ans était de parcourir l’œuvre du compositeur allemand Heinrich Schütz...
Ceci se doit d'être complété par une recommandation d'écoute, captée justement aujourd'hui, un splendide concert du Cantus Cölln dans l'émission Early Music Late du dimanche 15 octobre dont le programme est présenté par ces mots :

"Cantus Cölln performs a programme of music by Heinrich Schutz, Johann Herman Schein, and Heinrich Albert; three composers who lived and wrote through the Thirty Years' War which raged in much of present-day Germany from 1618 to 1648. Introduced by Elin Manahan Thomas.".

Elin Manahan Thomas qui fait justement en 2017 sur BBC 3, radio culturelle publique, le travail que firent en leur temps Daniela Langer et Jeanne-Martine Vacher à France Culture, à savoir contextualiser l’œuvre et le compositeur dans leur époque, offrant ainsi un savoir transversal d'histoire et de musique.

En début de programme de ce concert :
Heinrich Schütz: Il primo libro de madrigale
O primavera
O dolcezze amarissimi d'amore
Io moro, ecco ch'io moro
D'orrida selce alpina
Fiamma ch'allaccia


Philaunet 

Philaunet
Admin

139
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Fred de Rouen pour « Sur la plage de l'inactuel... » - Jeu 19 Oct 2017, 17:24

Sur la plage de l'inactuel... est le dernier billet posté dans la rubrique France Culture avant et maintenant. Il mérite d'être lu et relu avant que la rubrique ne soit abondée par une discussion ayant actuellement lieu dans le fil "La Musique à France Culture" à l'origine de laquelle se trouve la très belle contribution du même Fred de Rouen De la musique avant toute chose du mardi 17 octobre 2017.

Philaunet 

Philaunet
Admin

140
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@ munstead, sur Lorchoin - Mer 25 Oct 2017, 09:46

@ munstead : vos comptes-rendus manquaient à Regards.

Ci-dessous, vous parlez sans doute d'Anne-Laure Chouin. Lorchoin n'est pas mal trouvé, mais au cas où...
munstead(https://regardfc.1fr1.net/t94p470-les-journaux-et-la-redaction-de-fc#29216) a écrit:Retour sur le journal de 7 heures après absence. Impression renouvelée que cette station de radio du service public est devenue un pur média d'opposition. Lorchoin s'arrête sur une vague prédiction d'un vague institut de recherche annonçant un nouveau mai 68 pour incessamment sous peu, grâce à la convergence des luttes… (...) Mais cette convergence est un des concepts de LFI. Tous ensemble, tous ensemble! Mais Lorchoin a rempli son contrat pour la journée.

Philaunet 

Philaunet
Admin

141
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Heureusement Fred de Rouen - Mer 08 Nov 2017, 19:41

Oui, heureusement, vous relevez le niveau, Fred de Rouen,  et faites honneur à ce forum et au principe d'émancipation, d'''Enlightenment'', d'''Aufklärung'' avec vos contributions profondes, telle la dernière, ''Requiem'' d'Anna Akhmatova.

Cette contribution sur la RTS est un grand bol d'air qui change de l'air vicié de France Culture avec les Erner, Gesbert, Kronlund, Gardette et Worms pour finir la journée (on ne cite pas tous les noms aux propos interchangeables). Tous ces discours identiques sur la révolution, l'utopie, la lutte sociale, puis l'expression de la plainte, le gémissement, la mise en accusation, la position de victime, etc. Il y a là une entreprise de lavage de cerveau.

France Culture a une mission de transmission culturelle et non celle qui lui a été substituée, la transformation de la société (quelle arrogance !). Qui a donné le droit à la direction de France Culture de faire de la station un canal quasi exclusivement réservé aux démarches accusatoires et revendicatives ?

C'est l'exacerbation, voire la création, de la violence qui sous-tend le projet de nombre d'émissions : créer de la rivalité, de l'opposition, du conflit. N'est-ce pas finalement une sorte d'extériorisation de l'inquiétante psychologie d'un petit groupe de gens qui croient que leur appréhension du monde est la seule valide, voire la seule tout court ?

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