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La Fiction à France Culture    Page 26 sur 45

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Philaunet 


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''Vendredi ou les limbes du Pacifique'' - Mar 07 Aoû 2018, 11:51

masterkey(https://regardfc.1fr1.net/t452p240-la-fiction-a-france-culture#30977) a écrit:Outre l'adaptation du Comte de Monte Cristo, le mois de juillet a aussi permis d'écouter dans les Nuits une lecture magnifique en 16 épisodes du Robinson de Michel Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique.

La voix de François Chaumette, en 1967, rend grâce à un texte magnifiquement ciselé, précis autant que poétique que pour ma part je n'avais jamais lu.

Le premier épisode est précédé d'une histoire du thème de Robinson par Michel Tournier lui-même (...)

S'ensuivent 15 épisodes tous haletants, de pages choisies du roman, pas tous dans l'ordre mais l'auditeur le reconstituera facilement (...)
Ah merci, assez de Monte-Cristo ! Smile

Pour qui chercherait à télécharger l'ensemble des 16 épisodes, il faut noter que le numéro 6 Vendredi ou les Limbes du Pacifique 6/16 (1ère diffusion : 22/08/1967), du 10/07/2018, n'est disponible ni via Itunes, ni via le téléchargement rss.

Philippe Garbit peut-il faire réparer cela ?

masterkey 

masterkey
Admin

252
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Re: La Fiction à France Culture - Mar 07 Aoû 2018, 15:39

Merci, je m'étais rendu compte du problème et je m'étais aperçu que cet épisode n'était pas à l'affiche des Nuits car il l'avait déjà été - et proposé au téléchargement - le 17 octobre dernier. Je l'avais retrouvé avec l'Aspirateur. La page est accessible ici : Vendredi ou les Limbes du Pacifique 6/16 (1ère diffusion : 22/08/1967), et voilà le numéro empastillé : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13915-17.10.2017-ITEMA_21466149-4.mp3" debut="00:00" fin="60:00"]

D'une façon générale, c'est un problème qui revient dans les pages des Nuits : une émission proposée au podcast une fois ne l'est plus ensuite, même si les Nuits la rediffuse.

http://www.regardfc.com

Philaunet 

Philaunet
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253
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Se recentrer sur le métier radiophonique - Mer 08 Aoû 2018, 08:55

masterkey(https://regardfc.1fr1.net/t452p250-la-fiction-a-france-culture#30982) a écrit:Merci, je m'étais rendu compte du problème et je m'étais aperçu que cet épisode n'était pas à l'affiche des Nuits car il l'avait déjà été - et proposé au téléchargement - le 17 octobre dernier. Je l'avais retrouvé avec l'Aspirateur. La page est accessible ici : https://www.franceculture.fr/emissions/les-nuits-de-france-culture/vendredi-ou-les-limbes-du-pacifique-616-1ere-diffusion-22081967 et voilà le numéro empastillé : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13915-17.10.2017-ITEMA_21466149-4.mp3" debut="00:00" fin="60:00"]

D'une façon générale, c'est un problème qui revient dans les pages des Nuits : une émission proposée au podcast une fois ne l'est plus ensuite, même si les Nuits la rediffuse.
Oui, ce n'est pas nouveau, mais la moindre des choses aurait été de signaler sur la page descriptive du 10 juillet 2018 que le numéro avait été rediffusé 17 octobre 2017 (et donc téléchargeable à cette date). Ce n'est pas la fin du monde, mais ce n'est pas sérieux non plus. Peut-être faudrait-il allouer aux Nuits les ressources humaines actuellement employées à faire des reportages d'actualité sans rapport aucun avec le métier radiophonique mais proches de tout ce que l'on peut lire ailleurs dans tous les médias généralistes.

Philaunet 

Philaunet
Admin

254
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''Désolé, l'écoute de ce son est indisponible'' - Mer 08 Aoû 2018, 11:25

Peut-être le son est-il indisponible en raison du caractère un tantinet laborieux de l'adaptation ?

Fictions / Samedi noir Les frères corses Alexandre Dumas (2/3)  11/02/2017

Alors qu’il voyage en Corse, au printemps 1841, Alexandre Dumas fait la connaissance de la famille Franchi, dont les deux fils jumeaux, Lucien et Louis, entretiennent un étrange lien : même éloignés, ils peuvent ressentir physiquement les émotions et les douleurs de l’autre.

Après avoir été initié par Lucien aux traditions corses, Dumas rentre à Paris où il fait la connaissance de Louis, qui y fait ses études de droit. Voulant réconforter le jeune homme en proie à une douleur sentimentale, il l'invite à un dîner. Louis accepte car il sait que la femme qu'il aime en secret doit y venir. Mais le dîner se passe mal et Louis provoque en duel l'amant présumé de la femme…
Dans ce court roman, Alexandre Dumas a eu l'idée de se mettre en scène, créant un sentiment de réalisme dans un texte qui tend irrésistiblement vers le fantastique.


La Fiction à France Culture - Page 26 738_maxnewsworldfour037790
Sainte Lucie de Tallano , Corse du Sud 19 mai 2016 • Crédits : Julio Pelaez - Maxppp

Quoique l'on soit à des années-lumières du talent des acteurs de Monte-Cristo (1980), l'heure de la dramatique radiophonique de 2015 (rediffusion 2017) s'écoute avec intérêt, principalement pour l'intrigue.

Les Nuits de France Culture vont-elles rediffuser les deux adaptations de 2015 du cycle Dumas et surtout le 3e volet consacré à une lecture de la passionnante correspondance Alexandre Dumas-Victor Hugo ?

Philaunet 

Philaunet
Admin

255
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''Une amitié capitale, correspondance Victor Hugo, Alexandre Dumas'' - Jeu 09 Aoû 2018, 09:54

En 2015, dans le cadre des Fictions/Samedi noir, France Culture proposait un cycle de fictions Alexandre Dumas (voir plus haut posts 248 & 254) dont le 3e volet* était une lecture en direct : Une amitié capitale, correspondance Victor Hugo, Alexandre Dumas 30/05/2015 (59 min). À  cette heure "l'écoute de ce son est indisponible". Mais peut-être qu'un jour...

À défaut d'écoute, on peut lire ci-dessous le dernier texte remarquablement dit par Marc-Henri Boisse qui prête sa voix à Victor Hugo (contrairement aux informations du descriptif qui contient plusieurs erreurs) : "Funérailles d'Alexandre Dumas"**.

*Textes réunis, présentés, classés et annotés par Claude Schopp
Victor Hugo, Alexandre Dumas, deux noms qui claquent aux sommets de la littérature française. Ces deux-là, nés la même année, se rencontrent en 1829, au moment où ils tentent de forcer les portes du temple du théâtre classique, la Comédie-Française. Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils sont ambitieux. Concurrents mais solidaires, ils entament une relation qui ne s’éteindra qu’avec la mort de l’un. Une abondante correspondance témoigne de cette amitié que l’exil va raviver encore, donnant lieu à des échanges où l’admiration et la fidélité réciproques résonnent de leur profonde humanité. Claude Schopp, en rassemblant cette belle correspondance, nous ouvre le livre d’une amitié non seulement capitale, mais exemplaire.
Claude Schopp s’est consacré à la réhabilitation d’Alexandre Dumas , s’en faisant le biographe (Alexandre Dumas, Fayard), l’historiographe (Dictionnaire Dumas, CNRS), et donnant des éditions critiques de ses œuvres. Il est président des Amis d’Alexandre Dumas.


** [33] VI FUNÉRAILLES D’ALEXANDRE DUMAS

Alexandre Dumas était mort pendant le siège de Paris, hors de Paris. Le 16 avril 1872, son cercueil fut transporté à Villers-Cotterets, lieu de sa naissance. À cette occasion, M. Victor Hugo adressa à M. Alexandre Dumas fils la lettre qu’on va lire :

Paris, 15 avril 1872.

Mon cher confrère,

J’apprends par les journaux que demain 16 avril doivent avoir lieu à Villers-Cotterets les funérailles d’Alexandre Dumas.

Je suis retenu près d’un enfant malade, et je ne pourrai aller à Villers-Cotterets. C’est pour moi un regret profond.

Mais, je veux du moins être près de vous et avec vous par le cœur. Dans cette douloureuse cérémonie, je ne sais si j’aurais pu parler, les émotions poignantes s’accumulent dans ma tête, et voilà bien des tombeaux qui s’ouvrent coup sur coup devant moi ; j’aurais essayé pourtant de dire quelques mots. Ce que j’aurais voulu dire, laissez-moi vous l’écrire.

Aucune popularité, en ce siècle, n’a dépassé celle d’Alexandre Dumas ; ses succès sont mieux que des succès, ce sont des triomphes ; ils ont l’éclat de la fanfare. Le nom d’Alexandre Dumas est plus que français, il est européen ; il est plus qu’européen, il est universel. Son théâtre a été affiché dans le monde entier ; ses romans ont été traduits dans toutes les langues.

Alexandre Dumas est un de ces hommes qu’on pourrait appeler les semeurs de civilisation ; il assainit et améliore les esprits par on ne sait quelle clarté gaie et forte ; il féconde les âmes, les cerveaux, les intelligences ; il crée la soif de lire ; il creuse le cœur humain, et il l’ensemence. Ce qu’il sème, c’est l’idée française. L’idée française contient une quantité d’humanité telle, que partout où elle pénètre, elle produit le progrès. De là, l’immense popularité des hommes comme Alexandre Dumas.

Alexandre Dumas séduit, fascine, intéresse, amuse, enseigne. De tous ses ouvrages, si multiples, si variés, si vivants, si charmants, si puissants, sort l’espèce de lumière propre à la France.

Toutes les émotions les plus pathétiques du drame, toutes les ironies et toutes les profondeurs de la comédie, toutes les analyses du roman, toutes les intuitions de l’histoire, sont dans l’œuvre surprenante construite par ce vaste et agile architecte.
Il n’y a pas de ténèbres dans cette œuvre, pas de mystère, pas de souterrain ; pas d’énigme, pas de vertige ; rien de Dante, tout de Voltaire et de Molière ; partout le rayonnement, partout le plein midi, partout la pénétration de la clarté. Les qualités sont de toute sorte, et innombrables. Pendant quarante ans, cet esprit s’est dépensé comme un prodige.

Rien ne lui a manqué, ni le combat, qui est le devoir, ni la victoire, qui est le bonheur.

Cet esprit était capable de tous les miracles, même de se léguer, même de se survivre. En partant, il a trouvé moyen de rester. Cet esprit, nous ne l’avons pas perdu. Vous l’avez.

Votre père est en vous, votre renommée continue sa gloire.

Alexandre Dumas et moi, nous avions été jeunes ensemble. Je l’aimais et il m’aimait. Alexandre Dumas n’était pas moins haut par le cœur que par l’esprit. C’était une grande âme bonne.

Je ne l’avais pas vu depuis 1857 ; il était venu s’asseoir à mon foyer de proscrit, à Guernesey, et nous nous étions donné rendez-vous dans l’avenir et dans la patrie.

En septembre 1870, le moment est venu, le devoir s’est transformé pour moi ; j’ai dû retourner en France.

Hélas ! le même coup de vent a des effets contraires.

Comme je rentrais dans Paris, Alexandre Dumas venait d’en sortir. Je n’ai pas eu son dernier serrement de main.

Aujourd’hui je manque à son dernier cortège. Mais son âme voit la mienne. Avant peu de jours,-bientôt je le pourrai, j’espère,-je ferai ce que je n’ai pu faire en ce moment, j’irai, solitaire, dans ce champ où il repose, et cette visite qu’il a faite à mon exil, je la rendrai à son tombeau.

Cher confrère, fils de mon ami, je vous embrasse.

VICTOR HUGO.

Philaunet 

Philaunet
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Villers-Cotterêts, Alexandre Dumas, la langue française - Lun 13 Aoû 2018, 21:32

Ouf, après un week-end sans le Comte de Monte-Cristo (il faut faire de la place à l'enivrement verbal de Michel Onfray), voici aujourd'hui le 31e épisode (sur 40) de l'adaptation de 1980 : Coup de théâtre sur les prés.

On pourra accompagner cette écoute de la lecture d'un article de ce 13 août du correspondant du journal suisse Le Temps à Paris, Richard Werly : A Villers-Cotterêts, le roman du français conquérant, dont j'extrais ce passage :

" (...) à Villers-Cotterêts, cette puissance du verbe et de l’imagination a aussi laissé des traces. Il se lit sur une façade de la rue Demoustiers, qui traverse le centre de la ville. Une plaque et un musée. Là naquirent d’Artagnan et Monte-Cristo, ces héros immortels de la francophonie mondialisée.
Tout commence dans les jours sombres de la Révolution. Revenu de Saint-Domingue, où il est né (à Jérémie, sur le territoire de l’actuelle Haïti), l’un des plus brillants officiers de cavalerie de sa génération est un métis issu de l’union d’un commerçant esclavagiste et d’une mulâtre. Thomas Alexandre Dumas, c’est son nom, est taillé pour la légende des armes. Il combat aux côtés de Kellerman, découvre à cette occasion les plaines de l’Aisne, puis rejoint l’armée d’Italie de Bonaparte. Victoires. Charges héroïques. Campagne d’Egypte. Puis la jalousie s’installe entre le général «noir» et celui qui se fera bientôt sacrer empereur.
En captivité à Naples à son retour d’Egypte, Thomas Dumas est abandonné. De retour en France, blessé et mutilé, l’ancien héros échoue… à Villers-Cotterêts où l’empereur, de passage après son couronnement, ne répond même pas à ses sollicitations. Dans cette impitoyable saga familiale, son fils, Alexandre Dumas père, puisera l’inspiration du Comte de Monte-Cristo, puis une partie de sa saga de cape et d’épée des Trois mousquetaires. Son petit-fils, lui, produira La dame aux camélias. Trois titres emblématiques. Trois récits épiques de courage, d’amitié, de souffrance, d’enfermement, de survie, d’ambition, d’amour et de gloire, incontournables dans toutes les bibliothèques francophones, instituts français et autres Alliances françaises. Tout le panache romanesque d’une langue dont, aux quatre coins du monde, ses défenseurs et locuteurs font le meilleur argument pour justifier son métissage. Et surtout son partage".

Philaunet 

Philaunet
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Le Comte de Monte-Cristo 32e - Mar 14 Aoû 2018, 22:42

Dramatique épisode : Face à face



Le comte de Monte-Cristo, habillé à la manière d'Edmond Dantès pour que Fernand puisse le reconnaître • Crédits : Gallica/BNF

Dans l'étude jargonnante et psychanalysante, mais pas sans mérite, d'une "chargée de mission dans le domaine de la culture" publiée par Le Cairn.info, Alexandre Dumas et Le comte de Monte-Cristo : un roman de la transmission, on lit ce passage qui n'est pas sans rappeler ce que France Culture a pu jouer comme rôle et qu'elle pourrait encore défendre si elle en avait la courage : " (...) Nous prenant à ses filets, ceux de « la pure jubilation du récit en soi », Dumas nous induit ensuite, en une méprise durable, à croire en la primauté de la lecture sur la parole pour transmettre. Or, ici, l’évidence crève les yeux : il n’y a pas de livres au château d’If, la transmission se fait par la parole et l’on assiste au triomphe de la parole éducative ; c’est elle qui règne dans la cellule et qui en règle l’existence. (...)".






Dernière édition par Philaunet le Ven 07 Déc 2018, 08:15, édité 1 fois

Philaunet 

Philaunet
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Niveau brevet (raté) - Jeu 16 Aoû 2018, 20:49

Dramatiques épisodes 33 et 34 du Comte de Monte-Cristo. Le suspense est insoutenable. Les acteurs sont tous exceptionnels. Du grand art.

Ce qui n'est pas exceptionnel et qui est dramatique, c'est l'instruction de la personne qui écrit les descriptifs et qui transcrit parfois des passages :

34
"Un jour aura donc suffit"  [suffi]
"Joli" style... "pour que ses crimes n'entachent pas la maison Danglars dont il devait épouser la fille, Eugénie",
"Valentine de Villefort est encore en mauvais état " [Valentine n'est pas une voiture...]
"Le comte de Monte-Cristo rassure Valentine quant à ses plans pour la sauver,"
"Madame de Villefort semble complètement éplorée de la mort"
"Maximilien Morrel débarque au même moment" [C'est vrai, quoi, il "débarque"...]
"fou de rage de la mort de son amante" [ah, "fou de rage de la mort..." de celle qui est sa secrète fiancée, soit dit en passant]

33
Alors que sa vengeance s'apprête à s'abattre sur les Villefort, l'amour que Maximilien Morrel porte à Valentine de Villefort retient sa main. ["sa vengeance" n'est pas "l'amour", mais au diable la grammaire ! Voir suite]
Morrel (...) s'est précipité chez le comte de Monte-Cristo, sans trop savoir pourquoi, ni ce que le comte pourra faire pour lui.
Andrea Cavalcanti, aka, Benedetto
Ce dernier se fait débusquer au petit matin par les gendarmes [il se fait simplement arrêter après 8h]

Philaunet 

Philaunet
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259
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Captation d'héritage - Mar 21 Aoû 2018, 12:59

France Culture 2018 est remerciée pour la rediffusion d'une production de 1980, fabriquée avec le plus grand soin et le plus grand talent, ce dont est parfaitement incapable la station aujourd'hui :

bravo et merci pour les feuilletons radiophoniques
jerome coulaud 21/08/2018 8:50 France Culture
Bonjour,
Grand moment pour toute notre famille pour ce feuilleton "le comte de monte cristo" qui nous a tenu en haleine tout l'été. C'est extrêmement bien fait, et représente un travail important et formidable. Merci de nous proposer ces émissions et récits. Depuis, nous surfons pour de nouvelles émissions (pour ma part, le feuilleton sur Alan Turing également captivant).
Vive France Culture


*******************

France Culture 2018, ce sont les descriptifs mal écrits et bourrés de faute... Cf. ''n'est-ce pas madame que vous avez conservé quelques goûtes de poison ?'' ou, entre autres, Niveau brevet (raté)
et hier :
"Je n'en répondrais pas moins à toutes vos questions." [c'est un futur]
"L'affectation brutale que vous avez mis "
"Non pas Monte-Cristo, cherche mieux Villefort " [= « Non, pas Monte-Cristo, cherche mieux Villefort »]
"Dans son départ, il emporte Maximilien Morrel"

Pour aujourd'hui, on verra plus tard puisque le descriptif qui systématiquement "divulgâche" l'intrigue doit être lu après l'écoute.

Philaunet 

Philaunet
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260
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Jules Supervielle - Mer 22 Aoû 2018, 08:04

Durant l'été 2017  une série de lectures a été diffusée sous le nom de Lectures d'enfance. Le 18/08/2017, l''on pouvait écouter L’enfant de la haute mer et La jeune fille au violon de Jules Supervielle dont voici l'introduction par Claude Winter qui lit les deux récits : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/17369-18.08.2017-ITEMA_21410586-0.mp3" debut="01:11" fin="02:10"]    

Entrons dans le monde de Jules Supervielle, écrivain, poète, né à la fin du 19 ème siècle, en Uruguay. Très tôt orphelin, il quitte l’Amérique latine pour Paris, où il vivra toute sa vie, retournant régulièrement en Uruguay. A Paris, il deviendra l’ami intime de Henri Michaux, Rainer, Maria Rilke, Jean Paulhan partageant leur vision poétique du monde. Jules Supervielle est l’auteur d’un recueil de contes fantastiques, L’enfant de la haute mer, paru en 1931.

Remise en ondes Laetitia Coia


L'occasion de cette suggestion est, bien sûr, la diffusion du 4e épisode de Carrefour des Amériques intitulé Le Rio de la Plata, la Musique et le Monde # 04 : Uruguay par le savant voyageur Marcel Quillévéré.
"Nous traversons l’estuaire du Rio de la Plata au port de Buenos Aires pour rejoindre l’Uruguay. Comparé à la vaste Argentine, l’Uruguay est une petite nation : un pays de grandes plaines et de pampas qu’aimait tant le poète français Jules Supervielle... "

La Fiction à France Culture - Page 26 LEnfantDLHMer]

Philaunet 

Philaunet
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261
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Le Comte de Monte-Cristo (fin) - Jeu 23 Aoû 2018, 11:47

Annoncée en 40 épisodes par la station, l'adaptation du Comte de Monte-Cristo de 1980 n'en contient que 38, le dernier de durée réduite. Fin, hier le 22 août 2018, de cette mémorable production aux multiples qualités : Le Comte de Monte-Cristo. Pour plus de détails voir depuis le post 243 et dans d'autres rubriques en liens.

Pour cet ultime post, je ne relèverai pas une nouvelle fois les fautes d'orthographe et de grammaire contenues dans les derniers descriptifs, tant dans les transcriptions que dans les présentations.

Est annoncée pour aujourd'hui la rediffusion de Les grandes conférences : la vie et l'oeuvre d'Alexandre Dumas, le comte de Monte Cristo par André Maurois. À ne manquer sous aucun prétexte (après écoute de la série).

Pour finir la semaine demain, une autre rediffusion avec le savant Claude Schopp dont il a été question dans le fil La Compagnie des auteurs posts 32 à 36 sur Alexandre Dumas. L'émission de 2002 de François Angelier promet d'être intéressante : Dumas, trop humain : l'abbé Faria et le Comte de Monte-Cristo.

Très belle citation déjà sur le site que l'on peut proposer ici à la lecture (sur le sujet de la transmission voir l'étude en lien ici) :
"Je crois qu'il y a une question de transmission d'un savoir qui va lui permettre d'être celui qui est, celui qui peut juger et au nom d'une espèce de connaissance globale du monde. Il va se venger bien sûr, mais si ce n'était qu'une vengeance, ce serait sans grand intérêt, c'est bien plus qu'une vengeance puisque c'est le rétablissement de la justice. Il me semble qu'on peut lire le roman comme le passage d'un ancien Dieu à un nouveau Dieu : celui de la Bible et d'œil pour œil, dent pour dent, vers un le Dieu d’Évangile des derniers chapitres où il refuse de se venger après la mort de l'enfant. C'est un roman d'une profondeur extraordinaire et c'est Faria qui est le moteur de tout le roman." Claude Schopp.

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Re: La Fiction à France Culture -

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