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Accueil / France Culture

Les Matins de France Culture    Page 75 sur 100

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Curly 


741
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Une envie de ''culture'' ? - Mar 12 Fév 2019, 10:23

Le chant* lexical de la culture dans le Billet Culturel du 12/02/2019 :

saison des récompenses musicales
quelques icônes
réalité fracassante des chiffres
Victoires de la musique
Grammy Awards
Victoires de la musique de classique,
le prix du meilleur album rap de l’année
ode au sexe et l’argent
des plumes de paon accroché(e?)s à ses fesses
les codes bling de ses confrères rappeurs
faire du sexe le matin
passion pour le frifri des demoiselles
chiffres et leurs(?) réalité(s?) fracassante(s ?)
un rapport de la SACD en 2016
7%, programmés
programmation égalitaire
moins nombreuses
objectifs chiffrés,
le programme « Key change »
atteindre au moins 50%
2022
lutte de pourcentage
se projeter dans une véritable carrière
mécanismes
cœur du réacteur
en termes de chiffres
10%
1% des pièces programmé(e?)s,
bulles socio-historiques,
53 compositrices
20 nationalités 

* Ce jeu de mot fait partie du quota imposé par la SACD. (1%  net indexé aux taux de l'indice monétaire du Luxembourg)

Curly 

Curly

742
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Une aventure de Tarzan : Tarzan et les Automates Cellulaires - Mer 13 Fév 2019, 09:58

Tarzan raconter automates cellulaires.


Échographie couleur cerveau Tarzan avant découverte automates cellulaires. (Document N.McLaren)



Moi Tarzan. Bonjour vous.
Moi expliquer vous automates cellulaires conclusion matinale.
Si moi être plus intelligent moi acheter automates cellulaires. Mais dans jungle pas facile développer neurones et dans porte-monnaie-moi Cheeta ranger bananes donc moi pauvre. Moi pas électricité non plus donc moi un peu débile sur bords moi.
Pourtant monde être automate cellulaire moi sûr.
Automate cellulaire ça être jeu mais moi pas aimer jeu sauf sauter lianes.
Automate cellulaire être mieux quand expliquer secrets jungle car pas facile surtout nuit. Pas électricité comme vous.
Automate cellulaire dire choses compliquées que moi pas comprendre avec matériel simple mais que moi pas avoir dans cabane arbre.
Moi avoir découvert automates cellulaires avec ordinateur que moi pas pouvoir brancher dans jungle donc en fait moi pas avoir vraiment découvert automates cellulaires.
Découvrir automates cellulaires chez père avec séjour civilisation. Ça être jeu explique tout. Ça génial. Moi devenir automate cellulaire. Vouloir rencontrer autres automates cellulaires. Jane pas contente car pendant que moi automate cellulaire plus manger tigre. Nous avoir faim dans cabane arbre.
Moi dire beaucoup automate cellulaire mais normal. Sujet conclusion.
Premier automate cellulaire faire plus peur que bombe mais pas grave elle survivre même après bombe car se reproduire seule comme petits vers plats.
Automates cellulaires pratiques pour expliquer que chimie donner neurones humains mais moi problème car pas assez neurones. Moi mini automate cellulaire. Jane dire ça moi quand casser cabane arbre car moi tomber avec liane dessus. Liane parfois mangée par rongeurs car eux vouloir gagner plus cellules.
Moi continuer histoire automates cellulaires vite. Raconter automates cellulaires connus avec jeu vie. Grand succès premier box-office devant film-moi. Spectacle grande magie moi rien faire regarder. Ça être beau jeu jouer tout seul sans Tarzan. Alors moi dormir et oublier vaisselle. Jane pas contente donner coups liane sur tête moi.
Tarzan passer suite histoire. Autre homme civilisé mettre sciences hommes civilisés dans automates cellulaires. Lui fou sur coins et bords car ça pas rentrer dans automates eux trop petits.
Mais automates cellulaires plus forts que peintures civilisées que moi pas connaître.
Moi plonger dans eau avec Bouloum. Lui connaître automates cellulaires. Lui grandir avec hommes.  Nature en fête moins mieux que pages automates cellulaires. Jane dire manquer case moi depuis que moi être automate cellulaire.
Automates cellulaires être paradis pour cerveau Tarzan. Tarzan aimer chaleur pour réduire neurones comme Jane aime réduire sauce légumes dans tigre rôti. Moi aimer monde toujours pareil sinon moi peur.
Si monde toujours pareil monde pas exister donc pas besoin cuisine vaisselle chasser tigre sauter lianes et casser figure moi dans buissons qui piquent.
Avantage moi.
Cheeta lui intelligent lui parler moi Dieu. Moi malade moi voir automates cellulaires Dieu. Jane rire.
Monde beau avec cases qui tournent dans tête moi avec Dieu. Moi plus savoir. Moi perdu.

Échographie cerveau Tarzan après découverte automates cellulaires. Problème technique Tarzan consulter docteur cerveau urgent. (Document A. Tari)

Curly 

Curly

743
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Amour et pellicule couleur - Jeu 14 Fév 2019, 12:42

Question piège : Lancement d’un reportage de Jean-Pierre Pernaut ou du Journal des Zidées ?
Comme de nombreuses fêtes, la Saint-Valentin est aussi une aubaine pour le commerce. Mais d’où vient cette tradition ?

Alors ce ne serait qu'un prétexte pour faire consommer encore plus ? On nous aurait menti ? Heureusement que nous avons un... sociologue pour nous l'apprendre. Ouf.

« Dans notre culture, l'idéal de couple qui dure jusqu'à 90 ans, est devenu quasiment impossible »

Ah non, il suffit de ne pas oublier la pellicule couleur  [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13915-11.02.2019-ITEMA_21978875-0.mp3" debut="35:34" fin="38:17"]

Philaunet 

Philaunet
Admin

744
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Re: Les Matins de France Culture - Jeu 14 Fév 2019, 13:19

Curly(https://regardfc.1fr1.net/t19p740-les-matins-de-france-culture#32313) a écrit:Question piège : Lancement d’un reportage de Jean-Pierre Pernaut ou du Journal des Zidées ?
Comme de nombreuses fêtes, la Saint-Valentin est aussi une aubaine pour le commerce. Mais d’où vient cette tradition ?
La chronique de Munier (la déchéance, quand on pense à ses Chemins de la Connaissance des années 1990...) se termine par une citation d'une des icônes absolues de la station (Finkielkraut en pâmoison dès qu'il en dit le nom "Levinââssssse", après Hannah Arendt, évidemment) : "La caresse consiste à ne se saisir de rien, à solliciter ce qui s’échappe sans cesse de sa forme vers un avenir… ce qui se dérobe comme s’il n’était pas encore. Emmanuel Levinas". Le prétendu presque rien théorisé par une autre icône intouchable Jankélévitch... Les auditeurs s'essclament (pardon Nessie pour l'emprunt) : waow, ça c'est du France Culture, et je l'écoute, donc je suis super intelligent.
Alors ce ne serait qu'un prétexte pour faire consommer encore plus ? On nous aurait menti ? Heureusement que nous avons un ... sociologue pour nous l'apprendre. Ouf.
"Il faut" nous apprendre des choses cachées. La révélation, type enfoncement de porte ouverte par rugbyman pro, un grand classique de la radio "pour tous".
Sans blague ? Il faut dire que l'espérance de vie masculine...
Ah non, il suffit de ne pas oublier la pellicule couleur  [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13915-11.02.2019-ITEMA_21978875-0.mp3" debut="35:34" fin="38:17"]
Franchement ça fait du bien quand ça s'arrête brusquement. Repéré le titre avec un morceau des paroles (je devrais mieux vous lire, je n'avais pas vu que votre indication était le titre traduit en français...) Du hast den Farbfilm vergessen (Nina Hagen).

Je ne vois pas le rapport de la chanson avec le sujet. De toute façon, quel intérêt ? Aucun. Notons qu'il n'y a pas de musique sur le sujet de l'amour dans le répertoire musical français, dit classique, n'est-ce pas ? Une chanson allemande que personne ne comprend (et même en maîtrisant la langue, vu les références sociales), c'est mieux...

Pour mémoire (les non germanophones passeront le tout dans DeepL) :

Du hast den Farbfilm vergessen

Hoch stand der Sanddorn am Strand von Hiddensee
Micha, mein Micha, und alles tat so weh
Dass die Kaninchen scheu schauten aus dem Bau
so laut entlud sich mein Leid in's Himmelblau

So böse stampfte mein nackter Fuß den Sand
und schlug ich von meiner Schulter deine Hand
Micha, mein Micha, und alles tat so weh
tu das noch einmal, Micha, und ich geh

Du hast den Farbfilm vergessen, mein Michael
nun glaubt uns kein Mensch, wie schön's hier war ha ha
Du hast den Farbfilm vergessen, bei meiner Seel'
alles blau und weiß und grün und später nicht mehr wahr

Du hast den Farbfilm vergessen, bei meiner Seel'
alles blau und weiß und grün und später nicht mehr wahr

Nun sitz ich wieder bei dir und mir zu Haus
und such' die Fotos für's Fotoalbum aus
Ich im Bikini und ich am FKK
Ich frech im Mini, Landschaft ist auch da - ja

Aber, wie schrecklich, die Tränen kullern heiß
Landschaft und Nina und alles nur schwarzweiß
Micha, mein Micha, und alles tut so weh
tu das noch einmal, Micha, und ich geh!

Du hast den Farbfilm vergessen, mein Michael
nun glaubt uns kein Mensch, wie schön's hier war ha ha
Du hast den Farbfilm vergessen, bei meiner Seel'
alles blau und weiß und grün und später nicht mehr wahr

Du hast den Farbfilm vergessen, bei meiner Seel'
alles blau und weiß und grün und später nicht mehr wahr


****************

Recommandation du jour : Jacques Sternberg, avec Michael Lonsdale [Le programme de nuit, îlot de culture (II)]

Curly 

Curly

745
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Amour et pellicule couleur, complément. - Jeu 14 Fév 2019, 14:08

Dans ce message
Philaunet a écrit:Je ne vois pas le rapport de la chanson avec le sujet.

Si. Il y a un rapport entre cette chanson très belle (Ah ! Variété RDA années 70 ! Très musikâl) qui a cet avantage sur la matinale de ne faire souffrir que 118 mn de moins, et ce rapport nous sera expliqué dès demain avec deux sociologues, l’un spécialisé dans la gestion des émotions en noir et blanc et un autre dans la gestion des émotions en couleur.

Philaunet 

Philaunet
Admin

746
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Re: Les Matins de France Culture - Jeu 14 Fév 2019, 14:27

Curly(https://regardfc.1fr1.net/t19p740-les-matins-de-france-culture#32317) a écrit:Dans ce message
Philaunet a écrit:Je ne vois pas le rapport de la chanson avec le sujet.
Si. Il y a un rapport entre cette chanson très belle (Ah ! Variété RDA années 70 ! Très musikâl) qui a cet avantage sur la matinale de ne faire souffrir que 118 mn de moins, et ce rapport nous sera expliqué dès demain avec deux sociologues, l’un spécialisé dans la gestion des émotions en noir et blanc et un autre dans la gestion des émotions en couleur.
Comme casse-oreille, c'est pas mal en effet. Sans doute dans le goût de toute la bande de la Matinale. Une radio culturelle se serait en effet déshonorée en passant L'heure exquise, c'est vrai quoi. Et puis, comme chacun sait depuis OPDA et son adjointe Treiner, FC s'écoute dans sa bagnole sur le périph' le matin et le soir, et pas ailleurs, donc Hagen on l'entend, Hahn non (moteur empêche).

Quant aux Liedermacher de la RDA, voir Gerhard Schoene


ou Reinhard Mey - Annabelle 1972

Curly 

Curly

747
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Dans la série Art & Création – Le diptyque du matin - Ven 15 Fév 2019, 10:47

First Part
Dans la série Art & Création – Le billet culturel. Une envie de cinéma ?

Passion du cinéma =
"Netflix – bataille des festivals – plateforme video – 5 millions d’abonnés – dépassant Canal + - exploitants – films produits exclus de la compétition – compétition (encore et toujours, c’est the loi of Georges Marchais) – perdu son bras de fer – boycotté par Netflix - impossible de laisser passer des chef-d’œuvres (lesquels ? Pourquoi « chef-d’œuvres » ? Nous ne le saurons jamais car on s’en fout) – perdre en influence – acteurs numériques comme Apple ou Amazon – Lion d’Or – Oscars – financements dans le « circuit traditionnel » - règles imposées – marges de négociation - exclusivité en ligne -  s’abonner à Netfix - aux évolutions du public - nouvelles exigences de la production - nombre d’abonnés grimpé en flèche -  livrer leurs données – algorithmes -  continuer à poser des conditions dans cette bataille – la France, poumon du cinéma européen - négocier -  se laisser imposer des règles unilatérales - une industrie que n’étouffent pas les scrupules."

= Le système capitaliste ne fonctionnerait que pour l'argent ? On nous aurait encore menti ?

Second Part - Une envie de peinture ? 22, v’la la concluse. Avec appellation orthographique d'origine non contrôlée.

« Picasso (...) a fait à peu près n’importe quoi. 
J’ai bien aimé Vasarely.
Mes pièces préférées furent (...) le grand logo Renault rétro-éclairé et les couvertures de la collection Tel. Si on me demandait de ... » (Non. Passons)

« Vasarely (…) c’est comme un visite chez l’ophtalmo, ça gratte un peu la rétine mais ça ne fait pas mal.»
Après les neuils, voici
la métaphore stomatologique filée dite « la roulette de la mort », extraits, avec dérapage synesthésique :
Picasso (…) il y a chez lui quelque chose du dentiste (...) une façon d’appuyer où ça fait mal.
Cézanne (…)  coups de pinceaux du maître provençal traité avec le sérieux que mettrait un dentiste à traiter une carie. Devant une Sainte-Victoire, je me suis presque mis à entendre, à ressentir la vibration de la roulette. »

Et là nous arrivons au passage le plus important :  
« J’ai fini, ce n’est jamais bon signe, par contempler à la fenêtre les sheds en tôle bleu du quartier de l’horloge. Je me suis alors souvenu qu’il y avait là dessous un Leroy-Merlin. Il fallait justement que j’achète un nouveau panier à linge sale, c’était l’occasion idéale. 
Rien ne me déprime plus pourtant que les magasins de bricolage, sauf justement les tableaux de Juan Gris et de Braque. »
De toute beauté.

« Je me suis même dit à un moment qu’on ferait mieux de mettre le Leroy Merlin sur les grand plateaux de Beaubourg. »
Mais en voilà une idée qu’elle est bonne !

Und dast ist the moment of lucidity :
« J’avais ce matin là l’esprit mauvais d’un pamphlétaire. » L'adjectif serait-il mal placé ? Mauvais matin ? Mauvais pamph... non impossible.

Nouveau passage du plus haut intérêt :
« J’ai heureusement croisé, boulevard de Sébastopol, une sorte de dandy barbu qui tenait à la main un livre en carton gris dans lequel j’ai cru reconnaître les archives secrètes du situationnisme. »

The conclusion of the conclusion. De quoi mouliner de la neuronade pour toute la journée :
« Le XXe, comme un jeu de piste labyrinthique et merveilleux, s’est soudain réouvert et j’ai compris que nous n’en aurions jamais complètement fini avec ses avants-gardes. »
Un commentaire ?



Dernière édition par Curly le Mar 19 Fév 2019, 19:25, édité 1 fois

Curly 

Curly

748
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Les conseils du Professeur Edwards - Mar 19 Fév 2019, 16:09

Les conseils du Professeur Edwards de l’Académie Internationale de Neurologie Convexe Appliquée à la Faculté de Montceau-les-Mines VIII


Cher A., ne vous inquiétez pas. Vous n’êtes aucunement malade. Il faut par contre que le salon de l’hôtel particulier de votre éditeur subisse un traitement approprié et ceci de manière urgente. La table Louis XVIII doit être repeinte en rouge vif afin de ressembler au camion de pompier Lego de votre enfance. Et puis ne vous trompez pas : vous êtes édité. La gloire n’est pas pour vous, elle rejaillit sur le reste du monde qui irradie dorénavant de la puissance de votre génie. La gloire du monde n’est pas pour vous, mais pour l’ensemble de l’humanité, et, pour le dire franchement, de l’univers tout entier, ne soyez pas modeste.


Cher A., encore une fois, vous vous inquiétez pour rien. Par contre le photographe en bigoudi, lui, devrait venir consulter à mon cabinet au plus vite, impérativement accompagné de son auto-radio.



Cher A., il faut arrêter de m’écrire, on va croire que vous êtes seul à m’écrire alors que c’est vrai mais ce serait bien qu’on croie que c’est faux alors prenez au moins un pseudo la prochaine fois. Toutefois je condescends à résoudre votre problème. Vous savez, cher A., il faut savoir souffrir pour être beau. Un conseil : au lieu de méditer, pensez simplement à votre prochain texte.


Cher B., vous avez suivi mes conseils mais partiellement. Merci d'avoir changé de nom déjà, commençons par le positif. Mon conseil maintenant : vous n’auriez pas dû réfléchir, mais constater, comme moi, que ce tuyau d’arrosage est troué ici, et puis là, et là. Et que cela aurait rendu service au bienheureux propriétaire de ce tuyau que vous le lui signalassiez. Au lieu de réfléchir.


Cher et bien-aimé A.B., vous avez additionné vos deux noms, du coup on ne vous reconnaît que trop. Soyez plus inventif la prochaine fois. Mais vu la longueur de votre message et la quantité de problèmes, y compris d’accords du participe passé, qui s’accumulent ici, il n’y aura pas de prochaine fois. Alors pour les problèmes de volets, de porte, de banc et de chaises cela relève plutôt de la psychanalyse. La porte représente le passage qui vous a amené à la gloire qui est la vôtre aujourd’hui, ce  qui n'a pas résolu toutefois votre complexe dit de melonite aiguë, qui ne se soigne pas, mais qui se traite à chaque printemps avec une application sur toute la tête d’une purée de pucerons mélangée à de l’ortie.
La passion de la peinture est une belle chose : saviez-vous que Michel Ange avait peint une première version de la Chapelle Sixtine sur la porte de son  poulailler ?
Le volet symbolise le passage du jour à la nuit : le soir vous le fermez, le matin vous l’ouvrez. Et plus si affinité.
Le banc symbolise le passage de la fatigue sur votre corps. Quand vous êtes fatigué ou que vous voulez apprécier le paysage, comme par exemple le croisement de la nationale 6 avec l’autoroute A12, vous vous asseyez.
Les chaises symbolisent le passage de la station debout à la station assise. Tout cela, Freud en a parlé beaucoup mieux que moi.

En peinture, on n’arrête jamais le progrès. Il nous écrase. Il nous dépasse. Il me semble que vous ne devriez pas freiner votre enthousiasme : remettez vous-y. Profitez pleinement du progrès qui est à l’avenir de l’humanité ce que l’histoire est à notre passé.
La fin de votre message indique que vous êtes sur la bonne voie. Un conseil : vous savez que vous pouvez aussi peindre la peinture ? Vous prenez un bidon de peinture bleue, car c’est joli , et vous le versez dans un bidon de peinture bleue, et vous allez voir, outre le fait que cela va déborder, que votre peinture du premier bidon aura entièrement repeint la peinture du second bidon. Merveilleux.
                                                                                                                            Professeur Edwards



Dernière édition par Curly le Mar 19 Fév 2019, 21:16, édité 2 fois

Fontaine 

Fontaine

749
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Il faut passer la deuxième couche - Mar 19 Fév 2019, 20:52

Bellanger Aurélien a grandit à Barentin à quelques kilomètres de Rouen à l'ombre de la statue de la Liberté sur le parking  de Carrefour, on la voit dans le film "le cerveau". Liberté-Cerveau- Carrefour cela vous construit un Homme.
Aurélien connait l'histoire du fou qui repeint la mer , tombe de sa bouée et s'accroche au pinceau.

Grand bien lui a pris de nous parler de JJ Lequeu né à Rouen il y a quelques semaine de cela.

Pour ses analyses je lui conseille un lacanien, une lacanienne, même, il y comprendra l'origine du monde, la sienne donc.

Les mots le tiennent en joie.   Les Matins de France Culture - Page 75 0072

Curly 

Curly

750
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Passions dans les flammes - Épisode 24528 - Mer 20 Fév 2019, 09:52

A.B. Production présente

                        Passions dans les Flammes
                                            (Fire and Flame in the Black Forest of Passion)
                                                                                    fidèlement adapté d'une histoire vraie, "Le Collège"

                                                                                                Épisode 24528 du 13/02/2019

Précédemment dans Passions dans les flammes : Brett a quitté Eileen pour tomber dans les bras de Brenda. Lorsqu’il la quitte il lui avoue qu’il ne peut pas rester avec elle car «  il se passe des choses passionnantes qui donnent envie de produire de l’analyse.»


- Écoute Josh, je me souviens précisément. C’est comme si les livres de compte de mon enfance sortaient du brouillard de Miami Beach à cinq heures du matin. Je me souviens de mes souvenirs de collège mieux que de la hausse des actions des usines du demi-frère de ma tante.
- Comment Brett ? Comment tu peux affirmer une chose pareille moi qui suis ton ami depuis que la firme de mon oncle a fusionné avec celle de ta grande sœur ?
- Tu te souviens Josh, de ces quatre années, 3 X 365 jours. Et cette fameuse année bissextile de 366 jours ? Il y a un avant et un après. Ce sont nos Quatre Joyeuses. Comprends-tu ?
- Mais Brett, je n’ai pas ta mémoire.Tu le sais bien. Je ne peux pas me souvenir aussi bien que toi de ces années-là. C’est pour cela que c’est toi qui préside le conseil d’administration de la gestion déconcentrée des affaires concentrées du management local 4TF6h8.
- Écoute Jason …
- Non je ne suis ni sourd. Ni Jason.
- Je me rappelle. Bryan. Je me rappelle. Tous les jours de ces 3 X 365 + 1 X 366 jours. Je n’ai pas ma Casio pour vérifier le nombre de jours que cela donne. Je ne sais pas si je dois enlever les vacances scolaires, c’est plus compliqué que je ne le pensais. Mais c’étaient de très bonnes années. Après …
- Attends Brett. Attends. Tu parles trop. Je ne sais plus où j’en suis. Tout se mélange dans ma mémoire.
- Tu sais. J’ai l’impression Peter de les vivre encore et toujours. Ces 3 X 365 + 1 X 366 jours moins les vacances scolaires tournent et tournent dans ma tête tels des papillons de nuit sur un néon de KFC.
- Un néon ? Précise ta pensée Brett. Je suis très inquiet tu sais.
- On n’était pas encore adulte Jerry. Et nous n’étions plus des enfants. Des enfants qui jouent dans les jardins d’enfants. Tu vois ce que je veux dire Luke ?
- Non. Oui Brett, je ne vois pas. C’est comme si j’y étais. Simplement. Et tout ça Brett pour en arriver où ? A Eileen ?
- Non. Pas encore Henry. Mais tu sais durant ces années-là. Nous étions libres. Et prisonniers. Nous n’étions pas encore vraiment à l’école de la vie.
- La douleur te fait souffrir Brett. Tiens, prends un whisky.
- Merci Ivan. Tu comprends vraiment ce que je ressens. Tu te rappelles. Avant Eileen.
- Brett. Tu parles de Sharon ?
- Tu vois. Tu te souviens aussi. Eric. Elle était complètement folle de Doug.
- Elle m’avait tout raconté. C’était bouleversant. Brett.
- Je me rappelle. Justin. Sharon avait dit des choses. Je suis encore. Après toutes ces années. Sous le choc. Kristoff.
- Sharon et Doug n’étaient pas comme nous. Brett. Ils semblaient brûlés par les flammes de l’amour.
- Je sais. Peter. Je me rappelle. Leur mariage.
- Ils se sont mariés grâce à toi Brett. Tu es leur sauveur. Tu as racheté les actions de Mike ton demi-frère après le tragique accident qui lui a fait perdre la vie, écrasé dans le désert de Gobi par le 4X4 du père de Joe, pour le leur payer de ta poche. Ils ne vivraient peut-être plus sans toi. Peut-être se seraient-ils …
- Ne dis rien Scotty. Ne remue pas les plaies encore vives dans le fer de la passion.
- Et pourtant Brett. Sharon était secrètement amoureuse de toi. Brett. Tu ne t’es rendu compte de rien. Et elle est quand même partie avec Doug car il avait décroché le poste de directeur adjoint de l’usine de son père alors qu’il n’aurait dû avoir que le poste de la direction du bureau du management. Brett.
- Michael, j’ai vu. Mais il ne fallait pas. Il ne fallait pas que j’intervienne car ce n’était pas le moment. Ce n’était pas le bon moment. Je ne pouvais pas intervenir à ce moment. Je ne sais plus ce que je dis ni où j’en suis. Il ne faut pas que je m’emporte. C’est la démission de Karen du poste de la sous-direction des affaires centrifugées du territoire concentrique et la chute des actions de l’usine de mon frère qui me fait parler ainsi. Burt. Verse-moi un verre de whisky. John.
- Brett je ne te suis plus. Ton raisonnement me semble confus.
- J’attendais plus de l’amour Samuel. Je n’étais pas prêt. Tu te rappelles le collège, Sam ?
- Écoute Brett je crois que tu me l’as déjà demandé au début de cet épisode.
- C’est un signe Jonathan. C’est un signe du destin. Qui nous dit de nous retrouver dans l’épisode précédent.
- L’épisode suivant Brett. Suivant. Tiens, prends encore un whyskas.
- Un whisky Johnny. Un whisky.



Prochainement dans Passions dans les flammes : Brett va découvrir que ses années de collège ont changé son destin, et qu'il avait pris la forme de Brenda.
                                                                                                                                                A suivre ...

Fontaine 

Fontaine

751
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Le Collège de France - Mer 20 Fév 2019, 22:40

réf: La conclusion d'Aurélien B du mercredi 20 février 2019 pour fermer les matins de France Culture.

Le collège.


AB  a écrit et ensuite causé dans le poste vers 9 h00 du mat:Rien de plus précis que mes souvenirs de collège .
Avec la falaise du bac à son extrémité, le lycée a toujours échoué à atteindre une forme stable, on s’élevait lentement sur la face d’un trapèze pour mieux tomber d’un coup dans l’âge adulte 

Non, non et non c'était pas un trapèze ( volant) mais un triangle noir comme le pubis d'une brune.

Le collège, lui, rebute plutôt les philosophes, il est trop stable, trop fataliste pour eux. C’est le domaine privilégié des sociologues, ces jansénistes qui s’ignorent et qui auraient bien passé leur vie à regarder tourner l’épaisse liqueur du déterminisme social dans ce cloître idéal formé de quatre bâtiments paillerons disposés en carré .

L'épaisse liqueur spermatique dopée à l'amiante religieuse donnant les paillettes Pailleron.

La chose principale qu’on apprend au collège c’est le déterminisme social.

Nom de dieu de Bourdieu …

l’amour, ce sentiment qui nous passionnait tous, manquait un peu de substance.

L'amour cette chose étrange qui rentre par l’œil et qui ressort par le sexe sous forme de fines gouttelettes. (Dali) . Sperme again.

Lire Proust fut sur ce point une révélation : la jalousie était un sentiment plus puissant que l’amour.

C'est tellement con que j'en reste coit quoi coït cot cot codac comme disait le coq à l'âne.
Le coq est un exemple en amour, il a lu Ronsard.

apprendre à désescalader (faute) du (?) paradis de l’enfance.

Fixette sur la grimpette...

la maison de CJ dans GTA. 

Vous voulez dire la maison du facteur Cheval et sa jument verte ?

j’ai découvert l’existence de la liberté.

Vous l'aviez déjà fait avec la statue de Barentin.

Photo d'illustration de vos propos sur votre page de France Culture : Des collégiens• Crédits : arabianEye - Getty : et le numéro 23 c'est vous ?

Un conseil : pratiquez le Curlying, aneffet d'après Wikipédia manger des Curly augmente ta capacité à délirer entre potes. Les effets sont immédiats : dès les premières secondes, tu sens une aura ...

Scusez-moi je n'ai pas de conclusion. Les Matins de France Culture - Page 75 Pom-pom-girl

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Re: Les Matins de France Culture -

Les Matins de France Culture     Page 75 sur 100

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