7 h 30. Naïvement, j'attends des nouvelles de la dernière rencontre Johnson/von der Leyen, qui a eu lieu hier soir à Bruxelles. Le Brexit se décide en ce moment même. Cette comédie tragique qui dure depuis quatre ans tire à sa fin. L'Europe, le Royaume-Uni, encore plus, et leurs citoyens vont souffrir économiquement politiquement et dans leur vie quotidienne de cette séparation absurde. Pour la vie culturelle, l'esprit d'échange, c'est une triste catastrophe.
Pour Catherine Duthu, le sujet est mineur. Elle traite d'abord, et mal, d'un incident (un de plus, mais elle n'en avait pas parlé auparavant) en Nouvelle-Calédonie autour d'une mine de nickel que les indépendantistes auraient voulu acheter sans avoir l'argent pour le faire. C'est ballot. Leur souhait, ce n'est pas Duthu qui le dit, est une nationalisation plus ou moins déguisée, payée par l'État français qui ferait qu'en cas d'indépendance, cette mine deviendrait leur. D'autres sujets dont Noël et le coronavirus sont abordés, puis vient enfin et en dernier l'Europe. Pour Duthu, l'important est que le veto polono-hongrois est tombé. C'est une bonne chose, mais on ne comprend pas très bien les concessions accordées par Angela Merkel. Vient enfin le Brexit expédié de manière confuse en quelques phrases rapides, où l'on croit comprendre qu'un nouveau délai a été accordé, pour la fin de la semaine (alors qu'un sommet européen débute dans quelques heures).
Qui choisit les sujets à traiter dans les journaux de FC? Y a-t-il une conférence de rédaction comme dans les grands médias? Ou Erner et Duthu s'arrangent-ils entre eux, comme des grands de l'information, vers six heures du matin entre deux cafés? C'est une question.
Pour Catherine Duthu, le sujet est mineur. Elle traite d'abord, et mal, d'un incident (un de plus, mais elle n'en avait pas parlé auparavant) en Nouvelle-Calédonie autour d'une mine de nickel que les indépendantistes auraient voulu acheter sans avoir l'argent pour le faire. C'est ballot. Leur souhait, ce n'est pas Duthu qui le dit, est une nationalisation plus ou moins déguisée, payée par l'État français qui ferait qu'en cas d'indépendance, cette mine deviendrait leur. D'autres sujets dont Noël et le coronavirus sont abordés, puis vient enfin et en dernier l'Europe. Pour Duthu, l'important est que le veto polono-hongrois est tombé. C'est une bonne chose, mais on ne comprend pas très bien les concessions accordées par Angela Merkel. Vient enfin le Brexit expédié de manière confuse en quelques phrases rapides, où l'on croit comprendre qu'un nouveau délai a été accordé, pour la fin de la semaine (alors qu'un sommet européen débute dans quelques heures).
Qui choisit les sujets à traiter dans les journaux de FC? Y a-t-il une conférence de rédaction comme dans les grands médias? Ou Erner et Duthu s'arrangent-ils entre eux, comme des grands de l'information, vers six heures du matin entre deux cafés? C'est une question.