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Accueil / France Culture

La Conclusion par Aurélien Bellanger    Page 2 sur 4

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Philaunet En ligne


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Le crétin (des Alpes) manque de sel (iodé) - Jeu 05 Sep 2019, 10:33

Le but de ce billet est de louer le travail du correcteur engagé par France Culture pour donner une forme correcte aux textes de Bellanger (le fond, s'il existe, on ne peut le changer, et tout le monde s'en fiche).

Pour se rendre compte du travail (parfois lacunaire, voir les billets précédents) exécuté par le réviseur, il suffit de comparer la version originale (mise sur le site, on se demande pourquoi) et la version nettoyée (imparfaitement). Pour aujourd'hui, la première est ci-dessous, la seconde ici (on l'espère, car à l'heure de ce billet, les deux versions sont identiques, le réviseur fait-il grève ?).

Pour qui n'a pas le temps de comparer (et ça se comprend parfaitement, car pour se taper deux lectures de vacuité, faut être idiot ou écrire sur ce forum, ou les deux comme le pensent certains), voici un petit relevé (on ne mentionnera pas ou à peine la ponctuation erratique, l'absence de majuscules et de traits d'union) :

- au dessus
- ce (...) pivot (...) me rapellait
- un décors
- Viollet le Duc
- dimensions extravagante
- Les Alpes (...) sont percés d'aérodrome
- l’aiguille du midi
[Aiguille du Midi ]
- les états alentours [États]
- son emballage pittoresques
- les Alpes guerroyantes
[peut-être un néologisme, mais le contexte est obscur]
- les neiges éternels
- une profonde vallées
- des Alpes remplie d’or et dédoublés


Arrivons-en à la prétendue germanophilie de l'auteur (auteur !) qui, quand il ne parsème pas ses textes de noms de marques, fait du name-dropping à tire-larigot pour impressionner le chaland. Aujourd'hui, "l’architecte berlinois Bruno Taut".

Ce dernier aurait écrit “ Peuple d’Europe ! Façonner les biens sacrés, bâtissez ! Soyez une pensée de votre étoile la terre qui veut se parer par vous !

Hum, on tique grave... Y a-t-il un seul un peuple d'Europe (ça pourrait déplaire à certains, ça)  ?  "Façonner" et "bâtissez " ?

Enquêtons et en deux clics : Texte von Bruno Taut : ''Völker Europas! Bildet Euch die Heiligen Güter – Baut!

Seid ein Gedanke Eures Sterns, der Erde, die sich schmücken will durch Euch!
''

"Völker Europas!" = Peuples d'Europe (évidemment)
''Bildet Euch" = Façonnez [-vous] (évidemment)
''Seid ein Gedanke Eures Sterns, der Erde" = Soyez une pensée de votre étoile,  la Terre, (évidemment).

Voilà, on est bien sur France Culture, la médiocrité en action, la culture (et la langue) en transition.

Au fait, il est très dommage que nous n'ayons pas eu la dernière ligne du texte de Bruno Taut, est-ce parce qu'elle exprime tout le contraire de l'esprit utilitariste de la station ?

''Ja unpraktisch und ohne Nutzen! Aber sind wir vom Nutzen glücklich geworden?''
Proposition de traduction, les logiciels ratant le sens : "Oui, non pratiques et sans utilité
[*]. Mais l'esprit utilitariste nous a-t-il rendus heureux ?"

[*]"Les biens sacrés", cf 1ère ligne de la citation.

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Philaunet En ligne

Philaunet
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Larmes et alarmes, France Culture en transes - Ven 06 Sep 2019, 18:13

Philaunet(https://regardfc.1fr1.net/t693p70-langue-francaise-le-meilleur-et-le-pire#33744) a écrit:Mais sur quel site peut-on donc trouver ceci dans une chronique ?

- son fils en larme
- au dessus  
- comme il honte aussi de la Terre
- sommes nous maudit
- recolles un peu
- sauves toi, sauves nous et sauves le monde
- une institution d’état
- je me dit
- l’une des choses que l’école m’a justement appris
- on aurait offert nos coeurs toutes sortes d’aventures  
- m’avait il
- le théatre
- la table nous aurait rendu froids


Lecteur (h/f bien sûr) régulier de ce forum ? Réponse déjà trouvée, alors. Pour les nouveaux : la chronique (06 09 2019) de M. Bellanger, écrivain (paraît-il), dans les Matins de FC.
Le correcteur de Bellanger nous déçoit. On lui mâche le travail, mais il préfère ignorer les grosses fautes, comme hier laisser la traduction pourrie d'une citation en l'état, alors que les erreurs crèvent les yeux.

Aujourd'hui, il ne faut pas avoir grande connaissance de la langue pour laisser dans un texte "son fils en larme" / " sommes-nous maudit" / "l’une des choses que l’école m’a justement appris" et d'autres choses de base encore (voir ci-dessus).

Quant à l'imbécillité quotidienne de la chronique, elle le dispute aujourd'hui à la niaiserie et à l'idéologie féministe (il faut bien conserver son job) : tous les hommes pleurent devant l'école le jour de la rentrée et se répandent en mièvreries sur les fameux réseaux sociaux à propos de leurs enfants.

Il faut dire, Bellanger les utilise ces réseaux sociaux : 10 minutes après la lecture effrayante de nullité de sa chronique, il avait déjà utilisé son compte Twitter pour informer le monde entier du billet copié ci-dessous (c'est l'original avec toutes les fautes que les instituteurs corrigent dans les classes de CE1, exemple :  "sauves le monde").

À propos, ils sont beaux les comptes Twitter des employés de France Culture ! Il faut lire les commentaires salaces ou pornographiques qui suivent la promotion avec photo de nue du n° des Pieds sur terre consacré aux "hommes payés pour donner du plaisir aux femmes" (en passant, deux poids deux mesures concernant la prostitution, hein Kronlund ?).

Bref, les réseaux sociaux de FC sur quoi compte la direction pour se faire mousser, c'est au choix un déversoir d'obscénités, d'idioties (voir le dernier Tweet de Gardette, misère !) ou d'auto-congratulations.

Finalement, c'est là que se trouve le véritable forum sur France Culture, et il n'est franchement pas reluisant.

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Philaunet En ligne

Philaunet
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''L’ambianceur ou l’intellectuel d’ambiance'' - Lun 09 Sep 2019, 11:44

Aurélien Bellanger, dans sa chronique (presque) corrigée mentionne un "pamphlet", celui de Nicolas Vieillescazes paru dans lundimatin en avril : Qu’est-ce qu’un intellectuel d’ambiance ?*

"Entre les attentats de janvier 2015 et Nuit debout, une nouvelle catégorie d’intellectuel est apparue : l’ambianceur ou l’intellectuel d’ambiance. Il occupe déjà une place significative au sein du milieu culturel, où il diffuse quelque chose s’apparentant à de la radicalité politique, mais avec la plus grande douceur et, surtout, sans donner le moindre contenu affirmatif à ses propos. C’est, je crois, dans cette contradiction qu’il consiste et que réside sa singularité. Comment on peut parler de politique sans rien en dire ni soutenir de position, voilà ce qu’il s’agira d’élucider et d’interpréter."

Deux personnalités y sont étudiées, l'une bien connue à France Culture qui a sa semaine régulière dans Matières à penser, Patrick Boucheron (voir à ce nom dans ce forum), et Marielle Macé, invitée régulière de la station.

Dans sa chronique, Bellanger parle de lui, comme d'habitude, n'exclut pas d'être un de ces ambianceurs et trouve finalement cette catégorie de dandys intellectuels la seule qui puisse lui donner une image agréable de l'extrême-gauche.

Pas inintéressant. Surtout si l'on soumet à cette analyse les employés de micro de France Culture.

*Le premier paragraphe de ce "pamphlet" de 15 pages, politiquement radical dans ses conclusions, ce qui ne devrait finalement pas déplaire à France Culture. Bellanger ne sera donc pas excommunié :

L’enfant naît au monde dans le cri ; l’ambianceur advient à la politique dans la sidération. C’est d’abord un être en état de choc qui s’avance vers nous, justifié à la fois par cet état – preuve de la gravité de ce qui objectivement arrive – et par les titres qu’il détient – raison pour laquelle il est invité à parler (ma mère, si choquée soit-elle, ne passera jamais sur France Culture). Mais ses titres, sa position institutionnelle ne sont au fond que l’authentification sociale de sa sensibilité privée : son âme vibre à l’unisson du monde. Cela explique que les événements du monde, il ne les prenne pas seulement pour lui, mais aussi et surtout pour nous ; il en est à la fois le réceptacle douloureux et l’amplificateur pathique. Lui, c’est nous, et lui, c’est tout : l’ambianceur se veut le poète lyrique de ce « monde abîmé ». Il souligne la gravité de la situation, l’urgence de la crise, pour que chacun se pénètre de l’accablement approprié, mais non les ressorts d’icelle : il nous peint des phénomènes sans causes ni responsables ou dont les facteurs sont si multiples qu’il est impossible de les nommer. Il met dans le bain. Aussi donne-t-il aux objets suscitant la déclamation de sa préoccupation sidérée un aussi haut degré de généralité que celui que peut avoir l’amour, par exemple, chez les poètes – les deux principaux : sort des migrants, désastre climatique ; plus ponctuellement, les violences policières, mais singularisées dans des noms propres – Adama Traoré, Rémi Fraisse – qui prennent, là encore, une valeur aussi allégorique que ceux des amoureuses et amoureux des poètes. Mais l’objet par excellence de son souci, le point unificateur des divers objets dont il s’empare, c’est « nous » : l’ambianceur dit la crise du « nous », le besoin d’un « nous » « en qui ne vibre aucune notion d’appartenance [2] », d’un « sujet collectif, dilaté autour de moi qui parle [3] ».

Philaunet En ligne

Philaunet
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Un incapable qui a besoin d'un employé pour corriger ses textes (à demi) - Mar 10 Sep 2019, 11:13

Bellanger fait son malin dans la presse, dont Le Point, qui en a fait son chouchou.

Il reste malgré tout dépendant de serviteurs qui lui corrigent ses billets après mise en ligne. Il faut voir les originaux (exemples plus haut, mais on ne le fera pas chaque jour !).

Non seulement il traduit mal des citations (ou en reprend de mauvaises traductions alors qu'il se dit connaisseur de la langue originale !) modifiant  le sens du texte cité (cf. Le crétin (des Alpes) manque de sel (iodé)), mais il est incapable de faire un copié-collé correct, citant mal cette fois-ci  un texte en français :

Bellanger : un paysage à la Ramuz — « Vu de cette hauteur, le fleuve, au fond de la vallée, n’était plus qu’un bout de fil gris apparaissant à travers une brume bleu comme si ce n’eut été de l’air,  mais de l’eau,  dans laquelle on aurait mis fondre du savon »

Ramuz : Vu de cette hauteur, le fleuve, au fond de la vallée, n'était plus qu'un bout de fil gris apparaissant à travers une brume bleue, comme si ce n'eût pas été de l'air, mais de l'eau, dans laquelle on aurait mis fondre du savon

On est au-delà du j'men-foutisme.

[Entre autres fautes de l'original (capture d'écran sur demande pour les autres...) : il m’a fallut / J’ai rejoins ]

Curly En ligne

Curly

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A la recherche du Temps Perdu (en 6000 pièces) - Mer 11 Sep 2019, 13:10

La Con' de Machin, en mode speedrun.

Machin a découvert le monde en faisant des puzzles. C’est vachement passionnant de faire des puzzles, y’a le cerveau qui fonctionne, les mains, les yeux. Fascinant. Alors Machin son premier trip de quand il était mioche, c’est le puzzle des Schtroumpfs à l’école avec la carte du pays des Schtroumpfs.

Pause – La direction agitée (foutue pulpe, pourquoi restes-tu toujours en bas ?) communique -
L’actualité des idées, des savoirs et de la création rythme de plus en plus le débat public : elle compte parmi nos priorités. 
Fin de la pause


Y’a des bambins, les premiers trucs qu’ils jouent avec, c’est le hochet offert par mémé parce que c’est rigolo, ça bouge et ça fait du bruit ;  mais non, Machin, lui, le premier truc golo qu’il trouve à faire, c’est direct un puzzle Ravensburger, la seule marque que quand tu le fais, c’est pareil que quand t’étais dans le ventre à ta daronne.

Pause – La direction communique, elle réinvente la communication, ça fait circuler la pulpe -
Développer encore nos approches des enjeux contemporains, les rendre toujours plus accessibles pour tous, consolider notre offre d’information, étendre nos sujets à ceux que les temps présents rendent essentiels et nous suggèrent : il s’agit de prendre l’époque à bras-le-corps.  
Fin de la pause, maintenant ça suffit, après on comprend plus rien à la Con' de Machin


Mais rester 9 mois à te faire un puzzle de mappemonde à 650 pièces le kilo, c’est pour les nullos. Machin il te le fait en moins de 40mn, et après c’est hop coucou les amis regardez je ressors du ventre à la daronne. Magie !
Les puzzles c’est comme Super Mario, tu peux faire la course à celui qui finit le plus vite. Super Mario il est fort, tu lui commandes une pizza royale, il te la pixelise en une seconde, et à table les loulous ! Alors Machin aussi de son côté il doit assurer niveau compét’.
Machin il a acheté

Quoi encore une pause ? On avait dit que c’était fini, que la pulpe y en avait bien partout ! Enfin bon, trop tard.
La culture est un signe des temps.
Ça va, c’était pas trop long. Fin de la pause.
C’est le passage où y a le plus de suspense et la pause a tout foutu en l’air. Enfin tant pis.


...acheté aux puces pour cinq ronds suisses un 5000 pièces des Dolomites que tu te croirais à la télé allemande dans une bonne émission de variétoche de Noël, il manque que les chanteurs en tenue traditionnelle avec les plumes et tout, l’accordéon et le cor des Alpes qui t'explose les chants des oiseaux et fait fuir en Namibie la faune dolimitique.
D’un coup soudain, Machin, grâce à une débauche d’effets spéciaux, se métamorphose en Picsou plongé dans son pognon, et dans son esprit troublé par cette excitation de tous ses sens qui le replonge dans le monde merveilleux de son enfance, il ouvre la boîboîte à pupuzzle et

Pause – La direction est suffisamment secouée comme ça, mais quand les idées viennent, faut les sortir, après on oublie. Donc, la direction communique -
La qualité et l’exigence sont au centre de notre démarche mais l’élitisme n’est pas une valeur positive pour nous. Nous ne sommes pas un club. 
Fin de la pause


...et il découvre que le puzzle il était pas neuf, d’où le prix, d’où les puces.
Y a un autre gars qui l’a fait, et en plus il a salopé le couvercle en écrivant dessus.
C’est la goutte d’eau qui casse le vase de Soissons : Machin pète un câble, ses circuits explosent dans une débauche d’effets spéciaux mais pas les mêmes que tout à l’heure, et  soudain tout à coup il se retrouve nez à nez avec Casper le gentil fantôme en 24 pièces.

Curly En ligne

Curly

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Karamazov contre les Twittos Fous - Lun 23 Sep 2019, 23:04

The aventures of  Aurélien Le Pintadon

Episode 4% :  Karamazov contre les Twittos Fous

Le Pintadon marche dans la rue en demandant à son portable : "Portable, mon beau portable, est-ce moi qui suis toujours le plus beau sur Twitter ?". Il marche, il marche, il marche, c'est pas possible comme il marche… il trouve que les commentaires sur les réseaux sociaux, c’est la foire aux réac’, qu’on peut plus rien dire sans se faire lyncher, que le monde est injuste, mais pas suffisamment pour qu’Aurélien se prenne un poteau ou se fasse renverser par une trottinette tueuse. Y’a encore une marge de manœuvre. L’espoir est permite pour que le monde soit un peu plus injuste à l’avenir. Ça tombe pile, c’est dans notre destin de l’avenir d’être encore plus dans la mélasse, avec encore plus d’injustices.
Mais c’est sans compter les méandres tortueux de la fatalité du destin. (J’en fais pas un peu trop ?)
Car soudain, Le Pintadon, plongé simultanément dans ses pensées, ses tweets, et sa marche, se fait sauvagement agresser par un bolchevique :
-  Gââârrr Saint Lazâârrrr êêêtrrr loin, camarâââd’ ?
- Aaaaaaaaaaaah !, répond Aurélien Le Pintadon, en se prenant simultanément dans la tronche le poteau du feu rouge de la rue de Provence, une chiure de pigeon, la question du russe francophone, et une trottinette électrique qui avait loupé le feu mais pas le gars qui était dessous.
Le gars dessous justement, tous ces chocs ça fait d’un coup déclic dans sa caboche : russe = Raskolnikov = Dostoïevski = questions morales et religieuses. Et le voili voilou à mille lieux simultanément des tweets, du feu rouge maintenant devenu vert, de la chiure et de la trottinette.
- Moi mal bââârrrrrrré pour Saint Lazarrrrrr !, braille le russo-francophile, qui, négligeant la chute du Pintadon, nous en offre une nouvelle, car aujourd'hui, pour une chute achetée, une offerte.

                                                                                            End of le Episode

Curly En ligne

Curly

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Apocalypse auditive - Ven 01 Nov 2019, 11:32

Afin de magnifier ce cataclysme auditif qu’est la Con de Machin du jour,

Étape number One
Lire la pastille, attention au choc esthétique [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/18292-01.11.2019-ITEMA_22191550-0.mp3 " debut="00:00" fin="03:45"]

Arrivé à la trentième seconde environ, sublimer la « grande geste cartésienne » en passant à l'

Étape number Two
Ajouter le nappage suivant 
Bien mettre le son à fond de cale.

Laisser dérouler jusqu'au bout.

Philaunet En ligne

Philaunet
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18
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Sérieusement dérangé - Mar 12 Nov 2019, 22:20

Ah la psychanalyse de Bellanger * dont personne n'a rien à cirer, pas davantage que les torrents de connerie qu'il déverse chaque matin à 8h55 avec la bénédiction de son ami Erner qui l'a appelé sur la chaîne avec l'assentiment de la directrice qui trouve la profonde nullité et la prétention de la Matinale de France Culture siiiii vendeuse. Belle entreprise d'abêtissement qui tombe parfois sur un os, comme Jancovici.

Bellanger donne le détail de ses courses au supermarché à l'antenne : "je vais là-bas comme j’irai encore, bien longtemps après que tout ait été dit, chez mon psychanalyste"

"j’ai dépensé là, en quinze ans, dans un ancien Champion devenu Carrefour Market, quelque chose comme 50 000 euros — 100 000 euros peut-être : le prix d’une très longue psychanalyse."

Comme dirait mon voisin (un homme de radio, c'est dire !) qui le coupe dès qu'il entend ses premiers mots : "Mais on s'en fout !"

"J’avais été marqué par cette phrase de Lacan qui disait que l’inconscient sait tout".

Toute la station est sous l'emprise de la psychanalyse. Pas une semaine, pas un jour sans qu'il en soit question.


* Repérée grâce au ratissage quotidien de Curly dans La vie des idées.

Philaunet En ligne

Philaunet
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19
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Être fier de se moquer des gens - Mar 19 Nov 2019, 20:50

Où ailleurs que sur France Culture peut-on entendre cette arrogance assumée, ce prétendu second degré, ce foutage de gueule intégral payé par la redevance sur l'audiovisuel ?
Je jure, et je suis certain qu’on me croira, que je n’ai jamais cherché à adapter mon style aux exigences du registre radiophonique.
Voir ce fil et celui des Matins.
(…) Mais j’ai déjà, je l’avoue, dicté intégralement des chroniques. Pas celle-ci, d’ailleurs, ou bien pas en entier. Et je ne crois pas qu’à l’oreille je sois capable de distinguer vraiment ce que j’ai dicté de ce que j’ai écrit.
On avait compris que la transcription de la page était due à une fonction de smartphone et (partiellement) corrigée par un assistant.
J’ai en revanche tenté de lire d’une traite, l’autre soir, l’équivalent de 10 chroniques d’affilée, pour une conférence que j’ai donnée, justement, sur Walter Benjamin — une conférence dont j’avais dicté la plus grande part. Et si mon téléphone, lui, m’avait parfaitement compris, je ne suis pas certain que le public ait été ce soir-là au niveau de celui-ci.
Public = bande de cons.
Devant la brutale absence d’applaudissements de la salle, j’ai ressenti une soudaine empathie pour le peintre du Chef-d’œuvre inconnu de Balzac, mon double numérique.
Se croire spirituel quand on est nul et  prendre les gens pour des imbéciles, le cachet de la station. Promu sur le site du courrier à Radio France : pathétique.

Fontaine 

Fontaine

20
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Bellanger l'inoxydable - Mer 27 Nov 2019, 08:35

Je cite la citation de Curly :

"« ‘’à Toulouse il y a tout’’ (…)  J’ai ainsi fait la découverte de l’Esméralda, du Purple et du Senso, j’ai déploré que le verre soit si cher au Ma biche, sur le toit des anciennes Nouvelles galeries, et qu’il faille s’y contenter de queues de cerise, quand tout ce dont rêvait notre mystérieux interlocuteur, c’était de rouquines et de bières à volonté. (…) ainsi une fois encore Toulouse était bien capitale. »"

oui, on dirait du Aurélien, me trompe-je ?

Anyway l'auteur de cette perle est peut-être krypto Dada, néoDada ou même le Monsieur Jourdain du dadaïsme,
à Blagnac les avions volent bas et sur Rance Culture la parole vole encore plus bas .

Ce forum vous tienne en éveil.

Philaunet En ligne

Philaunet
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21
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Re: La Conclusion par Aurélien Bellanger - Mer 11 Déc 2019, 15:04

La bêtise fascine. Elle piège le lecteur/auditeur qui s'étonne de toutes les formes qu'elle prend. C'est pourquoi Bellanger, qui n'est rien, attire l'attention. Bellanger ne laissera aucune trace sur France Culture, ni ailleurs. Il est la présence de la bêtise et du narcissisme, et c'est à ce titre qu'il est à l'antenne, utilisé par la Direction pour sa "disruption", laquelle n'est pas forcément comprise par les auditeurs, mais est appréciée par des médias partenaires qui sont prescripteurs d'écoute (de FC). Comme Télérama qui fait cette semaine un éloge de l'animateur de la tranche 9h-10h, un des plus mauvais présentateurs que la chaîne ait employés.

Donc l'avarice dans Eloge de l'avariche et dans la vie des idées

Ce matin, ce titre Les pistes cyclables et la révolution (11/12/2019) avec ce chapeau : "Les deux seuls sujets qui m’importent — les pistes cyclables et la révolution — ont presque fusionné, et c’est très inquiétant." . Faut-il écouter ou lire le reste ? Non. Bellanger, après un teasing publicitaire, mélange des mots tendance et des références pour gagner ses euros. Ce ne sont que des conneries ? Normal. La dose de conneries est censée être un anti-climax de la matinale qui pourtant ne vole pas haut. Cette conclusion ("personnelle") n'a aucun intérêt, sauf à faire entendre un bruit différent à ceux qui veulent entendre des voix quoi qu'elles disent (et ils sont nombreux ceux qui sont "accro" aux  voix radiophoniques le matin, surtout en voiture).

La recension sur cette plateforme de mauvaises et ineptes séquences de radio n'a pour but que de présenter le tableau d'une radio publique à un moment de son histoire.

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Re: La Conclusion par Aurélien Bellanger -

La Conclusion par Aurélien Bellanger     Page 2 sur 4

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