Pour les nouveaux lecteurs ou ceux qui ont la mémoire courte (rares ici), rappelons que dans un article mémorable (pour les contributeurs), le sieur Aurélien Bellanger qui a l'honneur d'un fil dans ce forum (16 posts, mais voir aussi les 50 posts à son nom depuis le mercredi 19 décembre 2018 jusqu'à fin février + mars/avril/mai/juin...), le chroniqueur de 8h55, donc, avait trouvé qu'avant l'arrivée de la Messie Adler en 1999... "La Mésopotamie à 14 heures, c’est intéressant mais bon..." ça le faisait carrément ch... (le mercredi 28 novembre 2018).
C'est pourquoi on ne se lasse pas de dédier les plus belles émissions sur la Mésopotamie au puits d'ignorance qui se la joue branché avec séries américaines, jeux vidéo et tutti quanti de la même veine. Exemple de dédicace :
Gilgamesh en mots, avec Françoise Barret *.
Pas de pastille, l'émission dure 23 minutes et tout est précieux.
Tiens ???? Cette citation dans le descriptif. Je n'ai pas souvenir de l'avoir entendue. Étrange. Choisie par une commissaire aux bonnes mœurs féministes de la radio ?
Françoise Barret explique : "C’est ce qui m’a particulièrement interrogée dans cette histoire, la place des femmes, des déesses et des prêtresses, comme le couple Roi-Grande prêtresse, car dans cette histoire les déesses on un rôle que les dieux masculins vont leur prendre ensuite…"
Et puis langue française ? J'imagine mal que le docte Sébastien de Courtois ait écrit cela :
"l’un des plus ancien texte"
"les déesses on un rôle"
"assurer de donnes récoltes"
Quoi qu'il en soit, la conteuse Françoise Barret mérite notre écoute. Ça changera des conseils de la directrice (catastrophe, suicide et préjugés).
C'est pourquoi on ne se lasse pas de dédier les plus belles émissions sur la Mésopotamie au puits d'ignorance qui se la joue branché avec séries américaines, jeux vidéo et tutti quanti de la même veine. Exemple de dédicace :
Chrétiens d'Orient dans tout ça ? Eh bien le numéro exceptionnel de ce jour composé du récit de l'épopée de Gilgamesh par une conteuse et de la synthèse de ce mythe. Avec en fin d'émission, comme chez Charpentier de Carbone 14, pour ne pas se faire mal voir de la direction, trois mots sur l'utilité contemporaine de l'histoire et "ce que ça dit de notre monde", car il ne faut pas se vautrer dans la délectation de l’écoute d’un conte pour le plaisir de l’histoire...Curly(https://regardfc.1fr1.net/t852p190-le-programme-de-nuit-ilot-de-culture-ii#33936) a écrit:Samedis de France Culture - Irak, le dieu caché 1- L'Euphrate (20/05) 2- Le Tigre (27/05/1978)
Par Hélène Tournaire - Avec Pierre Rossi - Réalisation Georges Peyrou
Une visite à travers le pays : calme et sérénité en Irak, mais en 1978.
Pierre Rossi raconte avec beaucoup de passion la civilisation mésopotamienne : traversée sonore avec des arrêts, non seulement dans des lieux sacrés (existent-ils encore aujourd'hui ?), mais sur la langue, l'épopée de Gilgamesh, la religion, l'histoire, la musique (l'oud, les maqâm), quelques lectures par Med Hondo, et un peu par Anouck Ferjac, surtout de textes d'auteurs du XXème siècle (Badr Shakir al-Sayyab, Mahdi Issa al-Saqr, Abd al-Wahhab Al-Bayati...)
L'émission en tout dure un peu plus de 4h20, mais on la trouve trop courte tant finalement la variété des sujets abordés pouvait permettre de nombreux développements.
Gilgamesh en mots, avec Françoise Barret *.
Pas de pastille, l'émission dure 23 minutes et tout est précieux.
Tiens ???? Cette citation dans le descriptif. Je n'ai pas souvenir de l'avoir entendue. Étrange. Choisie par une commissaire aux bonnes mœurs féministes de la radio ?
Françoise Barret explique : "C’est ce qui m’a particulièrement interrogée dans cette histoire, la place des femmes, des déesses et des prêtresses, comme le couple Roi-Grande prêtresse, car dans cette histoire les déesses on un rôle que les dieux masculins vont leur prendre ensuite…"
Et puis langue française ? J'imagine mal que le docte Sébastien de Courtois ait écrit cela :
"l’un des plus ancien texte"
"les déesses on un rôle"
"assurer de donnes récoltes"
Quoi qu'il en soit, la conteuse Françoise Barret mérite notre écoute. Ça changera des conseils de la directrice (catastrophe, suicide et préjugés).