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Les matins - Commentaires d'auditeurs de 2009 à 2014 Page 84 sur 86
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831Jardins - Ven 13 Juin 2014, 09:56
Cancoillotte
832Re: Les matins - Commentaires d'auditeurs de 2009 à 2014 - Ven 13 Juin 2014, 21:13
Nessie
833A venir, les Matins d'été avec Nicolas Martin - Lun 16 Juin 2014, 13:06
Etant donné que cette grille s'étend pendant 8 semaines et non plus 5, pour l'auditeur de la matinale c'est carrément le pari : nous serions délivrés de Voinchet pendant presque 2 mois. De Voinchet mais aussi de Cluzel, de Métézeaux, de la cohorte de chroniqueurs, tout cela disparait non plus au coeur de l'été pendant les chaleurs, mais dès le début juillet. Très bien, mais pour laisser la place à qui et à quoi ?
Dans son baratin lénifiant typique du mensonge des dirigeants de service public, Olivier Poivre d'Arvor présente ainsi les matins : << En semaine d’abord, rendez-vous quotidien avec Nicolas Martin et de réjouissants Matins d’été. >>
Pourquoi réjouissants ? On ne sait pas. D'ailleurs la bonne question n'est pas de se demander pourquoi ils seront réjouissants, mais pourquoi le poivrinet a choisi ce qualificatif : Voinchet ne cherche-t-il pas déjà à nous réjouir toute l'année avec ses blagues vaseuses, sa vulgarité, ses multiples registres surjoués (le ton farce, le copinage lourdingue, la bonne ambiance bidon).
Pour en savoir plus, peut-être nous faut-il savoir qui est ce Nicolas Martin. Est-ce comme Bouscarel l'an dernier, un jeune requin très bien rôdé dans le rôle du meneur de jeu, excellent pro de la com', un ambitieux gonflé à bloc, plein d'espoir et vide d'idées (sa manière à lui d'être profond) ? On ne sait pas. La présentation à la page 22 du Pdf de présentation, nous dit le minimum mais pour en juger, on verra bien à l'épreuve.
Pour moi c'est quand même d'avance une bonne nouvelle, et certainement un motif d'écouter les matins. On verra bien, au bout d'une semaine, si en remisant le titulaire pendant 2 mois France Culture nous a échangé le dindon contre un soliveau ou contre un militant.
Dernière édition par Nessie le Ven 20 Juin 2014, 09:07, édité 1 fois
munstead
834Bouscarel, hélas! - Ven 20 Juin 2014, 08:04
Philaunet
Admin
835Re: Les matins - Commentaires d'auditeurs de 2009 à 2014 - Ven 20 Juin 2014, 09:50
munstead a écrit:Ce matin Bouscarel, qui, une fois de plus, n'a rien à nous dire, file la métaphore entre le foot et la politique, Hollande et Didier Deschamps. (...) Etre éditorialiste politique à France Culture devrait être le bâton de maréchal du journalisme politique. Enfin, c'est ce que l'on pouvait imaginer avant Poivre d'Arvor le petit (ce qui vu ce qu'est le grand, n'est vraiment pas grand chose). Il y a remis bon ordre dans un esprit démocratique et d'égalité des chances données à tous. Il a donc choisi, au hasard sans doute, un Bouscarel en lui demandant de faire ses preuves. Le test a été réussi puisque le journaliste est encore là après six mois de naïvetés, de bien-pensance, de confusion, de vide salués par les grognements approbatifs de Voinchet. (...)
Bouscarel décline... aussi ses billets dans le journal de France Musique (sans grognements de fond). Deux antennes nationales, donc. Ce n'est pas une obsession, mais une curiosité sur le bon emploi des deniers publics : quel est le prix d'achat de tels billets ?
Nessie
836Retour au régime 2007-2012 - Mar 24 Juin 2014, 16:38
A France Culture ces derniers temps le désespoir est perceptible. L'homme qui a été élu à la tête de l'Etat avec le soutien de la quasi-totalité des employés de la chaine, ne semble plus pouvoir nourrir leurs rêves. Alors elle se replie sur ce qui faisait son fond de commerce lors du quinquennat précédent : d'abord dérouiller le président d'alors qui retrouve là une utilité sociale. Mais comme ça ne fait pas tout à fait assez actu, il reste l'increvable truc des conflits sociaux : en rendre compte, en donnant la part belle aux justes revendications (pléonasme) et en suivant la chronique du conflit, quand bien même elle mène de non-événement en non-événement. Que ce soit pour propagander ou pour meubler, tout y passe : invocation fervente du CNR, valorisation du principe de la grève, histoires personnelles des soldats du bien recevant leurs 5 minutes de célébrité grâce à des reportages important dans le journal l'ambiance des Pieds sur terre. Oui tout y passe, tout sauf l'information sur l'aspect économique des choses.
Avec un peu de pot, ça peut faire un grand sujet pour la matinale. C'était le cas aujourd'hui. Ce premier post est là pour économiser aux forumeurs l'écoute de la première partie : une mini-foire d'empoigne entre les 4 invités ou plutôt 3 d'entre eux, sous les interventions et l'asticotage de Voinchet comme toujours assidûment occupé à relancer ses invités ou à parler en même temps qu'eux quand bien même il n'avait pas grand chose à dire. Eux non plus d'ailleurs, puisqu'ils ont rivalisé dans la langue de bois, chacun sur son registre ou dans son dialecte : le médiateur nommé par l'Etat, le directeur de théâtre, et le sociologue-engagé. La 4e place était tenue par une sociologue, jadis militante elle aussi mais ayant apostasié depuis déjà quelques années, elle a sagement préféré ne pas intervenir.
Quelques uns des reproches pratiques qu'on peut faire à cette première partie : la teneur en information était des plus faibles. Personne n'a pris la peine de poser le problème et notamment pas Voinchet dans sa présentation ; il faudra pour cela les interventions de Couturier et de Nathalie Heinich après le journal. A part ça, le médiateur et le sociologue engagé parlent chacun leur langue de bois, et ne répondent pas aux questions floues de Voinchet. Il est vrai que pour répondre à une question quand elle est mal posée, il faut savoir redoubler de clarté or on constate pendant ces 15 minutes qu'ils n'ont guère ce talent. En voici un exemple : la réponse pas claire ("un différé c'est quoi ? c'est un différé") : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/06/s26/NET_FC_7f436f54-0a66-476b-88aa-be76e96b1e6a.mp3" debut="07:50" fin="09:12"]
Et quand Voinchet saisit l'occasion de jouer la mouche du coche, ça se finit comme ça : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/06/s26/NET_FC_7f436f54-0a66-476b-88aa-be76e96b1e6a.mp3" debut="15:01" fin="16:31"]
./...
Dernière édition par Nessie le Mar 24 Juin 2014, 19:19, édité 2 fois
Nessie
837Partage du chou collectif avec le bout de gras de chacun - Mar 24 Juin 2014, 17:52
La deuxième partie va se jouer sur un autre mode : la rivalité entre langues de bois va laisser la place à un dialogue à couteaux tirés.
Ca commence avec la chronique de Brice Couturier : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/06/s26/NET_FC_d386f558-fade-4046-ad76-27a14d1bafb3.mp3" debut="00:00" fin="04:40"]
Le dialogue embraye immédiatement par une réfutation musclée du sociologue de Picardie. Couturier qui en a marre de se faire contrer par des militants, ne se laisse pas faire et du coup la passe d'arme reproduit ce qu'on a déjà entendu 1000 fois. Vient alors ce qui aurait dû être dit dès 7h40 : Nathalie Heinich demande à élever le débat, or ce qu'elle fait, c'est tout simplement résumer le problème, et là elle ne parle pas (pas encore, espère-t-on) en sociologue : [son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/06/s26/NET_FC_9ee3c8ba-2d3a-40b8-a539-cb5e05b7a8ef.mp3" debut="01:49" fin="23:10"]
Il faut préciser qu'on aurait entendu autre chose de la part de Pierre-Michel Menger, sociologue tout aussi sérieux mais très engagé, et engagé dans un autre sens que les militants de l'intermittence.
Mais enfin le dialogue semble remis sur les rails de la clarté. De fait, l'important sera dit à 8h28 et à ce moment là on entendra émerger le véritable désaccord. Dans un premier temps, Mathieu Grégoire avance un argument rarement entendu : le problème n'est pas celui des artistes, mais celui des intermittents en général. Sont donc concernés dit-il, tous les métiers où la norme d'emploi est le CDD. Nathalie Heinich s'inscrit en faux, en soulignant à la suite de Couturier que le système des intermittents du spectacle est exploité de façon abusive, par une collusion entre les employeurs et certains employés. Couturier à son tour réfute l'argument de Grégoire.
Après quoi ça se gâte, de nouveau : d'abord parce que le débat manque de peu dégénérer en querelle de chiffres, mais surtout parce qu'une troisième sociologue intervient. C'est l'occasion de discerner ici 3 types de sociologues : les militants, les chercheurs, et les essayistes. Représentés dans l'ordre par Grégoire, Heinich, Fourest. A ceci près que si on en croit Edgar Morin, tout sociologue est toujours par quelque côté un essayiste. Ca aurait pu être intéressant, et ça l'est pour un motif d'ailleurs très éloigné de la vocation des Matins : on constate que ces trois /sociologues/ ne parviennent pas à parler le même langage. Alors qu'en mettant Heinich et Menger face à face, quoiqu'étant sur des positions très différentes et donc capables de monter le ton, au moins ils auraient parlé la même langue. J'y reviendrai dans le post suivant, qui sera plutôt une a-post'ille a post&riori.
Car si le débat dégénère de nouveau, c'est surtout parce que Voinchet doit placer ses bobineaux, où Heinich comme Couturier n'auront guère de mal à diagnostiquer une épaisse langue de bois et une instrumentalisation de la culture à des fins corporatistes, et qui plus est à l'avantage des insiders. C'est fini, on n'en saura pas plus puisque ce verdict implacable tombant à 8h40, remet le dialogue sur les rails de l'engueulade entre les militants et les dénonciateurs du corporatisme. Couturier qui en a sa claque de se faire mettre en pièces avec la complicité de Voinchet, connait bien les militants pour les avoir pratiqués dans le Grain à moudre. Il ne lachera donc pas sa ligne du réalisme budgétaire. Il sait qu'il parle là une langue inconnue de ses interlocuteurs. Et d'ici la fin, il aura encore l'occasion de dénoncer quelques coups d'enfumage.
Bref on peut quitter l'écoute après la 15e minute de l'extrait mis plus haut en écoute par la 2e pastille proposée (le compteur indique alors 5 minutes restant à écouter). On peut quitter, enfin sauf si on aime ça...
./....
Dernière édition par Nessie le Mar 24 Juin 2014, 19:23, édité 3 fois
Nessie
838Re: Les matins - Commentaires d'auditeurs de 2009 à 2014 - Mar 24 Juin 2014, 17:58
Ma pomme a écrit:son pavé ci-dessus
Qu'en penser ?
Eh bien j'aurais préféré entendre Heinich dialoguer avec quelqu'un comme Pierre Michel Menger. La première a été élevée à la sociologie par Bourdieu, et après avoir été éjectée de ce cénacle sans jamais avoir su pourquoi d'ailleurs, elle a repris sa carrière de sociologue en assimilant sur le tard la pratique de l'enquête et la rigueur méthodologique. Deux choses qu'on ignore dans l'église Bourdieusienne, où les conclusions sont pré-rédigées et où le recueil des données ou des tableaux statistiques est fait après coup pour justifier lesdites conclusions, ce qui économise évidemment toute la partie d'analyse autant que tout souci d'honnêteté intellectuelle or on sait que ces choses là ça coûte cher hein. Pour ceux que ça peut intéresser, elle raconte ses mésaventures quasi dans ces termes, dans son 'Pourquoi Bourdieu' (2007).
Face à elle j'aurais aimé entendre Pierre-Michel Menger qui, tout engagé qu'il soit, est un méthodologue des plus rigoureux. As de la décomposition analytique, statisticien pointilleux, sachant tirer le meilleur de ses collègues (il lui arrive même de citer Bourdieu ce qui prouve un acharnement à extirper la brindille de vérité dans un fagot de charabia) c'est aussi un idéologue (pour trouver du vrai là-dedans, c'est une condition sine qua non). On peut parier que ses travaux, moins encensés que ceux de Bourdieu, resteront comme de véritables constructions de savoir. J'ai eu l'occasion de signaler dans ce post quelle orientation est la sienne : il préconise de généraliser le CDI dans les métiers du spectacle.
Au lieu de ce dialogue, nous avons cette 2e partie de matins qui dégénère progressivement en prise de chou. On peut espérer peut-être les trouver un jour dans le même débat sur le thème, peut-être dans certaines des traditionnelles tables rondes de l'été (Pétrarque, Averroès ?)
Dernière édition par Nessie le Ven 27 Juin 2014, 11:40, édité 1 fois
Philaunet
Admin
839Nous, notre, nos - Jeu 26 Juin 2014, 19:26
On se croirait dans les années 70 : c'est la faute à la société, « nous » sommes tous responsables. De quoi ? De tous les maux du monde, pardi, et ce quoi que vous fassiez, pensiez ou disiez. « Nous » sommes tous des K. forcément coupables..
Alors la bonne conscience des naïfs qu se prennent pour des zorros sans avoir compris quoi que ce soit aux droits de l'homme, voilà qui fatigue quand on la retrouve affichée en vitrine de France Culture :
Peut-on imputer aux déclarations de Manuel Valls, mais aussi à celles de nombreux élus qui dérapent régulièrement sur la question des Roms, la responsabilité indirecte de ce lynchage ?
A force de pointer du doigt les communautés particulières, la notion de « vivre ensemble » est-elle aujourd’hui au point mort ?
Comment expliquer que la notion de Français soit considérée comme un seul et unique bloc dans lequel devraient se fondre tous les particularismes ?
Depuis toujours des gens se font casser la gueule, et aujourd'hui, comme hier et comme demain, des gens iront à l'hôpital suite à des rixes pour des prétextes divers. Quand c'est une affaire de coeur (le nombre de morts suite à des vengeances de jaloux est effrayant), ça n'émeut personne et l'on ne pense pas à faire des programmes d'éducation et des émissions de radio (c'est un exemple, il y en a d'autres, prenez les prétendus « crimes d'honneur »). Mais là, ah ! Bref, le ras des pâquerettes de la présentation simpliste et engagée.
Sinon, comme toujours , le manque d'attention à la langue :
Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur en septembre 2013 parlait « des modes de vie [des Roms] extrêmement différents des nôtres » (...) et affirmaient
et
Dans la nuit du 13 juin dernier, Gheorghe, et non pas Darius (...) une maison désaffectée où Gheorge
Nessie
840Re: Les matins - Commentaires d'auditeurs de 2009 à 2014 - Ven 27 Juin 2014, 07:57
Ca démarre sur les chapeaux de roue et justement c'est ça qui ne va pas : Marc Voinchet comme toujours dynamique et en plein boum-tralala-tsoin-tsoin il enchaine dans un seul souffle les phrases les hésitations speedées les questions le nom de l'invité qui suit la question et là quand on attend la voix du questionné, c'est .... le silence. La réponse de Claude Viallat tombe après une interminable pause de presque 3 secondes. 3 secondes de silence c'est long. Et comme il y a 3 invités la scène va se reproduire deux fois. Après le peintre, il y a le commissaire de l'exposition. Le troisième c'est Alain Montcouquiol interrogé sur son petit déjeuner car Marc Voinchet ne pense pas qu'à ses propres croissants et donc il est soucieux du /petit-déjner/ des autres, "Alors c'était bien ?". L'autre lui répond sobrement que non.
Qu'est-ce que ça veut dire, tout ça ?
Est-ce silence technique ? Le temps que le message arrive ? Ils sont pas sur Mars quand même.
Serait-ce le silence 'Vitez' ? Ce fameux 'temps de sociétaire', vignette bien connue des comédiens ?
Ou alors on nous cache peut-être un drame local, cause et explication de cette ambiance sinistre ?
Serait-ce tout simplement un décalage d'humeur ? Un déphasage complet entre ce robinet à paroles qui débagoule à fond de train dans son studio et les 3 hommes du Sud brutalement tirés de leur paix matinale par cette tornade surexcitée. On se dit qu'il va bien réussir à les dégeler, quand il va cesser peut-être de s'intéresser à son propre numéro. De fait, c'est ce qui se passe. Lentement. Laborieusement. A 7h50 le dialogue est établi.
Il n'y a pas d'acrimonie ni de méchanceté dans ce post. Juste le compte-rendu de la surprise. A Paris dans sa ruche, l'homme de média qui se voudrait chaleureux, est paradoxalement centré sur son propre boulot, le nez dans son guidon à peine l'oeil sur la route, frôlant l'autisme. Entre lui et ses invités, jamais le décalage n'aura semblé aussi flagrant, aussi dérangeant. C'est d'autant plus frappant comme constat, que ça se fait en l'absence des scandales et obscénités usuelles auxquelles la chaine nous a habitués : il n'y a pas de massacre à l'ordre du jour, pas de scandale politique, pas d'événement sensationnel à balancer sur le marché de l'attention. Non, c'est juste du culturel, et même artistique,pensez donc : muséal. Au fond c'est peut-être pour ça qu'il est si net, le décalage entre France Culture et les artistes convoqués.
Dernière édition par Nessie le Ven 27 Juin 2014, 08:19, édité 2 fois
Philaunet
Admin
841Rythmes - Ven 27 Juin 2014, 08:08
Nessie a écrit:Une très étrange impression ce matin, à 7h40 : en duplex Marc VOinchet à Paris et ses 3 correspondants à Nîmes : Claude Viallat, Alain Montcouquiol
Ca démarre sur les chapeaux de roue et justement c'est ça qui ne va pas : Marc Voinchet comme toujours dynamique et en plein boum-tralala-tsoin-tsoin il enchaine dans un seul souffle les phrases les hésitations speedées les questions le nom de l'invité qui suit la question et là quand on attend la voix du questionné, c'est .... le silence. La réponse de Claude Viallat tombe après une interminable pause de presque 3 secondes. 3 secondes de silence c'est long. (...)
Qu'est-ce que ça veut dire, tout ça ?
Est-ce silence technique ? Le temps que le message arrive ? Ils sont pas sur Mars quand même.
(...)
Est-ce tout simplement un décalage d'humeur entre ce robinet à paroles et les 3 hommes du Sud brutalement tirés de leur paix matinale par cette tornade surexcitée.
Voinchet s'est levé à... 3h30 ou 4h pour cette matinale, comme tous les jours, et s'est bourré d'excitants. Les invités sont levés depuis une demi-heure peut-être ? Sans doute ont-ils accepté d'être au rendez-vous téléphonique pour ne pas laisser passer une chance de promotion de leur activité ? Je ne sais.
En revanche, je sais pourquoi je n'écoute jamais la matinale : je n'ai pas envie de me voir imposer le rythme d'un Parisien surexcité et brouillon au saut du lit. Sans doute est-ce aussi aussi le cas de ces invités.
Les matins - Commentaires d'auditeurs de 2009 à 2014 Page 84 sur 86
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