Le problème est que Coco a fait école à l'intérieur de France Culture : les voix d'intermèdes publicitaires, qu'elles soient masculines ou féminines, sont d'abord de plus en plus présentes puisque les bobinaux de pub encadrent maintenant les journaux (raison de plus pour les boycotter me dira-t-on) et en rajoutent dans la crème vocale. Et le hic c'est que la crême, ça noie les voyelles. Ainsi dans les pubs récurrentes pour la nouvelle présentation de la Dame à la Licorne, on peut entendre distinctement que c'est "une des plus belles réalisations du mayen-âge". Oui vous pouvez réécouter 78 fois grâce au numérique ça ne risque pas de vous faire un accident mécanique c'est bien le "mayen-âge" à moins que ce ne soit "le mayennage". Il parait qu'une des étymologies proposées pour mayonnaise c'est son origine mayennaise, alors on ne s'étonne pas et on conclut que les potiches sonores de France Culbute ont entrepris d'additionner largement la crème au beurre par la mayonnaise. Au risque du renvoi brutal de tout le dessert.
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101Lumières du mayen-âge - Jeu 19 Déc 2013, 10:18
On apprécie ou pas Coco, alias Colette Bonnier qui a importé sur France Culture sa voix et son style jadis made in FIP. Personnellement j'apprécie sauf quand elle ajoute des commentaires idéologiques à la sauce maison et nous refile un coup de pensée altermondialisse ; ah et puis sauf aussi jadis quand elle concluait la semaine à minuit après Equinoxe, par son "je vous embrasse" qui avait tout de la main-à-la-braguette en version vocale.
Le problème est que Coco a fait école à l'intérieur de France Culture : les voix d'intermèdes publicitaires, qu'elles soient masculines ou féminines, sont d'abord de plus en plus présentes puisque les bobinaux de pub encadrent maintenant les journaux (raison de plus pour les boycotter me dira-t-on) et en rajoutent dans la crème vocale. Et le hic c'est que la crême, ça noie les voyelles. Ainsi dans les pubs récurrentes pour la nouvelle présentation de la Dame à la Licorne, on peut entendre distinctement que c'est "une des plus belles réalisations du mayen-âge". Oui vous pouvez réécouter 78 fois grâce au numérique ça ne risque pas de vous faire un accident mécanique c'est bien le "mayen-âge" à moins que ce ne soit "le mayennage". Il parait qu'une des étymologies proposées pour mayonnaise c'est son origine mayennaise, alors on ne s'étonne pas et on conclut que les potiches sonores de France Culbute ont entrepris d'additionner largement la crème au beurre par la mayonnaise. Au risque du renvoi brutal de tout le dessert.
Le problème est que Coco a fait école à l'intérieur de France Culture : les voix d'intermèdes publicitaires, qu'elles soient masculines ou féminines, sont d'abord de plus en plus présentes puisque les bobinaux de pub encadrent maintenant les journaux (raison de plus pour les boycotter me dira-t-on) et en rajoutent dans la crème vocale. Et le hic c'est que la crême, ça noie les voyelles. Ainsi dans les pubs récurrentes pour la nouvelle présentation de la Dame à la Licorne, on peut entendre distinctement que c'est "une des plus belles réalisations du mayen-âge". Oui vous pouvez réécouter 78 fois grâce au numérique ça ne risque pas de vous faire un accident mécanique c'est bien le "mayen-âge" à moins que ce ne soit "le mayennage". Il parait qu'une des étymologies proposées pour mayonnaise c'est son origine mayennaise, alors on ne s'étonne pas et on conclut que les potiches sonores de France Culbute ont entrepris d'additionner largement la crème au beurre par la mayonnaise. Au risque du renvoi brutal de tout le dessert.
Nessie
102Tire ta langue - Dimanche 22 décembre - Dim 22 Déc 2013, 14:18
On croit rêver...
A l'instant, Nadine Vasseur invitée par notre Achille Talon du dimanche, évoque les voix du Panorama.
Elle parle des timbres très individualisés qu'on y entendait. Puis des "trognes vocales" de certains comédiens et tac on a quelques exemples : Michel Simon. Mais elle évoque aussi Fanny Ardant.
La voila commissaire d'une exposition à la Cité des sciences. Nadine Vasseur qui fut une grande professionnelle de la voix, a visiblement réfléchi à la question. Antoine Perraud exceptionnellement n'est pas trop lourdaud et n'en rajoute pas.
Vont-ils dire que les voix de France Culture sont de plus en plus des voix jeunes, immatures, sans caractère ?
Non ils ne le diront pas.
A l'instant, Nadine Vasseur invitée par notre Achille Talon du dimanche, évoque les voix du Panorama.
Elle parle des timbres très individualisés qu'on y entendait. Puis des "trognes vocales" de certains comédiens et tac on a quelques exemples : Michel Simon. Mais elle évoque aussi Fanny Ardant.
La voila commissaire d'une exposition à la Cité des sciences. Nadine Vasseur qui fut une grande professionnelle de la voix, a visiblement réfléchi à la question. Antoine Perraud exceptionnellement n'est pas trop lourdaud et n'en rajoute pas.
Vont-ils dire que les voix de France Culture sont de plus en plus des voix jeunes, immatures, sans caractère ?
Non ils ne le diront pas.
Invité
Invité
103« Cueillez dès aujourd'hui » - Lun 23 Déc 2013, 16:13
L'émission diffusée aujourd'hui illustre (et confirme) tout à fait cette analyse. M. Roger Chartier émet avec une rare constance la syllabe [kœj]. De ce (seul !) point de vue, il ne laisse pas d'évoquer M. Alain Madelin (qui keuyeutait aussi avec une haute fréquence).Nessie a écrit: (...)
- Roger Chartier : yeuyeuteur en chef.
Entre 7 et 27 'yeu' à la minute.
Bon c'est pas une nouveauté. Au fil des années c'est devenu un tic permanent chez Chartier. Notez bien que ça n'a pas toujours été le cas : dans les émissions de 1980 il y en a un de temps en temps et c'est tout. Dans les cours du Collège que nous fourgue l'Eloge du savoir, c'est devenu permanent. Et dans les Lundis de l'histoire aussi. Je vous dis : au minimum 7 à la minute, mais il approche les 30 quand il est en forme.
Atassion : un double (=/yeu-yeu/) ne compte que pour un. (...)
http://www.franceculture.fr/emission-les-lundis-de-l-histoire-dialogue-avec-carlo-ginzburg-2013-12-23
(La présentation contient au moins une belle faute d'accord).
Philaunet
Admin
104Hommage à Laure Adler (ne rajustez pas vos lunettes) - Jeu 02 Jan 2014, 22:01
Laure Adler, oui, qui sort l'auditeur de son agréable écoute d'invités de qualité (André Tubeuf, Michel Pastoureau, etc) par de réguliers aboiements et des interpellations de garde-chiourme, Laure Adler, devait forcément avoir une autre voix, celle qu'on espère entendre depuis des lustres, une voix qui saurait donner la parole à son invité avec une certaine douceur. On croit en avoir repéré les accents ici dans le générique de Des goûts et des couleurs avec Michel Pastoureau : le jaune et l'or
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2013/12/s52/RF_8550DCAD-8045-4318-AC0F-13DA13150B78_GENE.MP3" debut="00:30" fin="02:00"]
Aura-t-il fallu le ton patelin de Michel Pastoureau durant les 4h d'émission précédentes (et bien davantage en rencontres préparatoires ?) pour apaiser l'intervieweuse de Hors-Champs ? La dernière émission n'est pas exempte de sorties abruptes, mais si Laure Adler pouvait se réécouter une seule fois et en tirer les conclusions qui s'imposent en matière de ton (et de soin de la langue), elle n'aurait pas perdu son temps et gagnerait des auditeurs.
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2013/12/s52/RF_8550DCAD-8045-4318-AC0F-13DA13150B78_GENE.MP3" debut="00:30" fin="02:00"]
Aura-t-il fallu le ton patelin de Michel Pastoureau durant les 4h d'émission précédentes (et bien davantage en rencontres préparatoires ?) pour apaiser l'intervieweuse de Hors-Champs ? La dernière émission n'est pas exempte de sorties abruptes, mais si Laure Adler pouvait se réécouter une seule fois et en tirer les conclusions qui s'imposent en matière de ton (et de soin de la langue), elle n'aurait pas perdu son temps et gagnerait des auditeurs.
Nessie
105Re: Des voix et des ondes - Jeu 02 Jan 2014, 22:31
Nessie a écrit:On apprécie ou pas Coco, alias Colette Bonnier qui a importé sur France Culture sa voix et son style jadis made in FIP. Personnellement j'apprécie sauf quand ...
... sauf quand elle lâche l'affaire. Et c'est fait. La souris quitte le navire.
Elle avait choisi la matinale et la journée du 1er janvier pour faire ses adieux à la maison. Elle part d'elle-même, de son propre chef. "Pour faire autre chose, pour voir autre chose" dit-elle.
Damnation.
Du coup Voinchet lui confie le micro pour les présentations de rubrique, oh mais pas plus hein, point trop n'en faut. Comme il le dit le gros lourdaud "C'est un métier". Enfin c'est dit avec amitié Voinchet a quand même quelque chose de chaleureux qui manquait décidément au dadais qui l'a précédé. Quel dommage que lui, ce métier, il le pratique si mal... (et bing prends-ca pour la nouvelle année mon coco !)
Bon sang, plus de Coco, mais seulement ses imitatrices. Aïe aïe, ça ne va pas arranger les choses dans cette foutue baraque.
Nessie
106A bout de souffle - Ven 03 Jan 2014, 09:41
Welle, une fois encore je m'auto-cite. Je crois pas que ça puisse rendre sourd sinon j'en connais un sur un site voisin, qui à force de parler de lui, ne pourrait plus écouter sa radio...
Alors une fois passée la déception, en écoutant assez attentivement cete matinale, je remarque que Colette Bonnier n'a pas la voix de Coco. La voix de Coco c'est une voix qu'elle s'est construite, un peu comme la voix de Gainsbourg chantant Baudelaire avec de belles résonances ténoroïdes, n'est pas la petite voix nasillarde du même, tout chiffonné coincé à mort devant le micro de Denise Glaser en 1965.
L'émission s'annonçait bien, avec une invitée spécialiste de la question : Joana Revis. Avec en plus Colette Bonnier, ça fait déjà deux personnes. Pourquoi y avoir ajouté le psychanalyste de service ? Réponse : parce qu'en matière d'idées Voinchet a 30 ans de retard sur son époque. Comme d'ailleurs la moitié du personnel de France Culture, nourri des gloires du monde intellectuel des années 70-80, et encore à l'heure de Foucault, Baudrillard, Lacan. Parmi les idées-cadres de la maison il y a la psychanalyse. Alors on invite Michel Schneider qui pratique une lecture comme toujours férocement interprétative, entendez largement imaginaire. D'ailleurs si on excepte ses bourdes homériques, les réflexions de Schneider sur la voix ne sont pas du tout inintéressantes, mais on aurait préféré rester dans le sujet. Voila comment à France Culture, même quand on ne s'arrête pas lourdement sur les non-événements de la popolitique on réussit à sabrer le sujet culturel.
En tous cas, dans le dialogue sans cesse interrompu par Voinchet qui s'acharne à retirer la parole aux deux spécialistes de la voix pour la confier au psychanalyste, on va se rendre compte que Colette Bonnier n'est pas du tout sur la même longueur d'ondes que le Voinche : ni en matière de voix je veux dire le phénomène fondamental de la personne parlante, ni pour la temporalité au micro. Il l'a dit : c'est un métier. Un métier qu'il s'emploie à gâcher. Avec la coupure de 7h55 imprégnée de goujaterie auto-satisfaite , on n'est pas certain d'avoir envie de suivre le groupe lors de la deuxième partie. On se dit qu'au mieux, il sera toujours possible de retrouver la parole et le savoir de Joana Revis dans son livre : la réécoute, la référence et les photos sont à retrouver ici
Nessie a écrit:On apprécie ou pas Coco, alias Colette Bonnier qui a importé sur France Culture sa voix et son style jadis made in FIP. Personnellement j'apprécie sauf quand elle lâche l'affaire. Et c'est fait. La souris quitte le navire.
Alors une fois passée la déception, en écoutant assez attentivement cete matinale, je remarque que Colette Bonnier n'a pas la voix de Coco. La voix de Coco c'est une voix qu'elle s'est construite, un peu comme la voix de Gainsbourg chantant Baudelaire avec de belles résonances ténoroïdes, n'est pas la petite voix nasillarde du même, tout chiffonné coincé à mort devant le micro de Denise Glaser en 1965.
L'émission s'annonçait bien, avec une invitée spécialiste de la question : Joana Revis. Avec en plus Colette Bonnier, ça fait déjà deux personnes. Pourquoi y avoir ajouté le psychanalyste de service ? Réponse : parce qu'en matière d'idées Voinchet a 30 ans de retard sur son époque. Comme d'ailleurs la moitié du personnel de France Culture, nourri des gloires du monde intellectuel des années 70-80, et encore à l'heure de Foucault, Baudrillard, Lacan. Parmi les idées-cadres de la maison il y a la psychanalyse. Alors on invite Michel Schneider qui pratique une lecture comme toujours férocement interprétative, entendez largement imaginaire. D'ailleurs si on excepte ses bourdes homériques, les réflexions de Schneider sur la voix ne sont pas du tout inintéressantes, mais on aurait préféré rester dans le sujet. Voila comment à France Culture, même quand on ne s'arrête pas lourdement sur les non-événements de la popolitique on réussit à sabrer le sujet culturel.
En tous cas, dans le dialogue sans cesse interrompu par Voinchet qui s'acharne à retirer la parole aux deux spécialistes de la voix pour la confier au psychanalyste, on va se rendre compte que Colette Bonnier n'est pas du tout sur la même longueur d'ondes que le Voinche : ni en matière de voix je veux dire le phénomène fondamental de la personne parlante, ni pour la temporalité au micro. Il l'a dit : c'est un métier. Un métier qu'il s'emploie à gâcher. Avec la coupure de 7h55 imprégnée de goujaterie auto-satisfaite , on n'est pas certain d'avoir envie de suivre le groupe lors de la deuxième partie. On se dit qu'au mieux, il sera toujours possible de retrouver la parole et le savoir de Joana Revis dans son livre : la réécoute, la référence et les photos sont à retrouver ici
Invité
Invité
107De la culture, de la distinction et de la convivialité - Sam 04 Jan 2014, 13:47
ADADA
IMAMI
ANONA
IMAMI
ANONA
Dernière édition par Antoine Arnoux le Ven 12 Mai 2017, 14:43, édité 6 fois
Invité
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108Return of the « Géolier » - Dim 09 Fév 2014, 14:36
ADADA
IMAMI
ANONA
IMAMI
ANONA
Dernière édition par Antoine Arnoux le Ven 12 Mai 2017, 14:43, édité 1 fois
Philaunet
Admin
109Du doublage - Mer 05 Mar 2014, 10:33
Déjà, on avait signalé le mauvais doublage quasi endémique du reportage sur papier glacé de Ville-Mondes à propos de San Francisco.
Ce n'est plus maintenant une voix féminine qui trahit et gâche le ton de la parole originale, mais une voix masculine qui nous la joue série policière américaine mal doublée pour présenter en français les propos du responsable de l'architecture de Thimphu au Bhoutan.
Le tic ? Je fais un petit arrêt ou j'allonge la syllabe quatre ou cinq syllabes avant la fin et précipite le reste de la phrase en coupant abruptement la dernière syllabe sur un ton descendant. L'atmosphère, qui n'a rien à voir avec celle de la parole originale, est celle de suspense dramatique plus ou moins prononcé selon le passage.
Il y avait l'emphase des mots, il y avait les rires exagérés, il y a maintenant la dramatisation du doublage.
Ici un modeste exemple (on rétorquera peut-être que ce n'est pas flagrant, surtout quand on fait la vaisselle en écoutant l'émission d'une oreille distraite le dimanche en début d'après-midi, mais bon...), à 7'45" :
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s10/NET_FC_cc56e668-d44e-4847-8d24-2d2e0d097391.mp3" debut="07:45" fin="09:00"]
Bien meilleure est la personne qui double ici, à 14'40" :
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s10/NET_FC_cc56e668-d44e-4847-8d24-2d2e0d097391.mp3" debut="14:40" fin="16:05"]
PS Merci à Masterkey, le maître des codes informatiques qui permet d'utiliser à nouveau la fonction "Pastille sonore" (facile d'emploi).
Ce n'est plus maintenant une voix féminine qui trahit et gâche le ton de la parole originale, mais une voix masculine qui nous la joue série policière américaine mal doublée pour présenter en français les propos du responsable de l'architecture de Thimphu au Bhoutan.
Le tic ? Je fais un petit arrêt ou j'allonge la syllabe quatre ou cinq syllabes avant la fin et précipite le reste de la phrase en coupant abruptement la dernière syllabe sur un ton descendant. L'atmosphère, qui n'a rien à voir avec celle de la parole originale, est celle de suspense dramatique plus ou moins prononcé selon le passage.
Il y avait l'emphase des mots, il y avait les rires exagérés, il y a maintenant la dramatisation du doublage.
Ici un modeste exemple (on rétorquera peut-être que ce n'est pas flagrant, surtout quand on fait la vaisselle en écoutant l'émission d'une oreille distraite le dimanche en début d'après-midi, mais bon...), à 7'45" :
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s10/NET_FC_cc56e668-d44e-4847-8d24-2d2e0d097391.mp3" debut="07:45" fin="09:00"]
Bien meilleure est la personne qui double ici, à 14'40" :
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PS Merci à Masterkey, le maître des codes informatiques qui permet d'utiliser à nouveau la fonction "Pastille sonore" (facile d'emploi).
Philaunet
Admin
110Le sens du jeûne - Dim 09 Mar 2014, 15:30
On a trouvé un professeur de prononciation pour Ludovic Piedtenu et pour Ali Rebeihi.
C'est le théologien orthodoxe Jean -Claude Larchet
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s10/RF_B14F6031-01DB-498C-8858-D99CDEB7277C_GENE.MP3" debut="02:20" fin="03:20"]
Dans le fil idoine, un mot sur ce brillant théologien.
C'est le théologien orthodoxe Jean -Claude Larchet
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/03/s10/RF_B14F6031-01DB-498C-8858-D99CDEB7277C_GENE.MP3" debut="02:20" fin="03:20"]
Dans le fil idoine, un mot sur ce brillant théologien.
masterkey
Admin
111Re: Des voix et des ondes - Mar 11 Mar 2014, 00:25
Les keuyeutements de Hubert Védrine ne sont pas du genre le plus horripilant pour l'auditeur, ça reste à peu près sous contrôle. Il est bien en retrait d'un Alain Madelin, pour n'en citer qu'un, de ces yeuyeuteurs de première.
Quant à son zézaiement (mais, est-ce que le cheveu sur la langue ne tient pas plutôt du susseyement ?), il n'est pas sans élégance, j'ai toujours trouvé Hubert Védrine agréable à écouter, dans la son comme dans le fond (comme quoi l'idolâtrie n'est pas transitive).
A propos des voix, il y a de nombreux cas de faux jumeaux vocaux, des voix étrangement semblables dans le timbre, l'élocution, les tics, et parfois dans plusieurs de ces catégories. Le faux-frère de Hubert Védrine, ça me paraît être Dominique Jamet. Je chercherai un extrait des deux à pastiller ici à l'occasion pour en avoir l'oreille nette.
Quant à son zézaiement (mais, est-ce que le cheveu sur la langue ne tient pas plutôt du susseyement ?), il n'est pas sans élégance, j'ai toujours trouvé Hubert Védrine agréable à écouter, dans la son comme dans le fond (comme quoi l'idolâtrie n'est pas transitive).
A propos des voix, il y a de nombreux cas de faux jumeaux vocaux, des voix étrangement semblables dans le timbre, l'élocution, les tics, et parfois dans plusieurs de ces catégories. Le faux-frère de Hubert Védrine, ça me paraît être Dominique Jamet. Je chercherai un extrait des deux à pastiller ici à l'occasion pour en avoir l'oreille nette.
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