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Des voix et des ondes    Page 12 sur 26

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masterkey 


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Re: Des voix et des ondes - Mar 11 Mar 2014, 00:25

Les keuyeutements de Hubert Védrine ne sont pas du genre le plus horripilant pour l'auditeur, ça reste à peu près sous contrôle. Il est bien en retrait d'un Alain Madelin, pour n'en citer qu'un, de ces yeuyeuteurs de première.

Quant à son zézaiement (mais, est-ce que le cheveu sur la langue ne tient pas plutôt du susseyement ?), il n'est pas sans élégance, j'ai toujours trouvé Hubert Védrine agréable à écouter, dans la son comme dans le fond (comme quoi l'idolâtrie n'est pas transitive).

A propos des voix, il y a de nombreux cas de faux jumeaux vocaux, des voix étrangement semblables dans le timbre, l'élocution, les tics, et parfois dans plusieurs de ces catégories. Le faux-frère de Hubert Védrine, ça me paraît être Dominique Jamet. Je chercherai un extrait des deux à pastiller ici à l'occasion pour en avoir l'oreille nette.

http://www.regardfc.com

Philaunet 

Philaunet
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112
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Voix d'adultes - Mer 02 Avr 2014, 09:33

Il a souvent été question des voix immatures des producteurs (h/f) dans ce fil. Force est pourtant de constater que nous avons à l'heure actuelle un bel éventail de voix d'adultes sur les ondes de France Culture : Jean-Michel Jeanneney  ; Michel Ciment ; René Frydman ; Jean de Loisy ; Emmanuel Laurentin ; Alain Veinstein ; Antoine Garapon ; Alain Finkielkraut ; Philippe Meyer ; Jacques Munier ; Vincent Charpentier, Philippe Garbit, et j'en oublie sans doute. Des voix masculines, donc.

Pour les productrices, je vois dans le passé Renée Elkaïm-Bollinger ; Francesca Isidori ;  Francesca Piolot ; Catherine Soullard ; Pascale Casanova ; Éliane Contini, et d'autres.

Et aujourd'hui ? Sonia Kronlund ? Irène Omélianenko ? Qui ?

Des propositions ?

Philaunet 

Philaunet
Admin

113
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LA solution enfin trouvée ! - Mar 15 Avr 2014, 13:53

Oui, comment amener les producteurs de France Culture et son directeur bientôt en allé à clairement prononcer le français au micro ? La solution est ici : Evelyn Glennie on Jacqueline Du Pre.

Evelyn Glennie est atteinte de surdité profonde*. Elle lit sur les lèvres du producteur Matthew Parris et du musicologue Stephen Johnson pour participer à la conversation.

Que ferait une Française avec le même handicap face à un Voinchet ? Bref, pourquoi ne pas inviter des sourds ou mal-entendants à France Culture ? Non seulement, ils sensibiliseront les auditeurs (qui ne connaissent pas leur chance d'être tout ouïe) à ce handicap, mais ils rendront service à la station. Chiche ?

* Evelyn Glennie: Hearing Essay

Nessie 

Nessie

114
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Re: Des voix et des ondes - Mer 16 Avr 2014, 22:29

Philaunet a écrit:
Il a souvent été question des voix immatures des producteurs (h/f) dans ce fil. Force est pourtant de constater que nous avons à l'heure actuelle un bel éventail de voix d'adultes sur les ondes de France Culture : Jean-Michel Jeanneney  ; Michel Ciment ; René Frydman ; Jean de Loisy ; Emmanuel Laurentin ; Alain Veinstein ; Antoine Garapon ; Alain Finkielkraut ; Philippe Meyer ; Jacques Munier ; Vincent Charpentier, Philippe Garbit, et j'en oublie sans doute. Des voix masculines, donc.

Pour les productrices, je vois dans le passé Renée Elkaïm-Bollinger ; Francesca Isidori ;  Francesca Piolot ; Catherine Soullard ; Pascale Casanova ; Éliane Contini, et d'autres.

Et aujourd'hui ? Sonia Kronlund ? Irène Omélianenko ? Qui ?

Des propositions ?

Chez les producteurs je vois ou plutôt j'entends deux voix remarquables, deux voix de producteurs qui ne se sont jamais poussé du col. Qui signaient de temps à autres un documentaire à l'époque où un bataillon d'artisans regroupait quelques stakhanovistes (jusqu'à une trentaine de productions dans l'année) et un paquet de fabriquants épisodiques (parfois tout juste une émission l'an). Depuis le parachèvement de la grille Adler qui fit place nette pour imposer la radio en direct, ces deux-là restent réservés par choix ou cantonnés par la direction à des tâches qu'on peut dire secondaires, surtout quand on a goûté ce qu'ils peuvent faire si on les met aux commandes d'une émission entière. Ils réapparaissent parfois le temps d'une série d'été. Ces deux voix sont celles de
- Marc Floriot : une voix des nuits où, au générique, il apparaissait comme producteur. On le dit au passé parce qu'on n'entend plus son nom dans l'inventaire de l'équipe, pourtant ses présentations sont toujours là et aisées à reconnaitre ; ce sont les plus soignées, les plus précises, les mieux documentées. Auparavant, a oeuvré dans Radio-Archives, que produisait Claire Chancel. Puis il a livré les montages d'archives que nous servaient de temps à autres les vendredis de la philo : émissions spéciales sur Heidegger, Jankélévitch. On se souvient aussi d'une série d'été sur Bachelard.
- Thierry Beauchamps : traducteur, spécialiste de l'humour anglo-américain et particulièrement bon connaisseur du nonsense ; jadis auteur d'un feuilleton loufoque pour Clair de nuit. Il a placé quelques documentaires dans Tire-ta-langue, et un Une vie une oeuvre : Benchley. Il apparait encore au générique du Carnet nomade. Et on a pu l'entendre l'an dernier dans un "Ca rime à quoi" qui a été rediffusé dans la nuit de dimanche à lundi.

Du côté des productrices, la palme de la voix et de la présentation revient à Blandine Masson. La palme de la discrétion aussi, tant elle semble s'ingénier à ne pas apparaître : il arrive même que le théâtre du dimanche soir se trouve offert en réécoute SANS sa présentation, chose qui ne peut être que de son fait car elle est responsable de la fiction pour la chaîne. C'est une voix à la fois timbrée et intelligente, sans affèterie et sans effets, sans étalage de sentiments ni d'aucune virtuosité artificielle bref sans frime.
Et parmi les documentariste de jadis, on entend toujours quoique de plus en plus rarement les voix de François Estèbe et de Catherine Pont-Humbert. Et aussi, il y a peu encore, Simone Douek qui a raccroché il y a 2 ans ou 3. Là encore des voix intelligentes et hélas, je dois dire que je ne sens pas venir la relève sinon par la colonne des immatures.  Mais quelque chose ou plutôt quelqu'un ou plutôt quelqu'une a pu m'échapper.

Philaunet 

Philaunet
Admin

115
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Je préfère Claude de France... (mais ne dédaigne point Brahms) - Mar 13 Mai 2014, 15:30

Antoine Arnoux a écrit:Bien que son invité, M. Damien Luce, dît correctement « Debussy », M. Tewfik Hakem prononçait avec constance « Débussy » (à partir de la vingtième minute). Il semble en outre que M. Hakem se méprît sur le sens du terme polissonne (vingt-deuxième minute). Enfin, au cours de la dernière minute de l'émission, le même producteur (de perles radiophoniques) soumit aux auditeurs une proposition dans les termes suivants : « (…) si vous voulez réécouter les deux premièrépisodes de notre nouvelle série (…). »

http://www.franceculture.fr/emission-un-autre-jour-est-possible-damien-luce-livre-%C2%AB-les-vrais-auteurs-meconnus-des-westerns-amer

Très beau, très beau... J'ai écouté les dix minutes en question Damien Luce évoque son livre, le journal intime fictif de la fille de Debussy..

Comment dire...  sans redire ce que l'on a déjà dit, à savoir que Tewfik Hakem est d'une nullité absolue et sans remède, et qu'il se pavane à France Culture.

Il faut entendre sa question, mamma mia, même un ignare en musique aurait compris l'expression et là c'est Hakem le degré zéro de la culture qui s'exprime ainsi :

[son mp3="https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/cruiser-production/static/culture/sons/2014/05/s20/RF_2C9B1179-CB53-4671-ACC4-385359451860_GENE.MP3" debut="24:05" fin="24:35"]

L'invité, qui ne semble pas connaître « Monsieur Croche », prononce impeccablement le nom Debussy tout au long de l'entretien tandis que Hakem la joue Débussy, comme on l'entend ici :

[son mp3="https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/cruiser-production/static/culture/sons/2014/05/s20/RF_2C9B1179-CB53-4671-ACC4-385359451860_GENE.MP3" debut="27:05" fin="27:30"]

Sauf... à 0'30 lors de la présentation de la demi-heure où Débussy n'a pas encore remplacé Debussy, dont le prénom est, bizarrement (non rien n'est bizarre, chez Hakem, tout est de travers)  Clode :

[son mp3="https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/cruiser-production/static/culture/sons/2014/05/s20/RF_2C9B1179-CB53-4671-ACC4-385359451860_GENE.MP3" debut="00:30" fin="00:45"]

Antoine Arnoux, vous avez choisi de ne pas éplucher les fruits pourris selon l'expression de notre contributeur Fontaine et vous avez eu raison. On peut se partager les tâches parfois...

Aussi dans les quelques lignes de présentation nous avons :

ces auteurs de western jamais traduis auparavant.

Ce thème est pratiquement un sous-genre à part dans l’écriture des westerns tellement il est important. [Si quelqu'un comprend, qu'il lève le doigt]

A contrario du cinéma,

 la littérature exprime bien les difficultés douloureuses qu’a causées la colonisation pour les colons, les marches épuisantes et les grands problèmes d’adaptation aux territoires.

L'invité culturel [il y avait le produit culturel, il y a maintenant « l'invité culturel » à... France Culture].



Dernière édition par Philaunet le Dim 23 Sep 2018, 10:58, édité 1 fois

Nessie 

Nessie

116
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Sur certaines des présentations dans le programme des nuits - Dim 18 Mai 2014, 09:28

Albane Penaranda est arrivée dans l'équipe des Nuits en septembre 2013. A écouter ses intros enregistrées dans le programme nocturne, il y a vraiment de quoi se poser des questions. Son âge, d'abord. Sa connaissance de la langue ensuite. Sa conception du travail radiophonique tout autant. Qu'est-ce qui cloche ? En premier lieu l'élocution est étonnante, et on aura bien du mal à la décrire sans recourir à des termes désobligeants. Essayons, pourtant.

C'est le plus souvent une lecture atone, à mi-distance de l'application soigneuse et de l'exécution laborieuse. La musique de la phrase n'est pas incohérente ni contraire aux règles puisqu'elle ondule doucement et plonge lentement vers le bas quand approche le point final, puis reprend un cran plus haut pour la phrase suivante. Mais c'est tout de même terriblement standard. On suppose qu'elle lit le texte, en général ce dernier se veut à la fois simple, clair, direct. C'est une lecture privée d'âme, mais pour autant il ne s'agit pas ici de sobriété, ni de neutralité ou alors au sens chimique du terme et non au sens psychologique. La personnalisation est indéterminée, l'imagination est incertaine, et surtout l'affirmation est absente sans qu'on sache si elle est inexistante ou bien si elle est retenue, camouflée, peut-être est-elle exprimée autrement (oui peut-être que cette diction exagérément sage cache un look infernal, on ne sait pas).

Et la voix ? eh bien le timbre est lisse : c'est une voix sans aspérités ni accidents, et pourtant ça n'est pas une voix pure. Qu'est ce qu'une voix accidentée ? Eh bien chez les hommes ça pourrait être Claude Piéplu, et chez les femmes, dans un style tout différent, ça pourrait être Geneviève Huttin. Je cite ici volontairement des noms de comédiens qui savent donner du relief à leur texte. Vous voulez un exemple de voix pure ? Eh bien disons celle de Gérard Philipe. C'est pas mal non plus hein. Chez Philipe le timbre est beau, il sonne comme un instrument de musique. Gérard Philipe peut claironner tant qu'il veut, c'est toujours un cristal, même à pleine puissance. Albane Penaranda on ne lui demande pas de claironner et elle n'en est pas là : tout au contraire, elle donne l'impression de n'être nulle part et de s'ennuyer mortellement. Est-ce du fait des textes, un peu maladroits, riches en lieux communs plus qu'en information ? Les présentations d'Albane Pénaranda ne nous mettent guère en appétit.

Tout ceci est écrit sans acrimonie, sans méchanceté. Je vais m'efforcer de le prouver dans le post suivant

./...

Nessie 

Nessie

117
Répondre en citant  
De la praunonciation dai voyelles à France Culture - Dim 18 Mai 2014, 09:43

./...

Oui sans acrimonie, sans excès de vacherie, pour conclure on s'arrêtera de façon purement technique sur un détail des plus étonnants : ce qu'elle fait de certaines de ses voyelles et précisément des /é/ terminaux. En passant, je précise que la prononciation des voyelles est un indice à la fois fort et quasi-évident de la perte de repères de la langue à France Culture.

Au milieu de cette page du site de FC, vous trouverez à 01h35 sa présentation de la "Lettre de Montréal envoyée par Jean-Louis Barrault". Ecoutez bien la première minute : on y entend Albane Pénaranda ouvrir ses /é/ fermés et fermer les /è/ ouverts. C'est toutafé aitonnant : elle prononce "Louis Jouvé" pour Jouvet, mais elle dit "illustrai" et "entourai" pour illustré et entouré. Elle fait donc sonner ses participes passés comme si c'étaient des verbes à l'imparfait. Et elle prononce de travers le nom d'un comédien les plus admirés (admirais) du siècle passé (passai).

Arrivé à ce point de ses constatations, l'auditeur exigeant ou simplement éduqué n'a plus le gout de la vitupération ni de la moquerie. En réaction à une telle déroute, à sortir de mon magasin je n'ai plus guère que l'étonnement, et une intense perplexité. Et tout de même comme preuve de bienveillance, une hypothèse purement gratuite car appuyée par aucun élément : peut-être que le français d'Ile-de-France n'est pas la langue maternelle d'Albane. De là son élocution recèle encore quelques traces d'accent régional mal effacé. Après tout on a déjà fait une constatation identique et de là une hypothèse similaire en écoutant Hervé Gardette qui est un peu plus consistants sur les /é/ mais est encore plus erratique avec les /o/, ouvrant fréquemment ses /ô/ fermés et fermant des /o/ ouverts ce qui donne parfois des inversions caumiques quand la paulémique oppoz' les partisans des hott' températures et les artisans de la foss facture. Oui Gardette aussi c'est un cas.

L'aimable 

L'aimable

118
Répondre en citant  
On dirait le sud - Lun 19 Mai 2014, 15:14

Nessie a écrit:./...

Arrivé à ce point de ses constatations, l'auditeur exigeant ou simplement éduqué n'a plus le gout de la vitupération ni de la moquerie. En réaction à une telle déroute, à sortir de mon magasin je n'ai plus guère que l'étonnement, et une intense perplexité. Et tout de même comme preuve de bienveillance, une hypothèse purement gratuite car appuyée par aucun élément : peut-être que le français d'Ile-de-France n'est pas la langue maternelle d'Albane. De là son élocution recèle encore quelques traces d'accent régional mal effacé. Après tout on a déjà fait une constatation identique et de là une hypothèse similaire en écoutant Hervé Gardette qui est un peu plus consistants sur les /é/ mais est encore plus erratique avec les /o/, ouvrant fréquemment ses /ô/ fermés et fermant des /o/ ouverts ce qui donne parfois des inversions caumiques quand la paulémique oppoz' les partisans des hott' températures et les artisans de la foss facture. Oui Gardette aussi c'est un cas.

Oui, cela pose la question des prononciations "recevables". Il me paraît légitime que des gens parlant avec divers accents plus ou moins prononcés, français surtout, puissent être entendus sur FC. J'en connais qui se sont efforcés de gommer leur accent sous prétexte qu'il était laid, faisait "paysan" (pas parisien ou pas assez standard) ou autre excuse. C'est triste, et au final, cela donne des façons de parler hybrides, pour ne pas dire bâtardes. Un ami allemand a appris le français dans le sud-est, il parle avec un accent très fort, mais un beau français. Quid de hoc ?

Quelle différence entre un diktat tendant à l'uniformisation de la prononciation du français et certaines de nos remarques ?

Philaunet 

Philaunet
Admin

119
Répondre en citant  
De-de-de... le-le-le... - Mer 21 Mai 2014, 15:45

Jusqu'à la voix l'on retrouve chez Adèle van Reeth le ton et les tics de Pascale Casanova (cf. Adèle van Reeth reformule), longtemps pilier du Panorama dans les années 1990 et ensuite productrice de qualité des Jeudis littéraires.  On retrouve celle-ci dans une conférence de 2012 sur Kafka*** dans cette vidéo d' Akadem avec une longue, longue, laborieuse introduction de 13'00 de Jean-Pierre Salgas, une ancienne voix de France Culture également. Où l'on voit que les intellectuels passés par France Culture poursuivent une carrière publique grâce à la Toile (ce qui devrait plaire à notre lecteur Alain Machefert, mais qui confirme que l'art radiophonique, bien fait, est largement supérieur à la conférence filmée et diffusée). À noter que l'on découvre une Pascale Casanova de 2012 diminuée par "une maladie neurologique" et que ça nous fait beaucoup de peine pour cette femme de paroles. Espérons le meilleur pour elle.

Pour en revenir à Adèle van Reeth, assez solide dans cette savante émission sur Péguy déjà plusieurs fois mentionnée Qui est Péguy ?, la voici dans une longue tirade où elle ne se cantonne pas à donner la parole, ni à relancer, mais où elle débite des phrases auxquelles l'invité, nous l'espérons à chaque fois comme auditeurs, réussira à s'accrocher :

[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/05/s20/NET_FC_9ac81266-a758-44cd-975b-50e4ff539a6e.mp3" debut="26:27" fin="27:45"]

*** À propos de Kafka : "Le procès" de Franz Kafka 19.05.2014

cellom 


120
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Re: Des voix et des ondes - Dim 01 Juin 2014, 19:55

Sans rire, vous préférez la voix de frère jésuite de C. Mettra?

Philaunet 

Philaunet
Admin

121
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Re: Des voix et des ondes - Dim 01 Juin 2014, 21:24

cellom a écrit:Sans rire, vous préférez la voix de frère jésuite de C. Mettra?

Bien trouvé le qualificatif, le ronronnement de la voix peut y faire penser.

Sinon, avez-vous d'intéressantes observations à faire sur des émissions de France Culture ? Des coups de coeur ? Des conseils enthousiastes ? Des critiques constructives concernant la radio culturelle ? Il ne faut pas hésiter.

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Re: Des voix et des ondes -

Des voix et des ondes     Page 12 sur 26

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