Si on s'y attardait, on pourrait raccourcir le nom de ce forum en Regards sur France Cul.Philaunet a écrit:Ou les beaux fruits de Denisa Kerschova, sans doute pas débauchée de Radio Classique pour ses talents de musicologue, mais pour d'autres qualités sur lesquelles on ne s'attardera pas.
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La Fiction à France Culture Page 5 sur 44
Bas de page ↓Alain Machefert
41Re: La Fiction à France Culture - Lun 23 Sep 2013, 21:04
Fontaine
42de Billie Holiday à Nina Simone - Mar 24 Sep 2013, 20:50
Salut les forumeur,
Philaunet parle de "Stange fruit", tapez cela sur internet et pastillez-vous la version de Billie Holiday sur YT vous n'allez pas en croire vos oneilles pour ceux qui ne connaissent pas, la beauté de cette femme, sa voix...
J'ai eu la chance d'écouter la versions de Nina Simone aux 3 maillets à Paname
elle était en manteau de fourrure en plein mois de juillet ! Cela fait déjà pas mal de temps, un temps qu'on oublie pas.
Bonne écoute
...et la version en public offerte par R Machard , qui chantait ?
Quant aux talents de musicologue de Denisa Kerschova je ne la connais pas assez pour juger mais ses choix musicaux n'en sont point altérés.
le blues vous tienne en émoi !
Philaunet parle de "Stange fruit", tapez cela sur internet et pastillez-vous la version de Billie Holiday sur YT vous n'allez pas en croire vos oneilles pour ceux qui ne connaissent pas, la beauté de cette femme, sa voix...
J'ai eu la chance d'écouter la versions de Nina Simone aux 3 maillets à Paname
elle était en manteau de fourrure en plein mois de juillet ! Cela fait déjà pas mal de temps, un temps qu'on oublie pas.
Bonne écoute
...et la version en public offerte par R Machard , qui chantait ?
Quant aux talents de musicologue de Denisa Kerschova je ne la connais pas assez pour juger mais ses choix musicaux n'en sont point altérés.
le blues vous tienne en émoi !
Philaunet
Admin
43''Strange fruit'' - Mar 24 Sep 2013, 21:30
RDV dans le fil « France Musique » pour en savoir plus !Fontaine a écrit: (...)...et la version en public offerte par R Machard , qui chantait ?
Philaunet
Admin
44Billie Holiday chante ''Strange Fruit'' - Mar 24 Sep 2013, 22:19
Le moteur de recherche aura corrigé "Stange" en "Strange", cornegidouille !Fontaine a écrit: (...) "Stange fruit", tapez cela sur internet et pastillez-vous la version de Billie Holiday sur YT vous n'allez pas en croire vos oneilles pour ceux qui ne connaissent pas, la beauté de cette femme, sa voix...
(...) ...et la version en public offerte par R Machard , qui chantait ?
le blues vous tienne en émoi !
Nessie
45Re: La Fiction à France Culture - Mar 24 Sep 2013, 23:03
Je plussoie.Fontaine a écrit:Salut les forumeur,
Philaunet parle de "Stange fruit", tapez cela sur internet et pastillez-vous la version de Billie Holiday sur YT vous n'allez pas en croire vos oneilles pour ceux qui ne connaissent pas, la beauté de cette femme, sa voix...
D'ailleurs le "Strange fruits" de Billie Holiday passe de temps en temps comme intermède dans les Nuit de FC entre deux rediffusions. Et comme la plupart de leurs intermèdes récurrents, soit par l'habitude de les entendre, soit parce qu'ils sont bien choisis et renforcés par l'atmosphère nocturne, le résultat pour l'ambiance est rien moins qu'intense.
Philaunet
Admin
46Tchernobyl ou Tchétchénie, il faut choisir ! - Dim 13 Oct 2013, 13:08
Le peu que j'avais écouté, en avril dernier, de La supplication, Tchernobyl, chroniques du monde après l'apocalypse m'avait donné envie de conserver la série pour une écoute intégrale à petites doses. Je ne l'ai pas encore fait que voilà déjà la rediffusion chaque soir de ce Feuilleton. Est-ce pour constituer un diptyque du malheur avec Le Journal de Polina, une adolescence tchétchène diffusé chaque midi ?
Qui y a prêté une oreille et a encore assez de vitalité, après le récit de tant de malheurs (il faut bien renouveler Anne Franck et Etty Hillesum), pour en conseiller (ou non) l'écoute ?
On notera que lorsqu'il s'agit d'apitoyer le public sur le sort de toute communauté dite persécutée ou victime, c'est toujours à travers une jeune femme que le sujet est traité (via des textes, des photos ou des paroles). Les jeunes hommes (ou les vieux de toutes sortes) ne sont pas assez sexy (comme on dit dans le langage média) pour faire une "story" qui attire l'attention. Comme si le malheur n'atteignait que les femmes et ne pouvait être exprimé sensiblement que par leur truchement.
Qui y a prêté une oreille et a encore assez de vitalité, après le récit de tant de malheurs (il faut bien renouveler Anne Franck et Etty Hillesum), pour en conseiller (ou non) l'écoute ?
On notera que lorsqu'il s'agit d'apitoyer le public sur le sort de toute communauté dite persécutée ou victime, c'est toujours à travers une jeune femme que le sujet est traité (via des textes, des photos ou des paroles). Les jeunes hommes (ou les vieux de toutes sortes) ne sont pas assez sexy (comme on dit dans le langage média) pour faire une "story" qui attire l'attention. Comme si le malheur n'atteignait que les femmes et ne pouvait être exprimé sensiblement que par leur truchement.
Lapsang
Invité
47''Le Maitre de Ballantrae'' du grand art radiophonique à France Culture - Ven 01 Nov 2013, 15:26
Voilà des noms à retenir, artisans d'une qualité dont on peut être fier :
Metteur en scène : Marie-Louise Bischofberger,
Bruitages : Bertrand Amiel
Prise de son et mixage : Olivier Dupré
Assistance technique et montage : Aveline Carmoi
Assistant à la réalisation : Benjamin Hû
Réalisation : Etienne Vallès[/qu0te]
Il y a quelques temps de cela, Philaunet, vous faisiez l'éloge de ce feuilleton diffusé par France Culture et détailliez les noms des membres de l'équipe l'ayant fabriqué. Je voudrais apporter une précision: le réalisateur est le metteur en scène. C'est lui qui choisit les acteurs, les dirige dans leurs intentions et leurs mouvements, c'est lui qui choisit les illustrations sonores, le grain du micro etc. Marie-Louise Bischofberger est en l'occurrence l'adaptatrice du texte de Stevenson. Réussir l'adaptation d'un roman en feuilleton n'est pas chose facile, elle mérite donc d'être saluée. En revanche, elle n'en est pas le metteur en scène. Si la mise en ondes est réussie, c'est grâce à Etienne Vallès. Traditionnellement, le nom de l'adaptateur est mentionné au générique début, pas celui du réalisateur, à quelques exceptions près, d'où, peut-être, la confusion. Rendons à César...
Metteur en scène : Marie-Louise Bischofberger,
Bruitages : Bertrand Amiel
Prise de son et mixage : Olivier Dupré
Assistance technique et montage : Aveline Carmoi
Assistant à la réalisation : Benjamin Hû
Réalisation : Etienne Vallès[/qu0te]
Il y a quelques temps de cela, Philaunet, vous faisiez l'éloge de ce feuilleton diffusé par France Culture et détailliez les noms des membres de l'équipe l'ayant fabriqué. Je voudrais apporter une précision: le réalisateur est le metteur en scène. C'est lui qui choisit les acteurs, les dirige dans leurs intentions et leurs mouvements, c'est lui qui choisit les illustrations sonores, le grain du micro etc. Marie-Louise Bischofberger est en l'occurrence l'adaptatrice du texte de Stevenson. Réussir l'adaptation d'un roman en feuilleton n'est pas chose facile, elle mérite donc d'être saluée. En revanche, elle n'en est pas le metteur en scène. Si la mise en ondes est réussie, c'est grâce à Etienne Vallès. Traditionnellement, le nom de l'adaptateur est mentionné au générique début, pas celui du réalisateur, à quelques exceptions près, d'où, peut-être, la confusion. Rendons à César...
Philaunet
Admin
48Bonne mise au point - Ven 01 Nov 2013, 15:46
Votre contribution, Lapsang, est très bienvenue. Et vous faites bien de rendre à César ce qui lui appartient, car en général ce sont les noms des artisans de la radio de qualité qui sont passés sous silence.Lapsang a écrit:(...)
Il y a quelques temps de cela, Philaunet, vous faisiez l'éloge de ce feuilleton diffusé par France Culture et détailliez les noms des membres de l'équipe l'ayant fabriqué. Je voudrais apporter une précision: le réalisateur est le metteur en scène. C'est lui qui choisit les acteurs, les dirige dans leurs intentions et leurs mouvements, c'est lui qui choisit les illustrations sonores, le grain du micro etc. Marie-Louise Bischofberger est en l'occurrence l'adaptatrice du texte de Stevenson. Réussir l'adaptation d'un roman en feuilleton n'est pas chose facile, elle mérite donc d'être saluée. En revanche, elle n'en est pas le metteur en scène. Si la mise en ondes est réussie, c'est grâce à Etienne Vallès. Traditionnellement, le nom de l'adaptateur est mentionné au générique début, pas celui du réalisateur, à quelques exceptions près, d'où, peut-être, la confusion. Rendons à César...
Néanmoins : pour faire la citation des artisans de cette belle adaptation, je me suis fié au descriptif du Maître de Ballantrae dans lequel on trouve, sous le second paragraphe, les mots ci-dessous :
Marie-Louise Bischofberger
Metteur en scène
J'avais bien vu la première mention : « Adaptation : Marie-Louise Bischofberger » et me suis alors dit qu'elle avait deux casquettes.
Pourquoi la fonction de « Metteur en scène » se trouve-t-elle alors placée là sans être suivie du nom d'Étienne Vallès, on peut se le demander (mais pas s'en étonner, vu l'absence de rigueur des descriptifs sur FC, et encore celui-ci est-il de bonne facture, hormis ce problème).
Merci encore d'avoir donné cette précision importante : « Réalisation » = « Mise en scène »
Philaunet
Admin
49Saint-Pierre et Miquelon - Sam 02 Nov 2013, 22:09
Si vous vous intéressez aux histoires de Saint-Pierre et Miquelon, ce « Feuilleton », en dix épisodes depuis le 21 octobre, est fait pour vous : L'oeuvre des mers d'Eugène Nicole. Les deux premiers épisodes que j'ai écoutés font entendre de belles voix (Guy Chapellier et Olivier Claverie) et les souvenirs d'Eugène Nicole sont on ne peut plus déconnectés des informations et des thèmes ressassés à FC. Dans le rôle d'une radio permettant à l'auditeur de s'extraire de la vie quotidienne, France Culture remplit ici sa mission.
Cela dit, ces deux premiers numéros ne m'ont aucunement intéressé. Pour qui sont ces 10 X 25 minutes de souvenirs, anecdotes sans grand intérêt écrites dans un style sans surprise ? Qu'est-ce qui a motivé cette adaptation ? Il serait intéressant de le savoir.
Au service de cette série, une équipe qui visiblement croit en ce qu'elle fait :
« Adaptation Victoire Bourgois
Conseillère littéraire Emmanuelle Chevrière
Réalisation Etienne Valles
Avec Guy Chapellier et Olivier Claverie
Avec les voix de : Flora Brunier, Aurélie Nuzillard
Prise de son, montage et mixage Eric Boisset et Martin Delafosse
Assistante à la réalisation Clémence Gross »
"En 1956, un jeune garçon de quatorze ans quitte son archipel natal, Saint-Pierre et Miquelon, territoire d'outre-mer de 242 km2, au large du Canada. Des années plus tard, ce grand départ, transformé en exil, le pousse à entreprendre un projet ambitieux : traverser mentalement l'Atlantique, suivre les méandres de sa mémoire pour raconter ce pays de naufrages, de neige et de brouillard, et trouver dans l'écriture les reliefs oubliés de son univers. Foisonnant de personnages aux curieux destins, drôles ou pathétiques, son récit est la perpétuelle « représentation » de ce microcosme sur la scène des îles et de son emblématique théâtre paroissial, L'Œuvre-des-Mers." Note de l'éditeur
Cela dit, ces deux premiers numéros ne m'ont aucunement intéressé. Pour qui sont ces 10 X 25 minutes de souvenirs, anecdotes sans grand intérêt écrites dans un style sans surprise ? Qu'est-ce qui a motivé cette adaptation ? Il serait intéressant de le savoir.
Au service de cette série, une équipe qui visiblement croit en ce qu'elle fait :
« Adaptation Victoire Bourgois
Conseillère littéraire Emmanuelle Chevrière
Réalisation Etienne Valles
Avec Guy Chapellier et Olivier Claverie
Avec les voix de : Flora Brunier, Aurélie Nuzillard
Prise de son, montage et mixage Eric Boisset et Martin Delafosse
Assistante à la réalisation Clémence Gross »
"En 1956, un jeune garçon de quatorze ans quitte son archipel natal, Saint-Pierre et Miquelon, territoire d'outre-mer de 242 km2, au large du Canada. Des années plus tard, ce grand départ, transformé en exil, le pousse à entreprendre un projet ambitieux : traverser mentalement l'Atlantique, suivre les méandres de sa mémoire pour raconter ce pays de naufrages, de neige et de brouillard, et trouver dans l'écriture les reliefs oubliés de son univers. Foisonnant de personnages aux curieux destins, drôles ou pathétiques, son récit est la perpétuelle « représentation » de ce microcosme sur la scène des îles et de son emblématique théâtre paroissial, L'Œuvre-des-Mers." Note de l'éditeur
Philaunet
Admin
50« Mère qui pleure son fils » - Mer 06 Nov 2013, 13:07
En lisant le long descriptif de Trois arbres à Istanbul pétri de... ce qu'on voudra, je me dis que ce n'est pas demain la veille qu'on aura une adaptation d'une nouvelle d'Alice Munro dans la case Fiction de France Culture. Sur les Docks et Les Pieds sur terre étaient-ils à ce point surbookés ? Il est vrai que les « causes » sont nombreuses...
Nessie
51En réponse à Nys (fil 'Atelier de création') - Dim 10 Nov 2013, 16:49
Je réponds ici à une remarque reçue dans le fil des Ateliers de la création, où j'avais brocardé, sans doute hâtivement, les fictions du mardi soir. Oh, non sans un mélange d'agacement et de paresse à analyser, d'une part ma lassitude, et surtout l'objet de cette lassitude. Car cette dernière en fin de compte pourrait ne résulter que d'une misanthropie rendue plus aigue par la bétise de l'époque. Et là je devine déjà un désir de me justifier et parler de cet agacement, plus que des émissions.
Nys, vous avez utilisé un mot juste : il y a un naturalisme qui, effectivement, m'agace au plus haut point. Je ne sais pas si je suis davantage horripilé par l'ambiance de notre époque, par le parler et les façons d'être que j'observe autour de moi, ou bien de les retrouver dans les fictions de France Culture. Et dans ce cas, je ne sais pas si c'est là un activateur de mon exaspération envers cette dernière ou envers ce que j'entends dans le vrai monde réel. Mais le fait est que c'est le plus souvent avec agacement que j'interromps le podcast en cours de route.
Dans le meilleur des cas, c'est de cet agacement de retrouver mon époque dans un style de fiction qui est comme une concession lâche et misérable qu'on lui fait, de là viendrait ma qualification assez peu réfléchie de "souparde".
Cela dit, j'ai le même reproche à faire aux micro-fictions de 11h50, à cette différence que plus d'une parviennent à y échapper. Là j'entends des expériences, et des oeuvres oui. Et j'en aurai conservé pas mal dans les 2 années passées. Mais le mardi à 23h, je n'ai pas un seul bon souvenir. C'est là un cas peut-être unique : même dans les émissions qui m'horripilent, il est rare que je ne trouve pas à archiver 1 ou 2 numéros dans l'année. J'ai même quelques Tewfik Hakem (oui en général 1 ou 2) et aussi des Pieds sur terre. Pourquoi aucune des fictions de 23 h ?
Si je cherche des explications, c'est peut-être du côté de ma patience qu'il convient de les trouver, ou plutôt de l'épuisement de cette patience, par la durée : il est peut-être plus facile de trouver l'intérêt d'une fiction quant elle se ramasse en épisodes de 10 minutes et doit donc annoncer la couleur assez rapidement, alors que celle qui s'étend sur 58 minutes en pariant sur la durée, demande davantage d'efforts et de patience.
Cela dit, la raison d'être du forum est moins de me permettre d'y écrire des points de vue négatifs, que de recueillir les conseils d'écoute. Philaunet a ouvert ce fil, assez longtemps après la création du forum. Le mieux serait certainement que les auditeurs à l'oreille moins impatiente ou moins intolérante que la mienne, y vienne faire l'article, attirer l'attention sur ce qui leur semble estimable, digne d'être écouté, apprécié, conservé. Vous êtes invité à montrer la voie. C'est une proposition cordiale, sans ignorer ce que ça demande en temps investi. Mais c'est l'occasion de promouvoir ou défendre ici les productions que vous appréciez, et encore une fois, ce forum est fait dans ce but.
Nys, vous avez utilisé un mot juste : il y a un naturalisme qui, effectivement, m'agace au plus haut point. Je ne sais pas si je suis davantage horripilé par l'ambiance de notre époque, par le parler et les façons d'être que j'observe autour de moi, ou bien de les retrouver dans les fictions de France Culture. Et dans ce cas, je ne sais pas si c'est là un activateur de mon exaspération envers cette dernière ou envers ce que j'entends dans le vrai monde réel. Mais le fait est que c'est le plus souvent avec agacement que j'interromps le podcast en cours de route.
Dans le meilleur des cas, c'est de cet agacement de retrouver mon époque dans un style de fiction qui est comme une concession lâche et misérable qu'on lui fait, de là viendrait ma qualification assez peu réfléchie de "souparde".
Cela dit, j'ai le même reproche à faire aux micro-fictions de 11h50, à cette différence que plus d'une parviennent à y échapper. Là j'entends des expériences, et des oeuvres oui. Et j'en aurai conservé pas mal dans les 2 années passées. Mais le mardi à 23h, je n'ai pas un seul bon souvenir. C'est là un cas peut-être unique : même dans les émissions qui m'horripilent, il est rare que je ne trouve pas à archiver 1 ou 2 numéros dans l'année. J'ai même quelques Tewfik Hakem (oui en général 1 ou 2) et aussi des Pieds sur terre. Pourquoi aucune des fictions de 23 h ?
Si je cherche des explications, c'est peut-être du côté de ma patience qu'il convient de les trouver, ou plutôt de l'épuisement de cette patience, par la durée : il est peut-être plus facile de trouver l'intérêt d'une fiction quant elle se ramasse en épisodes de 10 minutes et doit donc annoncer la couleur assez rapidement, alors que celle qui s'étend sur 58 minutes en pariant sur la durée, demande davantage d'efforts et de patience.
Cela dit, la raison d'être du forum est moins de me permettre d'y écrire des points de vue négatifs, que de recueillir les conseils d'écoute. Philaunet a ouvert ce fil, assez longtemps après la création du forum. Le mieux serait certainement que les auditeurs à l'oreille moins impatiente ou moins intolérante que la mienne, y vienne faire l'article, attirer l'attention sur ce qui leur semble estimable, digne d'être écouté, apprécié, conservé. Vous êtes invité à montrer la voie. C'est une proposition cordiale, sans ignorer ce que ça demande en temps investi. Mais c'est l'occasion de promouvoir ou défendre ici les productions que vous appréciez, et encore une fois, ce forum est fait dans ce but.
La Fiction à France Culture Page 5 sur 44
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