Forum des auditeurs passionnés et critiques de France Culture

Dans  Programmes d'été de France Culture

Dans sa peau de cinquantenaire épanouie, France Culture
conduiront tous les matins les auditeurs d’Egypte aux Marquises [et les auditeurs d'autres pays ?...]
sur les traces de Shakespeare, Resnais, Duras, Sinatra ou du Dalaï Lama, jusqu’à nous faire entendre d’étonnantes « histoires de famille ». [pourquoi jusqu'à ?]
celles sous les platanes en direct et en public d’Avignon avec Xavier de la Porte comme celles de Michel Onfray [pourquoi "comme"]
L’Eté de lectures proposé par Blandine Masson fera, entres autres moments rares, les délices de nos soirées
Les week-ends seront l’occasion de grands « rendez-vous monde » portés le samedi (...) d’un Atelier du politique de Thomas Wieder et Vincent Martigny, des Ecoles d’acteurs d’Olivier Barrot
Enfin, tout l’été, documentaires (...) nous transporteront de France aux quatre coins du monde comme au plus profond, au plus intime de nous-mêmes

Olivier Poivre d’Arvor
Directeur de France Culture
(Adeline Beving)

On est descendu très bas. Belle vitrine de la culture.

Pas foutus aux matins de FC de recopier (ou de copier-coller) correctement le titre de la chanson de Boris  Vian « On n'est pas là pour se faire engueuler » . Et puis cet emploi de « disparaissait »  !

On est pas là pour se faire engueuler" de Boris Vian, qui disparaissait le 23 juin 1959

Exemples parmi cent autres : « Face à une élite indifférente à son sort, les populations se sont rebellées » et « Quels changements les contestations sociales de ces derniers mois ont-elles apporté? » [apportés], dans De Pristina à Sarajevo dans CulturesMonde.

Dans la Grande Table Nicolas LE RICHE :  Caroline Broué reçoit aujourd'hui Nicolas Le Riche, entré à l'Opéra de Paris en 1988 et qui a peu à peu en a gravi tous les échelons (...).

ADADA
IMAMI
ANONA

Antoine Arnoux a écrit:« (…) Quelle est la place de l'image sur les murs de nos villes où semble dominer les messages publicitaires ? Quels sont les possibilités d'y résister ? (…) Aujourd’hui, nous nous tenons aussi des deux côté du mur. »
http://www.franceculture.fr/emission-pas-la-peine-de-crier-le-mur-25-ce-sont-nos-murs-2014-06-24
(...)

Dans Le mur (2/5) que vous citez plus haut pour le très mauvais français mis sans honte en ligne par Marie Richeux, on lit aussi :

l’usage des murs en 1968(voir . Slogan, communication de parti, invitation à rejoindre différents mouvements, expression d’un seul : mettre à la vue de tous
Voir quoi, on ne sait pas.

Jane Sautière trouvait les mots et la langue pour faire exister des corps, des présences au-delà de la banale indignité des enfermements
Là, c'est l'esprit de Bécassine à l'oeuvre :  la prison pas bien. Protéger le public de gens dangereux pour les biens et la sécurité, vraiment pas bien, en un mot : indigne.

Stanislas Nordey nous fait un peu de place parmi ses livres de chevets
Ce que ça veut dire, Marie Richeux elle-même n'en a aucune idée, elle ne sait pas ce qu'est un chevet, ni un livre de chevet, alors...

« Bientôt nous ne serons plus ignorants de rien », écrit M. de la Porte (alias Xavier, pour les intimes de son blog, euh, pardon du site officiel de France Culture).

De rien ? Sauf de la grammaire et de la langue française en général...

l’application créé une empreinte audio
il n’y a plus disquaire non plus
il y a quelque chose de l’ordre du mystère, du désir et de la déception auxquels Shazam met fin ["à quoi", car il est question de "quelque chose"]
dans la pièce dans laquelle vous entrez est pleine de microbes
ceux qui savent et en trois accords reconnaissent le morceau, le groupe, l’album, la date et ont beau se consterner de l’ignorance.

« Bientôt nous ne serons plus ignorants de rien. Nous n’aurons plus d’excuse. » Le 20 06 2014.

M. de la Porte n'a pas d'excuse, ses erreurs lui sont signalées et  chaque jour il continue à fournir un texte bourré de fautes et d'aberrations stylistiques, dénué d'intérêt de surcroît.

Voici une émission du nom de "Rue es écoles" dont la mission est présentée comme suit :

« Tous les mercredis, Rue des écoles aborde les questions d'éducation au sens large : les réformes en cours dans l'Education nationale et, de la maternelle à l'université, les questions pédagogiques, disciplinaires ou sociales.

Rue des écoles s'adresse à tous les publics, parents, professeurs, élèves et bien entendu aux anciens élèves que nous sommes tous ! ».

Louise Touret , dont les vertus ont déjà été chantées ici (posts 34 à 41) et là, recevait le 25 juin le ministre de l'éducation, Benoît Hamon himself.

À cette occasion, elle a réfléchi à un texte de présentation durant des jours, car enfin, on reçoit quand même un ministre... Quoique... à France Culture, je ne suis pas sûr qu'on pense en ces termes. la suite le montre assez, d'ailleurs.

Présentation de Louise Touret : « Nous essayons de comprendre si vous êtes le Ministre de l'apaisement, pour éteindre les incendies et les feux qui couvent au sein de notre école, et surtout évaluer ce que  le Ministre de la Rue de Grenelle propose... ».
Ce « surtout évaluer », de quelle préposition dépend-il ? En d'autres termes quelle est la logique de la phrase ?

« pour que l'école évolue dans une voie plus efficace et moins inégalitaire qu'elle n'est en réalité » = charabia.

rélexion pour réformer l'évaluation

que la note soit utilisée à bon escient, et que ce ne soit pas la fin de la note.
La fin de la note ? Qui comprend ?
Cette réforme de l'évaluation des élèves a pour objectif d'encourager les progrès
Encourageons les progrès !
notes remplacées par des points rouges (=acquis) et les points verts (non acquis).
Je pense que Michel Pastoureau aurait quelque chose à dire ici et proposerait d'inverser le code des couleurs...
L'égalité Filles / Garçons, çà s'apprend
L'orthographe de « ça » aussi.

Modifié par l’auteur.

Modifié par l’auteur.

Modifié par l’auteur.

Modifié par l'auteur.