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France Culture à vau-l'eau, à hue et à dia    Page 1 sur 7

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Serge Uleski 

Serge Uleski

1
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France Culture à vau-l'eau, à hue et à dia - Mar 26 Oct 2010, 20:28

Un auditeur prend la parole...

Quand une partie de la grille des programmes de France Culture court après France Inter et quelques radios dites « périphériques »… c’est la Culture que l’on sacrifie sur l’hôtel d’une hypothétique augmentation de l’audience toujours à venir, et qui ne viendra pas.

_____________

Quelques exemples de déconfiture...


Dominique Rousset...

L’économie en question chaque samedi de 8h à 9h (horaire pour des insomniaques qui, à 8h du matin, et un samedi, n’auraient toujours pas trouvé le sommeil) - précédemment diffusée tous les lundis à 19h (Les auditeurs de France Culture n’ont rien perdu en perdant cette émission le lundi) : émission univoque - tous les invités sont des libéraux : mondialisation et capitalisme impénitents -, au débat non contradictoire, Madame Rousset étant bien en peine, faute d'aptitudes, d'apporter la moindre contradiction à qui que ce soit ; dans le doute, elle ne peut donc qu'acquiescer...



Ainsi que "Le rendez-vous des politiques" en partenariat avec l’hebdomadaire l’Express, programmé le samedi de 11h à 12h ; et là, mêmes symptômes.




Avec Dominique Rousset, c'est le dernier invité à son émission qui a raison ; le temps d'en inviter un autre.


Diable de femme ! Comment s’est-elle débrouillée pour occuper l’antenne à deux reprises, et qui plus est, le même jour ? Et alors qu'elle n'a dans les faits, face au micro et à ses invités, manifestement aucune aptitude pour conduire deux émissions qui ont pour sujets l’économie et la politique... si par aptitude on entend ce qui suit : être capable de faire autre chose que de tendre et de tenir un micro chaque samedi matin.

Aussi...

Force est de nous poser la question suivante : de qui donc est-elle l’épouse, la fille ou bien, la petite amie ?

Même si l'on peut sans risque préciser que la réponse est contenue dans la question. Reste alors plus qu'à faire son choix.


***

Deux gentils ventriloques, gentils et inoffensifs – un homme et une femme : Brice Couturier et Julie Clarini -, occupent la tranche 18h20 -19h du lundi au jeudi (La direction de la chaîne leur a sucré le vendredi, et c’est tant mieux !)

Leur émission qui a pour titre Du grain à moudre ne doit surtout pas nous faire oublier que leur moulin tourne le plus souvent à vide ; en effet, leur meule ne pèse pas lourd, et avec eux, vous pouvez être assurés de manquer de farine six jours sur sept.

N’empêche, ça parle, ça parle, ça n’en finit pas ! Et rien n’arrive, jamais !


Programme au contenu d'un niveau à peine supérieur à l'émission « Au téléphone sonne » sur France Inter ou bien " C dans l’air", ou bien encore, France 2 avec ses débats sans objet dirigés par une Arlette Chabot sans conséquence.


***

Réunie tous les dimanches matin autour de Philippe Meyeret de son soi-disant flegme britannique (flegme à la manière d'un Français qui n'aurait jamais mis les pieds en Grande Bretagne), une poignée de bien-pensants dits « intellectuels » pour une émission qui a pour titre : Esprit public.


Un Philippe Meyer toujours content de lui, le ton badin, un rien caustique mais… sans but ; un esprit pour rien ou pour si peu, un humour que c’est pas la peine…


France Culture présente son émission du dimanche (Meyer a tout d’un curé finalement !) en ces termes : « Des intellectuels, des spectateurs engagés dans les débats et les combats de l'époque, suffisamment liés par une estime et une sympathie réciproques pour ne pas se faire de politesse ni de concessions de façade…»

Demandez donc à Yves Michaud, lui qui a longtemps participé à cette émission, ce qu’il pense de l’estime et de la sympathie de son animateur !


Viré de France Culture suite à l'affaire Polanski, et sans que Meyer ne pipe mot notre Yves Michaud qui a eu le tort de s'opposer à un Finkielkraut producteur à France Culture ; un Finkielkraut toujours complaisant avec lui-même, son clan et sa caste mais… intraitable avec ses dis-semblables.


On reconnaît le courage dans l’adversité ; Meyer a donc la fâcheuse habitude de laisser ce courage à son domicile lorsqu’il se rend à son travail. On est donc prévenu : de lui, rien à attendre que l’on n’ait pas déjà reçu de tous les autres, c'est-à-dire : si peu ou pas grand-chose.


Dont acte.



***


Pour rester avec la déconfiture, le pompon revient sans aucun doute à l’émission Le Rendez-vous ou… comment l'excellence est reléguée au rang du lobbying des agences de presse, de communication et de relations publiques.... parce qu’un film est produit, parce qu’un livre est à vendre...


Emission dirigée par un certain Laurent Goumarre pas gourmet pour un sou quand il s’agit de musique, de cinéma, théâtre, littérature, arts plastiques…

Avec son inénarrable rubrique Journal de la Culture ! Mille événements débités en 7 minutes, marathon et bouillie de chat dont on ne retiendra qu’une chose : le fait que l’on puisse n’en rien saisir ni retenir.


20 ans semble être l’âge moyen de l’équipe de Goumarre, sinon moins ; et là, on frôle l’embauche frauduleuse et certainement aussi, le détournement de mineurs, filles et garçons confondus.


On pourra néanmoins s'estimer heureux : à France Culture, on aurait très bien pu confier la Culture à des lycéens. On revient donc de loin, de très loin tant le risque était... et demeure grand.


Les invités de Goumarre du lundi au vendredi de 19h à 20h, demanderez-vous ?

Jugez plutôt : Olivier Marchal, Josée Dayan, Judith Godrèche réalisatrice de cinéma (Oui, oui ! Sans blague) Pierre Bellemare…

Quant à la programmation musicale - choix d'« artistes » invités à se produire en direct pour un instantané des scènes pop-rock&folk -, il sera le plus souvent question de « guitareux » de langue anglaise, dans le style… « Longtemps j'ai joué et fait la manche dans le métro » ou bien du côté de Beaubourg, là où ça sent immanquablement l’urine... un ou deux SDF couchés pas loin ; et guère plus, sinon moins.


***


Mais alors...

Que diable est-il arrivé à France Culture, radio chaque jour plus bruyante (jingles et bandes annonces sans fin sur des programmes à venir... ici, là et ailleurs) comme pour étouffer un malaise et des choix éditoriaux indigents ?


De la nomination d'une Laure Adler* à la direction de la station à la fin des années 90, productrice et animatrice dont on soupçonnait déjà l'inculture et une intelligence plus que moyenne, étant tout juste capable, sur cette même radio, de tendre un micro à une ou deux personnes tard dans la soirée… de cette nomination-là, aujourd’hui encore, il se pourrait bien que la station ne se soit jamais remise...

Et nous non plus, après le départ d'ANTOINE SPIRE, licencié dès l'arrivée de la Dame de compagnie ; un Antoine Spire qui nous manque cruellement aujourd’hui pour enrichir la tranche qui était la sienne ; un 18-20  dédié à une information dans toutes les acceptions de ce mot...

Le croirez-vous ?! Une information avec un gigantesque I majuscule.



* Génération-Mitterrand, non pas à cause de leur âge à tous mais bien plutôt... pour tous les cadeaux qui leur ont été faits par une force tranquille du mépris, du copinage et des nominations plus politiques les unes que les autres… mais bien moins qu’une politique digne de ce nom quand il s’est agi pour un Président élu, de proposer à des millions français de vraies solutions d’existence hors du chômage, de la précarité, des discriminations et du commerce du cannabis.



***



Il y a comme ça des décisions irréversibles ; et plus elles sont inconsidérées, arbitraires, ou bien confuses, voire obscures et inavouables, plus les dégâts et le gâchis à déplorer sont profonds et durables ; c’est l’air du temps qui passe et qui ne laissera plus jamais passer un autre air, et pour peu qu’il ait été déjà joué et entendu… de surcroît haïssable cet air, aux oreilles de celles et ceux qui ne souhaitent pas nous le faire entendre à nouveau, et ce sous aucun prétexte.


Car, aujourd'hui, chaque génération ne doit en aucun cas pouvoir trouver et suivre une trace : la trace d'une vie antérieure ; la trace d'une vie avant la sienne ; toute possibilité de retour sur une expérience qui aurait appartenu au passé doit donc être exclue.


Aussi, pour la direction de faire de la radio, c'est effacer toutes les traces, semble-t-il.



Dernière édition par Philaunet le Ven 01 Nov 2024, 08:42, édité 7 fois (Raison : Sept de l'auteur et une administrative (titre corrigé))

http://sergeuleski.blogs.nouvelobs.com

Nessie 

Nessie

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Re: France Culture à vau-l'eau, à hue et à dia - Mer 27 Oct 2010, 05:31

Bonjour Serge et merci de cette contribution qui me semble porteuse de discussions intéressantes. Je n'écarte pas la possibilité -avec votre accord- de transférer ce post et ses réponses dans un fil consacré à la critique radio. Voici pourquoi : vous brossez en quelques traits rapides le tableau d'une dégringolade radiophonique sur cette fréquence que nous écoutions tranquillement jusqu'en 1999, sans trop nous fatiguer à repérer les bons coins du programme ni à analyser ce qu'on nous y offrait, vu que c'était toujours de bonne farine. A la rentrée d'automne 1999, une douche froide nous attendait, dont l'auditeur peinard ne s'est toujours pas remis. Ayant donc depuis, mis en route la machine reliant les esgourdes au ciboulot qui tente de réfléchir (jusque là FC suivait plutôt un chemin entre nos esgourdes et le cerveau jubilant), certains d'entre nous, dans ce forum et ailleurs, ont tenté de comprendre en quoi le programme était bon ou mauvais, culturel ou superficiel, sincère ou racoleur, exaltant ou lamentable. On ne fera donc pas l'économie des jugements de valeur et encore moins celle des jugements de goût. C'est à ce point que j'ai du mal à suivre, ou plutôt à comprendre certaines de vos critiques. De là, quelques questions dont j'espère que sortira quelque lumière :

- vous dites que "manifestement" Dominique Rousset est inapte à l'animation des deux émissions du samedi. Admettons. Mais auriez vous la gentillesse de nous éclairer par quelques exemples "manifestes" de sa mauvaise animation ? Par ailleurs quand vous vous interrogez sur ses liens & appuis de type familial ou réseautiques (liens que rien ne permet seulement de faire passer du stade de fantasme à celui d'hypothèse), alors si nous admettons la chose à titre purement hypothétique, poseriez-vous la même question pour d'autres producteurs qui ne vous semblent pas non plus à leur place sur l'antenne de France Culture ? Et au fait, qui sont-ils ? Car je suppose que vous n'en avez pas seulement après D. Rousset... Je vous pose cette question pour essayer de comprendre comment on juge de la radio qu'on reçoit. je sais que ça n'est pas évident, mais c'est bien là que, je l'espère, ma question pourrait nous mener ...

- vous dites -en substance- qu'au Grain à moudre ça blablate et qu'il ne se passe jamais rien. Soit. Vous qualifiez de "gentils ventriloques" les deux producteurs-animateurs. Soit. Tout à fait entre nous, je signale que j'ai des mots bien plus durs que vous pour certains numéros de cette émission (on les trouvera dans le fil consacré). Mais : que devrait-il se passer dans une émission quotidienne traitant des problèmes d'actualité ? Il y a parmi nous dans ce forum un connecté-abonné, qui fait partie des nôtres quasi depuis les débuts du précédent forum, et qui préfère "C'est dans l'air" à "Grain à moudre". En ce qui me concerne, je ne vois aucune différence ni de fond, ni de qualité, ni de profondeur, entre ces deux émissions : on y traite chaque jour d'une question d'actualité, en mettant face à face des spécialistes qu'on estime qualifiés pour discuter du problème traité. Pouvez-vous me dire ce qu'il devrait s'y passer et qu'on n'y trouve pas ? Avez vous quelques exemples, disons dans les émissions des 10 derniers jours, ou bien avec les dernières que vous auriez reçues et qui vous auraient fait décrocher de l'écoute ??

- vous semblez dire que Philippe Meyer aurait "couvert" l'éviction d'Yves Michaud, alors que les faits montreraient plutôt qu'il en a été l'actif décisionnaire. Le fait que je lui donne raison (à Meyer) à 100 % dans cette affaire un peu minable ne doit pas dissimuler mon regret de voir Michaud écarté de l'antenne. Pour tout dire, je préfèrerais que ce dernier se retrouve en position de producteur d'une émission régulière, mais si possible d'une émission culturelle, et pas une émission de commentaire politiques. Qu'en penseriez-vous, d'un Yves Michaud parlant enfin de ce qu'il connait et non plus de ce pourquoi il n'est guère plus qualifié que n'importe quel autre agrégé de philo ?

- en quoi le fait que ça ne sente pas bon devant Beaubourg fait du rENdEZ-vOUS de Laurent Goumarre une mauvaise émission de radio culturelle ? Entendons-nous bien : je ne dis pas qu'elle est bonne,au contraire je la trouve affligeante. Mais je cherche un peu (et même beaucoup) le lien avec l'odeur de l'esplanade Beaubourg. De même, en quoi le fait d'inviter acteurs et auteurs de littérature grand-public (chose qui se faisait déjà au temps du Panorama où l'on recevait Françoise Verny et Amélie Nothomb) serait contraire à l'idée d'un programme culturel ??

- tout en regrettant (et je vous certifie que je partage ce regret) l'éviction d'Antoine Spire hors de l'antenne, vous appelez de vos voeux "un 18-20 consacré à l'information" ? Bien. Mais en quoi un 18-20 consacré à l'information (avec, je vous cite, un "I majuscule") serait-il culturel ? Et en quoi serait-il utile dans une radio qui consacre maintenant plus de 50% de son programme à l'information ?

J'espère ne pas vous assommer avec mes questions. Je crois sincèrement que si vous jouez le jeu de la discussion, en quelques dizaines de posts le fil que vous avez ouvert deviendra le fil central de notre grande discussion sur la culture à la radio et sur la qualité radiophonique.

Cordialement - Nessie

fanch 


3
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Staccato le retour ? - Mer 27 Oct 2010, 18:11

Serge ULESKI a écrit:
Et nous non plus, après le départ d'ANTOINE SPIRE, licencié dès l'arrivée de la Dame de compagnie ; un Antoine Spire qui nous manque cruellement aujourd’hui pour enrichir la tranche qui était la sienne ; un 18-20 dédié à une information dans toutes les acceptions de ce mot... Le croirez-vous ?! Une information avec un gigantesque I majuscule.

Je partage le point de vue de Nessie, Antoine Spire oui, une heure1/2- 2h oui, mais surtout pas de l'information !!! À quoi joue Voinchet le matin pendant deux heures si ce n'est d'essayer d'intercaler un invité entre les plages d'infos ? Alors que les sujets de Spire brossaient un champ très vaste de la culture. (petit souvenir : J. Clarini interpelle Bourdieu en commençant sa phrase par "concrètement" Bourdieu s'offusque de l'impertinence de la jeune universitaire et je crois me souvenir que Spire prend sa défense !!).

Culture Matin savait se jouer de l'info (2mn à 7h, 10mn à 7h30, 5mn à 8h). L.A. Woman en propulsant Demorand a fini par faire la très/trop longue session d'info avec la kyrielle de chronicailleurs tendance. (Il avait quand même fallu pendant deux ans s'infliger le très-très lénifiant Assouline).

Un 18h15/20h oui. De l'info non!

Qui peut me dire où trouver l'indicatif de Staccato ?

Serge Uleski 

Serge Uleski

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Informations contre actualités - Mer 27 Oct 2010, 20:53

Au sujet de Monsieur Spire...

J'ai bien parlé d'un 18-20 dédié à une information dans toutes les acceptions de ce mot... une information avec un gigantesque I majuscule.

Antoine Spire faisait bien de l'information ; ce qui n'a rien à voir avec l'actualité ou les actualités.

Cordialement.

Serge ULESKI


http://sergeuleski.blogs.nouvelobs.com

Lola 

Lola

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A propos du Rendez-vous. - Mer 27 Oct 2010, 21:07

Lorsque "Le rendez-vous" invite des représentants de la culture mainstream, le problème n'est pas à mon sens que l'émission ne soit pas "culturelle" parce qu'elle n'est jamais culturelle. Et ce pour une raison simple : que l'invité(e) appartienne à un cercle restreint ou à un cercle large en matière d'audience, les questions seront les mêmes, tourneront autour de la biographie et éviteront autant que faire se peut une quelconque analyse de l'oeuvre, en-dehors (les jours fastes ?) de généralités évidentes.

Du coup, que ce soit Josée Dayan ou Philippe Sollers, ça revient au même. C'est quand même un exploit. En fait, ça ne revient pas exactement au même. Si l'invité a un propos, il tiendra son propos. En revanche, face à lui, il n'y aura personne pour lui faire pousser plus avant sa réflexion ou botter en touche si cette dernière paraît contestable.

fanch 


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Information un mot signifiant - Jeu 28 Oct 2010, 11:02

Serge ULESKI a écrit:
Antoine Spire faisait bien de l'information ; ce qui n'a rien à voir avec l'actualité ou les actualités
D'ac Serge mais le mot "information" est employé dans la tour d'ivoire de la Maison de la Radio comme le monopole ULTRA-CORPORATISTE des journalistes. Tout est information, mais c'est autre chose de faire Stacccato que de faire la Matinale. C'est autre chose de faire "Tout arrive" version Voinchet que de faire la Matinale version Demorand. L'information (le mot protégé des journalistes) étouffe les chaînes du groupe public (quelques îlots "sans trop" sur FM, FIP, Le Mouv'). C'est la raison pour laquelle ce sont des journalistes qui postulent pour "faire" des émissions, la carte de presse est un sésame sans restriction. Réécoutez les rediffusions des émissions de Marion Thiba cet été (août) ! Elle n'est pas journaliste, elle est productrice.
Pour défendre une radio culturelle nous devons en passer par la mise au point de notre "petit lexique" d'auditeurs vigilants. Votre intervention nous le permet. Qu'en pensez-vous ?

Serge Uleski 

Serge Uleski

7
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Re: France Culture à vau-l'eau, à hue et à dia - Jeu 28 Oct 2010, 13:00

Allez ! N'ergotons pas ! Sir Spire faisait bel et bien de l'Information (il est titulaire d'une carte de presse) ; sujets de société avec l'appui d'ouvrages de chercheurs et d'universitaires, d'auteurs ; sans oublier l'équipe qui l'épaulait. Il ne cherchait pas le débat... ( l'information ce n'est pas le débat) mais bien plutôt les chemins susceptibles de mener à une meilleure compréhension du sujet traité.

Cela dit, Antoine Spire n'est plus chez FC, aussi...

http://sergeuleski.blogs.nouvelobs.com

Reminder 


Invité

8
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Re: France Culture à vau-l'eau, à hue et à dia - Jeu 28 Oct 2010, 17:41

N'oubliez pas que l'ambition de Culture a toujours été d'être un "Journal Total".

fanch 


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Journal shell c'est bien aussi !! - Jeu 28 Oct 2010, 18:51

Reminder a écrit:N'oubliez pas que l'ambition de Culture a toujours été d'être un "Journal Total".
Kesaco ? Tout FC un journal total ? Le journal d'information un journal total ? Qu'est ce que c'est un journal total ? D'où tenez-vous cette information de première bourre ? Par la même occasion vous nous direz si vous les connaissez les ambitions de FC et SVP éviterez de reprendre la supplique de M. le Directeur-qui-donne-la-direction (parce que celle là va finir par ressembler à une rengaine) à moins que vous y ayez décelé une ambition ! cyclops

Nessie 

Nessie

10
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Chic, une énigme !! - Jeu 28 Oct 2010, 20:48

fanch a écrit:
Remi Hinder a écrit:N'oubliez pas que l'ambition de Culture a toujours été d'être un "Journal Total".
Kesaco ? Tout FC un journal total ? Le journal d'information un journal total ? Qu'est ce que c'est un journal total ? D'où tenez-vous cette information de première bourre ? [...]

Oh oh, là je sens l'énigme et je suppute le délit d'initié. La formule de "journal totalll" ne dit rien à mes lobes mémoriels donc ça a du tomber à une époque où je vivais sous les tropiques du Groënland. Mais ça sent d'ici l'annonce fumante d'un ex-directeur de programmes, hmmm ?? Spéculons, spéculons : je n'y sens pas trop la lourde papatte de lolotte, mais je ne vois guère d'autre candidat... Donc comme dirait fanch' : je m'interroge ????

On peut faire un Loto en attendant de recevoir un indice sur cette petite énigme philologique.

Hey mister Rem Embrance (ou Mrs Ana Mnèse) vzavez pas un ptit nindice pour nous aider sitiplit ?

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Re: France Culture à vau-l'eau, à hue et à dia -

France Culture à vau-l'eau, à hue et à dia     Page 1 sur 7

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