Hypothèse : vous êtes le médiateur des antennes de Radio France, un auditeur (h/f) récrimine contre une émission ou une procédure, qu'écrivez-vous dans votre réponse ? Je précise "médiateur", pas "porte-parole" de Radio France. Faites-vous part de votre sentiment privé sur la question (voir exemples plus haut dans ce fil) ? Justifiez-vous telle ou telle procédure avec des arguments tirés de vos opinions ou suivez-vous la règle de neutralité professionnelle qui s'impose à ce poste ?
Soit cette lettre d'un/e Camille Camille reprenant un sujet sur lequel le "médiateur" s'est exprimé :
réseaux sociaux « incontournables » ? Camille Camille 30/04/2018 8:39 France Culture
Vous dites que nommer à l'antenne les réseaux sociaux à tout bout de champ comme on l'entends de plus en plus dans certaines émissions comme Soft Power ou la Dispute serait incontournable selon vos termes ?
C'EST FAUX ! Bien entendu.
D'abord ce sont des marques en effet et elles sont nommées gratuitement à l'antenne c'est donc de la publicité gratuite, ce qui est lamentable pour le service public.
Ensuite on peut très bien communiquer sur le site de Radio France et ici même sinon à quoi serviriez vous ? Je n'ai ni facebook ni twitter ni instagram ni rien et je vais très bien merci.
De plus ces sites sont connus pour récupérer toutes les données personnelles, numero de téléphone, images, vidéos, écrits sans l'autorisation des concernés, cela a été maintes fois dénoncé par la presse internationale y compris Radio France et y compris des anciens éminents responsables de Facebook qui ont dit qu'ils ne laisseraient pas leurs enfants sur Facebook car c'est une belle saloperie !
Ça détruit les rapports sociaux (les vrais pas les virtuels), ça détruit l'environnement à cause des fermes de serveurs et ça détruit même la démocratie, voir les dernières élections américaines.
Alors arrêtez de prendre les auditeurs pour des débiles et de faire la promotion de ces merdes infâmes sur le service public avec notre redevance, merci.
Voici la réponse :
En 2018, il est difficile de s’exonérer des réseaux sociaux qui, par delà des inconvénients, présentent aussi de nombreux avantages. Les réseaux sociaux les plus populaires sont détenus par des sociétés américaines, mais lorsque vous faites un achat auprès d’une société française, vos « données » peuvent également être « exploitées ». Et ne sombrons pas non plus dans une forme de paranoïa… Il y a 50 ans, quand nos parents ou grands-parents s’abonnaient à un journal, il n’était pas rare que le fichier des abonnés soit vendu à des marques commerciales qui envoyaient ensuite des publicités.
Réponse à côté de la plaque s'il en est : le médiateur prête à la personne le fait d'acheter quelque chose en ligne auprès d'une société française. Une pure conjecture, cette personne ne fait peut-être aucun achat en ligne. Et la question n'est pas là. Le sujet est celui des réseaux sociaux nommés plus haut par Camille Camille et auxquels France Culture fait de la publicité. La conclusion vaut son pesant de cacahuètes : comparer Facebook avec un journal d'il y a 50 ans ! Monsieur Denaes ne frise pas le ridicule, il y sombre. Enfin, le pompon pour défendre une station alarmiste et accusatoire tous azimuts comme France Culture, accuser l'auditeur de sombrer dans la paranoïa. Il faut le faire !
Soit cette lettre d'un/e Camille Camille reprenant un sujet sur lequel le "médiateur" s'est exprimé :
réseaux sociaux « incontournables » ? Camille Camille 30/04/2018 8:39 France Culture
Vous dites que nommer à l'antenne les réseaux sociaux à tout bout de champ comme on l'entends de plus en plus dans certaines émissions comme Soft Power ou la Dispute serait incontournable selon vos termes ?
C'EST FAUX ! Bien entendu.
D'abord ce sont des marques en effet et elles sont nommées gratuitement à l'antenne c'est donc de la publicité gratuite, ce qui est lamentable pour le service public.
Ensuite on peut très bien communiquer sur le site de Radio France et ici même sinon à quoi serviriez vous ? Je n'ai ni facebook ni twitter ni instagram ni rien et je vais très bien merci.
De plus ces sites sont connus pour récupérer toutes les données personnelles, numero de téléphone, images, vidéos, écrits sans l'autorisation des concernés, cela a été maintes fois dénoncé par la presse internationale y compris Radio France et y compris des anciens éminents responsables de Facebook qui ont dit qu'ils ne laisseraient pas leurs enfants sur Facebook car c'est une belle saloperie !
Ça détruit les rapports sociaux (les vrais pas les virtuels), ça détruit l'environnement à cause des fermes de serveurs et ça détruit même la démocratie, voir les dernières élections américaines.
Alors arrêtez de prendre les auditeurs pour des débiles et de faire la promotion de ces merdes infâmes sur le service public avec notre redevance, merci.
Voici la réponse :
En 2018, il est difficile de s’exonérer des réseaux sociaux qui, par delà des inconvénients, présentent aussi de nombreux avantages. Les réseaux sociaux les plus populaires sont détenus par des sociétés américaines, mais lorsque vous faites un achat auprès d’une société française, vos « données » peuvent également être « exploitées ». Et ne sombrons pas non plus dans une forme de paranoïa… Il y a 50 ans, quand nos parents ou grands-parents s’abonnaient à un journal, il n’était pas rare que le fichier des abonnés soit vendu à des marques commerciales qui envoyaient ensuite des publicités.
Réponse à côté de la plaque s'il en est : le médiateur prête à la personne le fait d'acheter quelque chose en ligne auprès d'une société française. Une pure conjecture, cette personne ne fait peut-être aucun achat en ligne. Et la question n'est pas là. Le sujet est celui des réseaux sociaux nommés plus haut par Camille Camille et auxquels France Culture fait de la publicité. La conclusion vaut son pesant de cacahuètes : comparer Facebook avec un journal d'il y a 50 ans ! Monsieur Denaes ne frise pas le ridicule, il y sombre. Enfin, le pompon pour défendre une station alarmiste et accusatoire tous azimuts comme France Culture, accuser l'auditeur de sombrer dans la paranoïa. Il faut le faire !