On aurait tout aussi bien pu placer ce billet dans le fil Des voix et des ondes, car une des caractéristiques de la chroniqueuse est d'avoir une voix et des inflexions en vogue depuis quelques années chez les jeunes femmes à France Culture, le modèle du genre étant Adèle van Reeth : donc, des /r/ à la néerlandaise, des fins de phrase inaudibles, une absence de timbre, des souffles affectés. Bref, ce que l'on entend à l'école chez pas mal de lycéennes qui se la jouent gnangnan. Avec Manou Farine du même tonneau, on se retrouve en classe de première. La voix qui parle au micro à France Culture, la direction s'en fout. À moins que cette couleur immature, type jeunes « chanteuses » enrouées et susurrantes, ne soit recherchée ?
La chronique, parlons-en ! Ou plutôt non, il n'y a rien à en dire, vu qu'il n'y a rien. Sauf du temps d'antenne et de l'argent gaspillés, ce qui n'est pas rien.
[son mp3="http://franceculture.fr/sites/default/files/sons/2015/09/s37/RF_9DFF7B85-02C0-4FC1-87C4-8F2EC17EFF5C_GENE.MP3" debut="15:10" fin="18:57"]
De la radio (d')amateur.
Poésie et partitions
La chronique, parlons-en ! Ou plutôt non, il n'y a rien à en dire, vu qu'il n'y a rien. Sauf du temps d'antenne et de l'argent gaspillés, ce qui n'est pas rien.
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De la radio (d')amateur.
Poésie et partitions