Forum des auditeurs passionnés et critiques de France Culture

Ah, la dérision est facile, monsieur Curly ! Vous n'avez pas voulu comprendre qu'avec "Mécanique du vivant" nous ne sommes pas face à une simple resucée de programmes sur les corbeaux vus et entendus partout (sur Arte aussi), mais selon la pub ressassée avant, pendant et après les Matins de FC, à "une collection de podcasts originaux." Une collection ! On ne se moque pas d'une collection !
Attendons-nous à bientôt découvrir tout ce que nous n'avons jamais osé demander sur la pie voleuse, le perroquet gris d'Afrique, la danse des dauphins, l'obsession du scarabée bousier et le chant des baleines. Du jamais entendu, de l'original.
J'oubliais… le premier numéro de cette collection qui fera date a été réalisé avec l'aide et la participation, non pas de l'Université (personne au CNRS ne s'intéresse aux corbeaux? On croyait pourtant…), ni du Museum, mais du zoo de Beauval, cité deux fois. Le corbeau est vraiment très intelligent, il va chercher l'argent où il se trouve.

Ce matin, 7 h, Madame Chouin expédie son journal avec maintenant des intonations, des césures, des suspens à la Thomas Cluzel.

Ce matin, comme de plus en plus souvent, tous les journalistes sont des femmes. Les hommes ont été expédiés à Berlin ou Kiev, ou Athènes. Par exemple, Fréderic Says, longtemps éditorialiste politique ou chef du service politique, on ne sait plus, qui nous aspergeait d'interventions verbeuses entrecoupées d'extraits sonores datés, a été envoyé à Athènes. Un autre est à Beyrouth. Bref les hommes sont expédiés au front, une fois de plus. (Ça passe?)

Long sujet sur le réchauffement climatique, illustré par un reportage de Tara Schlegel sur une association de l'Aude qui se veut "Institut de recherche". Ben voyons. On ne comprend pas très bien ce qu'elle fait, ni ses moyens, ni ses propositions concrètes, mais ce n'est pas grave, c'est dans l'air du temps.

Pour illustrer sa lutte contre le réchauffement climatique, sujet du jour, le Reportage de la rédaction du 23/05 porte sur… la pollution des rivières locales due aux anciennes exploitations minières aujourd'hui abandonnées. Une sonnette d'alarme est aussi tirée sur l'uranium à Narbonne, sans que l'on comprenne comment le minerai importé menace la santé locale et augmente les émissions de CO2 (c'est même le contraire). Bref, aucun rapport avec le CO2. Ce n'est pas grave, les grands mots ont été prononcés : réchauffement, climat, pollution.

Allez, rebelote dans le monde très fermé du pode & caste natte & tif.

                                                                                        

Le sujet n'est pas le sujet (j'ai piqué cette phrase dans un entretien avec l'ancienne directrice de France Cu). Regardez la photo : le sujet est le producteur, ou l'intervenant, voire les deux lorsque l'intervenant est aussi le producteur.
Une photo où la star nous mate du haut de sa grandeur, semblant nous dire : "Eh, viens m'écouter, tu vas voir ce que tu vas entendre, petite gens."

D'où vient ce pode & caste ? Qu'est-ce qui guide la direction dans ses choix éditoriaux ?
Simple : la direction du vent. Surtout bien la suivre, ne jamais dévier, aller là où tout le monde va, et donc refaire dans un format natte & tif ce qui existe déjà ailleurs et même ici dans la boîte à idées de la radiodézidé.
Et surtout, oui, surtout, c'est la base, qu'il y ait un livre à vendre à la clé, si possible celui de l'intervenant.
Donc, dans cette nouvelle saison de pode & caste (= 54 mn découpées en 6 tranches),

                       

Comme France Cu aime bien gaspiller (= marteler pour promouvoir), nous renvoyons à un magnifique 100 ozé le 2-mandé de la divine Didine daté du 30 janvier 23.

                                                                        
                                      


Nous louerons l'originalité de cette opération marketing en signalant pêle & mêle :

            
            
            
            
            
            
            
            

La notion de fait social total, notion éminemment et, évidemment, sociologique, car quoi d'autre que la sociologie à France Culture EHESS/Sciences Popo, est devenue, à force d'être servie à toutes les sauces, un lieu commun obligé pour tout journaliste en manque total d'idée. C'est souvent le cas sur France Cu Popo.
Vertigineux.

7 juin 23 : L'humeur du mamate à Guillaume-du-mamate
"Le suicide de Lindsay récapitule l'époque
(...) Le calvaire de cette jeune femme poussée à bout par la méchanceté des jeunes humains qui l’entouraient est un fait social total."
Après, une fois qu'on a le concept, facile de dérouler le fil, et le billet d'humeur est emballé vite fait.

19 février 18 : Le journal des I-D
" Les meurtres de Maëlys ou d’Alexia Daval, qui défraient la chronique en ce moment, n'ont rien à voir en apparence… Et pourtant sous un certain angle : il s'agit dans les deux cas d'un fait social total."
Même idée, avec I. Jablonka (sociologue star de France Cu) comme point d'appui. Point d'appui piqué sans vergogne par Guillaume-le-fait-total-des-mamates, parce qu'il faut bien remplir les deux minutes d'antenne d'avant sept heures tous les mamates. Et quand on n'a que l'actu comme perspective, on tourne vite en rond, et à vide.

15 janvier 21 : un article.
Le titre, "La pandémie du Covid-19 est un “fait social total” »
Bien sûr. Sous couvert de sociologie, un brassage d'actu. Et quand vous voyez la définition de la notion, vous savez que c'est open bar pour le social total.

2 juillet 2007 : Les chemins de la connaissance
Pourquoi remonter si loin ?  Pour montrer que depuis 2007, France Cu n'a rien fait d'autre que tourner en rond.
Titre : « Le travail comme valeur (1/5) - Un fait social total"
Et qui dit "travail" dit Dominique Méda.

21 septembre 18 : Journal des I-D
« La guerre, un fait social total »

9 mars 22 : L'humeur du mamate à Guillaume-le Total-des-mamates
« McDo quitte – temporairement – la Russie, voilà un fait social total… »
Humour total.

18 octobre 20 : Le village global
« Le smartphone n'est ni un simple gadget, ni un ennemi mortel. C'est un fait social total »

4 septembre 18 : Entendez-vous l'éco ?
« Sociologie de la mode » Même l'éco est de la socio, tout est socio, la sociologie, sur France Cu, est un fait social total.
« La mode serait-elle un « fait social total », selon l’expression de Marcel Mauss ? »

7 janvier 17 : Science en questions
« La statistique est devenue un “fait social total” »

19 mai 19 : La suite dans les I-D
« De la visibilité (...) Son expansion durant tout le XXe siècle en fait pourtant un trait majeur de notre modernité, un « fait social total », au sens de Marcel Mauss »

19 décembre 20 : toujours La suite dans les I-D
« le cas Covid, ce fait social total »

30 juin 17 : Journal des I-D
« Le tourisme est un “fait social total”»

26 novembre 2020 : un article.
« Diego Maradona est un problème de sciences sociales. (...) ce joueur (...) incarne parfaitement une notion que, dans les livres, on appelle “fait social total”.  »

5 novembre 20 : Le cours de l'Histoire
« Le climat est alors un fait social total »

6 février 18 : Journal des I-D
« L’économie – écrit-il (il = Bourdieu mais c'est bien sûr) – comme activité, discours savant sur celle-ci et vision du monde, est un fait social total. (...) »

Cette notion est devenue un fait social total qui mériterait une journée (au moins) spéciale sur France Culture.
De la sociologie, voilà qui nous changerait les I-D, non ?

Novembre 2022, diffusion dans les Nuits d’une série de 5 émissions sur la psychogénéalogie.
Après quelques signalements, le plus notable étant un article dans le magazine « Marianne », France Cu décida d’ajouter en bas de la page de la présentation de la série un petit avertissement (encore faut-il aller jusqu’en bas de page...)
« France Culture rediffuse cette série d'émissions de 2005 qui rend compte d'un engouement pour la question des transmissions intergénérationnelles. Nous rappelons que la psychogénéalogie est une discipline qui fait l'objet de vifs débats et critiques. »
C’est le moins que l’on puisse dire.
Or, la radio avant tout s’écoute. Et si l’on écoute, on n’entend à aucun moment cet avertissement en ouverture du programme.
Comme c’est une reprise des Nuits de 2007, rien n’a été ajouté.  
Et puis, mieux encore, une nouvelle nouvelle nouvelle diffusion est prévue du 17 au 21 octobre. Deux diffusions en moins d’un an. Que doit-on comprendre par cette insistance ?

Si l’on va sur la page de chaque partie, car chaque partie possède sa page contenant un présentation riche et détaillée, si on la compare avec plein d’autres émissions des Nuits qui elle n’ont droit à aucune présentation, cet avertissement pointe aux abonnés absents.
La présentatrice balance de manière laconique et lapidaire un résumé de ce que l’on va entendre :
(présentation 5ème partie) « De nouveaux métiers ont émergé pour accompagner la psychogénéalogie comme celle (??) de « biographe de vie anonyme », et de nouveaux outils se sont forgés, mais aussi des ouvertures se sont faites parmi des thérapeutes, des sociologues, des universitaires qui tous cherchent à traquer avec nous une approche transgénérationnelle de notre histoire. Nous retrouvons la cinquième et dernière partie de cette série consacrée à la psychogénéalogie : bilan et avenir, une émission etc... »

Si France Cu depuis quelques années (la précédente direction, celle qui était AJT, revenait régulièrement sur ce sujet dans le circus des rdv avec la médiatrice), cherche à se débarrasser des émissions religieuses du dimanche matin, elle plonge avec un bonheur sans retenue dans tout ce qui s'apparente au New Age (chamanisme & cie).
Tiens, paf, quel hasard, Nuit spéciale du 15 octobre : la transe.

Parenthèse sans parenthèse, dans cette nuit, reprise de l’excellent « Samedis de France Culture  » sur les derviches tourneurs (Hélène Tournaire, 26-10-1974)

Retour à la cinquième partie sur la psychogénéalogie, présentée tout simplement comme une « nouvelle science humaine » (cf présentation INAthèque).
La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, la Mivilude, dans son guide « Santé et dérives sectaires » mentionne la psychogénéalogie comme une « des méthodes les plus répandues ».
Cf notamment l’annexe p.173 : « Outre leur dangerosité potentielle, les méthodes et les pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique ont en commun de permettre à leurs concepteurs d’obtenir des revenus très confortables. Voici, sans atteindre l’exhaustivité, quelques méthodes telles que présentées par leurs concepteurs ou les mouvements qui les promeuvent. »
Suit un catalogue des méthodes par ordre alphabétique.
« (…) P
(…) Psycho généalogie : outil de décryptage des liens familiaux. »

Ah… la sorcellerie… et puis surtout, les sorcières, ces féministes avant l’heure…
Prendre l’Histoire pour la faire rentrer dans les préoccupations d’aujourd’hui, et définir par un terme anachronique des personnes et des faits qui datent de plusieurs siècles et qui se rapportent à une société qui n'est plus vraiment la nôtre, ça porte un nom : propagande. Comment nommer autrement ce qui utilise les faits du passé, les rabote aux entournures quand ça rentre pas bien, pour promouvoir une idéologie.
Les machins en -isme, faut s’en méfier, car même quand parfois on a envie d’adhérer à fond, notre regard à un moment se retrouve toujours coincé par des œillères.
Résultat : les sorcières sont les féministes du Moyen-Âge (simplifions ça rassure), les hommes de Cro-Magnon étaient anti-capitalistes et féministes, Jésus Christ adepte du végétarisme (comme y’a rien dans la Baïbeule à ce sujet, vous pouvez y’aller, foncez !), idem pour Pythagore (mais pas pour les raisons que vous pensez, il s'agirait de métempsychose, mais on s'en fout, il est pionnier de l'avant-garde) et nous nous arrêterons là afin de respecter les règles du etcétérisme et du jenpassisme.

Mais un mal amène toujours un bien, et réciproquement (ça reste à prouver mais comme phrase de transition ça en jette).
Une Nuit spéciale sorcellerie, la deuxième en six mois, c'est dire l'obsession. Halloween tombe bien, c'est un excellent prétexte pour en rajouter une couche.
Cette nuit spéciale sorcières, ces pionnières du féminisme, déboule dans les nuits, et même dans les jours, dans la programmation de nuit de jour du dimanche aprème.
Et dans cette nuit de nuit et de jour, trois parties d’une série de vingt-cinq. Vu le sujet, il faudrait impérativement (cf Kant) que France Cu diffuse les vingt-deux autres.
La série : « Les grandes heures de la sorcellerie », produite par Catherine Bourdet, qui adapta pour la chaîne dans les années 70 plusieurs récits fantastiques et de science-fiction.
Chaque fiction, interprétée par la fine fleur de la troupe de France Culture de l’époque,  est suivie d'un débat avec des historiens.
Sur YouTube, une chaîne a mis en ligne les vingt-cinq émissions. Toutefois la qualité sonore n’est pas au rendez-vous, et les entretiens avec les historiens ont été coupés.
Ainsi, par exemple, « Le procès de Denise Prudhon »  dans les nuits du dimanche aprème, douzième partie de la série, d’une durée de 42 mn (source INAthèque) passe à 31 mn sur YouTube. La fiction commence après une rapide introduction.
La diffusion sur France Cu est donc une bonne nouvelle.
Ce qui donne,
Les grandes heures de la sorcellerie (1974)
par Catherine Bourdet
réalisation Henri Soubeyran
adaptations par Henri Soubeyran et Véronique Charaire
12- Le procès de Denise Prudhon, en l'année 1607 (23-04-1974)
Fiction interprétée par Marcelle Ranson, Agathe Natanson, Rachel Salik, Maurice Bourbon, Pascal Mazzotti et Hélène Dieudonné
et pour la partie débat : Emmanuel Le Roy Ladurie, Gaston Ferdière, Armand Danet et Jean Vartier

Et dans la nuit des sorcières (28/29 octobre) [pas de liens pour l'instant] :
21- Les marchandes de pluie ou les sorcières de Szeged (26-05-1974)
Fiction avec Sylvie Favre, Bernard Jousset, Gérard Dournel, Marcel Lupovici, Jean-Pierre Lituac, Maria Meriko, Pierre Pernet, Gérard Thirion
Entretien avec Robert Muchembled, et Jean Béranger
9-  La sorcière de Boucoiran (03-03-1974)
Fiction avec René Clermont, Inès Nazaris, Ginette Franck, Annie Dana, Yves Peneau, Gérard Thirion et Bernard Jousset
Entretien avec Jean Delumeau et Emmanuel Leroy-Ladurie

À suivre ?

Partir, c’est rev’nir un peu.
La cheffesse de LSD, la série documentaire ext(r)a est partue en juin vers Arte Radio, où l’on produit des docus pareils que sur France Cu mais sur Arte. Sitôt repartue, sitôt reviendue (je vous prie de relever ma maîtrise du français : les participes sont perfectly accorded).
La revoilu donc sur France Cu pour la s’maine du nu dans une nouvelle prise de LSD.

                         

« Pour LSD, Perrine Kervran tente un voyage dans l’histoire de l’art pour comprendre comment s’est imposé le nu artistique. Pourquoi on se retrouve à poil sur la toile ou sur un piédestal, et qu’est-ce que ça raconte de l’art, des artistes et des regardeurs. »
Les regardeurs que nous sommes allons mettre les écouteurs.
Tous à poil et à vapeur !

Je ne vous ai pas encore dit mais vous l’avez deviné : tout ce qui est à poil marche du tonnerre de Dieu, alors faut pas hésiter à doublonner, triplonner, quadruplonner, etc...
L'audimat se cabre, et ses tétons frétillent !  
Faut pas hésitationner (verbe à l’infinitif = -er, notez encore la pureté de mon françouais).
Vous allez me dire, et là je vous laisse la parole (à poil la parole ! à poil !) : « Mais c’est intéressant le nu, surtout le nu artistique (à poil !), et ça mérite de bien belles et instructives émissions culturelles (à poil le culturel ! à poil !) »
Je vous réponds que vous avez raison, toujours raison. Surtout quand c’est moi qui parle à votre place.
Mais à partir du moment où la chaîne repasse du nu toutes les cinq minutes (à poil les minutes ! à poil !), on peut penser sérieusement à du radotage ou du racolage. Une fois, ça va, au bout de la nième fois, ça devient douteux, mais à poil (à poil !).

En voiture (à poil dans la voiture ! à poil !).
Une indication d’importance, les intervenants de notre LSD cuvée 2023 sont bien souvent les mêmes que dans les émissions qui suivent. Tous à poil !

                                                

                                                                                                

                                                                                
                                            
                                            

Puis, pêle et puis mêle :

                                                   

                                                    

                                                    

                                               
Concernant la nudité, on trouve aussi plein d'autres trucs, comme

                                                                        

                                                                        

                                                                        

                            

Si on continue ainsi, ça va finir par partir en couille, ce qui serait, avouez, paradoxal.

Maintenant, si l’on va dans les présentations de tous à poil (à poil !), on peut affiner.
Exemple épisode 6 (à poil le 6 ! à poil !).
« On commence cet épisode avec l’Olympia de Manet pour se demander qui sont ces femmes peintes sur la toile »
Previously...

                                        

                                                                


Encore un p’tit coup (un p'tit coup oui, mais à poil !), avec l’épisode 7.
« Le point de départ, c’est donc Picasso, (qui doit entendre ces temps-ci siffler ses oreilles là où il est), Picasso le minotaure, qui a toujours peint ses compagnes. Des compagnes qui pour certaines ont raconté par la suite un quotidien assez terrible et un ego assez énorme. »
Assez ! À poil !

                                          
                                                                    
                                                                  

Et comme on est lancé et surtout à poil (à poil !), on termine avec l’épisode 8 (à poil le 8 ! à poil !).
« L’historienne de l’art Eva Belgherbi évoque ainsi Suzanne Valadon et sa peinture La chambre bleue »

                                                                         

« ...à partir des années 1960 et 1970, certaines artistes femmes se sont dit qu’il fallait peut-être se réapproprier son corps, l’utiliser comme un outil pour revendiquer, pour dire et pour proposer d’autres images. »
D’autres images oui, mais à poil !

                                            

                                                                                                         
                                                                        

                                                                                    

J’ajoute ceci dans la musette de à poil :

                                                                        
                                                                            

                                                            

Je sais que le catalogue est incomplet. Quel manque de rigueur (à poil la rigueur !), j'en suis désolé.

À suivre prochainement, une nouvelle série sur le nu (à poil le nu ! À poil !) sur France Culture, parce que c’est pas parce qu’il y en a beaucoup qu’il y en assez.
Assez !