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Accueil / France Culture

La poésie à France Culture    Page 6 sur 9

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Philaunet 


Admin

51
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Pas trop tôt ! (mais il y a des avis différents) - Sam 24 Aoû 2019, 13:13

Jacques Bonnaffé ne lira plus de poésie sur France Culture.

C'était nul, archi nul, et donc plus jamais écouté, sauf par hasard, lequel confirmait le jugement.

Le site qui signale la disparition indique :
Six minutes de lecture quotidienne, pour réduire le stress dans son existence, voilà qui est parfait. Mais cinq minutes de poésie pour enchanter sa journée, c’est ce que proposait Jacques Bonaffé sur France Culture. Quatre ans après la disparition de Ça rime à quoi, l’antenne du service public perd une nouvelle présence poétique.
Paragraphe suivi de commentaires énamourés  :

m'enfin, le 17/08/2019 à 20:52:34 Répondre
C'est comme si on me supprimait ma dose mon injection essentielle..Le malade va souffrir et les labos surement aussi

Ghjattanera, le 19/08/2019 à 09:13:27 Répondre
Cette infinie tristesse,de cette infinie perte .... la boboisation triste de FC .... et de nous proposer des podcasts quand vous adorez la RADIO!!!! Le ciel reste gris.


J'ai trouvé le sujet en lisant cette belle prose de la directrice, qui masque mal l'agressivité sous-jacente de chacune de ses interventions : Sandrine Treiner
Bonsoir. Lisez donc l’article vous verrez que c’est Jacques Bonnaffé qui choisit de se concentrer sur son activité de scène. Et écoutez donc La Compagnie des poètes de Manou Farine, une heure hebdomadaire consacrée à la poésie. Pas d’émotion sur @ franceculture ?? Allons donc ...
Lisez donc, écoutez donc et ne nous emm... pas..

Curly 

Curly

52
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Venons en aide à Jackie le cuistot fatigué (niveau lecture CE1/CE2) - Sam 23 Nov 2019, 12:03

Jacky le cuistot fatigué ne sait pas lire sa chronique nimbée de clichés larmoyants qui fait naître dans l’imagination de l’auditeur une foule (une ou deux pour être honnête) d’images d’Épinal.
Il nous faut lui venir en aide.

Écoutez donc son récit poignant
1- Mettez en route



2- A l'arrivée du violon, ajoutez [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/16740-23.11.2019-ITEMA_22211095-6.mp3" debut="00:22" fin="02:55"]

Larmes garanties.

Curly 

Curly

53
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Poésie libre mais rimée - Lun 02 Mar 2020, 18:56

[nolettrine]D'où peut bien provenir le poème suivant ?
Un indice,
oh et puis non, pas d'indice.
Réponse quand j'aurai cinq minutes.

                                                Alors soyons un peu précis euuuh
En tout cas pédagogique si vous le voulez bien euuh euuhhhh
Laurent Être puisque le livre lui-même permet de bien comprendre de quoi on parle
        Quand on parle de ces deals de justice c’est-à-dire de
        Cet instrument du département de justice américain notamment qui est très central euh
Dans les différenz' articles pour faire appliquer ce qu’ils estiment être
                                                  Des fraudes,
Soit aux réglementations sur la corruption, soit à la réglementation euh
                                                  Boursièreuh
Soit y a un troisième point mais je ne le retrouve pas sur ma fiche et donc je l’ai évidemment oublié euh
Mais on le retrouvera ai-aisément dans dans le livre euh.

                                                                                                                                            Mais ça va très très loin... 

Philaunet 

Philaunet
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54
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Passer son chemin surtout - Ven 06 Mar 2020, 08:00

Le début de l'émission La Compagnie des poètes du 21-02-2020 se passe de commentaire. Tout au plus dira-t-on que l'employée fait honte à l'art radiophonique (ce n'est pas nouveau) et que Robert Kahn est un bon candidat à un prix de langue franceculturienne  : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/15537-21.02.2020-ITEMA_22288628-0.mp3" debut="00:00" fin="03:42"]

RK : [Les affirmations de Kafka] sont d’autant plus énigmatiques qu’elle sont précises et bien ciselées, grammaticalement d’une clarté, euh, enfin  c’est très limpide, mais on pourra la lire jusqu’à la fin des temps sans exactement euh la comprendre ou au contraire en en tirant chaque jour un enseignement différent, euh, voilà.
MF : C’est ce qui rend précisément ces journaux addictifs, hein.

Pour se remettre : [son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2014/11/s45/RF_7892C088-4A61-43F9-8364-83232C10989A_GENE.MP3" debut="01:48" fin="03:04"]

et fin avec Arvo Pärt : [son mp3="https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/static/culture/sons/2014/11/s45/RF_7892C088-4A61-43F9-8364-83232C10989A_GENE.MP3" debut="28:22" fin="29:55"]

Philaunet 

Philaunet
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55
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''Poésie sur parole - Luc Bérimont'' [2] - Mer 18 Mar 2020, 10:07

Le début de l'émission Poésie sur parole - Luc Bérimont (1ère diffusion : 30/06/1990) [Nuits de France Culture le 10/03/2020] a été proposé ici. En voici la fin pour se rappeler ce qu'était une émission de qualité à France Culture (musique à la première minute de la pastille, le poème "À ma vie" *, désannonce, puis chanson "Rue du château" **) : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13915-10.03.2020-ITEMA_22303672-3.mp3" debut="20:05" fin="30:00"]

Acte du colloque Luc Bérimont: la poésie en partage " Bérimont est remarquable par son œuvre autant que par l’action qu’il mena après guerre, notamment à la radio où il était producteur, pour rendre la poésie accessible au plus grand nombre. Pour lui en effet, la poésie est un bien commun et, ''débarrassée de sa poussière, [...] peut être rendue, intacte, aux foules de [son] temps''".


*  À MA VIE

Vie ! ma vie, je sais à présent que tu partiras sans bagages
Comme une femme qui s’en va, laissant celui qu’elle a aimé
Tu partiras seule, en pleurant, par la porte sans paysage
Un jour, tu partiras sans moi, en laissant notre lit défait
Je n’y ai jamais cru vraiment, mais – vraiment – aujourd’hui, je sais
Et c’est comme un lacérement, comme un mot d’amour profané
Ou comme un fleuve qui s’étire, épelant son immensité.
Le fricot d’herbes va fumer, le chien allumer ses yeux jaunes
Rien ne changera ton idée de le faire ouvrir mes deux paumes
Vois-tu, je ne t’ai pas sondée, je ne sais rien de ton visage
Tu demeures l’inviolée que l’on m’a jetée en partage
Jeune fille à moi fiancée, en Septembre, au bord de la Touvre
Et qui veillas toutes mes nuits, attendant que le soleil rouvre.
Ainsi avons-nous cheminé de l’innocence à la sagesse
Habités d’un étrange amour, fait de distance et de tendresse
Jamais tu n’as crié mon nom, retranchée dans ton lourd secret
Si je tisonnais à foison les corps dont tu me pourvoyais
Je savais que tu dirais « non » aux lisières où je t’attendais
Je ne t’ai jamais vue vraiment, bien que tu affirmes être à moi
Et la manducation du Temps broie du silex entre mes doigts.
(...)



** Rue du château

Rue du château c’étaient tes lèvres
Et c’était la première fois
Comme Paris s’ouvre à la Bièvre
Qui coule et qu’on entr’aperçoit
La nuit tiède s’ouvrait en moi
Les marronniers de mai, leur neige
Tenait la sève entre mes doigts

Rue du château j’allais vers toi
Châtelain mon enfant mon piège
Châtelaine je hantais les bois
Étourdi par le pur solfège
D’un loriot venu d’outre moi
Quand minuit consumait sa neige
Dans le temps du plus beau des mois

Rue du château les sortilèges
Ont les plaisances du ciel bas
La ville hasarde ses cortèges
Ses arbres, ses flambeaux de bois
Elle est saoule d’un sourd arroi
Quand le mai fou flambe ses neiges
Et que tu me livres tes lèvres

Quand le mai fou flambe ses neiges
Et que tu me livres tes lèvres


Philaunet 

Philaunet
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''Je n'ai pas pour maîtresse une lionne illustre'' (Baudelaire) - Lun 18 Mai 2020, 10:52

Où ne va pas se nicher la poésie vivante à France Culture !  [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11742-01.03.2020-ITEMA_22295795-0.mp3" debut="09:21" fin="10:09"]

Conférence de Carême catholique 1/6 du dimanche 01 mars 2020.

Qui a fait connaître les trois dernières strophes de ce poème de Baudelaire, Je n'ai pas pour maîtresse une lionne illustre *, sinon Serge Reggiani dans son prologue à "Sarah" :



Je n'ai pas pour maîtresse une lionne illustre :
La gueuse, de mon âme, emprunte tout son lustre ;
Invisible aux regards de l'univers moqueur,
Sa beauté ne fleurit que dans mon triste coeur.

Pour avoir des souliers elle a vendu son âme.
Mais le bon Dieu rirait si, près de cette infâme,
Je tranchais du Tartufe et singeais la hauteur,
Moi qui vends ma pensée et qui veux être auteur.

Vice beaucoup plus grave, elle porte perruque.
Tous ses beaux cheveux noirs ont fui sa blanche nuque ;
Ce qui n'empêche pas les baisers amoureux.
De pleuvoir sur son front plus pelé qu'un lépreux.

Elle louche, et l'effet de ce regard étrange
Qu'ombragent des cils noirs plus longs que ceux d'un ange,
Est tel que tous les yeux pour qui l'on s'est damné
Ne valent pas pour moi son oeil juif et cerné.

Elle n'a que vingt ans ; - la gorge déjà basse
Pend de chaque côté comme une calebasse,
Et pourtant, me traînant chaque nuit sur son corps,
Ainsi qu'un nouveau-né, je la tette et la mords,

Et bien qu'elle n'ait pas souvent même une obole
Pour se frotter la chair et pour s'oindre l'épaule,
Je la lèche en silence avec plus de ferveur
Que Madeleine en feu les deux pieds du Sauveur.

La pauvre créature, au plaisir essoufflée,
A de rauques hoquets la poitrine gonflée,
Et je devine au bruit de son souffle brutal
Qu'elle a souvent mordu le pain de l'hôpital.

Ses grands yeux inquiets, durant la nuit cruelle,
Croient voir deux autres yeux au fond de la ruelle,
Car, ayant trop ouvert son coeur à tous venants,
Elle a peur sans lumière et croit aux revenants.

Ce qui fait que de suif elle use plus de livres
Qu'un vieux savant couché jour et nuit sur ses livres,
Et redoute bien moins la faim et ses tourments
Que l'apparition de ses défunts amants.

Si vous la rencontrez, bizarrement parée,
Se faufilant, au coin d'une rue égarée,
Et la tête et l'oeil bas comme un pigeon blessé,
Traînant dans les ruisseaux un talon déchaussé,

Messieurs, ne crachez pas de jurons ni d'ordure
Au visage fardé de cette pauvre impure
Que déesse Famine a par un soir d'hiver,
Contrainte à relever ses jupons en plein air.

Cette bohème-là, c'est mon tout, ma richesse,
Ma perle, mon bijou, ma reine, ma duchesse,
Celle qui m'a bercé sur son giron vainqueur,
Et qui dans ses deux mains a réchauffé mon coeur.

Philaunet 

Philaunet
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La catastrophe, menu unique de France Culture - Dim 25 Oct 2020, 14:37

Du fil "La vie des idées" (recueil de citations extraites du site de France Culture), cette présentation de Ecologie : que peut le poète en tant que poète? le 23/10/2020
Curly(https://regardfc.1fr1.net/t893p420-la-vie-des-idees#36249) a écrit: (...) «  Ecologie : que peut le poète en tant que poète?
Nos invités : Pierre Vinclair pour (...) une épopée totale concernant (...) la crise écologique mais aussi pour (...) un manifeste pour une poésie collective et puissante, capable d'élaborer un nouvel imaginaire dans un contexte de catastrophe écologique ; Prise de vers : à quoi sert la poésie (Ed La rumeur libre, 2019),  une réflexion consacrée à l'impression d'illisibilité de la poésie française contemporaine. » (...)
L'intro de Mme Farine : "Poésie de la résistance écologique, poésie de la traduction et traduction de la poésie. Aujourd'hui Pierre Vinclair et Guillaume Métayer sous le signe de la catastrophe...".

L'apocalypse comme cache-misère intellectuel. Quand une station n'a rien à proposer parce que les employés n'ont pas d'autre formation radiophonique que celle de relayer les prophéties de malheur, cela donne la pensée hégémonique "effondriste" dans toutes les cases du programme.

Philaunet 

Philaunet
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58
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Le gâchis habituel de l'émission sur la poésie - Sam 07 Nov 2020, 13:46

La présentatrice de l'émission La Compagnie des poètes est une comptable et une catalogueuse : combien, combien, combien ? Bien au chaud dans un studio, sa petite personne pérore et demande des comptes par téléphone ou skype, on ne sait, à Philippe Heuzé, professeur de Langue et Littérature latines à la Sorbonne Nouvelle (Université de Paris III). Combien de poètes, combien de poèmes, combien de vers ?  Un début d'émission de dix minutes (presque la durée d'un numéro de The Essay à BBC 3) où l'on n'apprend rien, où l'on ne ressent rien, sauf l'ennui et l'irritation à écouter une pimbêche que Treiner maintient à cet emploi au lieu d'y mettre une personne inspirée et inspirante.

L'émission, Le latin vers la poésie et inversement [06-11-2020], on le comprend dès les premières phrases, est là pour vendre un Pléiade, "l’Anthologie bilingue de la poésie latine".

Commencer l'émission en surprenant, en donnant du plaisir, en étant créatif, non. Mais dans la langue d'une Farine attendue qui manie "le dispositif", la question première est : "quelle fréquentation est-ce qu'on peut en attendre ?" (à qui s'adresse ce volume ?).

Où est l'émoticône/gif "bûche coupée" employé par les premiers usagers de ce forum, la bûche représentant une émission pourrie ?

Philaunet 

Philaunet
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59
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De la ''manoufarinade'' jusqu'à quand ? - Dim 15 Nov 2020, 15:56

Vu que Sandrine Tteiner semble satisfaite de son employée, pourtant d'une nullité notoire, il est probable qu'il faudra se priver d'émissions sur la poésie jusqu'au remplacement de la directrice par une personne compétente. On n'entendra plus ce genre de choses :
Curly(https://regardfc.1fr1.net/t194p400-la-direction-de-france-culture-et-son-projet-culturel#36333) a écrit:Cadeau poétique, les presque trois premières minutes de la manoufarinade qui annonce son programme [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/14487-13.11.2020-ITEMA_22482897-2020C23850S0318.mp3" debut="00:00" fin="02:45"]
Dans le premier extrait ci-dessous, l'interlocuteur semble à chaque fois comme déboussolé, ayant besoin de quelques secondes pour comprendre ce qui lui est dit et trouver une sortie honorable à l'entretien. À un moment, la réponse (est-ce un problème au montage ou tout simplement une révolte de l'intervenant ?) est complètement déconnectée de la "question".

Pause poétique.

Voici deux extraits d’émissions sur Verlaine, l’une signée Manou Farine, l’autre Pierre Sipriot. L’une se soucie surtout de présenter deux livres qui viennent de paraître, pendant que l’autre présente Verlaine et son œuvre.
La question qui s’pose dans les deux cas est celle de la préparation en amont de l’émission par sonsa productriceteur.
La réponse à cette épineuse question dans les pastilles qui suivent : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/14487-13.11.2020-ITEMA_22482897-2020C23850S0318.mp3 " debut="07:45" fin="11:19"]                    [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13915-28.10.2020-ITEMA_22467390-2020C3372E0314.mp3" debut="67:25" fin="76:34"]

Philaunet 

Philaunet
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Bave - Mar 01 Déc 2020, 09:36

"qu’ai-je appris de véritable si ce n’est l’odeur de ma bave sur mon masque" GM-S.

L'univers si poétique d'une chroniqueuse quotidienne comme représentation de la "trashitude" générale de la station.

Philaunet 

Philaunet
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''Qui couche assez tranquillement avec son père'' - Sam 06 Fév 2021, 11:44

Une seule émission sur la poésie chaque semaine à France Culture, et il fallait consacrer une heure entière à une seule "poétesse, romancière, essayiste et militante féministe américaine" (Wiki), " écrivain féministe pro-sexe" (Babelio + bio), "adepte de la French Theory" (FC), admirée par Virginie Despentes (sur France Inter 2015).

Pour cela, comité restreint exclusivement féminin, comme souvent à France Culture, où l'on ne tarit  pas d'éloges sur K. Acker (de voix discordante ou de nuance, point).

Sur les pas de Kathy Acker le 05/02/2021.

Présentation : [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/15537-05.02.2021-ITEMA_22565064-2021C23850S0036.mp3" debut="01:57" fin="03:00"]

"Résumé du roman" Sang et stupre au lycée [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/15537-05.02.2021-ITEMA_22565064-2021C23850S0036.mp3" debut="11:32" fin="13:01"]

Interview de K.A avec Laure Adler (apprécions les mots anglais de cette dernière, niveau France Culture normal Smile) en 1985 [son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/15537-05.02.2021-ITEMA_22565064-2021C23850S0036.mp3" debut="21:18" fin="24:40"]
Avec Laurence Viallet, éditrice de Sang et stupre au lycée de Kathy Acker,  Laure Limongi, auteure d’Indociles (Editions Léo Scheer), manifeste esthétique dans lequel elle évoque Kathy Acker et sa capacité à renouveler sans cesse la forme et les codes et Catherine Corringer, performeuse, actrice et réalisatrice d’un cinéma résolument queer.
C'était un petit coup de projecteur sur une personnalité incarnant la poésie à France Culture. Pas inintéressant.

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Re: La poésie à France Culture -

La poésie à France Culture     Page 6 sur 9

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