Déjà l'on rêve de littérature, d'histoire, de peinture, de musique, de nature, etc, mais il faut bien retomber... les pieds sur terre :
A quelques semaines du 5ème anniversaire de la catastrophe de Fukushima, découvrez un Japon inattendu en sept rencontres entre Laure Adler et des figures de la culture japonaise contemporaine.
Dans un pays où la politique d’immigration est très restrictive et les forces belliqueuses de certaines religions quasi inexistantes, la forme de la menace s’incarne dans les atteintes faites à la Nature.
Dans un pays, dirigé par un gouvernement qui semble avoir oublié Fukushima et où se poursuit une politique du nucléaire, comment les intellectuels et les artistes vivent ce présent habité par tous ces fantômes ? (...)
Ce paragraphe ne vous semble-t-il pas ambiguë ? « Dans un pays où la politique d’immigration est très restrictive et les forces belliqueuses de certaines religions quasi inexistantes, la forme de la menace s’incarne dans les atteintes faites à la Nature. » ?
Sa logique montre un sous-texte pas vraiment bien-pensant...
Voilà comment on aborde une culture chez Laure Adler : «Portrait d'un homme indigné par la politique de son pays et toujours en recherche de la vérité :
Lundi 25 janvier : Kenzaburô Oé, prix Nobel de littérature (1/2)
Mardi 26 janvier : Kenzaburô Oé (2/2) »
Oé, grand client de France Culture et notamment de Laure Adler : « Indignez-vous ! » (et sortez Adler de France Culture).
PS. Un client intéressant pour les auditeurs LGBTI : Mardi 19 janvier avec Ayumu Yasutomi, professeur de sociologie, transsexuel
Nota : comme tous ces gens ne parlent pas français, il faudra faire confiance aux traducteurs, dont on sait qu'ils fournissent à France Culture des interprétations conformes à la cause.