Circoradio, etc.
« Un podcast original pour une Expérience signée Maroussia Diaz Verbèke et Elodie Royer, réalisée par Véronique Lamendour et Nathalie Salles
(...) Maroussia Diaz Verbèke est artiste de cirque, metteur-en-scène-circographe ; elle invite le cirque à l'antenne de France Culture. »
Quand c’est non, c’est non. Une horreur radiophonique, qui s’adresse à qui ?
Quelques essais d’écoute par ci par là, et rien à faire, c’est pire qu’une purge. Nerveusement il faut tenir. Ces émissions où la productrice se met en scène de manière atrocement narcissique sans trop savoir comment qu’on parle dans un micro, sont du domaine de l’inécoutable.
Pourquoi ces machins existent ? Des auditrisséteurs vont-ils comprendre que la radio dite de création, c’est ce truc ? Mon Dieu…
Extrait de la quatrième partie
« au croisement de l’imaginaire, l’inventivité, et du sens » dit la présentation du truc-machin
[son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11983-25.03.2022-ITEMA_22973672-2022C34065E0005-21.mp3" debut="00:00" fin="04:03"]
Le public tolérerait-il une telle bouillie, un tel océan de vide, d’ennui, de narcissisme ailleurs que sur France Cu ? Non. Alors y’a pas d’raison que ce soit tolérable ici, à part pour quelques snobinards qui vont adorer se faire chier en se forçant à trouver ça trop génial, et qui vont glorifier la chose dans un articulet téléramesque complaisant truffé d’éléments de langage creux et pontifiants.
Mais l’écoute ne trompe pas : c’est bien d’l’a daube baignant dans sa sauce, présentée en sept tranches en mode podcast nattes & tifs, et qui sera resservie sous peu en flux dans la case idoine.
Parce que ça a beau être découpé en sept pour faire illusion, ce n’est qu’une émission de 57mn.
57 de trop.
« Un podcast original pour une Expérience signée Maroussia Diaz Verbèke et Elodie Royer, réalisée par Véronique Lamendour et Nathalie Salles
(...) Maroussia Diaz Verbèke est artiste de cirque, metteur-en-scène-circographe ; elle invite le cirque à l'antenne de France Culture. »
Quand c’est non, c’est non. Une horreur radiophonique, qui s’adresse à qui ?
Quelques essais d’écoute par ci par là, et rien à faire, c’est pire qu’une purge. Nerveusement il faut tenir. Ces émissions où la productrice se met en scène de manière atrocement narcissique sans trop savoir comment qu’on parle dans un micro, sont du domaine de l’inécoutable.
Pourquoi ces machins existent ? Des auditrisséteurs vont-ils comprendre que la radio dite de création, c’est ce truc ? Mon Dieu…
Extrait de la quatrième partie
« au croisement de l’imaginaire, l’inventivité, et du sens » dit la présentation du truc-machin
[son mp3="https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11983-25.03.2022-ITEMA_22973672-2022C34065E0005-21.mp3" debut="00:00" fin="04:03"]
Le public tolérerait-il une telle bouillie, un tel océan de vide, d’ennui, de narcissisme ailleurs que sur France Cu ? Non. Alors y’a pas d’raison que ce soit tolérable ici, à part pour quelques snobinards qui vont adorer se faire chier en se forçant à trouver ça trop génial, et qui vont glorifier la chose dans un articulet téléramesque complaisant truffé d’éléments de langage creux et pontifiants.
Mais l’écoute ne trompe pas : c’est bien d’l’a daube baignant dans sa sauce, présentée en sept tranches en mode podcast nattes & tifs, et qui sera resservie sous peu en flux dans la case idoine.
Parce que ça a beau être découpé en sept pour faire illusion, ce n’est qu’une émission de 57mn.
57 de trop.