Pour y revenir, j'ai souligné
Vous pointez bien les raisons qui peuvent se résumer en un mot cher à France Culture : la discrimination. L'antenne a choisi d'avantager de façon parfaitement arbitraire une classe d'âge (25-35 ans) et un sexe (le féminin) sans se soucier de vérifier, chez les personnes choisies, les compétences de maîtrise de la parole, de transmission d'un savoir en une langue correcte et de direction d'entretien radiophonique.
* On laissera à part le cas d'Odile Sambe de Ricaud, nouvelle recrue du samedi soir, qui semble à chaque intervention hebdomadaire faire un exposé devant une classe, mal préparée et transie de peur.
À France Culture, ces qualités que possède l'invitée de Great lives, sont en effet "quasiment absentes" chez les animatrices de l'antenne. Elles existent en revanche à France Musique chez la plupart des productrices*.Yann Sancatorze(https://regardfc.1fr1.net/t13p200-bbc-radio-4-radio-3#25772) a écrit:Une petite curiosité à signaler, le numéro de Great Lives de cette semaine consacré à Richard Coeur de Lion. (...) - Helen Castor, historienne pure et dure ("Helen Castor graduated from The King's High School for Girls, Warwick, in 1986, and then completed a BA and a PhD at Gonville and Caius College, Cambridge. She was elected to a Research Fellowship at Jesus College. She is a Fellow of Sidney Sussex College.") La voix de la raison... (...) écoutant l'historienne Helen Castor, on ne peut s'empêcher de se dire que les voix féminines posées, sérieuses, documentées et éprouvées au métier de la prise de parole en public, ces voix féminines sont quasiment absentes de l'antenne de France Culture. Nous n'entendons que des lycéennes hésitantes et débraillées, amoureuses de leur registre pseudo-poétique d'un côté, ou alors de vieilles voix collantes, décaties et pleines d'une promiscuité de la dernière vulgarité (je ne cite pas la personne en question...). C'est ce qui se passe quand on recrute sur des bases biologiques et identitaires (âge et genre) et non sur des bases de compétence.
Vous pointez bien les raisons qui peuvent se résumer en un mot cher à France Culture : la discrimination. L'antenne a choisi d'avantager de façon parfaitement arbitraire une classe d'âge (25-35 ans) et un sexe (le féminin) sans se soucier de vérifier, chez les personnes choisies, les compétences de maîtrise de la parole, de transmission d'un savoir en une langue correcte et de direction d'entretien radiophonique.
* On laissera à part le cas d'Odile Sambe de Ricaud, nouvelle recrue du samedi soir, qui semble à chaque intervention hebdomadaire faire un exposé devant une classe, mal préparée et transie de peur.
Dernière édition par Philaunet le Ven 07 Oct 2016, 20:41, édité 1 fois