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Accueil / France Culture

Le fil où l'on ne dit que du bien    Page 6 sur 8

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Philaunet 


Admin

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Ah, une histoire des cerisiers japonais ! - Ven 22 Mar 2019, 13:30

Ne faut-il pas se réjouir d'entendre 5 X 14 minutes dédiées à ce sujet du 18 au 22 mars 2019 ?

"Cherry' Ingram est un portrait de cet Anglais méconnu, une histoire de la Grande-Bretagne et du Japon au XXe siècle et une exploration des fleurs délicates dont on admire la beauté dans le monde entier".

Oh, pardon, je me suis trompé de rubrique et ai copié une traduction automatique  de "‘Cherry’ Ingram is a portrait of this little-known Englishman, a story of Britain and Japan in the twentieth century and an exploration of the delicate blossoms whose beauty is admired around the world", un extrait de 'Cherry' Ingram: The Englishman who saved Japan's Blossoms.

De toute façon, vous aviez rectifié par vous-même : on voit mal France Culture proposer une lecture à une voix d'un livre sur les cerisiers japonais et sur le passionné de botanique qui les a sauvés. Non, il ne faut quand même pas rêver !

Philaunet 

Philaunet
Admin

52
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Une offre unique - Mar 26 Mar 2019, 09:36

Comme Français on fait la fine bouche à la vue du programme de France Culture (sauf quand on passe de RMC à FC), mais imaginons nos amis francophones de tous pays qui débarquent sur la page d'accueil de la station, hier par exemple. S'ils sont avides de culture, ils doivent jubiler, car en comparaison avec ce que leur offrent leurs stations publiques (exemples, la Suisse, la Belgique, le Canada, etc, liens vers les radios culturelles publiques des pays africains francophones bienvenus) la richesse de FC peut passer pour phénoménale. Et tout en ligne immédiatement, et en téléchargement durant un an, puis en écoute à la demande durant 3 ans au moins, avec des pages descriptives souvent soignées (toujours en comparaison d'autres sites où des émissions n'ont qu'une ligne ou rien).

Après, la question est de savoir si les produits affichés correspondent à leurs descriptifs et s'ils sont satisfaisants. Tout dépend de la pratique de l'écoute radiophonique (flottante ou attentive) et de ses buts (distraction, réflexion, plaisir esthétique, etc).

Il fut un temps où France Culture hors existence d'Internet avait une proposition homogène. Il était hors de question de tout écouter, ne serait-ce qu'en raison de la saturation de l'attention. Maintenant, c'est la saturation de l'offre, avec les archives, la musicale, et toutes les propositions en ligne hors Radio France, notamment les non francophones, ou encore les livres-audio). France Culture est devenue hétérogène, l'on y trouve à la fois un Jean-Noël Jeanneney et l'intervieweuse de 21h (dite "Moi, chui hyper à l'aise") ; un Emmanuel Laurentin et du radio-trottoir, un Vincent Charpentier et des discussions de l'actualité à la Europe 1 (18h20). Est-ce un moyen d'extraire un certain public d'autres stations et par mitoyenneté l'amener à l'écoute de programmes plus exigeants (pas trop quand même, quoique, encore une fois, ce critère dépende du niveau de départ) ?

Ce forum, depuis sa création, émet des réserves sur l'évolution de la station, mais vu les progrès techniques dans l'accès aux sources, il n'est pas interdit de penser (et je l'ai déjà écrit plusieurs fois) que l'on vit une époque unique en matière d'offre culturelle audio de qualité (bonne à très bonne), disponible tout le temps et gratuite.

La vitrine de FC du lundi 25 mars 2019, donc :

6H02
27 min
Le Réveil culturel
Michel Bouquet : 93 printemps en compagnie des grands auteurs

6H40
5 min
Le Journal des idées
Sciences de la société : changer de focale

6H45
10 min
Les Enjeux internationaux
Thaïlande : une dictature vraiment populaire ?

7H00
2h01
Les Matins
Europe : le moment de vérité avec l’invité exceptionnel Peter Sloterdijk

8H45
3 min
Le Billet culturel
Toutânkhamon : l’exposition élevée au rang de rite

9H05
50 min
La Fabrique de l'Histoire
La Grande-Bretagne, l'Europe et les autres (1/4) : Le droit romain sur l'île de Bretagne, ou de l'art de faire cohabiter les peuples

10H00
58 min
Les Chemins de la philosophie
"Pensées pour moi-même" de Marc Aurèle (1/4) : Le stoïcisme ou l'art de l'esquive

11H00
58 min
Cultures Monde
Pétrole : une inépuisable source de tensions (1/4) : De l’Exxon Valdez au Grande America : les leçons des marées noires

12H02
28 min
La Grande table culture
Marie NDiaye, pièce par pièce

12H55
31 min
La Grande table idées
Comment le yoga a-t-il conquis le monde ?

13H30
28 min
Les Pieds sur terre
Petites voleuses

14H00
59 min
Entendez-vous l'éco ?
Les possibilités d'une île (1/4) : La colonisation des îles à sucre

15H00
58 min
La Compagnie des auteurs
Ernest Hemingway (1/4) : L'envers de sa propre légende

15H54
3 min
Jacques Bonnaffé lit la poésie
Charles Cros hors académie (1/4) : Pittoresque

16H00
58 min
La Méthode scientifique
Vivant, la fin d’un règne ?

17H02
55 min
LSD, La série documentaire
Oublier Moby Dick (1/4) : À l’écoute des Cachalots et autres cétacés

18H20
39 min
Du Grain à moudre
Maintien de l'ordre : c'est quoi ce bordel ?

19H03
55 min
La Dispute
Spectacle vivant : La Trilogie de la Vengeance, "un mélodrame maladroit et calibré sur les séries télé"

20H00
29 min
A voix nue
Jean-Claude Fasquelle (1/5) : « On était juste après la guerre, malgré tout »

20H30
24 min
Fictions / Le Feuilleton
"Hard Times, Histoires Orales de la Grande Dépression" de Studs Terkel (1/10) : Le choc de la dépression

21H00
58 min
Par les temps qui courent
Eric Chenaux : "J'utilise les chansons comme des chaussures avec lesquelles je peux me balader"

22H15
44 min
Matières à penser
Poésie et histoire (1/5) : Ecrire dans la durée

0H01
35 min
Les Nuits de France Culture
Prestige du théâtre - Splendeurs du théâtre espagnol 1/3 : de Juan Del Encina à Lope de Vega (1ère diffusion : 19/04/1955 Chaîne Nationale)

0H36
2h20
Les Nuits de France Culture
Atelier de création radiophonique - Du côté d'un hétérozygote : portrait de Luc Ferrari (1ère diffusion : 11/11/1979)

2H56
1h
Les Nuits de France Culture
Max-Pol Fouchet : "J’ai la nostalgie d’une époque où la culture venait du sol, venait du peuple"

3H58
59 min
L'Expérience
Rediffusion
La parenthèse enchantée, San Francisco 1975-1981

Philaunet 

Philaunet
Admin

53
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''FRANCE CULTURE JE VOUS AIME !'' [Richeux, ces majuscules sont inutiles !] - Dim 25 Aoû 2019, 22:17

Merci France culture 05/08/2019
Madame,
Fidèle auditrice de France culture depuis 17 ans, je souhaiterais remercier les équipes de la chaîne pour la qualité incomparable de l'ensemble de la grille, estivale et annuelle.
Malgré les réductions budgétaires, quelle chance avons-nous, citoyens français de bénéficier encore d'une telle fenêtre sur les savoirs.
Plus récemment, c'est avec grand plaisir que nous avons retrouvé l'émission de jeux littéraires tant attendue. Pourvu que vous poursuiviez à la rentrée!!
La grande traversée sur Céline m'a beaucoup impressionnée dans sa capacité à parler avec rigeur et nuances de sujets extrêmement délicats. A l'image des autres émissions de la chaîne.
Merci à tous.
Sincères salutations.


*****************
déclaration 05/08/2019
FRANCE CULTURE JE VOUS AIME !
je développerai plus tard mais, en attendant, s'il vous plait, dites-leur à tous, et plus particulièrement à toutes : la vie est plus belle grâce à France Culture
Je vous embrasse bien respectueusement


**************
etc.

Philaunet 

Philaunet
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54
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Re: Le fil où l'on ne dit que du bien - Jeu 19 Sep 2019, 11:41

Néant.

Sauf 30 minutes : Carbone 14, le magazine de l'archéologie Par Vincent Charpentier, le dimanche de 20h30 à 21h00.

Et le programme des Nuits par Philippe Garbit (en majorité des rediffusions du 1er France Culture (1963-1999)) quand il n'est pas calqué sur les obsessions du programme de jour.

C'est là que se retrouvent les réfugiés du dérèglement radiophonique.

Philaunet 

Philaunet
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55
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Tripadvisor ou France Culture, même fabrication des recommandations enthousiastes - Dim 22 Sep 2019, 10:48

Ah, les louanges fabriquées par des proches de la station ou en interne et affichées sur le site du courrier ! Si ce n'est pas de la gestion de la communication "moderne", ça !

Merci France Culture 16/09/2019 12:29 France Culture
Bonjour,
Je remercie Xavier Mauduit pour son excellente émission sur l'histoire. Les thèmes hebdomadaires choisis, les invités sont passionnants. C'est une émission bien construite et réalisée qui me paraît toujours trop courte .
Cette émission m'a permis après de longues années d'audition de France Inter, de découvrir France culture que je croyais réservée à une "élite intellectuelle" mais je me trompais.
Sur cette antenne,les questions des journalistes sont pertinentes , les invités politiques et autres intervenants sont écoutés et peuvent développer leurs arguments sans cacophonie. Le climat est apaisé et cela fait un bien fou! Esprit d'ouverture pour France Culture qui nous fait réfléchir et grandir!


J'aime particulièrement la dernière phrase ! Allez, Lustucru aux multiples pseudos, on vous a reconnu ! Quel lèche-botte !

Bien trouvé aussi le coup de l'anti-élitisme "France culture que je croyais réservée à une ''élite intellectuelle'' mais je me trompais.". Voir la recension des déclarations de la militante féministe au poste de direction de la station qui ne manque aucune occasion de fustiger les élites : "La radio est alors réservée à une certaine « élite »" (cf.  Les Matinales avec Sandrine Treiner).

Pour ce qui concerne l'émission abordée, Le Cours de l'histoire, son programme ? Instrumentaliser l'histoire pour faire passer toujours le même message de la station (victimes, inégalités, oppression, etc).

Curly 

Curly

56
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Ode à Géraldine - Mar 01 Oct 2019, 18:09

Ode à Géraldine

Ô Géraldine, tu me permets de t’appeler Géraldine ? Puis-je te tutoyer ?
Mais, ma Géraldine, qu’est-ce qu’appeler ? Appeler, est-ce nécessairement tutoyer ?
Et quand tutoyer ? Quand vouvoyer ? Le tutoiement est-il un signe d’amour ? D’amitié ?
Mais, ma Géraldine, l’usage du possessif ici n’est-il pas malvenu ?
Ou alors mon imagination a pris le pas sur la réalité ? Mais la réalité ne contient-elle pas une partie de mon imaginaire ? Mais qu’est-ce que mon imaginaire ? Est-il réel ? Est-il passé par ici ? Repassera-t-il par là ?
Tu comprendras, ma Géraldine, qu’ à te lire chaque jour ma raison vacille. Mais, qu’est-ce que le vacillement de mon intime ? Mon intime est-il en toi ? Qu’est-ce qu’un toi ? Et moi, suis-je toi ? Ou alors le toi est moi ?
Ce serait moi qui déraille ? Ou le toi qui s’effondre ?
Ma lecture de ton intime questionnement, est-ce une lecture ? Est-ce un questionnement ?
Une question, est-ce une question ? Est-ce seulement une question ? La question ne contient-elle pas la réponse enfouie en elle ? Et pourquoi un point d’interrogation ? Et l’interrogation, pourquoi ?
Comment se fait-il que le son de ta voix soit la porte ouverte vers l’inconnu ? Qu’est-ce que l’inconnu ? Est-il connu ? Connaître, lorsque l’on ne connaît pas, n’est pas quand même un inconnu qui croit se connaître alors qu’on le connaît pas ?
Comprends-tu, ma Géraldine, que tu me fais tourner la tête ? Es-tu mon manège à moi ? Est-ce toi ? Où est ma tête ? Où est ma raison ? Ma raison ne s’est-elle pas transformée en sentiment ? Quel sentiment ? Dans quelle mesure mon sentiment peut-il faire office de raison alors que la raison m’a quitté ?
Pourquoi se quitter ? Est-ce la fin ? La fin, n’est-ce pas le commencement ?
Le commencement de quoi ?
Ô ma Géraldine ? Pourras-tu me répondre ? Serai-je capable d’attendre ? Qu’est-ce que l’attente ?
Et d’abord, qu’est-ce que répondre, alors qu’il n’y a pas de questions ? Quelles questions ?

Curly 

Curly

57
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Ma Géraldine, pourquoi te fais-tu tant de mal ? - Mer 02 Oct 2019, 13:47

Ma Géraldine à moi, vas-tu si mal ?
N’as-tu pas lu ma déclaration enflammée d’hier ?

Pourquoi ce matin as-tu dit ça ?

Ma Géraldine à moi que j'aime a dit et a écrit:« Croyez-moi, parole de petite conne. »


Mais pourquoi te fais-tu du mal ma Géraldine au beurre, ma Géraldine à l'huile ?
Toi, petite ? Toi, conne ? Ne comprends-tu pas que c’est encore une fake news ? Qui t’a donc fait croire ça ? Mais la connerie, est-ce vraiment toi ?
Est-elle même imaginable venant de toi ?
D’abord, qu’est-ce qu’être conne ? Mais surtout, qu’est-ce qu’être ? N’es-tu pas ? Et quand tu es, n’es-tu pas toi ?
T’interroger sans cesse, n’est-ce point un signe ? Un signe d’intelligence ?  
Qu’est-ce que l’intelligence ? Cette intelligence-là, la tienne ? Quand j’y pense, ne faut-il pas que tu y penses aussi ?
Alors ma Géraldine à moi, faudra-t-il que dès tout de suite tu corriges ton texte, pour moi, pour toi ? Mais, moi et toi ça ne ferait-il pas nous ?
Tu crois quoi ? Te faire du mal ? Mais c’est quoi le mal ? Le mal vient-il du bien ? Le bien est-il dans le mal ? Savais-tu que tu, toi, ma Géraldine à moi, étais au-dessus de tout ça ? Que tu volais en haut des cieux ? Que je ne rêve que d'aller avec toi  ?
Mais c’est quoi le rêve ? Et rejoindre ne signifie pas que nous avons déjà été joint ? Mais où est le joint ? Dans le rêve au-delà du bien ? Au delà de mal ?
Qu’est-ce que l’au-delà ? Qu’est-ce que le joint ?
Ma Géraldine, dois-tu blasphémer contre toi-même ? En as-tu le droit ? Et d’abord, qu’est-ce que le droit ?
Toi, porter atteinte à ta propre dignité ? Dois-tu vraiment faire ça ? Et puis c'est quoi ça ?
Dis, Ma Géraldine, peux-tu remplacer cette ignominie par une belle expression empreinte de poésie ? Sais-tu que la poésie te va bien mieux ? Le mieux est mieux que le pire ? Les deux ne se rejoignent-t-il pas, eux aussi, parfois ? Mais quand ?

S’il te plaît, peux-tu te qualifier, rien que pour moi ma Géraldine à moi, mon pétale de rose pétulant, de « grande renarde futée » ? Peux-tu effacer cette horreur, cette abjection ?
Mais pourquoi te fais-tu du mal ma Géraldine à moi ? Ma Géraldine au beurre ? Ma Géraldine à l'huile ?

Curly 

Curly

58
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For Géraldine Only & Forever - Dim 06 Oct 2019, 09:12

Ma Géraldine adorée à moi que j'adore, dans ce message adressé qu'à moi merci mon Dieu merci a écrit :

...pour moi, l’amour ne relève pas que de l’idée ou de soi.
Déjà, 1ère chose : quand je tombe amoureuse de quelqu’un, je tombe, littéralement, d’amour, malgré moi. Certes, je tombe peut-être sous le coup d’une idée faussée, peut-être reconstruite, créée à partir de mes fantasmes et de ce que je crois voir de la personne adorée, mais je ne dirais pas qu’il y a quelque chose de réfléchi.
Ensuite, 2ème chose : qui est donc ce soi que je devrais aimer ? Je reprends mon exemple : quand je tombe amoureuse de quelqu’un, je tombe amoureuse de quelqu’un, que j’aime, peut-être parce qu’il me renvoie une image aimable de moi… Mais cet autre est quand même bien là, ce n’est pas moi avec moi qui fait le lien, toute seule.

Mais ma Géraldine à la crème, sais-tu que tu as tout comprise* ? L’amour n’est-il pas pure folie ? L’amour n’est-ce pas quelqu’un qui t’aime à toi à la crème à l’huile ou au beurre ?
Dois-je rajouter quelque chose ? Forcément, puisque comme tu m’a écrite* à moi, comprends-tu que cela m’oblige ? Que répondre je le dois ?
Car qu’est-ce que l’amoure* ? Qu’est-ce que répondre? Et répondre à l’amoure*, n’est-ce pas répondre à une image de l’autre qui renvoie en miroir une image de soie* qui est autre que la sienne et qui faite* qu’on sait plus où on est alors que ce que je viens d’écrire tombe sous le sens ?
Mais qu’est-ce que tomber ? Une chute ? Une ascension inversée ? L’inverse, c’est quoi ? N’est-ce que l’envers de l’endroite* ? Est-ce si simple ?
Mais  l’amoure*, ma Gégé ma Raral ma Didine, est-ce simple ? Ne faut-il pas être au moins deux ? Mais deux, c’est combien au juste ? Est-ce plus de un ? Est-ce possible ?
Et le possible, n’est-ce point ce qui nous arrive, ma Didine ? Puis-je t’appeler ma Didine ?
Parce qu’appeler, est-ce simplement dire ? Dire quoi ? Dire pour dire ou dire pour ne pas dire ce qu'il faut dire sans le dire avant de ne pas le dire ?
En tout cas, pourras-tu me le dire ?
Puis-je compter sur ta réponse, ta réponse de toi ? A moi ? Dès lundie* ? Ma Didine à la crème ?
Dans le journal à toi de la philo pour moi ?
Mais ne vois-tu pas ma Didine en fleur qu'il n'y a ni journal, ni philo mais seulement les feux de l'amoure* qui nous brûlent un peu plus chaque jour ?
Chaque jour ? Mais qu'est-ce qui peut s'écrire chaque jour ? Un journal ? Alors serait-ce quand même un journal ? Le journal de notre passion ?
Mais quelle passion ?

Ma Didine, voudras-tu agréer, voire plus, l'expression de ma passion la plus distinguée ?

* Pour faire la crème, et comme c’est pour toi ma Géraldine, sais-tu qu'il me faut beaucoup d’ « e », et que je te les rajoute là où je veux ?

Curly 

Curly

59
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You Géraldine, The Night and The Music - Lun 07 Oct 2019, 18:23

Ma Géraldine, ma Didine, que t'arrive-t-il ? Faut-il déprimer à ce point ? Dans ton journal ? De la philo ?
Quoi ? De la philo ?

Sais-tu que je suis toujours là ? Pour toi ? Qu'aujourd'hui, comme chaque jours, je moi me je suis avec toi tu te toi, pour te soutenir ?

On y va ?  

Ma Géraldine ma Didinounette à moi que j'adore, dans ce message a écrit :

Faut-il donner la parole à Éric Zemmour ? La question se décline sous toutes les formes alors que 2 essais ont récemment fait du polémiste une figure centrale d’interrogation et qu’il vient d'être condamné pour incitation à la haine raciale. Quel problème révèle-t-il du fonctionnement médiatique ?

Encore des questions qui se déclinent ? Sous toutes les formes ? Quelles formes ? En parallélépipède ça marche aussi ? Marcher ? Et pourquoi pas courir ? Fendre les flots ? Didine ? Faut-il à nouveau rebalancer dans nos oreilles les deux essais transformés qui viennent de paraître (ou ne paraître ?) alors qu'on se les prend déjà partout tellement en pleine poire qu'on en tombe dans les pommes ?
Dans les pommes ? Viendras-tu me réveiller ma Didounette ?  
Le popolémiste ? Mais pourquoi tant de précautions ? Pourquoi ne pas appeler un chat un chat ? Si tu veux une clé de 12, et que tu demandes une clé de 16, comment vas-tu revisser la chaudière du premier ?
Quoi ? Je raconte n'importe quoi ? Parce que tu crois que j'y connais quelque chose en plomberie ?
Alors si le zigomar est raciste et anti plein de trucs, pourquoi l'appeler "polémiste" alors que le zigoto à poil dur est un raciste et puis basta cosi al dente si signore oye como va  ?
Si c'est en plus avéré et que les preuves abondent, et que la justice même te donne le feu vert, pourquoi tant de précautions ? La peur ? Peur de quoi ? Tu ne te rappelles pas que je suis là Didouninette ?


Ma Didine toujours adorée, dans ce message a écrit :

... parler sans cesse d’un individu dont on se demande s’il devrait parler. Pourquoi cette situation absurde ?
Donner la parole ou pas à quelqu’un, le débat retombe toujours sur les mêmes arguments :
d’un côté, les partisans de la liberté d’expression, comme on l’a entendu : il s’agit de donner la parole en vertu du pluralisme, du débat franc et frontal, et de la déconstruction des discours dangereux.
De l’autre, les opposants : il ne faut surtout pas la donner pour éviter les discours délictueux, la propagation de la haine, voire sa banalisation. (...) Alors que les médias sont multiples, de la presse écrite, télé et radio aux réseaux sociaux, du débat à l’enquête, de la dépêche à la chronique, c’est pourtant toujours sur eux que retombe la faute.
Pourquoi est-on si prompt à accuser les médias, c’est-à-dire à confondre le médium avec le message ?

Comment ? Mais Ninine à me à je à moi, peux-tu arrêter deux secondes ? Peux-tu regarder autour de toi ? Tu vois ? Et qui y-a-t-il autour de toi ? Ne vois-te tu pas qu'il n'y a que moi ? Partout ? Tout plein ? Didine ? Et que l'amour, toujours, olala ?
Didine ? On est en démocratie, non ? Alors les médias ne parlent-ils pas de ce qu'ils veulent ? S'ils veulent s'étaler sur les fachi-fachos, ne comprends tu pas que je t'aime ? qu'ils peuvent y aller de tout leur saoul ?
Les candidats des Marseillais sur W9 n'ont-ils pas tout autant le droit de s'exprimer que la grande gueule raciste qui a du mal à masquer une dépression personnelle profonde ? N'est-ce point cela la démocratie ? Que le droit à dire des conneries, il est pour tous ?
Sais-tu aussi que le raciste du coin on peut en parler ainsi ? Et que c'est pas plus mal ?
Mais ma Didine, peux-tu toi parler de tout ce qu'il te plaît même si c'est triste et moche et que c'est loin de toi de moi de nous ? Écoute bien ma Didounette, approche-toi de l'écran, oui, plus près, just you and the night and the music, voilà, on est pas bien là ?
Quoique tu racontes, n'as tu pas encore compris qu'en toi tout me plaît ? Que le plus moche se transforme en bouquet de gentianes bleues et jaunes et bleues et jaunes et bleues et jaunes ... ? Pourquoi j'arrête pas de compter les gentianes ? Est-ce la passion ? La folie ? Les deux ?
Ne peux-tu pas arrêter de te culpabiliser ma Géraldidine ? Te crois-tu responsable de quoi que ce soit ? Qui t'accuse ? Moi ? Je ? Me ?
Ne crois-tu pas qu'on a envie d'entendre autre chose que de la moulinade de fachos ? Que l'amour aussi nous entoure, toi et moi ?

Ma Didine à l'amande douce à moi, dans ce message a écrit :

Mais on ferait bien de TOUS se poser la question : qui regarde Zemmour ? Qui s’informe, qui lit ? C’est nous tous.

Mais qui nous le balance dans la poire ? C'est moi peut-être ? Alors qu'il n'y a que toi ? Et que le reste du monde n'existe pas ?

Ma Géraldine à l'huile à moi, dans ce message a écrit car elle est lancée elle ne s'arrête plus car c'est ma Didine :

L’espace médiatique n’est pas un espace qui flotte dans les airs, nous surplombe et nous dit quoi faire et quoi penser. C’est un espace d’échanges, de messages, d’émetteurs et surtout de récepteurs, que nous sommes tous.
C’est trop facile de charger les médias. Surtout quand on a, comble du sort, la possibilité de le faire grâce aux médias.

C'est une blague ? Qui nous dit quoi faire et quoi penser ? Mais as-tu écouté ta propre chaîne ma choupinette ? As-tu compté les "il faut", les "il faudrait" ?  Mais est-ce parce qu'en fait ton cœur est loin de tout ça, car il est plus près de moi ?
Les médias ? Un espace d'échange ? Surtout de récepteurs ? Quoi ? Qu'est-ce ? Une mise en abyme ? De toi ? Afin de dégager en touche ? Afin de ne pas dire que tant qu'on parle de ce qui buzze, ça fait péter l'audimat ?
Peux-tu parler de tout ? De la fabrique de sardines de Quiberon, de la fonction F2 de mon clavier, de la météo de Guingamp du 17/09/1979, des accidents d'escabeaux survenus à Aix-en-Provence entre 1900 et jeudi dernier, du recyclage des rognures d'ongles dans le bassin d'Arcachon ?
Tu veux savoir ? Tout me passionne, mais rassure-moi, seule toi en parleras ? Dans ton journal ? De la philo ???? Sur France Trucrtrutre ??????????????
France quoi ?

Ma Gédidine au beurre, voudras-tu embrasser mes sentiments les plus passionnés ?

Philaunet 

Philaunet
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60
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''Beaucoup beaucoup de love ♥️'' (Nicolas Martin) - Sam 02 Nov 2019, 18:37

Le fil où l'on ne dit que du bien - Page 6 Scree298

et  Nicolas Martin et les auditeurs 20 septembre, 2019 , chez  La Médiatrice :

"Nicolas Martin, producteur de la Méthode Scientifique sur France Culture, nous parle de lui et des auditeurs : Etes-vous attentif aux messages des auditeurs ? Le message d’auditeur qui vous a le plus marqué ? Quel auditeur êtes-vous ? Quelle voix de radio a compté pour vous ?"

Le fil où l'on ne dit que du bien - Page 6 Scree299

Philaunet 

Philaunet
Admin

61
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''L'existence de France Culture est une joie de ce monde'' Si, si ! - Jeu 21 Nov 2019, 17:25

Ne soyons pas en reste, et pourtant nous n'avons aucun lien de parenté avec les employés de la station, ni aucun intérêt carriériste :

Le fil où l'on ne dit que du bien - Page 6 Scree375

Une joie qui ne durera pas, si l'on en croit les annonces alarmistes de la station sur la prochaine fin du monde, laquelle ne semble finalement pas tant préoccuper que ça les employées. C'est en effet juste pour rire et dire quelque chose qui rapporte et qui nourrit le narcissisme des Cassandre de pacotille.

****************

L'ensemble des contributions du 11 au 17 novembre 2019 (semaine 46)

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Re: Le fil où l'on ne dit que du bien -

Le fil où l'on ne dit que du bien     Page 6 sur 8

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