L'année s'achève de façon catastrophique pour cette émission prétendûment culturelle, mais qui dans sa première partie préfère recycler grosso modo les mêmes sujets de sauciété que dans le Grain à moudre, ne parvenant à prouver qu'une chose : qu'il peut y avoir sur la même antenne 2 façons différentes de dire des âneries sur un sujet commun.
C'est donc plutôt dans le second volet de la Grande table que la culture est au rendez-vous. Enfin, si on veut. A condition de pas se montrer trop sévères. De fait, certains jours c'est très réussi, surtout quand les invités sont tellement bavards qu'ils ne laissent pas Broué placer trop de conneries. Un bon exemple : la semaine dernière, 45 minutes sur Matisse, avec 3 invités ayant des choses à dire, elle a réussi à ne se ridiculiser qu'une fois (mais c'était très réussi). Aujourd'hui elle reçoit une concertiste, en grand entretien. Hélas toujours avec Caroline aux commandes de l'interview, à chaque virage le fossé guette, je veux dire la question con. Et ça n'a pas raté . Il y a quelques minutes seulement voyons si je compte mon ébahissement puis une seconde pour couper cette interview insupportable, puis le temps de me ressaisir, d'attaquer la rédaction du post, ensuite les 3 verres que j'ai dû m'enfiler pour me calmer et ensuite boucler le post je pose 3 je retiens 2 disons que c'était il y a environ 25 minutes (je dis ça pour ceux qui auront le courage d'aller fouiner dans la réécoute), c'était la question con du jour j'ai préféré couper ma radio. Moi du courage j'en manque total donc je n'attends pas de réécouter l'extrait et je me prive du bonheur (en l'occurrence coûteux pour les nerfs) de reproduire la question avec exactitude dans toute sa phénoménale stupidité, mais enfin en substance (!) ça donne ceci : "Quand vous étiez petite (sic -je jure qu'elle emploie ce genre de formule) vous écoutiez les zimpromptus de Schubert joués par Alfred Brendel. Est-ce que vous êtes fière de jouer ces impromptus que vous écoutiez quand vous étiez petite ?".
Loin très loin de là, l'autre bout des ondes, l'auditeur derrière son poste, se dit qu'il n'en a légitimement rien à taper des sentiments infantiles que la gourdasse en chef prête à la concertiste. Mais une incertitude pointe lentement le bout de son nez : entre Broué, Marie Richeux, Louis Tourret, on se dit qu'elle va se jouer serrée la succession de Laure Adler au concours de la Nunuche d'or.
C'est donc plutôt dans le second volet de la Grande table que la culture est au rendez-vous. Enfin, si on veut. A condition de pas se montrer trop sévères. De fait, certains jours c'est très réussi, surtout quand les invités sont tellement bavards qu'ils ne laissent pas Broué placer trop de conneries. Un bon exemple : la semaine dernière, 45 minutes sur Matisse, avec 3 invités ayant des choses à dire, elle a réussi à ne se ridiculiser qu'une fois (mais c'était très réussi). Aujourd'hui elle reçoit une concertiste, en grand entretien. Hélas toujours avec Caroline aux commandes de l'interview, à chaque virage le fossé guette, je veux dire la question con. Et ça n'a pas raté . Il y a quelques minutes seulement voyons si je compte mon ébahissement puis une seconde pour couper cette interview insupportable, puis le temps de me ressaisir, d'attaquer la rédaction du post, ensuite les 3 verres que j'ai dû m'enfiler pour me calmer et ensuite boucler le post je pose 3 je retiens 2 disons que c'était il y a environ 25 minutes (je dis ça pour ceux qui auront le courage d'aller fouiner dans la réécoute), c'était la question con du jour j'ai préféré couper ma radio. Moi du courage j'en manque total donc je n'attends pas de réécouter l'extrait et je me prive du bonheur (en l'occurrence coûteux pour les nerfs) de reproduire la question avec exactitude dans toute sa phénoménale stupidité, mais enfin en substance (!) ça donne ceci : "Quand vous étiez petite (sic -je jure qu'elle emploie ce genre de formule) vous écoutiez les zimpromptus de Schubert joués par Alfred Brendel. Est-ce que vous êtes fière de jouer ces impromptus que vous écoutiez quand vous étiez petite ?".
Loin très loin de là, l'autre bout des ondes, l'auditeur derrière son poste, se dit qu'il n'en a légitimement rien à taper des sentiments infantiles que la gourdasse en chef prête à la concertiste. Mais une incertitude pointe lentement le bout de son nez : entre Broué, Marie Richeux, Louis Tourret, on se dit qu'elle va se jouer serrée la succession de Laure Adler au concours de la Nunuche d'or.