Les chiffres reproduits dans le message précédent sont désormais dépassés !
Les podcasts, écoutes, clics, etc, se comptent désormais en centaines de millions ,
et même en MILLIARDS ! En additionnant des pommes et des poires, c'est sûr que Radio France et France Culture en tête vont finir par jongler avec des dizaines de milliards… De quoi ? Ce n'est pas important. L'essentiel est de mettre plein de zéros derrière un chiffre pour dire que tout va bien, il ne faut rien changer, pas d'économies (c'est déjà l'élément de langage à retrouver dans
Libération cité par Arnaud Laporte avec force cœurs et flammes, cf. ci-dessous…) et pas de réduction d'effectifs et surtout pas de réforme de l'audiovisuel (c'est là l'objectif number one de toute cette débauche auto-célébrante). Rien de rien de rien ne doit changer à France Culture et à Radio France, la preuve : les milliards. Mais de quoi ? D'entités non définissables, mais ce n'est pas grave. Un nombre considérable de podcasts est par exemple téléchargé automatiquement par ITunes quand on est abonné à une émission. Des émissions sont écoutées 3 ou 5 minutes sur l'heure de diffusion, etc. Est-ce une quelconque mesure du succès d'une radio ? Bien sûr que non. On pourrait multiplier les exemples de l'inanité de ces calculs.
Par exemple pour France Culture : combien de téléchargements d'émissions dites d'archives, diffusées la nuit et durant l'été, et notamment de celles d'avant 1999, année tragique pour la station ?
Comment l'actuelle Direction peut-elle se flatter d'un quelconque succès quand une partie de l'écoute qu'elle incorpore dans ses données est justement faite CONTRE l'actuelle Direction et POUR les émissions d'Art et d'Essai qui ont fait la réputation de la radio publique culturelle jusqu'à 1999 ?
Ce que disent la Direction de France Culture et les producteurs dans le bombardement de Tweets et à la télé, c'est qu'écouter
Le Mystérieux Docteur de Cornélius de 1978, rediffusé cet été en journée, est un signe que l'auditeur adhère à la politique actuelle de la station (commentaire d'actualité sociopolitique et émissions promotionnelles). Absurde et surtout malhonnête.