« les saules-pleureurs à moitié cachés des zones pavillonnaires sont comme la seule preuve qu’on a que les petits-bourgeois ont jamais possédé une âme »
« Dans sa peinture, il y a une véritable mise à distance du spectateur qui doit appréhender les toiles en se rapprochant ou en s’éloignant en fonction du format des différents types d’oeuvres. »
« Portrait de la philosophe et psychanalyste Cynthia Fleury, autrice d’une thèse sur l’imagination, et qui a trouvé la sienne non pas dans la littérature, mais dans la création des concepts. Chaque jour, la discipline de l’écriture construit une œuvre, au sens d’artisanat, et tisse son lien à l'autre. »
« Trop long, foutraque, bordélique, malgré tout j’ai beaucoup aimé. C’est un vrai projet littéraire, avec un regard, des phrases d’écrivain même si le sujet de fond de la prostitution n’est pas vraiment abordé. »
« Elle évoque sa vie familiale et ses déboires en plein vignoble.
"J’ai épousé mon mari par amour, mon mari n’avait rien ! Tout allait bien jusqu’au jour où il s’est lancé dans le vignoble : aller s’enterrer dans un Médoc pourri, sans château, juste des terres ‘déguellasses’ ! Mes enfants ont passé des étés horribles, entre 4 pommiers dans un vignoble, sans piscine, ni tennis ! »
« Sa grande force, c'est d'être britannique et donc de savoir tout dessiner, »
« Un livre prometteur qui se révèle banal. On le lit sans déplaisir mais on n’y apprend rien. Un livre apolitique, qui prône l’expérience réelle comme matière à faire une œuvre littéraire mais ça ne prend pas. »
« Elle nous parle du Goncourt de 1920 trouvée dans la bibliothèque d'une vieille dame, de littérature féministe et de la lecture comme maison qu'il fait toujours bon d'habiter. »
« Quand il vous sert sa soupe de poissons à la rascasse, il faut entendre la petite musique de ses origines tunisiennes, de son enfance à Zarzis, une ville côtière du sud de la Tunisie, où il contemplait sa mère lavant les épices dans un tamis de palmier. »
« Dans sa peinture, il y a une véritable mise à distance du spectateur qui doit appréhender les toiles en se rapprochant ou en s’éloignant en fonction du format des différents types d’oeuvres. »
« Portrait de la philosophe et psychanalyste Cynthia Fleury, autrice d’une thèse sur l’imagination, et qui a trouvé la sienne non pas dans la littérature, mais dans la création des concepts. Chaque jour, la discipline de l’écriture construit une œuvre, au sens d’artisanat, et tisse son lien à l'autre. »
« Trop long, foutraque, bordélique, malgré tout j’ai beaucoup aimé. C’est un vrai projet littéraire, avec un regard, des phrases d’écrivain même si le sujet de fond de la prostitution n’est pas vraiment abordé. »
« Elle évoque sa vie familiale et ses déboires en plein vignoble.
"J’ai épousé mon mari par amour, mon mari n’avait rien ! Tout allait bien jusqu’au jour où il s’est lancé dans le vignoble : aller s’enterrer dans un Médoc pourri, sans château, juste des terres ‘déguellasses’ ! Mes enfants ont passé des étés horribles, entre 4 pommiers dans un vignoble, sans piscine, ni tennis ! »
« Sa grande force, c'est d'être britannique et donc de savoir tout dessiner, »
« Un livre prometteur qui se révèle banal. On le lit sans déplaisir mais on n’y apprend rien. Un livre apolitique, qui prône l’expérience réelle comme matière à faire une œuvre littéraire mais ça ne prend pas. »
« Elle nous parle du Goncourt de 1920 trouvée dans la bibliothèque d'une vieille dame, de littérature féministe et de la lecture comme maison qu'il fait toujours bon d'habiter. »
« Quand il vous sert sa soupe de poissons à la rascasse, il faut entendre la petite musique de ses origines tunisiennes, de son enfance à Zarzis, une ville côtière du sud de la Tunisie, où il contemplait sa mère lavant les épices dans un tamis de palmier. »