« Aujourd’hui, c’est bien du vivant qu’il faut partir. Mais l’homme ne vit pas seulement de pain, il vit de considération et de justice. Nous avons faim de respect et de morale. C’est en prenant la faim et le vivant dans toutes ses dimensions qu’elle n’est pas seulement un commencement mais une fin...
« Offenbach (...) a eu beaucoup de mal à l'atteindre, à atteindre cette perfection, il en est mort avant. »
...quand on souffre de privation extrême, et la faim en est une, et bien on n'a pas accès au plaisir, et on n'est pas libre. Donc, avant de penser l'humain comme choix, comme volonté, comme liberté, il y a cette passivité première et cette dépendance à l'égard de ce dont on vit...
« Jodie Devos (…) interprète une quinzaine d'airs, déployant l'immense palette de sa virtuosité comme de celle d'Offenbach. »
...Les institutions comportent le risque de tyrannie (...) Néanmoins, on a besoin des institutions.
(…) De toute façon, la culture, c'est lié aussi à notre corps et à la nature, et vice versa. Il y a vraiment un dépassement du dualisme nature, culture, individu, social, raison, émotion…
« La Royal Academy de Londres m'a complétée en tant que chanteuse, en tant qu'artiste (...) c'était vraiment une approche beaucoup plus complète et globale...
« L'académie de l'Opéra-Comique, c'est une spécialisation dans le répertoire de l'Opéra-Comique, je n'ai fait que de l'opéra-comique (Jodie Devos) »
...Ce que j'ai voulu faire, c'est (...) faire une philosophie de l'habitation de la Terre décrivant l'existant dans sa corporéité, la matérialité de son existence, faisant surgir des structures de l'existence qui vont servir de support pour l’élaboration d'une théorie politique. Puisque pour moi, la théorie politique ne s'intéresse pas seulement au pouvoir, ni aux institutions, mais à une réflexion sur le désir de vivre ensemble.
(...) Corine Pelluchon »
« Qui s’assemble finit par se ressembler un peu. Nous n’allons pas vers l’uniformité mais vers la compréhension de l’autre.
(Nicole Lapierre) »
« Offenbach (...) a eu beaucoup de mal à l'atteindre, à atteindre cette perfection, il en est mort avant. »
...quand on souffre de privation extrême, et la faim en est une, et bien on n'a pas accès au plaisir, et on n'est pas libre. Donc, avant de penser l'humain comme choix, comme volonté, comme liberté, il y a cette passivité première et cette dépendance à l'égard de ce dont on vit...
« Jodie Devos (…) interprète une quinzaine d'airs, déployant l'immense palette de sa virtuosité comme de celle d'Offenbach. »
...Les institutions comportent le risque de tyrannie (...) Néanmoins, on a besoin des institutions.
(…) De toute façon, la culture, c'est lié aussi à notre corps et à la nature, et vice versa. Il y a vraiment un dépassement du dualisme nature, culture, individu, social, raison, émotion…
« La Royal Academy de Londres m'a complétée en tant que chanteuse, en tant qu'artiste (...) c'était vraiment une approche beaucoup plus complète et globale...
« L'académie de l'Opéra-Comique, c'est une spécialisation dans le répertoire de l'Opéra-Comique, je n'ai fait que de l'opéra-comique (Jodie Devos) »
...Ce que j'ai voulu faire, c'est (...) faire une philosophie de l'habitation de la Terre décrivant l'existant dans sa corporéité, la matérialité de son existence, faisant surgir des structures de l'existence qui vont servir de support pour l’élaboration d'une théorie politique. Puisque pour moi, la théorie politique ne s'intéresse pas seulement au pouvoir, ni aux institutions, mais à une réflexion sur le désir de vivre ensemble.
(...) Corine Pelluchon »
« Qui s’assemble finit par se ressembler un peu. Nous n’allons pas vers l’uniformité mais vers la compréhension de l’autre.
(Nicole Lapierre) »