Forum des auditeurs passionnés et critiques de France Culture

« Ce week-end, on mijote une soupe paysanne alsacienne pleine de légumes et de souvenirs. Aujourd’hui, je plonge dans la soupe... parce que la soupe est un monde en soi dans lequel j’ai baigné. »

« "Les Misérables", de Ladj Ly :
Un titre  fort, un geste réussi avec une très belle complexité des personnages où tous les acteurs sont bons. Arnaud Laporte »

« Je crois à la vocation, mais pas au départ. Je crois à la vocation plus tard. Je crois à la vocation lorsqu'elle est un choix, véritablement. Je crois à la décision de la vocation. À ce moment-là, elle devient une chose vraiment puissante et immense. Il y a une ligne, une éthique qui se joint au geste de la création et qui devient une véritable vocation. »

« Les femmes ont murmuré dans le noir pendant longtemps et maintenant, elles parlent dans la clarté du jour et de Paris. »

« des citoyens qui ne voient plus ce que leur apporte l’Etat providence : fatigue civique, démocratique, 1/3 des Français disant rêver désormais d’un homme fort qui se passerait des élections (…)
Comment dès lors diriger cette France là ? Avec quel carnet de chèque ? Quels remèdes miracles ? »

Répare-t-on la France avec un carnet de chèques ? Crédits : BELPRESS

« Homme de logique et de foi, Averroès n’est pas un savant à tout faire »

« On était au Canada, que j'avais formulé comme "monstrueusement en paix", c'est à dire une paix qu'il faudrait questionner. La question était : mais que faisons nous là ? »

 « Le daron, lui, lisait son journal, commentait les avis de décès et les faits-divers en page 3. Je sais, vous allez me dire, « mais il ne foutait rien en cuisine » et c’est vrai. Mais pour rien au monde, il n’aurait raté le temps de la soupe. (…) C’est peu dire qu’il y a beaucoup d’intime dans la soupe chère Caroline.
Toi : vous allez bien nous donner une recette de soupe pour ce week-end ? »

« Le Kouglof (aussi orthographié kugelhopf), est une affaire tout à fait sérieuse dans la famille d'Irène Jacob, et il se trempe dans du thé, comme une certaine madeleine littéraire... (...)
Pour sa madeleine, elle a convoque la nappe en toile cirée de la cuisine de son grand père et nous parle d’un dessert qui se trempe.... 
Quand je mange une cuillère de Kouglof, je pense à la montagne, à la neige, à la moquette verte de mon grand père... »

« Steven Cohen a développé une œuvre hors-norme faisant de son corps métamorphosé un manifeste esthétique et politique ; son solo est un manifeste intime. »

« l’éloge de la lenteur… Cela mérite qu'on s'y arrête non ? »

« Lundi-livre
Nos sentiments amoureux ont-ils évolué depuis l'Antiquité ? Les réponses d'Eva Cantarella
Chez les Romains, on avait le prototype de l'homme viril, du macho ; ils n'ont pas de femmes, ils les enlèvent (...)
Le viol était très présent partout, en Grèce comme à Rome, mais dans la mentalité des Romains, c'est parce qu'ils étaient des conquérants. (...)
César était un grand séducteur, le séducteur par excellence, aimé par les femmes et aimé par les hommes.
César me séduit (…) Lorsqu'il entrait dans les villes qu'il venait conquérir, les soldats disaient en chantant : - Cachez vos femmes !
La pédérastie grecque autorisait la relation passive, les Romains eux, ne pouvaient être soumis, ils devaient conquérir. Or César avait été l'aimé de Nicomède, roi de Bithynie, et ne pouvait le cacher. Cela l'a rendu justement plus puissant car il fut le premier à ne pas s'en cacher. »

« Quand on va trop vite, on n'a pas le temps de prendre en compte la complexité des choses. »

« L’artiste (...) explore la relation mère-fille ; c’est une performance qui se transmettra ensuite à d’autres couples mères-filles, à d’autres corps traversés par ce lien filial. »

« Sylvia Plath (...) Une vie bousillée »

« Ici, pas de méchant, pas de gentil, j'avais envie que l'exposition s'auto-critique, s'auto-détruise, laisse le spectateur libre de choisir comment il construit, sa construction est aussi valable que la mienne, une façon de sortir d'une dialectique presque luthérienne de l'artiste hors-la-loi dans la loi, qui dit des choses bien... »

« La lumière ne suffit plus, maintenant je veux être l’interrupteur »

« Ça se mérite de se rencontrer soi-même »

« On a en soi pas qu'un âge ; on est complètement feuilleté des âges qu'on a eus et qu'on aura. »

« Madame Bovary a beaucoup été adapté (…) Cette adaptation, à la fois très fidèle au texte et résolument contemporaine, propose de faire redécouvrir ce style et ce destin atemporels »

« Il y a des gens pour qui l'art n'est pas un problème, pour moi c'en est un »

« Devenir quelconque, c'est une façon d'avouer un certain type de singularité. Il s'agit d'interroger le corps dans sa mutation. »

« Chanter, c'est quelque chose qu'il faut faire en société. Je crois que c'est très utile. »

« Mon angle d'approche des choses ne me met pas au centre, même si j'atteste que c'est bien de moi dont il s'agit. » 

« Il faut espérer une réforme en profondeur du capitalisme vers le libéralisme social, vers le socialisme libéral, vers des formes qui sont rendues quasi impossible par le phénomène de mondialisation.
>>> Extrait du « Manège enchanté » (Pollux cherchant son sucre) »

« "bonne journée". Si vous l’adoptez en guise de signature, cela signifie qu’en fait, vous ne voulez pas du bien à la personne à qui vous écrivez. Car dans le cas contraire, vous auriez conclu par un "belle journée", voire par le dégoulinant "très belle journée". Et que dire du "délicieuse journée" que j’ai découvert il y a peu au bas d’un mail. Sincèrement, qui a envie de passer une "délicieuse journée" ? ...

«Les apprentis philosophes sont les élèves de lycée qui ont découvert la philosophie en terminale, et se demandent à quoi sert d'étudier ces philosophes aux noms parfois imprononçables, au vocabulaire souvent incompréhensible et aux enjeux trop techniques ou trop abstraits.
Comme souvent, les professeurs oublient qu'ils ont été très jeunes, eux aussi, qu'ils ne savaient pas à quoi servait la philo »

...j’ai encore du mal à saisir la différence d’usage entre "bises" et "bisous". Dans quel cas se servir du premier ? Peut-on écrire à un ministre en utilisant le second ? »

« Avez-vous déjà rêvez que vous plongiez dans des montagnes de pièces d’or ? Si oui cette image s’est sans doute formée dans votre esprit grâce ou à cause de Disney. »

« il y a plus de choses que l’on ne fait pas dans sa vie que de choses que l’on fait...

« ‘’à Toulouse il y a tout’’. Phonétiquement, c’était exact (…) J’avais ainsi pu trouver des gens sympathiques avec qui aller voir le Polanski, et j’avais été accueilli à l’entrée de la salle par des activistes tout aussi sympathiques qui portaient une banderole « Polanski violeur », mais qui nous avaient laissés entrer sans violence dans la salle, après nous avoir remis un tract...

...Au fond le seul provincialisme de ce séjour charmant fut d’avoir pris le lendemain à l’aube un taxi qui utilisait une anachronique application de CB sur son iPhone, afin d’échanger avec ses collègues sur la demande en temps réel à la sortie des boîtes de nuit. »

… Vous l’avez compris : les regrets, c’est mal !…

« Des célébrités cachées dans des costumes exécutant des tours de chant, tandis que d’autres célébrités doivent deviner, à travers ces prestations ainsi qu’une série d’indices, qui se cache derrière le costume… Après la résolution du mystère de la panthère (Marie Jo Perec), puis de l’écureuil qui ressemblait, au demeurant à un lapin (Sheila), découvrira-t-on ce soir qui est le lion ou encore l’abeille ? »

« On est tous des maisons plus vastes à l’intérieur qu’à l’extérieur »

« Je ne voulais pas mettre d’images, parce qu’un roman ça se fait uniquement avec les ressources du langage. »

« J'ai envie de faire de la musique tout droit »

« Ce qu’il y a de plus intéressant dans la vie, c’est d’être dans une situation inconfortable, c’est là que vous comprenez que les personnes sont vraies. »

Anton Bruckner : « La répétition c’est son génie, c’est de l’ordre de l’onanisme. Bruckner est un obsessif. »

« Quand tu t’ouvres trop, tu peux te blesser beaucoup. Je suis une personne sensible, tout entre en moi, tout me perfore. »
 
« J’ai rencontré des bouzillés de musique »

« Je dois devenir metteur en scène de ma vie, sinon je tombe »

« Quand on improvise, il ne faut pas avoir peur de faire des fautes. Il faut oser, mais il y a des limites quand même, il faut donner des signes pour que les gens comprennent ce qu’on est en train de faire »

« Tout le parcours de ma vie est lié à la souffrance des autres pour créer de l'art. »

« Avec Laurent on avait très envie que cette musique prenne racine en les miennes. »

« Si je veux m’approcher au plus près d’une émotion, je suis obligée d’en faire un billard à dix-huit bandes par crainte de l’excès de sentiments, du pathétique. »

« ‘’à Toulouse il y a tout’’ (…)  J’ai ainsi fait la découverte de l’Esméralda, du Purple et du Senso, j’ai déploré que le verre soit si cher au Ma biche, sur le toit des anciennes Nouvelles galeries, et qu’il faille s’y contenter de queues de cerise, quand tout ce dont rêvait notre mystérieux interlocuteur, c’était de rouquines et de bières à volonté. (…) ainsi une fois encore Toulouse était bien capitale. »

« Mes fictions sont du théâtre et au théâtre on interroge beaucoup, Racine c’est tout le temps interrogatif, parce que c’est beaucoup plus fort. »

« Notre métier, c'est d'être muséographe (…) On est dans un musée, on n'est pas en train de lire un livre. »

« Le truc cool avec la fiction c’est que tu peux faire dire ce que tu veux à tes personnages, sans avoir la responsabilité d’y croire. »

...Mais qu’est-ce que ça veut dire de ne pas regretter : est-ce que ça veut dire qu’il ne faut jamais regretter, ce qui me semble impossible, OU qu’on a travaillé sur soi pour maîtriser ses regrets ?
Mais alors comment ? C’est bien sûr tout l’enjeu des coaches anti-regrets, mais n’est-ce pas un peu paradoxal ? (…) Mais est-ce encore des regrets s’ils ne nous pèsent plus ? Et n’est-ce pas nier leur nécessaire présence dans nos vies ? Vivre sans regrets, est-ce encore vivre au sens plein ?...

« A-t-on besoin de la fiction pour voir les invisibles ? »

...Bien sûr, qu’il n’y a pas à regretter tout ce que l’on n’a pas fait, d’avoir perdu quelqu’un comme d’avoir perdu ses clés, il y a évidemment une hiérarchie des regrets...

« Qu’est-ce que c’est jouissif de suivre les péripéties d’un personnage qui n’est pas vous, mais qui est vous quand même »

... pourquoi penser que choisir la voie du non-regret ne va pas nous faire regretter celle du regret où l’on a tant plaisir à se lamenter ? »

« Je me laisse porter, on est dans ce "nulle part", et à un moment on espère quelque chose »

« On nous permet réellement de vivre une expérience et si on le souhaite, seulement si on le souhaite, de réfléchir à quelque chose d’actuel. Jean-Christophe Brianchon »

« Comment provoquer l'inattendu ? Comment attendre l'inattendu? (...) J'espère toujours tomber sur les choses...C'est souvent un concours de circonstances; des choses qui se rencontrent et qui forment des idées »

« C’est un spectacle qui dit beaucoup de choses. Philippe Chevilley  »

« Il faut un acte de départ qui provoque (...). C'est la relation de l'humain à l'espace qui est mon véritable sujet. (...) C'est quelque chose qui est présent dans la création , ce fait de regarder (...), travailler sur des perceptions d'espaces, que l'espace devienne un corps. »

« J’avais lu ce livre pendant l’été. C’est le genre de livre qu’on ne peut lire que très lentement, parce que chaque mot compte. On ne peut pas le lire en diagonale. (...)  Arnaud Laporte »

«Je n’ai jamais vu des cowboys à la masculinité aussi malmenée. C’est une masculinité qui m’a troublée et questionne un endroit du genre qui m’intéresse. Lily Bloom »

« "Douleur"... Je ne voulais pas chercher de titre plus facile, plus attractif, c'est celui-ci, c'est son titre, c'est son nom. »

"Douleur" est le mot pour dire qu'on a mal. Et parfois la douleur est là pour dire qu'on ne peut pas dire. Que quelque chose ne passe pas. Que ce quelque chose ne peut pas passer par les mots, alors il le fait par le corps, et "douleur" devient le mot pour dire autre chose. »

« Le spectacle ne cesse d’interroger ses propres codes. C’est assez intello et c’est un peu (trop) un spectacle France Culture. Lucile Commeaux »

« La guerre s'arrête quand elle veut »

« Dans le monde magique du bien-être, tout n’est pas rose. Et c’est le cas de la bienveillance...

« Le théâtre est un verbe qui prend corps »

...la bienveillance serait donc devenue un sujet clivant, pas autant que le voile ou l’écologie, bien sûr, mais il faut quand même voir ce que cette pauvre bienveillance se prend… Moi qui voulais la critiquer pour sa « bien-pensance », me voilà prise de court par cette attaque en règle d’un énième bon sentiment...

« Si j'écris des histoires c'est pour ne plus paniquer toute seule. »

...Pourquoi la bienveillance serait-elle pire qu’autre chose ?…

« Je pense que le danger aujourd'hui, c'est de ne pas avoir mal »

...Vouloir le bien d’autrui, rien ne me semble plus intrusif et contraire au bien d’autrui…

« un homme tellement riche qu’il décide de vivre pleinement dans une surconsommation de l’opium. Une liberté créative extraordinaire qui casse le réel. Un livre pour tout le monde »

...la bienveillance est bienveillante, elle part d’une bonhomie de l’être humain pour aller vers le bien d’un autre être humain. Et rien d’autre...

« Crier toujours, jusqu'à la fin du monde, c'est la meilleure description de ma pratique artistique »

« Peut-on penser en dehors de la crise ? »

« Le “tu” est le lieu d’une communication intime, peut-être de soi à soi, de soi à un lecteur, à une enfance, ou  à ce qu’on imagine de l’autre. Le tutoiement (...) c’est le mode de rencontre d’une intimité ou d’une absence, c’est la création d’un espace intermédiaire. Il a à voir avec quelque chose de la marche. Quand on marche, on est dans l’entre-deux de ces voix intérieures qui sont réveillées par les pas, toutes ces voix qui nous habitent, notre propre voix et aussi les rêves, et ces choses qui viennent d’ailleurs. »

« Il n’y a pas vraiment d’histoire dans ce Tristan et Isolde de Wagner, toute la question est concentrée autour de l’intrigue amoureuse.(…) Les chanteurs jouent vraiment. (…) Lucile Commeaux »

« Je suis habité par quelque chose qui me pousse vers ces endroits, vers la scène »

« Mon plus grand objectif dans la musique c’est de donner précisément ce que je ressens »

« Billy Budd de Britten  en dvd blu-ray : « Il y a de grandes scènes collectives de cœur qu’on aimerait avoir à l’image. (…) Lucile Commeaux »

« Les transmissions se font aussi à des endroits du corps »

« Julien Gosselin fait entendre le texte de plein de façons différentes. Anna Sigalevitch »

« Ce n’est pas parce qu’il y a plusieurs niveaux de compréhension que c’est de la potacherie, et on peut parler de saucisses pour parler d’autres choses. En fait, je me suis aperçu que j’avais fait ce disque pour expliquer comment j’avais fait un disque et combien c’est difficile d’être artiste aujourd’hui. »

« L’idée c’est comment s’élever dans l’air sans polluer. »

« L’exposition à la fin s’articule autour de cette question : qu’est-ce qu’il y a dans l’air ? On part dans la partie cosmique. Il y a de la poussière qui rentre dans l’atmosphère, et cette poussière, qui n’est pas de la poussière terrestre, touche l’être humain toute la journée. Et l’idée c’est, comment ces particules de poussière ont-elles un son. »

..la bienveillance s’ancre dans le bien, veut le bien, tente le bien. Trop de bien, trop de bon, trop de bon sentiment...  

« La musique sacrée, c'est ça ; s'oublier pour faire passer quelque chose, la "disparition", c'est très important. Lorsque j'ai enregistré, j'ai "disparu". »

...Pourquoi ne pas assumer un côté culcul, bien-pensant, rose, bisounours ? Je me pose aussi la question à moi : pourquoi toujours s’en prendre au bien-pensant, au bien, et ne pas revendiquer son amour de la guimauve ? »

« Pourquoi la grossophobie est-elle l’une des discriminations les mieux acceptées socialement ? Qu’est-ce que cela dit de nous ? (…) Tout au long du documentaire, je rencontre bien sûr des personnes grosses qui racontent leur parcours au quotidien et je tente enfin de m’interroger ma propre grossophobie. »

« Notre être-même renvoie au monde qui nous entoure »

« L'art n'est pas une chose de plaisir, c'est plus de sentir l'air du temps, de connaître le temps dans lequel nous vivons. »

« Avoir peur nous provoque des sentiments, moi je suis toujours un enfant dans ma tête. Parmi les histoires qui m'intéressent, je lis des manga en ce moment. C'est fabuleux de voir que les mangaka expriment ce qu'ils veulent. Et il y a aussi une morale à retenir, et des choses à apprendre. »

« Je recherche la virginité de choses, un peu comme dans l'enfance, cette capacité d'être de plein pied dans les choses, à l'intérieur et à l'extérieur, à la fois. »

« Je crois qu'il faut travailler à partir du langage qui nous traverse tous les jours et trouver des manières de le recomposer, de le refaire entendre différemment afin de pouvoir survivre. »

« Tout le monde connaît la pop, la reconnaît, a un avis sur elle. Pourtant, sa singularité artistique et philosophique reste peu interrogée (…) Des hits d’ABBA aux hymnes de Beyoncé, la pop serait structurellement inauthentique. Dans cet ouvrage, Agnès Gayraud se penche sur la profondeur de cette musique longtemps qualifiée de « légère » et cantonnée à un statut d’objet de consommation. Elle y déploie tous ses paradoxes, au cœur des œuvres musicales elles-mêmes, pour révéler les ramifications esthétiques d’une richesse insoupçonnée de ce qui a peut-être été l’art musical le plus important du XXe siècle. »

« La littérature permet de dire les choses difficiles, parce qu’on les écrit »

« J’ai été assez soufflée par le jeu des acteurs, que je trouve vraiment très bons dans l’interprétation des personnages. (…) Lucile Commeaux »

« Il mélange une histoire familiale qui pourrait être celle d’une série avec de la tragédie antique.(...) C’est fleuri, claudélien. C’est flamboyant, grandiloquent, pêchu… et couillu. Fabienne Pascaud »

« C’est assez fort et percutant, mais pour moi c’est une sorte d’Annie Ernaux qui aurait un peu trop écouté PNL. (...) Grégoire Leménager »

« Je ne sais pas encore si j’ai aimé ce livre.(…) Laurent Nunez »

« Un disque mutant et radioactif. Pascaline Potdevin »

« Il y a effectivement beaucoup de sucre dans cet album, mais c’est un peu fade »

« C’est un film de circonstance qui enfonce pour moi des portes ouvertes. C’est un film qui ne fait pas de politique, pas de sociologie, ou alors à une certaine distance. Plein de gens vont se dire que le film est vrai, mais cinématographiquement il n’a aucun intérêt. Pour moi il n’y a pas de sacrifice à la fin. Corinne Rondeau »

« Le seul problème que j’ai eu sur ce spectacle est la fin. Les comédiens sont épuisés et nous aussi. Philippe Chevilley »