Mode d'emploi : lire d'abord la chronique de M. Bellanger A. (quel honneur ne lui fait-on pas, quand on arrive à aller au-delà de 5 lignes, d'ailleurs), puis le pastiche.
"Une journée où l'on n'a pas ri est une journée de perdue" (Chamfort, pas Alain). Encore une journée de... pas perdue avec le début et la suite de
PS "Ce [sic] pourrait-il" dans l'original...
"Une journée où l'on n'a pas ri est une journée de perdue" (Chamfort, pas Alain). Encore une journée de... pas perdue avec le début et la suite de
Curly(https://regardfc.1fr1.net/t19p700-les-matins-de-france-culture#32084) a écrit:La Conclusion du 10/01/2019 de Monsieur Aurélien Bellanger ayant été jugée politiquement trop engagée, contenant des idées hautement subversives, a été réécrite par son auteur pour être conforme aux attentes de la radio culturelle.
Voici donc, à la place de Jean-Luc Mélenchon
Guy Lux
PS "Ce [sic] pourrait-il" dans l'original...
, c’était un livre sur les inventeurs. C'était des portraits en bande dessinée de ces 
de salon 
qui, avec une obstination 
, avaient offert à l’humanité ses seules conquêtes valables, ses seuls trésors impérissables.
qui avait fabriqué la première dynamo. Je me rappelle aussi de ma 
en apprenant que Nicéphore Niépce avait expérimenté en vain, avec un demi-siècle d’avance, le premier moteur à 
périmé de la 
familiale — toute une collection de 
à remonter entre deux morceaux de bois et qui, reliés à mon radio-réveil, rendaient un son 
. Cela reste néanmoins l’objet le plus 
que j’ai jamais fabriqué.
technique est liée à tout cela : j’ai découvert l’ 
incursion manquée, il y a 30 ans, du constructeur 
dans le monde des équipementiers
: la 
aurait comme écouté la route, pour transformer toutes ses aspérités en 
. L’équivalent 