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Soft Power (ex-Masse Critique) - Frédéric Martel Page 8 sur 15
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Invité
71Re: Soft Power (ex-Masse Critique) - Frédéric Martel - Jeu 21 Oct 2010, 17:05
Je dirais même plus: génial!! Y a que Séguéla qu'est peut-être pas très ressemblant, mais bon tu peux pas tout faire. Et puis après tout, il est pas plus mal comme ça.
fanch
72Re: Soft Power (ex-Masse Critique) - Frédéric Martel - Jeu 21 Oct 2010, 17:20
Ben tu vois François le dessin "paye" plus que le texte ! C'est toi qu'a fait le bon choix !!!
Lola
73Réhabilitation de Martel ? - Dim 07 Nov 2010, 21:10
Believe it or not, F. Martel n'a pas parlé une seule fois de twitter ce soir !
Champagne !
Il était question de Al Jézira et de la façon dont elle infiltre les médias. L'invité était David Khalfa, prof à Sc Po et spécialiste du Moyen-Orient. De fait, Martel était aussi à son affaire et le décryptage des moyens mis en oeuvre par ce mouvement comme ses stratégies selon les pays visés, son histoire, tout cela était bien synthétisé.
Et puis c'était intéressant d'avoir un coup de projecteur sur le Moyen-Orient par ce biais des médias.
Champagne !
Il était question de Al Jézira et de la façon dont elle infiltre les médias. L'invité était David Khalfa, prof à Sc Po et spécialiste du Moyen-Orient. De fait, Martel était aussi à son affaire et le décryptage des moyens mis en oeuvre par ce mouvement comme ses stratégies selon les pays visés, son histoire, tout cela était bien synthétisé.
Et puis c'était intéressant d'avoir un coup de projecteur sur le Moyen-Orient par ce biais des médias.
fanch
74Re: Soft Power (ex-Masse Critique) - Frédéric Martel - Dim 07 Nov 2010, 21:41
Il a du se faire tirer l'oreille car sur le site de tweeter pendant l'émission il n'y a eu aucun message de, ni pour Martel (martelf). Il faut dire que Pierre Haski (Rue 89)au cours d'une précédente émission lui avait demandé (via tweeter) d'expliquer comment il faisait pour animer une émission en direct et répondre à ses tweet.
Dans la deuxième partie de l'émission recevant le rédac-chef de Livres-Hebdo (revue pro) Martel péremptoire a asséné que les libraires n'aimaient pas internet sans le début du commencement d'une preuve ce qu'a réfuté son invité. Martel ringardise Télérama (journal papier), ringardise les libraires (échoppes vieillotes) et n'a d'yeux et de salive que pour les tablettes et autres gadgets tendance. Il le démontre une fois de plus INA-rien compris. Il continue à jouer dans la cour de récré de l'évolution technologique, sans recul, sans analyse, agitant le hochet de la modernité, se croyant toujours en avance d'un train alors qu'il se sert d'une "vieille" technologie - la radiodiffusion hertzienne - pour se faire valoir et reconnaître de ses réseaux d'influence et faire avancer sa propre carrière… Minable.
Dans la deuxième partie de l'émission recevant le rédac-chef de Livres-Hebdo (revue pro) Martel péremptoire a asséné que les libraires n'aimaient pas internet sans le début du commencement d'une preuve ce qu'a réfuté son invité. Martel ringardise Télérama (journal papier), ringardise les libraires (échoppes vieillotes) et n'a d'yeux et de salive que pour les tablettes et autres gadgets tendance. Il le démontre une fois de plus INA-rien compris. Il continue à jouer dans la cour de récré de l'évolution technologique, sans recul, sans analyse, agitant le hochet de la modernité, se croyant toujours en avance d'un train alors qu'il se sert d'une "vieille" technologie - la radiodiffusion hertzienne - pour se faire valoir et reconnaître de ses réseaux d'influence et faire avancer sa propre carrière… Minable.
fanch
75Martel, Le Mépris… sans Jean-Luc Godart, Part 1 - Lun 08 Nov 2010, 21:39
Pour des raisons professionnelles j’ai du retranscrire l’intégralité des propos de Martel et de ses invités à partir de la moitié de l’émission d'hier. Vous avez été indulgente Lola avec la première partie de l’émission. Je ne le serai pas autant avec la deuxième partie au cours de laquelle il a reçu :
- Fabrice Piot, rédacteur en chef adjoint de Livres-Hebdo (revue professionnelle des métiers du Livre) (de 31’30’’ à 40’49’’),
- Jean-Marie Bouissou, spécialiste du Japon contemporain, directeur de recherche à Science-Po, fondateur du réseau manga network, et auteur d’un livre « Manga » chez Picquier, (40’49’’ à 53’23’’)
Martel a dépassé les bornes tant de la bienséance (tenue d’un interview) que du professionnalisme journalistique (nombreux exemples à suivre).
Dès le début de l’entretien Martel pour évaluer l’impact d’un Goncourt sur les ventes, cite Atiq Rahimi, sans le situer, sans citer un ouvrage, sans préciser qu’il a eu le Goncourt 2008. On n’est pas censé se souvenir de tous les Goncourt même ceux très proches ! Effarant qu’un producteur ne prépare pas son sujet et citant, comme à l’aveuglette Atiq Rahimi, ne soit pas foutu d’en dire un peu plus, ni bien sûr le titre de son Goncourt.
Martel fait montre de désinvolture, de mépris pour l’auditeur et d’amateurisme formel. Ce n’est ni la première ni la dernière fois. Poursuivant avec ce ton d’autosatisfaction par rapport à son propre «savoir», il juge que le sondage de Livres-Hebdo est «indulgent et qu’il reflète les croyances des libraires…» Pour un sociologue, (c’est comme ça qu’il se présente sur son site officiel) on croit rêver. Comment peut-on parler de croyances quand les libraires répondant à un questionnaire ont donné des avis. C’est une belle entourloupe sémantique, une immense malhonnêteté intellectuelle.
Car quand bien même ce serait des croyances il devrait le démontrer non ?
Il persiste «il faudrait peut-être interroger les lecteurs quand l’économie de la recommandation est en train de se transformer notamment avec le web…» D’abord dans ce métier la recommandation s’appelle la prescription. Ça fait pas très pro pour quelqu’un qui passe son temps à reprendre ses invités s’ils ne jargonnent pas (jargonner à sciences-po c’est tendance !. Et plutôt que d’enfourcher son cheval de bataille le «oueb» il ferait mieux de citer les prescripteurs oueb et d’argumenter. Encore eut-il fallu qu’il prépare son émission ? Si ça avait été le cas il aurait été trop content de déstabiliser avec ironie et mépris son invité. (Autre méthode puérile de F. Martel). L’impréparation est patente et lui tient lieu de méthode.
En bon bistrotier de la rumeur qui tue, Martel assène que «les libraires détestent internet». D’où tient-il cette info, de quelle étude, à l’appui de quelles sources ? Le rédacteur en chef de Nonfiction.fr et d’INA global a de drôles de pratiques journalistiques et/ou sociologiques pour affirmer sans démontrer. On est proche de la caricature de l’amateurisme et de l’absence d’éthique que lui confèrent ses titres.
…/…
- Fabrice Piot, rédacteur en chef adjoint de Livres-Hebdo (revue professionnelle des métiers du Livre) (de 31’30’’ à 40’49’’),
- Jean-Marie Bouissou, spécialiste du Japon contemporain, directeur de recherche à Science-Po, fondateur du réseau manga network, et auteur d’un livre « Manga » chez Picquier, (40’49’’ à 53’23’’)
Martel a dépassé les bornes tant de la bienséance (tenue d’un interview) que du professionnalisme journalistique (nombreux exemples à suivre).
Dès le début de l’entretien Martel pour évaluer l’impact d’un Goncourt sur les ventes, cite Atiq Rahimi, sans le situer, sans citer un ouvrage, sans préciser qu’il a eu le Goncourt 2008. On n’est pas censé se souvenir de tous les Goncourt même ceux très proches ! Effarant qu’un producteur ne prépare pas son sujet et citant, comme à l’aveuglette Atiq Rahimi, ne soit pas foutu d’en dire un peu plus, ni bien sûr le titre de son Goncourt.
Martel fait montre de désinvolture, de mépris pour l’auditeur et d’amateurisme formel. Ce n’est ni la première ni la dernière fois. Poursuivant avec ce ton d’autosatisfaction par rapport à son propre «savoir», il juge que le sondage de Livres-Hebdo est «indulgent et qu’il reflète les croyances des libraires…» Pour un sociologue, (c’est comme ça qu’il se présente sur son site officiel) on croit rêver. Comment peut-on parler de croyances quand les libraires répondant à un questionnaire ont donné des avis. C’est une belle entourloupe sémantique, une immense malhonnêteté intellectuelle.
Car quand bien même ce serait des croyances il devrait le démontrer non ?
Il persiste «il faudrait peut-être interroger les lecteurs quand l’économie de la recommandation est en train de se transformer notamment avec le web…» D’abord dans ce métier la recommandation s’appelle la prescription. Ça fait pas très pro pour quelqu’un qui passe son temps à reprendre ses invités s’ils ne jargonnent pas (jargonner à sciences-po c’est tendance !. Et plutôt que d’enfourcher son cheval de bataille le «oueb» il ferait mieux de citer les prescripteurs oueb et d’argumenter. Encore eut-il fallu qu’il prépare son émission ? Si ça avait été le cas il aurait été trop content de déstabiliser avec ironie et mépris son invité. (Autre méthode puérile de F. Martel). L’impréparation est patente et lui tient lieu de méthode.
En bon bistrotier de la rumeur qui tue, Martel assène que «les libraires détestent internet». D’où tient-il cette info, de quelle étude, à l’appui de quelles sources ? Le rédacteur en chef de Nonfiction.fr et d’INA global a de drôles de pratiques journalistiques et/ou sociologiques pour affirmer sans démontrer. On est proche de la caricature de l’amateurisme et de l’absence d’éthique que lui confèrent ses titres.
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Dernière édition par fanch le Lun 08 Nov 2010, 21:50, édité 2 fois
fanch
76Martel, Le Mépris… sans Jean-Luc Godard, Part 2 - Lun 08 Nov 2010, 21:46
…/…
Le pompon va suivre alors qu’on approche de la fin de l’entretien. Martel annonce : "pas mal de règles déontologiques qui manquent dans cette profession…"
- nous ne savons pas de quelle profession parle Martel ?
- les milieux littéraires ? (qui, jusqu’à preuve du contraire ne sont pas UNE profession)
- les libraires (qui jusqu’à preuve du contraire n’ont pas de code de déontologie)
Martel se croyant sans doute devant ses étudiants se la joue donneur de leçon et qui plus est, de leçon de déontologie (qu’il ne se gêne pas de bafouer quand il mélange sans vergogne celle de journaliste, de sociologue, de producteur). Attitude innommable non ?
Il poursuit : «dont je disais qu’elle était endogamique (la profession), un milieu un peu en circuit fermé qui laisse pas toujours la place… les nouveaux essais , la littérature plus expérimentale où au contraire les livres les plus vendus sont complètement « out of the radar» ( !!!)
- les nouveaux essais c’est quoi, c’est Bernard Werber qui joue à touche bouton pour le Prix du livre numérique ?
- la littérature plus expérimentale, c’est la reprise de ses tweet en 12 volumes depuis qu’il joue avec ?
- les livres les plus vendus (Musso, Levy, Pancol, Kennedy, Follet, Nothomb, Larsson, Gavalda) les éditeurs et les libraires en font leur cagnotte et en parlent partout. Ils doivent être évoqués à longueur de chroniques sur Inter et Bleu(s), et autant sur toutes les télés publiques ou privées,
- out of the radar, est-elle la dernière expression au top des gimmicks de science-po ?
En moins d’une minute avec ses affirmations fumeuses Martel s’est totalement discrédité. Son discours ne tient pas, ses références de café du commerce ne tiennent pas, ses approximations ne peuvent avoir valeur de références.
Au cours du deuxième interview tous ses tics de langage et de façons prennent de plus en plus de place dans la conversation. À ça il faut ajouter le désastre de sa diction ! Voulant vite faire étalage de ses ANECDOTES qu’il tient sûrement pour des concepts ou des informations vérifiées, il bafouille, ne finit pas ses phrases, assène ses vérités sans souffrir la contradiction. Cette façon montre d’évidence qu’il ne prépare pas ses émissions, ni ses questions qui ne sont pas pensées mais instinctives, non organisées au fil de la discussion. Il se laisse guider par sa spontanéité au mépris d'un fil conducteur. Ce sont ses pulsions/impulsions qui guident sa pensée et ses réactions plus ou moins puériles, plus ou moins étayées, plus ou moins « scientifiques ». Cette absence totale de préparation, de rigueur intellectuelle, ce brouillon qui brouille la cohérence de la pensée, ses approximations sont d’un total mépris pour ses invités et ses auditeurs.
Pour masquer cette absence de rigueur intellectuelle et morale il jongle avec les détails inutiles (dont il ricane toujours) et les expressions en anglais : mix média, versionning, global média ou transmédia qui arrivent peut-être à faire diversion devant ses invités mais pas devant ses auditeurs vigilants. À nous sans doute de sauter sur notre glossaire du «Petit martel illustré».
Ces questions quelquefois n’en sont plus ! Ce sont des informations/affirmations «en tunnel» qui noient ou contredisent l’invité. Il fait de longs développements en s’écoutant parler. On touche du doigt ou de l’oreille la suffisance à son plus haut niveau.
Mais, mais heureusement que la plupart de ses invités a l’intelligence de ses pratiques et/ou de ses savoirs et en parlent bien au-dessus des anecdotes et des approximations dont Martel se replet. Normalement une émission de radio pour les simples auditeurs que nous sommes ne se dissèque pas autant et Martel ne pourra contester (s'il a l'honnêteté de se réécouter) les attitudes, propos et négligences citées ci-dessus.
Je n’ai pas envie à longueur de forum de répondre sur le bien fondé ou non de mes observations ni même de me surexpliquer au risque, par lassitude, de lui trouver des circonstances atténuantes (de mode, de tendance, d’effet média et tout le toutim). Je suis lassé et écœuré d’une telle attitude. Ce producteur n’est pas digne de sa fonction et de sa mission. Le laisser en place c’est accepter la négligence et la malhonnêteté. Je pèse mes mots. Ce producteur dénature l’image de Fc (ou ce qu’il en reste). Je ne serai pas complaisant.
Vous voudrez bien accepter (pour une fois) que je ne m’engage pas dans une longue partie de ping-pong sur le sujet. Je n’en ai ni l’envie, ni le temps. Je veux passer à autre chose. Mes constats peuvent chagriner certains et en contenter d’autres. Je ne refuse pas le dialogue. Je pense qu’à la place que nous occupons, pour une case aussi sinistrée, nous avons autre chose à faire qu’ergoter. Je vous lirai mais ne répondrai pas. ¡ Ya basta ! Je ne veux plus me mettre Martel… en tête.
Le pompon va suivre alors qu’on approche de la fin de l’entretien. Martel annonce : "pas mal de règles déontologiques qui manquent dans cette profession…"
- nous ne savons pas de quelle profession parle Martel ?
- les milieux littéraires ? (qui, jusqu’à preuve du contraire ne sont pas UNE profession)
- les libraires (qui jusqu’à preuve du contraire n’ont pas de code de déontologie)
Martel se croyant sans doute devant ses étudiants se la joue donneur de leçon et qui plus est, de leçon de déontologie (qu’il ne se gêne pas de bafouer quand il mélange sans vergogne celle de journaliste, de sociologue, de producteur). Attitude innommable non ?
Il poursuit : «dont je disais qu’elle était endogamique (la profession), un milieu un peu en circuit fermé qui laisse pas toujours la place… les nouveaux essais , la littérature plus expérimentale où au contraire les livres les plus vendus sont complètement « out of the radar» ( !!!)
- les nouveaux essais c’est quoi, c’est Bernard Werber qui joue à touche bouton pour le Prix du livre numérique ?
- la littérature plus expérimentale, c’est la reprise de ses tweet en 12 volumes depuis qu’il joue avec ?
- les livres les plus vendus (Musso, Levy, Pancol, Kennedy, Follet, Nothomb, Larsson, Gavalda) les éditeurs et les libraires en font leur cagnotte et en parlent partout. Ils doivent être évoqués à longueur de chroniques sur Inter et Bleu(s), et autant sur toutes les télés publiques ou privées,
- out of the radar, est-elle la dernière expression au top des gimmicks de science-po ?
En moins d’une minute avec ses affirmations fumeuses Martel s’est totalement discrédité. Son discours ne tient pas, ses références de café du commerce ne tiennent pas, ses approximations ne peuvent avoir valeur de références.
Au cours du deuxième interview tous ses tics de langage et de façons prennent de plus en plus de place dans la conversation. À ça il faut ajouter le désastre de sa diction ! Voulant vite faire étalage de ses ANECDOTES qu’il tient sûrement pour des concepts ou des informations vérifiées, il bafouille, ne finit pas ses phrases, assène ses vérités sans souffrir la contradiction. Cette façon montre d’évidence qu’il ne prépare pas ses émissions, ni ses questions qui ne sont pas pensées mais instinctives, non organisées au fil de la discussion. Il se laisse guider par sa spontanéité au mépris d'un fil conducteur. Ce sont ses pulsions/impulsions qui guident sa pensée et ses réactions plus ou moins puériles, plus ou moins étayées, plus ou moins « scientifiques ». Cette absence totale de préparation, de rigueur intellectuelle, ce brouillon qui brouille la cohérence de la pensée, ses approximations sont d’un total mépris pour ses invités et ses auditeurs.
Pour masquer cette absence de rigueur intellectuelle et morale il jongle avec les détails inutiles (dont il ricane toujours) et les expressions en anglais : mix média, versionning, global média ou transmédia qui arrivent peut-être à faire diversion devant ses invités mais pas devant ses auditeurs vigilants. À nous sans doute de sauter sur notre glossaire du «Petit martel illustré».
Ces questions quelquefois n’en sont plus ! Ce sont des informations/affirmations «en tunnel» qui noient ou contredisent l’invité. Il fait de longs développements en s’écoutant parler. On touche du doigt ou de l’oreille la suffisance à son plus haut niveau.
Mais, mais heureusement que la plupart de ses invités a l’intelligence de ses pratiques et/ou de ses savoirs et en parlent bien au-dessus des anecdotes et des approximations dont Martel se replet. Normalement une émission de radio pour les simples auditeurs que nous sommes ne se dissèque pas autant et Martel ne pourra contester (s'il a l'honnêteté de se réécouter) les attitudes, propos et négligences citées ci-dessus.
Je n’ai pas envie à longueur de forum de répondre sur le bien fondé ou non de mes observations ni même de me surexpliquer au risque, par lassitude, de lui trouver des circonstances atténuantes (de mode, de tendance, d’effet média et tout le toutim). Je suis lassé et écœuré d’une telle attitude. Ce producteur n’est pas digne de sa fonction et de sa mission. Le laisser en place c’est accepter la négligence et la malhonnêteté. Je pèse mes mots. Ce producteur dénature l’image de Fc (ou ce qu’il en reste). Je ne serai pas complaisant.
Vous voudrez bien accepter (pour une fois) que je ne m’engage pas dans une longue partie de ping-pong sur le sujet. Je n’en ai ni l’envie, ni le temps. Je veux passer à autre chose. Mes constats peuvent chagriner certains et en contenter d’autres. Je ne refuse pas le dialogue. Je pense qu’à la place que nous occupons, pour une case aussi sinistrée, nous avons autre chose à faire qu’ergoter. Je vous lirai mais ne répondrai pas. ¡ Ya basta ! Je ne veux plus me mettre Martel… en tête.
Lola
77Position de Frédéric Martel. - Mar 09 Nov 2010, 11:30
J'ai lu la critique de Fanch. Elle est fondée. Néanmoins, objectivement, F. Martel aurait toutes les cartes en mains pour faire une bonne émission : formation intellectuelle solide, connaissance de son domaine a priori indéniable, carnet d'adresses conséquent.
Aussi, qu'est-ce qui cloche ? Un bête manque de temps ?
Par ailleurs, il y a une chose sur laquelle je souhaiterais qu'on m'éclaire. Que veut F. Martel, quel positionnement a-t-il choisi dans les médias et dans l'université ? De quoi parle-t-il exactement lorsqu'il parle du "mainstream", à quoi l'oppose-t-il et dans quel but ? De même pourquoi est-il dans la fascination (feinte ou pas ) des nouvelles technologies type twitter ? Qu'auraient-elles à apporter selon lui ? A quoi serviraient-elles ? Dernière chose, il est le fondateur du site nonfiction où il s'agit non pas de défendre le "mainstream" mais, au contraire, les recherches marginales en matière de Sces Humaines.
Cet ensemble me semble tellement contradictoire que je ne peux que me poser la question du positionnement intellectuel de cet homme.
De quoi est-il question au juste ?
Aussi, qu'est-ce qui cloche ? Un bête manque de temps ?
Par ailleurs, il y a une chose sur laquelle je souhaiterais qu'on m'éclaire. Que veut F. Martel, quel positionnement a-t-il choisi dans les médias et dans l'université ? De quoi parle-t-il exactement lorsqu'il parle du "mainstream", à quoi l'oppose-t-il et dans quel but ? De même pourquoi est-il dans la fascination (feinte ou pas ) des nouvelles technologies type twitter ? Qu'auraient-elles à apporter selon lui ? A quoi serviraient-elles ? Dernière chose, il est le fondateur du site nonfiction où il s'agit non pas de défendre le "mainstream" mais, au contraire, les recherches marginales en matière de Sces Humaines.
Cet ensemble me semble tellement contradictoire que je ne peux que me poser la question du positionnement intellectuel de cet homme.
De quoi est-il question au juste ?
Lola
78Spéciale Fanch ! - Dim 14 Nov 2010, 20:23
Eh oui, spéciale Fanch ce soir chez Martel avec le directeur du Mouv' comme invité ! Je m'eXclâme !
fanch
79Re: Soft Power (ex-Masse Critique) - Frédéric Martel - Dim 14 Nov 2010, 20:35
J'en parle dans quelques instants !!
fanch
80Re: Soft Power (ex-Masse Critique) - Frédéric Martel - Dim 14 Nov 2010, 20:46
Pour une fois Martel ne fait pas le malin ou pas trop ayant sans doute un peu de respect pour son 1er invité Jacques Rigaud (78 ans, ex-taulier d'RTL en son temps) et grand "spécialiste" de culture. Martel traque toujours ses invités pour s'assurer qu'ils sont dans la modernité (avec la définition que Martel lui donne). Rigaud craint le virtuel au détriment du "sensuel des œuvres qu'il ne retrouve plus dans le virtuel et à qui il faudrait donner une âme…"
Heureusement Martel ne nous passe que des chansons en langue anglaise (et un peu en espagnol) en intermède, des fois qu'en d'autres langues nous risquions le "has been" précoce
Rigaud réagissant à l'interview de Joseph Nye, théoricien du soft-power (sic) dit à Martel : "Ces américains qui emploient des concepts flous (soft power/pouvoir doux) pour évoquer des choses banales". Il semble que cela le fasse sourire. Et bam une bonne claque pour Martel qui comme d'hab' s'esbaudissait du fameux concept "in-trop-tendance-USA" de soft power !!
Surprenant comment Martel a de la déférence pour Rigaud et ne l'interrompt pas, autant pour Jo Nye (sic) mais alors avec le patron du Mouv' on y va à tout crin ! Le dir du Mouv' ne m'a rien appris, le virage qu'il tente sur cette chaîne donne un petit coup de vent frais (et de culture de 16 à 18).
Imaginons qu'un OPA qui passé l'été 2011 ferait un vrai remue-méninges et oups "Le nouveau France Culture avec du talent dedans". [i]
Heureusement Martel ne nous passe que des chansons en langue anglaise (et un peu en espagnol) en intermède, des fois qu'en d'autres langues nous risquions le "has been" précoce
Rigaud réagissant à l'interview de Joseph Nye, théoricien du soft-power (sic) dit à Martel : "Ces américains qui emploient des concepts flous (soft power/pouvoir doux) pour évoquer des choses banales". Il semble que cela le fasse sourire. Et bam une bonne claque pour Martel qui comme d'hab' s'esbaudissait du fameux concept "in-trop-tendance-USA" de soft power !!
Surprenant comment Martel a de la déférence pour Rigaud et ne l'interrompt pas, autant pour Jo Nye (sic) mais alors avec le patron du Mouv' on y va à tout crin ! Le dir du Mouv' ne m'a rien appris, le virage qu'il tente sur cette chaîne donne un petit coup de vent frais (et de culture de 16 à 18).
Imaginons qu'un OPA qui passé l'été 2011 ferait un vrai remue-méninges et oups "Le nouveau France Culture avec du talent dedans". [i]
fanch
81Dr Mar et Mister Tel… un système double face - Dim 21 Nov 2010, 15:01
D'un côté Dr Mar, rédacteur en chef du site Nonfiction.fr, participe à un dossier sur les nouveaux critiques et prescripteurs de livres (Sur la mort du critique culturel/mercredi 10 novembre 2010). En le lisant on découvre les éléments d'analyse qui lui ont permis d'interviewer le rédac-chef de Livres-hebdo il y a 15 jours. Beaucoup de choses intéressantes dans ce dossier et dans l'article principal on retrouve quelques "tics" de Dr Mar, quelques affirmations qui reposent plus souvent sur le jugement personnel que sur l'analyse.
De l'autre Mister Tel qui se permet au cours de l'interview d'affirmer péremptoire (sans aucune référence à quoi que ce soit et forcément pas à ce dossier) que «les libraires détestent internet c’est normal… “. Cette phrase assénée tel un commentaire, un point de vue, une opinion n'a plus rien à voir avec un sondage, une enquête, une analyse travaillés dans un autre cadre.
Ces postures de sociologue et de journaliste sont-elles conciliables ? Sa façon même de jongler avec est-elle professionnelle ou éthique ? L'empilement des métiers et des fonctions qui permet d'être en permanence dans les vases communicants est-elle une "garantie" intellectuelle ? (les spécialistes remplaceront garantie par le terme approprié). Ce jeu de double, triple posture est-il tenable sans risque ? Merci aux plus aiguisés sur ces choses-là de nous en parler.
En ce qui me concerne Dr Mar et Mister Tel me font penser à une farce très moderne de la notoriété et du serpent qui se mord en permanence la queue ! Je fais une recherche sur les industries culturelles américaines dans le cadre d'un programme de recherche de l'université (au sens large) je le vends aussi sec à Fc pour une série d'été. Fort de cette réussite je peux enfin animer une émission dans laquelle je ferai venir tout l'aréopage de mon réseau. Et s'ils n'en font pas partie l'émission bouclée ce sera chose faite. À force de ronronner au milieu du tout petit cercle du "je te tiens par la barbichette" on obtient le poste de rédac-chef d'Ina global. Pour lequel on fera à nouveau appel à l'aréopage, qui se verra proposer de rédiger pour Nonfiction.fr et cerise sur le gâteau venir s'exprimer dans Masse critique. La boucle est bouclée. Il ne reste plus à Martel qu'à ne pas se tromper de masque quand il travaille pour l'un ou l'autre. Mais à bien y regarder ou y entendre chacun de ses masques a au milieu un petit nez rouge.
De l'autre Mister Tel qui se permet au cours de l'interview d'affirmer péremptoire (sans aucune référence à quoi que ce soit et forcément pas à ce dossier) que «les libraires détestent internet c’est normal… “. Cette phrase assénée tel un commentaire, un point de vue, une opinion n'a plus rien à voir avec un sondage, une enquête, une analyse travaillés dans un autre cadre.
Ces postures de sociologue et de journaliste sont-elles conciliables ? Sa façon même de jongler avec est-elle professionnelle ou éthique ? L'empilement des métiers et des fonctions qui permet d'être en permanence dans les vases communicants est-elle une "garantie" intellectuelle ? (les spécialistes remplaceront garantie par le terme approprié). Ce jeu de double, triple posture est-il tenable sans risque ? Merci aux plus aiguisés sur ces choses-là de nous en parler.
En ce qui me concerne Dr Mar et Mister Tel me font penser à une farce très moderne de la notoriété et du serpent qui se mord en permanence la queue ! Je fais une recherche sur les industries culturelles américaines dans le cadre d'un programme de recherche de l'université (au sens large) je le vends aussi sec à Fc pour une série d'été. Fort de cette réussite je peux enfin animer une émission dans laquelle je ferai venir tout l'aréopage de mon réseau. Et s'ils n'en font pas partie l'émission bouclée ce sera chose faite. À force de ronronner au milieu du tout petit cercle du "je te tiens par la barbichette" on obtient le poste de rédac-chef d'Ina global. Pour lequel on fera à nouveau appel à l'aréopage, qui se verra proposer de rédiger pour Nonfiction.fr et cerise sur le gâteau venir s'exprimer dans Masse critique. La boucle est bouclée. Il ne reste plus à Martel qu'à ne pas se tromper de masque quand il travaille pour l'un ou l'autre. Mais à bien y regarder ou y entendre chacun de ses masques a au milieu un petit nez rouge.
Dernière édition par fanch le Dim 21 Nov 2010, 21:52, édité 1 fois
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