Cela dit, au plan vocal Frédéric Martel c'est pas seulement de l'anglais ake un accent franchouille-sud à vous déboulonner Big Ben. Même quand il cause en français sans faire trop de cuirs (quand il est saoul peut-être) c'est pas non plus simplement un accent provençal. Et puis d'ailleurs de quelle Provence au fait ? On est loin du marseillais là...
Martel en vocal, c'est un ton et une musiquette qui n'appartiennent pas qu'à lui. Chez les maintenant-pontes de la station comme Gardette, ou chez la potiche Chazalienne des Matins à 7h35 toujours très fière de son petit numéro, on trouve souvent sur FC une diction sur-jouée qui transforme le journalisme radio en petit jeu d'ironie facile. Etant donné que je sors pas des écoles de l'élite des journalisses, je n'ai que mes esgourdes et aucun délit d'initié pour reconnaitre cette musique du persiflage. Je suppose que ça leur vient de quelque maître parachuté "icône à imiter", tout comme l'art de la question con a été insufflé à Demorand Baddou et à quelques autres pendant les Master-class de journalisme dispensées par Jacques Chancel dans les séminaires de l'élite.
Remarquez, cette diction ironique insupportable, on peut aussi se dire que, que que, c'est pas tellement "plus pire" que les, les, les hésitations bidon de Julie Clarini quand elle, elle, elle fait comme Bourdieu, semblant de réfléchir en, en, en nous envoyant son baratin militant.
Remarquez (bis) il faut bien que quelqu'un réfléchisse quand elle parle, hein parce qu'à écouter le coin-coin de la Clarinette, c'est pas l'auditeur qui va se mettre à penser, sauf peut-être pour tourner le bouton une minute ou deux en attendant la fin de sa présentation du grain à Moudre et ainsi, au moins pendant qu'elle tente de nous faire avaler son chapeau, essayer d'échapper à cette calamité radiophonique ...
Martel en vocal, c'est un ton et une musiquette qui n'appartiennent pas qu'à lui. Chez les maintenant-pontes de la station comme Gardette, ou chez la potiche Chazalienne des Matins à 7h35 toujours très fière de son petit numéro, on trouve souvent sur FC une diction sur-jouée qui transforme le journalisme radio en petit jeu d'ironie facile. Etant donné que je sors pas des écoles de l'élite des journalisses, je n'ai que mes esgourdes et aucun délit d'initié pour reconnaitre cette musique du persiflage. Je suppose que ça leur vient de quelque maître parachuté "icône à imiter", tout comme l'art de la question con a été insufflé à Demorand Baddou et à quelques autres pendant les Master-class de journalisme dispensées par Jacques Chancel dans les séminaires de l'élite.
Remarquez, cette diction ironique insupportable, on peut aussi se dire que, que que, c'est pas tellement "plus pire" que les, les, les hésitations bidon de Julie Clarini quand elle, elle, elle fait comme Bourdieu, semblant de réfléchir en, en, en nous envoyant son baratin militant.
Remarquez (bis) il faut bien que quelqu'un réfléchisse quand elle parle, hein parce qu'à écouter le coin-coin de la Clarinette, c'est pas l'auditeur qui va se mettre à penser, sauf peut-être pour tourner le bouton une minute ou deux en attendant la fin de sa présentation du grain à Moudre et ainsi, au moins pendant qu'elle tente de nous faire avaler son chapeau, essayer d'échapper à cette calamité radiophonique ...