Je pense que Fontaine et Andromaque ont raison tous les deux sur leur premier point : j'en suis lentement venu au sentiment que la main-mise d'un basique gauchisme militant sur FC est la clé indispensable qui permet de comprendre l'effondrement de la qualité sur la fréquence de cette chaine. La traduction de ce gauchisme basique se trouve dans la série de mots d'ordre qui composent le paradigme idéologique de la chaine. Dans ce forum jusqu'ici on s'était (lire : je m'étais) borné à en signaler quelques apparitions. C'était une erreur : le coeur du problème est là. Je crois que cela a trop longtemps été caché et notamment ici, par pusillanimité. Après tout, comme les classes cultivées votent majoritairement à gauche dans ce pays et qu'elles composent le public de France Culture, étant donné que c'est à ce public que notre forum s'adresse il faudrait éviter de le brusquer ce gentil public. Pusillanimité, en l'occurrence signifie : un mélange de sagesse et de lâcheté. Je laisse la première à mes camawad's et j'endosse la responsabilité de la deuxième. Il est temps au moins pour l'un d'entre nous, de mettre les pieds dans le plat. Tant pis si ça déplait. Ou bien : tant mieux ?
Andromaque, vous dites
Et mon problème est bien ce que j'entends quand je mets du son, non quand je regarde les comptes de l'U.E. Quand je mets du son j'aimerais entendre une radio culturelle, pas des propos de bistrot auxquels aneffet par une réaction en contamination, il pourrait bien m'arriver parfois de répondre une connerie à mon tour. Mais si FC me parlait de culture au lieu de me vendre la pensée de Terra Nova du matin au soir, je n'aurais pas le permanent souci de me rebiffer contre cette grande manipe.
Après, qu'on trouve dans mes propos des approximations, des erreurs, ou même exceptionnellement une insulte laconique quand j'estime que c'est la meilleure réponse, eh bien ma foi... qu'est-ce que ça peut faire ? Suis-je le Pape ? Suis-je chargé d'une responsabilité publique ? D'un mandat électif ? Ma foi non. Je ne suis pas un oracle, tout de même. Pourquoi n'aurais-je pas le droit de rédiger en satiriste ? N'est-ce pas ce que je fais d'ailleurs dans une bonne partie de mes publis ? Alors quand j'écris une remarque digne d'un beauf de droite, est-ce si grave ? Mais non ! Ce qui serait grave serait qu'on vienne m'en faire procès sans avoir jamais adressé un seul reproche à ce qu'on entend sur FC, sans jamais avoir alimenté le courrier des lecteurs ou le site de FC ou simplement les colonnes de ce forum.
Enfin, je sais bien que la connerie des autres n'excuse pas la mienne, ni ne l'explique, ni n'en réduit la portée puisque cette portée est... insignifiante.
Nos colonnes sont ouvertes, n'est-ce pas l'essentiel ? Vous lisez une connerie sous ma plume. Vous constatez que je suis en train de virer obsessionnel. Vous écrivez ici pour dire tout ça : très bien. Vous auriez pu aussi me balancer que petit à petit, mes posts ne sont plus que du radotage de vieux con. Personne ne vous l'aurait reproché en tous cas pas moi. Mais essayez donc de faire la même chose sur le site de France Culture, que ce soit en maniant le trait ou en y déposant une analyse et vous allez voir ce qu'il adviendra de votre message.
Mais enfin, les atrabilaires élevés dans une sacristie vont encore me dire que je ne supporte pas la contradiction. J'en ai assez dit comme ça. Que chacun fasse comme il veut, tel est toujours mon dernier mot.
Andromaque, vous dites
Si vous relisez mon message, vous y verrez que mon sujet n'est pas la Grèce, que ma sortie finale sur les méchants grecs presque aussi feignants que les roms et les marseillais (on remarquera que je ne dis jamais rien contre les juifs) est tout à fait secondaire, arrive en queue de rédaction. Elle aurait bien pu disparaitre lors d'une correction ultérieure, que cela n'aurait absolument rien changé au message. Si mon agacement contre la présence de la Grèce dans l''U.E. m'obsédait, il faudrait me rendre grâce au contraire de n'en avoir jusqu'ici jamais dit mot dans ce forum.Confondre le sujet et la façon dont il est traité est le problème.
Et mon problème est bien ce que j'entends quand je mets du son, non quand je regarde les comptes de l'U.E. Quand je mets du son j'aimerais entendre une radio culturelle, pas des propos de bistrot auxquels aneffet par une réaction en contamination, il pourrait bien m'arriver parfois de répondre une connerie à mon tour. Mais si FC me parlait de culture au lieu de me vendre la pensée de Terra Nova du matin au soir, je n'aurais pas le permanent souci de me rebiffer contre cette grande manipe.
Après, qu'on trouve dans mes propos des approximations, des erreurs, ou même exceptionnellement une insulte laconique quand j'estime que c'est la meilleure réponse, eh bien ma foi... qu'est-ce que ça peut faire ? Suis-je le Pape ? Suis-je chargé d'une responsabilité publique ? D'un mandat électif ? Ma foi non. Je ne suis pas un oracle, tout de même. Pourquoi n'aurais-je pas le droit de rédiger en satiriste ? N'est-ce pas ce que je fais d'ailleurs dans une bonne partie de mes publis ? Alors quand j'écris une remarque digne d'un beauf de droite, est-ce si grave ? Mais non ! Ce qui serait grave serait qu'on vienne m'en faire procès sans avoir jamais adressé un seul reproche à ce qu'on entend sur FC, sans jamais avoir alimenté le courrier des lecteurs ou le site de FC ou simplement les colonnes de ce forum.
Enfin, je sais bien que la connerie des autres n'excuse pas la mienne, ni ne l'explique, ni n'en réduit la portée puisque cette portée est... insignifiante.
Nos colonnes sont ouvertes, n'est-ce pas l'essentiel ? Vous lisez une connerie sous ma plume. Vous constatez que je suis en train de virer obsessionnel. Vous écrivez ici pour dire tout ça : très bien. Vous auriez pu aussi me balancer que petit à petit, mes posts ne sont plus que du radotage de vieux con. Personne ne vous l'aurait reproché en tous cas pas moi. Mais essayez donc de faire la même chose sur le site de France Culture, que ce soit en maniant le trait ou en y déposant une analyse et vous allez voir ce qu'il adviendra de votre message.
Mais enfin, les atrabilaires élevés dans une sacristie vont encore me dire que je ne supporte pas la contradiction. J'en ai assez dit comme ça. Que chacun fasse comme il veut, tel est toujours mon dernier mot.