Un dossier fouillé réalisé par Hélène Combis-Schlumberger : Au musée, tous photographes ? Les libéraux contre les jacobins. Du descriptif et des témoignages, c'est informatif. Pour la réflexion sur le sens de la prise de photographies des lieux culturels, on demande une émission un peu approfondie. Qu'il faut aller chercher ailleurs.
Par exemple dans la réflexion ci-dessous sur la capitalisation des objets culturels (photos y compris), qui est une capitalisation du temps, vaine au bout du compte, car jamais exploitée du fait de l'offre pléthorique qui accapare le présent durant lequel on pourrait se plonger dans le passé. Le seul résultat : perdre le temps de la jouissance esthétique à stocker du matériel culturel dont on ne profitera jamais. Et, incidemment, gêner, comme il est dit dans le reportage multimédia, ceux qui aimeraient contempler ou écouter des oeuvres sans être dérangés par tous les écrans...
"Zeitversetzt" de Norbert Zaehringer. Lu par Matthias Brueggemann, parce que la station SWR 2 considère qu'une voix de professionnel est parfois mieux à même de faire passer un commentaire que la voix de son auteur... Il ferait beau voir qu'un de nos chroniqueurs à FC confiât son texte à Georges Claisse !
Par exemple dans la réflexion ci-dessous sur la capitalisation des objets culturels (photos y compris), qui est une capitalisation du temps, vaine au bout du compte, car jamais exploitée du fait de l'offre pléthorique qui accapare le présent durant lequel on pourrait se plonger dans le passé. Le seul résultat : perdre le temps de la jouissance esthétique à stocker du matériel culturel dont on ne profitera jamais. Et, incidemment, gêner, comme il est dit dans le reportage multimédia, ceux qui aimeraient contempler ou écouter des oeuvres sans être dérangés par tous les écrans...
"Zeitversetzt" de Norbert Zaehringer. Lu par Matthias Brueggemann, parce que la station SWR 2 considère qu'une voix de professionnel est parfois mieux à même de faire passer un commentaire que la voix de son auteur... Il ferait beau voir qu'un de nos chroniqueurs à FC confiât son texte à Georges Claisse !