Écrit à la va-vite, ce reportage de Anne-Laure Chouin, Catherine Petillon et Eric Chaverou sur la taxe tampon : Quand les féministes s'emparent de la fiscalité nous vaut son petit pesant de phrases au français vacillant.
Dans le chapô : Elle réclament pour les protections périodiques une TVA au taux réduit de 5,5%, contre 20% aujourd'hui.
Dans le texte : Cette mobilisation autour de cette taxe dite "tampon" est une déclinaison d'un mouvement en cours dans plusieurs pays anglo-saxons : le Royaume-Uni, et Canada et l'Australie notamment, (...)
Marrante cette phrase : (...) le quotient conjugal, qui découragerait de travailler celui qui gagne le moins de revenus dans le couple, la femme le plus souvent.
- (...) les populations les plus précaires, en effet,sont souvent les femmes. Les femmes sont donc des populations.
- Ce qui embarasse nos parlementaires, des hommes en majorité, parce que mêler de genre concernant les impôts directs ou indirects, c'est aussi questionner l'illisibilité et les dysfonctionnements de la TVA, qui s'applique à 20% sur les protections périodiques alors qu'il s'agit bien évidemment d'un produit de première nécessité. Du beau français.
- Plus généralement, "être une femme dans un monde fait par et pour les hommes coûte plus cher" : c'est dans ces termes que l'exprime en tout cas le collectif Georgette Sand.
Pour l'illustrer,[quoi ? l'inégalité hommes/femmes devant les produits de consommation courante certainement] Rue89 s'était d'ailleurs amusé à le [qui, quoi, qu'est-ce ?] faire en octobre 2014: le journal avait recensé tous les produits similaires emballés différement selon qu"[apostrophe confondu avec le guillemet] il s'adressaient aux hommes ou aux femmes, des rasoirs au simple rouleau de scotch!. [Point d'exclamation + point, c'est cadeau] Résultat un prix systématiquement supérieur pour les produits à destination des femmes. On rappelle qu'en France elles gagnent moyenne 27% de moins que les hommes.
Dans le chapô : Elle réclament pour les protections périodiques une TVA au taux réduit de 5,5%, contre 20% aujourd'hui.
Dans le texte : Cette mobilisation autour de cette taxe dite "tampon" est une déclinaison d'un mouvement en cours dans plusieurs pays anglo-saxons : le Royaume-Uni, et Canada et l'Australie notamment, (...)
Marrante cette phrase : (...) le quotient conjugal, qui découragerait de travailler celui qui gagne le moins de revenus dans le couple, la femme le plus souvent.
- (...) les populations les plus précaires, en effet,sont souvent les femmes. Les femmes sont donc des populations.
- Ce qui embarasse nos parlementaires, des hommes en majorité, parce que mêler de genre concernant les impôts directs ou indirects, c'est aussi questionner l'illisibilité et les dysfonctionnements de la TVA, qui s'applique à 20% sur les protections périodiques alors qu'il s'agit bien évidemment d'un produit de première nécessité. Du beau français.
- Plus généralement, "être une femme dans un monde fait par et pour les hommes coûte plus cher" : c'est dans ces termes que l'exprime en tout cas le collectif Georgette Sand.
Pour l'illustrer,[quoi ? l'inégalité hommes/femmes devant les produits de consommation courante certainement] Rue89 s'était d'ailleurs amusé à le [qui, quoi, qu'est-ce ?] faire en octobre 2014: le journal avait recensé tous les produits similaires emballés différement selon qu"[apostrophe confondu avec le guillemet] il s'adressaient aux hommes ou aux femmes, des rasoirs au simple rouleau de scotch!. [Point d'exclamation + point, c'est cadeau] Résultat un prix systématiquement supérieur pour les produits à destination des femmes. On rappelle qu'en France elles gagnent moyenne 27% de moins que les hommes.