Éric Chaverou écrit peu sur le site de France Culture, il fait des "papiers" en intégrant beaucoup de citations. Heureusement.
On ne s'étonne pas du classement de la France dans le trop fameux classement PISA quand on lit les lignes qu'il écrit entre les citations.
Ainsi : « Y'aura-t-il » avec une apostrophe qu'on retrouve comme faute courante de collégien ; « Vincent Peillon se pose forcément la question, lui qui dès le 10 octobre, sur Canal Plus, prévenait (...) » avec une ponctuation fautive.
Quant à l'encadré présentant le document officiel de l'OCDE, on y note des problèmes de traduction : « 70 économies du monde entier ont participé à PISA » ; « PISA ne résume pas seulement à un test scolaire » ; « leur approche à l'apprentissage ».
Quand un rédacteur à France Culture et un expert pour l'OCDE dissertent sur les faiblesses scolaires tout en ne sachant pas écrire et en ne prenant pas la peine de se former à une compétence de base, tout est dit.
On ne s'étonne pas du classement de la France dans le trop fameux classement PISA quand on lit les lignes qu'il écrit entre les citations.
Ainsi : « Y'aura-t-il » avec une apostrophe qu'on retrouve comme faute courante de collégien ; « Vincent Peillon se pose forcément la question, lui qui dès le 10 octobre, sur Canal Plus, prévenait (...) » avec une ponctuation fautive.
Quant à l'encadré présentant le document officiel de l'OCDE, on y note des problèmes de traduction : « 70 économies du monde entier ont participé à PISA » ; « PISA ne résume pas seulement à un test scolaire » ; « leur approche à l'apprentissage ».
Quand un rédacteur à France Culture et un expert pour l'OCDE dissertent sur les faiblesses scolaires tout en ne sachant pas écrire et en ne prenant pas la peine de se former à une compétence de base, tout est dit.